• A Propos
  • Politique de confidentialité
  • Contact
Tech News, Magazine & Review WordPress Theme 2017
Pas de résultats
View All Result
Digital RoundUp
Digital RoundUp
Pas de résultats
View All Result
ADVERTISEMENT

Home » La fusée qui bloquait le secteur aérien s’est bien écrasée sur Terre

La fusée qui bloquait le secteur aérien s’est bien écrasée sur Terre

digitalroundup_e8kf4d Par digitalroundup_e8kf4d
10/11/2022
Partager sur FacebookPublier sur TwitterPartager sur LinkedInPartager sur WhatsApp

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

Mouvement de panique dans les aéroports européens en fin de semaine dernière. Dans la matinée de vendredi ce sont pas mois de 300 vols qui ont été annulés par différentes compagnies aériennes. Tous ont un point commun, ils allaient traverser une partie au nord de l’Espagne.

Or dans cette même matinée, les contrôleurs aériens ont repéré les restes d’une fusée chinoise venue se désintégrer dans l’atmosphère. La décision a été prise de fermer l’ensemble de l’espace aérien dans la zone. Personne ne voulait prendre le moindre risque.

Les fusées chinoises sèment la panique à chaque retour sur Terre

Alors que l’Europe qualifie ce retour sur Terre “d’incontrôlé” la Chine a une toute version de l’histoire. Selon un porte-parole du ministère des affaires étrangères, la menace de collision était très faible, pour ne pas dire nulle, et les européens ont fait un excès de zèle. Il a précisé que ce genre de manoeuvre (un retour de fusée dans l’atmosphère) était finalement très banale.

Lancée le 31 octobre dernier, la fusée Long March 5B servait à mettre en orbite le dernier module de la station spatiale chinoise Tiangjong. Mais comme à son habitude, la Chine n’a pas pensé à la trajectoire de retour de sa fusée, et elle est venue fendre l’atmosphère avec une trajectoire chaotique.

L’Europe s’inquiète, Pékin relativise

Si, comme le précise Pékin, aucun débris n’a jamais survolé l’Espagne, le risque était bien là et les compagnies aériennes européens n’ont pas voulu se mettre en danger. Finalement les débris de la fusée sont tombés à des milliers de kilomètres des Pyrénées, dans la mer de Sulu au large des Philippines.

Malgré les récents avertissements de l’ESA (agence spatiale européenne) et de la NASA, la Chine n’en fait qu’à sa tête en ce qui concerne les retours de ses fusées. C’est déjà la quatrième fois en moins de deux ans que des débris de fusée chinoise sont retrouvés à la surface.

Lundi, les autorités des Philippines ont assuré que l’impact n’avait fait aucun dégât, ni matériel ni humain. La Chine avait ciblé cette zone comme un lieu possible de chute de débris et avait d’ailleurs alerté les autorités ainsi que les navires de pêches. Les débris retrouvés en grande partie sur la plage de Busuanga, une île de 45 000 habitants au coeur de l’archipel, mesurent plusieurs mètres de long et pèsent des centaines de kilos.

long-march5b-debris

Un morceau de la fusée retrouvé sur les côtes de l’île © Palawan news

Le risque grandit à chaque lancement

Mais la CNSA (agence spatiale chinoise) n’est pas la seule à faire tomber des restes de sa fusée sur Terre. Si le traité sur l’espace demande, dans la mesure du possible, de calculer une trajectoire de retour qui permet la désintégration de la fusée, SpaceX a également commis quelques impairs par le passé.

Il y a quelques mois un fermier australien a retrouvé des morceaux de Falcon 9 dans son champ. Là encore le drame a été évité, mais à force de jouer avec le jeu, le pire pourrait arriver dans les prochaines années. Alors que la Chine compte faire décoller une Long March 5B par mois, elle va devoir soigner le retour sur Terre de la fusée si elle ne veut pas faire des morts un jour ou l’autre.

digitalroundup_e8kf4d

digitalroundup_e8kf4d

Post suivant
Elon Musk tâtonne, le badge “officiel” de Twitter est déjà abandonné

Elon Musk tâtonne, le badge “officiel” de Twitter est déjà abandonné

Recommended.

Que nous réserve la tech en 2022

Que nous réserve la tech en 2022

01/12/2021
1.5k
Deux sites majeurs de téléchargement et streaming illégal ferment leur porte

Deux sites majeurs de téléchargement et streaming illégal ferment leur porte

25/04/2022
1.5k

Trending.

Voici comment Windows 11 rendra votre PC plus réactif

Voici comment Windows 11 rendra votre PC plus réactif

14/10/2021
1.5k
La fin du Captcha est proche, voici ce qui va le remplacer

La fin du Captcha est proche, voici ce qui va le remplacer

29/09/2022
1.5k
Un virage grand public semé d’embuches pour OnlyFans, l' »Instagram porno »

Un virage grand public semé d’embuches pour OnlyFans, l' »Instagram porno »

14/10/2021
1.5k
Paiement sans contact limité à 50 € : pourquoi ses jours sont comptés

Paiement sans contact limité à 50 € : pourquoi ses jours sont comptés

06/02/2023
1.5k
OpenAI dévoile ChatGPT Plus : un abonnement “coupe-file” à 20$ / mois

OpenAI dévoile ChatGPT Plus : un abonnement “coupe-file” à 20$ / mois

02/02/2023
1.5k
Digital RoundUp

Nous vous proposons les dernières infos Tech dans le monde. Abonnez-vous à notre Newletter pour ne rien manquer.

Suivez-nous

Catégories

  • Auto-moto
  • Autres
  • Cryptomonnaies
  • Digital
  • High Tech
  • Intelligence Artificielle
  • Internet
  • Jeux vidéo
  • Logiciel
  • Macbook
  • Musique
  • Ordinateurs
  • PC Windows
  • Sécurité
  • Smartphones, Tablettes, Mobile
  • Social Media
  • Sport

Derniers Articles

Voici comment ChatGPT va tuer les mots-clés

Voici comment ChatGPT va tuer les mots-clés

06/02/2023
Ces avions ont évité un horrible crash au décollage (à 20 m près !)

Ces avions ont évité un horrible crash au décollage (à 20 m près !)

06/02/2023
  • A Propos
  • Politique de confidentialité
  • Contact

© 2021 Digital Round Up - Actualités et revues high-tech | Tous Droits Réservés | Site propulsé par Kipalangutu.

Pas de résultats
View All Result
  • Accueil
  • Les infos
    • Digital
    • Internet
      • Social Media
      • Sécurité
    • Auto-moto
    • Jeux vidéo
    • Smartphones, Tablettes, Mobile
    • Ordinateurs
    • Cryptomonnaies
  • Contact

© 2021 Digital Round Up - Actualités et revues high-tech | Tous Droits Réservés | Site propulsé par Kipalangutu.

We use cookies on our website to give you the most relevant experience by remembering your preferences and repeat visits. By clicking “Accept”, you consent to the use of ALL the cookies.
Do not sell my personal information.
Cookie SettingsAccept
Manage consent

Privacy Overview

This website uses cookies to improve your experience while you navigate through the website. Out of these, the cookies that are categorized as necessary are stored on your browser as they are essential for the working of basic functionalities of the website. We also use third-party cookies that help us analyze and understand how you use this website. These cookies will be stored in your browser only with your consent. You also have the option to opt-out of these cookies. But opting out of some of these cookies may affect your browsing experience.
Necessary
Toujours activé
Necessary cookies are absolutely essential for the website to function properly. These cookies ensure basic functionalities and security features of the website, anonymously.
CookieDuréeDescription
cookielawinfo-checkbox-analytics11 monthsThis cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookie is used to store the user consent for the cookies in the category "Analytics".
cookielawinfo-checkbox-functional11 monthsThe cookie is set by GDPR cookie consent to record the user consent for the cookies in the category "Functional".
cookielawinfo-checkbox-necessary11 monthsThis cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookies is used to store the user consent for the cookies in the category "Necessary".
cookielawinfo-checkbox-others11 monthsThis cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookie is used to store the user consent for the cookies in the category "Other.
cookielawinfo-checkbox-performance11 monthsThis cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookie is used to store the user consent for the cookies in the category "Performance".
viewed_cookie_policy11 monthsThe cookie is set by the GDPR Cookie Consent plugin and is used to store whether or not user has consented to the use of cookies. It does not store any personal data.
Functional
Functional cookies help to perform certain functionalities like sharing the content of the website on social media platforms, collect feedbacks, and other third-party features.
Performance
Performance cookies are used to understand and analyze the key performance indexes of the website which helps in delivering a better user experience for the visitors.
Analytics
Analytical cookies are used to understand how visitors interact with the website. These cookies help provide information on metrics the number of visitors, bounce rate, traffic source, etc.
Advertisement
Advertisement cookies are used to provide visitors with relevant ads and marketing campaigns. These cookies track visitors across websites and collect information to provide customized ads.
Others
Other uncategorized cookies are those that are being analyzed and have not been classified into a category as yet.
Enregistrer & appliquer