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Home » Comment Tesla réinvente l’assurance auto

Comment Tesla réinvente l’assurance auto

20/06/2022
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Que l’on aime ou non Tesla, force est de constater que le constructeur a révolutionné le marché de l’automobile. Et il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

Pour proposer la meilleure expérience possible à ses clients, Tesla s’apprête à commercialiser une police d’assurance d’un nouveau genre. Lancée pour la première fois dans l’Etat du Nevada, cette nouvelle assurance arrive dans l’Arizona, le Colorado, l’Illinois, l’Ohio, l’Oregon, le Texax et la Virginie. Sa particularité : elle se base sur une analyse en temps réel des données du conducteur. 

Si de tels dispositifs existent déjà, ils nécessitent l’installation d’un matériel complémentaire. Chez Tesla, les technologies embarquées dans le véhicule permettent une analyse plus rapide et plus précise.

Mieux vous conduisez moins vous payez

La nouvelle offre d’assurance de Tesla se veut la plus juste possible pour les conducteurs. Le principe est enfantin : mieux vous conduisez, moins vous payez. Pour savoir ce qu’est un bon conducteur, Tesla se base sur l’analyse des données de conduite recueillies en temps réel par ses véhicules.

Ce recueil de données est déjà présent dans tous les véhicules de la marque mais les résultats ne sont donnés qu’à des fins pédagogiques. Dans les Etats où l’offre d’assurance sera proposée, ces résultats permettront de réajuster le montant de leur police d’assurance.

Parmi les données analysées, Tesla mentionne le nombre d’avertissements de collision avant (respect des distances de sécurité), le nombre de freinages brusques, la vitesse en virage ou encore les débrayages forcés de l’Autopilot (lorsque le véhicule en est équipé). L’analyse de ces résultats permet d’obtenir un score de sécurité.

En fonction du score de sécurité, Tesla classe les conducteurs dans différentes catégories (mauvais, moyens, bons). La nouvelle offre d’assurance se base sur ce classement pour moduler le montant de la prime. Un conducteur moyen pourra économique 20 à 40% sur sa prime par rapport à la concurrence. Un bon conducteur pourra économiser jusqu’à 60%. Et les économies peuvent vite être conséquentes.

Par exemple, un conducteur dont le score de sécurité passerait de 93 à 98 paierait 83$ indiquent les Numériques. En revanche si score passe de 98 à 88, sa prime d’assurance mensuelle passerait à 130$.

Et en France ?

En France, ces assurances existent mais nécessitent l’installation d’un boîtier connecté pour récupérer les données de conduite. Allianz ou Direct Assurance proposent ces offres dites « d’assurance auto connectée ». Mais ces formules restent marginales sur le marché.

Et pour cause, la récolte des données est soumise aux règles de la CNIL. Selon Index Assurance, « cet enregistrement de données sensibles et nominatives sur les conducteurs est accepté par la CNIL sous certaines conditions ». Et il subsiste un risque que les données soient utilisées à des fins non prévues par le contrat. D’où, peut-être, une adoption encore minoritaire sur le marché.

Que l’on aime ou non Tesla, force est de constater que le constructeur a révolutionné le marché de l’automobile. Et il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

Pour proposer la meilleure expérience possible à ses clients, Tesla s’apprête à commercialiser une police d’assurance d’un nouveau genre. Lancée pour la première fois dans l’Etat du Nevada, cette nouvelle assurance arrive dans l’Arizona, le Colorado, l’Illinois, l’Ohio, l’Oregon, le Texax et la Virginie. Sa particularité : elle se base sur une analyse en temps réel des données du conducteur. 

Si de tels dispositifs existent déjà, ils nécessitent l’installation d’un matériel complémentaire. Chez Tesla, les technologies embarquées dans le véhicule permettent une analyse plus rapide et plus précise.

Mieux vous conduisez moins vous payez

La nouvelle offre d’assurance de Tesla se veut la plus juste possible pour les conducteurs. Le principe est enfantin : mieux vous conduisez, moins vous payez. Pour savoir ce qu’est un bon conducteur, Tesla se base sur l’analyse des données de conduite recueillies en temps réel par ses véhicules.

Ce recueil de données est déjà présent dans tous les véhicules de la marque mais les résultats ne sont donnés qu’à des fins pédagogiques. Dans les Etats où l’offre d’assurance sera proposée, ces résultats permettront de réajuster le montant de leur police d’assurance.

Parmi les données analysées, Tesla mentionne le nombre d’avertissements de collision avant (respect des distances de sécurité), le nombre de freinages brusques, la vitesse en virage ou encore les débrayages forcés de l’Autopilot (lorsque le véhicule en est équipé). L’analyse de ces résultats permet d’obtenir un score de sécurité.

En fonction du score de sécurité, Tesla classe les conducteurs dans différentes catégories (mauvais, moyens, bons). La nouvelle offre d’assurance se base sur ce classement pour moduler le montant de la prime. Un conducteur moyen pourra économique 20 à 40% sur sa prime par rapport à la concurrence. Un bon conducteur pourra économiser jusqu’à 60%. Et les économies peuvent vite être conséquentes.

Par exemple, un conducteur dont le score de sécurité passerait de 93 à 98 paierait 83$ indiquent les Numériques. En revanche si score passe de 98 à 88, sa prime d’assurance mensuelle passerait à 130$.

Et en France ?

En France, ces assurances existent mais nécessitent l’installation d’un boîtier connecté pour récupérer les données de conduite. Allianz ou Direct Assurance proposent ces offres dites « d’assurance auto connectée ». Mais ces formules restent marginales sur le marché.

Et pour cause, la récolte des données est soumise aux règles de la CNIL. Selon Index Assurance, « cet enregistrement de données sensibles et nominatives sur les conducteurs est accepté par la CNIL sous certaines conditions ». Et il subsiste un risque que les données soient utilisées à des fins non prévues par le contrat. D’où, peut-être, une adoption encore minoritaire sur le marché.

Que l’on aime ou non Tesla, force est de constater que le constructeur a révolutionné le marché de l’automobile. Et il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

Pour proposer la meilleure expérience possible à ses clients, Tesla s’apprête à commercialiser une police d’assurance d’un nouveau genre. Lancée pour la première fois dans l’Etat du Nevada, cette nouvelle assurance arrive dans l’Arizona, le Colorado, l’Illinois, l’Ohio, l’Oregon, le Texax et la Virginie. Sa particularité : elle se base sur une analyse en temps réel des données du conducteur. 

Si de tels dispositifs existent déjà, ils nécessitent l’installation d’un matériel complémentaire. Chez Tesla, les technologies embarquées dans le véhicule permettent une analyse plus rapide et plus précise.

Mieux vous conduisez moins vous payez

La nouvelle offre d’assurance de Tesla se veut la plus juste possible pour les conducteurs. Le principe est enfantin : mieux vous conduisez, moins vous payez. Pour savoir ce qu’est un bon conducteur, Tesla se base sur l’analyse des données de conduite recueillies en temps réel par ses véhicules.

Ce recueil de données est déjà présent dans tous les véhicules de la marque mais les résultats ne sont donnés qu’à des fins pédagogiques. Dans les Etats où l’offre d’assurance sera proposée, ces résultats permettront de réajuster le montant de leur police d’assurance.

Parmi les données analysées, Tesla mentionne le nombre d’avertissements de collision avant (respect des distances de sécurité), le nombre de freinages brusques, la vitesse en virage ou encore les débrayages forcés de l’Autopilot (lorsque le véhicule en est équipé). L’analyse de ces résultats permet d’obtenir un score de sécurité.

En fonction du score de sécurité, Tesla classe les conducteurs dans différentes catégories (mauvais, moyens, bons). La nouvelle offre d’assurance se base sur ce classement pour moduler le montant de la prime. Un conducteur moyen pourra économique 20 à 40% sur sa prime par rapport à la concurrence. Un bon conducteur pourra économiser jusqu’à 60%. Et les économies peuvent vite être conséquentes.

Par exemple, un conducteur dont le score de sécurité passerait de 93 à 98 paierait 83$ indiquent les Numériques. En revanche si score passe de 98 à 88, sa prime d’assurance mensuelle passerait à 130$.

Et en France ?

En France, ces assurances existent mais nécessitent l’installation d’un boîtier connecté pour récupérer les données de conduite. Allianz ou Direct Assurance proposent ces offres dites « d’assurance auto connectée ». Mais ces formules restent marginales sur le marché.

Et pour cause, la récolte des données est soumise aux règles de la CNIL. Selon Index Assurance, « cet enregistrement de données sensibles et nominatives sur les conducteurs est accepté par la CNIL sous certaines conditions ». Et il subsiste un risque que les données soient utilisées à des fins non prévues par le contrat. D’où, peut-être, une adoption encore minoritaire sur le marché.

Que l’on aime ou non Tesla, force est de constater que le constructeur a révolutionné le marché de l’automobile. Et il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

Pour proposer la meilleure expérience possible à ses clients, Tesla s’apprête à commercialiser une police d’assurance d’un nouveau genre. Lancée pour la première fois dans l’Etat du Nevada, cette nouvelle assurance arrive dans l’Arizona, le Colorado, l’Illinois, l’Ohio, l’Oregon, le Texax et la Virginie. Sa particularité : elle se base sur une analyse en temps réel des données du conducteur. 

Si de tels dispositifs existent déjà, ils nécessitent l’installation d’un matériel complémentaire. Chez Tesla, les technologies embarquées dans le véhicule permettent une analyse plus rapide et plus précise.

Mieux vous conduisez moins vous payez

La nouvelle offre d’assurance de Tesla se veut la plus juste possible pour les conducteurs. Le principe est enfantin : mieux vous conduisez, moins vous payez. Pour savoir ce qu’est un bon conducteur, Tesla se base sur l’analyse des données de conduite recueillies en temps réel par ses véhicules.

Ce recueil de données est déjà présent dans tous les véhicules de la marque mais les résultats ne sont donnés qu’à des fins pédagogiques. Dans les Etats où l’offre d’assurance sera proposée, ces résultats permettront de réajuster le montant de leur police d’assurance.

Parmi les données analysées, Tesla mentionne le nombre d’avertissements de collision avant (respect des distances de sécurité), le nombre de freinages brusques, la vitesse en virage ou encore les débrayages forcés de l’Autopilot (lorsque le véhicule en est équipé). L’analyse de ces résultats permet d’obtenir un score de sécurité.

En fonction du score de sécurité, Tesla classe les conducteurs dans différentes catégories (mauvais, moyens, bons). La nouvelle offre d’assurance se base sur ce classement pour moduler le montant de la prime. Un conducteur moyen pourra économique 20 à 40% sur sa prime par rapport à la concurrence. Un bon conducteur pourra économiser jusqu’à 60%. Et les économies peuvent vite être conséquentes.

Par exemple, un conducteur dont le score de sécurité passerait de 93 à 98 paierait 83$ indiquent les Numériques. En revanche si score passe de 98 à 88, sa prime d’assurance mensuelle passerait à 130$.

Et en France ?

En France, ces assurances existent mais nécessitent l’installation d’un boîtier connecté pour récupérer les données de conduite. Allianz ou Direct Assurance proposent ces offres dites « d’assurance auto connectée ». Mais ces formules restent marginales sur le marché.

Et pour cause, la récolte des données est soumise aux règles de la CNIL. Selon Index Assurance, « cet enregistrement de données sensibles et nominatives sur les conducteurs est accepté par la CNIL sous certaines conditions ». Et il subsiste un risque que les données soient utilisées à des fins non prévues par le contrat. D’où, peut-être, une adoption encore minoritaire sur le marché.

Que l’on aime ou non Tesla, force est de constater que le constructeur a révolutionné le marché de l’automobile. Et il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

Pour proposer la meilleure expérience possible à ses clients, Tesla s’apprête à commercialiser une police d’assurance d’un nouveau genre. Lancée pour la première fois dans l’Etat du Nevada, cette nouvelle assurance arrive dans l’Arizona, le Colorado, l’Illinois, l’Ohio, l’Oregon, le Texax et la Virginie. Sa particularité : elle se base sur une analyse en temps réel des données du conducteur. 

Si de tels dispositifs existent déjà, ils nécessitent l’installation d’un matériel complémentaire. Chez Tesla, les technologies embarquées dans le véhicule permettent une analyse plus rapide et plus précise.

Mieux vous conduisez moins vous payez

La nouvelle offre d’assurance de Tesla se veut la plus juste possible pour les conducteurs. Le principe est enfantin : mieux vous conduisez, moins vous payez. Pour savoir ce qu’est un bon conducteur, Tesla se base sur l’analyse des données de conduite recueillies en temps réel par ses véhicules.

Ce recueil de données est déjà présent dans tous les véhicules de la marque mais les résultats ne sont donnés qu’à des fins pédagogiques. Dans les Etats où l’offre d’assurance sera proposée, ces résultats permettront de réajuster le montant de leur police d’assurance.

Parmi les données analysées, Tesla mentionne le nombre d’avertissements de collision avant (respect des distances de sécurité), le nombre de freinages brusques, la vitesse en virage ou encore les débrayages forcés de l’Autopilot (lorsque le véhicule en est équipé). L’analyse de ces résultats permet d’obtenir un score de sécurité.

En fonction du score de sécurité, Tesla classe les conducteurs dans différentes catégories (mauvais, moyens, bons). La nouvelle offre d’assurance se base sur ce classement pour moduler le montant de la prime. Un conducteur moyen pourra économique 20 à 40% sur sa prime par rapport à la concurrence. Un bon conducteur pourra économiser jusqu’à 60%. Et les économies peuvent vite être conséquentes.

Par exemple, un conducteur dont le score de sécurité passerait de 93 à 98 paierait 83$ indiquent les Numériques. En revanche si score passe de 98 à 88, sa prime d’assurance mensuelle passerait à 130$.

Et en France ?

En France, ces assurances existent mais nécessitent l’installation d’un boîtier connecté pour récupérer les données de conduite. Allianz ou Direct Assurance proposent ces offres dites « d’assurance auto connectée ». Mais ces formules restent marginales sur le marché.

Et pour cause, la récolte des données est soumise aux règles de la CNIL. Selon Index Assurance, « cet enregistrement de données sensibles et nominatives sur les conducteurs est accepté par la CNIL sous certaines conditions ». Et il subsiste un risque que les données soient utilisées à des fins non prévues par le contrat. D’où, peut-être, une adoption encore minoritaire sur le marché.

Que l’on aime ou non Tesla, force est de constater que le constructeur a révolutionné le marché de l’automobile. Et il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

Pour proposer la meilleure expérience possible à ses clients, Tesla s’apprête à commercialiser une police d’assurance d’un nouveau genre. Lancée pour la première fois dans l’Etat du Nevada, cette nouvelle assurance arrive dans l’Arizona, le Colorado, l’Illinois, l’Ohio, l’Oregon, le Texax et la Virginie. Sa particularité : elle se base sur une analyse en temps réel des données du conducteur. 

Si de tels dispositifs existent déjà, ils nécessitent l’installation d’un matériel complémentaire. Chez Tesla, les technologies embarquées dans le véhicule permettent une analyse plus rapide et plus précise.

Mieux vous conduisez moins vous payez

La nouvelle offre d’assurance de Tesla se veut la plus juste possible pour les conducteurs. Le principe est enfantin : mieux vous conduisez, moins vous payez. Pour savoir ce qu’est un bon conducteur, Tesla se base sur l’analyse des données de conduite recueillies en temps réel par ses véhicules.

Ce recueil de données est déjà présent dans tous les véhicules de la marque mais les résultats ne sont donnés qu’à des fins pédagogiques. Dans les Etats où l’offre d’assurance sera proposée, ces résultats permettront de réajuster le montant de leur police d’assurance.

Parmi les données analysées, Tesla mentionne le nombre d’avertissements de collision avant (respect des distances de sécurité), le nombre de freinages brusques, la vitesse en virage ou encore les débrayages forcés de l’Autopilot (lorsque le véhicule en est équipé). L’analyse de ces résultats permet d’obtenir un score de sécurité.

En fonction du score de sécurité, Tesla classe les conducteurs dans différentes catégories (mauvais, moyens, bons). La nouvelle offre d’assurance se base sur ce classement pour moduler le montant de la prime. Un conducteur moyen pourra économique 20 à 40% sur sa prime par rapport à la concurrence. Un bon conducteur pourra économiser jusqu’à 60%. Et les économies peuvent vite être conséquentes.

Par exemple, un conducteur dont le score de sécurité passerait de 93 à 98 paierait 83$ indiquent les Numériques. En revanche si score passe de 98 à 88, sa prime d’assurance mensuelle passerait à 130$.

Et en France ?

En France, ces assurances existent mais nécessitent l’installation d’un boîtier connecté pour récupérer les données de conduite. Allianz ou Direct Assurance proposent ces offres dites « d’assurance auto connectée ». Mais ces formules restent marginales sur le marché.

Et pour cause, la récolte des données est soumise aux règles de la CNIL. Selon Index Assurance, « cet enregistrement de données sensibles et nominatives sur les conducteurs est accepté par la CNIL sous certaines conditions ». Et il subsiste un risque que les données soient utilisées à des fins non prévues par le contrat. D’où, peut-être, une adoption encore minoritaire sur le marché.

Que l’on aime ou non Tesla, force est de constater que le constructeur a révolutionné le marché de l’automobile. Et il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

Pour proposer la meilleure expérience possible à ses clients, Tesla s’apprête à commercialiser une police d’assurance d’un nouveau genre. Lancée pour la première fois dans l’Etat du Nevada, cette nouvelle assurance arrive dans l’Arizona, le Colorado, l’Illinois, l’Ohio, l’Oregon, le Texax et la Virginie. Sa particularité : elle se base sur une analyse en temps réel des données du conducteur. 

Si de tels dispositifs existent déjà, ils nécessitent l’installation d’un matériel complémentaire. Chez Tesla, les technologies embarquées dans le véhicule permettent une analyse plus rapide et plus précise.

Mieux vous conduisez moins vous payez

La nouvelle offre d’assurance de Tesla se veut la plus juste possible pour les conducteurs. Le principe est enfantin : mieux vous conduisez, moins vous payez. Pour savoir ce qu’est un bon conducteur, Tesla se base sur l’analyse des données de conduite recueillies en temps réel par ses véhicules.

Ce recueil de données est déjà présent dans tous les véhicules de la marque mais les résultats ne sont donnés qu’à des fins pédagogiques. Dans les Etats où l’offre d’assurance sera proposée, ces résultats permettront de réajuster le montant de leur police d’assurance.

Parmi les données analysées, Tesla mentionne le nombre d’avertissements de collision avant (respect des distances de sécurité), le nombre de freinages brusques, la vitesse en virage ou encore les débrayages forcés de l’Autopilot (lorsque le véhicule en est équipé). L’analyse de ces résultats permet d’obtenir un score de sécurité.

En fonction du score de sécurité, Tesla classe les conducteurs dans différentes catégories (mauvais, moyens, bons). La nouvelle offre d’assurance se base sur ce classement pour moduler le montant de la prime. Un conducteur moyen pourra économique 20 à 40% sur sa prime par rapport à la concurrence. Un bon conducteur pourra économiser jusqu’à 60%. Et les économies peuvent vite être conséquentes.

Par exemple, un conducteur dont le score de sécurité passerait de 93 à 98 paierait 83$ indiquent les Numériques. En revanche si score passe de 98 à 88, sa prime d’assurance mensuelle passerait à 130$.

Et en France ?

En France, ces assurances existent mais nécessitent l’installation d’un boîtier connecté pour récupérer les données de conduite. Allianz ou Direct Assurance proposent ces offres dites « d’assurance auto connectée ». Mais ces formules restent marginales sur le marché.

Et pour cause, la récolte des données est soumise aux règles de la CNIL. Selon Index Assurance, « cet enregistrement de données sensibles et nominatives sur les conducteurs est accepté par la CNIL sous certaines conditions ». Et il subsiste un risque que les données soient utilisées à des fins non prévues par le contrat. D’où, peut-être, une adoption encore minoritaire sur le marché.

Que l’on aime ou non Tesla, force est de constater que le constructeur a révolutionné le marché de l’automobile. Et il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

Pour proposer la meilleure expérience possible à ses clients, Tesla s’apprête à commercialiser une police d’assurance d’un nouveau genre. Lancée pour la première fois dans l’Etat du Nevada, cette nouvelle assurance arrive dans l’Arizona, le Colorado, l’Illinois, l’Ohio, l’Oregon, le Texax et la Virginie. Sa particularité : elle se base sur une analyse en temps réel des données du conducteur. 

Si de tels dispositifs existent déjà, ils nécessitent l’installation d’un matériel complémentaire. Chez Tesla, les technologies embarquées dans le véhicule permettent une analyse plus rapide et plus précise.

Mieux vous conduisez moins vous payez

La nouvelle offre d’assurance de Tesla se veut la plus juste possible pour les conducteurs. Le principe est enfantin : mieux vous conduisez, moins vous payez. Pour savoir ce qu’est un bon conducteur, Tesla se base sur l’analyse des données de conduite recueillies en temps réel par ses véhicules.

Ce recueil de données est déjà présent dans tous les véhicules de la marque mais les résultats ne sont donnés qu’à des fins pédagogiques. Dans les Etats où l’offre d’assurance sera proposée, ces résultats permettront de réajuster le montant de leur police d’assurance.

Parmi les données analysées, Tesla mentionne le nombre d’avertissements de collision avant (respect des distances de sécurité), le nombre de freinages brusques, la vitesse en virage ou encore les débrayages forcés de l’Autopilot (lorsque le véhicule en est équipé). L’analyse de ces résultats permet d’obtenir un score de sécurité.

En fonction du score de sécurité, Tesla classe les conducteurs dans différentes catégories (mauvais, moyens, bons). La nouvelle offre d’assurance se base sur ce classement pour moduler le montant de la prime. Un conducteur moyen pourra économique 20 à 40% sur sa prime par rapport à la concurrence. Un bon conducteur pourra économiser jusqu’à 60%. Et les économies peuvent vite être conséquentes.

Par exemple, un conducteur dont le score de sécurité passerait de 93 à 98 paierait 83$ indiquent les Numériques. En revanche si score passe de 98 à 88, sa prime d’assurance mensuelle passerait à 130$.

Et en France ?

En France, ces assurances existent mais nécessitent l’installation d’un boîtier connecté pour récupérer les données de conduite. Allianz ou Direct Assurance proposent ces offres dites « d’assurance auto connectée ». Mais ces formules restent marginales sur le marché.

Et pour cause, la récolte des données est soumise aux règles de la CNIL. Selon Index Assurance, « cet enregistrement de données sensibles et nominatives sur les conducteurs est accepté par la CNIL sous certaines conditions ». Et il subsiste un risque que les données soient utilisées à des fins non prévues par le contrat. D’où, peut-être, une adoption encore minoritaire sur le marché.

Que l’on aime ou non Tesla, force est de constater que le constructeur a révolutionné le marché de l’automobile. Et il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

Pour proposer la meilleure expérience possible à ses clients, Tesla s’apprête à commercialiser une police d’assurance d’un nouveau genre. Lancée pour la première fois dans l’Etat du Nevada, cette nouvelle assurance arrive dans l’Arizona, le Colorado, l’Illinois, l’Ohio, l’Oregon, le Texax et la Virginie. Sa particularité : elle se base sur une analyse en temps réel des données du conducteur. 

Si de tels dispositifs existent déjà, ils nécessitent l’installation d’un matériel complémentaire. Chez Tesla, les technologies embarquées dans le véhicule permettent une analyse plus rapide et plus précise.

Mieux vous conduisez moins vous payez

La nouvelle offre d’assurance de Tesla se veut la plus juste possible pour les conducteurs. Le principe est enfantin : mieux vous conduisez, moins vous payez. Pour savoir ce qu’est un bon conducteur, Tesla se base sur l’analyse des données de conduite recueillies en temps réel par ses véhicules.

Ce recueil de données est déjà présent dans tous les véhicules de la marque mais les résultats ne sont donnés qu’à des fins pédagogiques. Dans les Etats où l’offre d’assurance sera proposée, ces résultats permettront de réajuster le montant de leur police d’assurance.

Parmi les données analysées, Tesla mentionne le nombre d’avertissements de collision avant (respect des distances de sécurité), le nombre de freinages brusques, la vitesse en virage ou encore les débrayages forcés de l’Autopilot (lorsque le véhicule en est équipé). L’analyse de ces résultats permet d’obtenir un score de sécurité.

En fonction du score de sécurité, Tesla classe les conducteurs dans différentes catégories (mauvais, moyens, bons). La nouvelle offre d’assurance se base sur ce classement pour moduler le montant de la prime. Un conducteur moyen pourra économique 20 à 40% sur sa prime par rapport à la concurrence. Un bon conducteur pourra économiser jusqu’à 60%. Et les économies peuvent vite être conséquentes.

Par exemple, un conducteur dont le score de sécurité passerait de 93 à 98 paierait 83$ indiquent les Numériques. En revanche si score passe de 98 à 88, sa prime d’assurance mensuelle passerait à 130$.

Et en France ?

En France, ces assurances existent mais nécessitent l’installation d’un boîtier connecté pour récupérer les données de conduite. Allianz ou Direct Assurance proposent ces offres dites « d’assurance auto connectée ». Mais ces formules restent marginales sur le marché.

Et pour cause, la récolte des données est soumise aux règles de la CNIL. Selon Index Assurance, « cet enregistrement de données sensibles et nominatives sur les conducteurs est accepté par la CNIL sous certaines conditions ». Et il subsiste un risque que les données soient utilisées à des fins non prévues par le contrat. D’où, peut-être, une adoption encore minoritaire sur le marché.

Que l’on aime ou non Tesla, force est de constater que le constructeur a révolutionné le marché de l’automobile. Et il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

Pour proposer la meilleure expérience possible à ses clients, Tesla s’apprête à commercialiser une police d’assurance d’un nouveau genre. Lancée pour la première fois dans l’Etat du Nevada, cette nouvelle assurance arrive dans l’Arizona, le Colorado, l’Illinois, l’Ohio, l’Oregon, le Texax et la Virginie. Sa particularité : elle se base sur une analyse en temps réel des données du conducteur. 

Si de tels dispositifs existent déjà, ils nécessitent l’installation d’un matériel complémentaire. Chez Tesla, les technologies embarquées dans le véhicule permettent une analyse plus rapide et plus précise.

Mieux vous conduisez moins vous payez

La nouvelle offre d’assurance de Tesla se veut la plus juste possible pour les conducteurs. Le principe est enfantin : mieux vous conduisez, moins vous payez. Pour savoir ce qu’est un bon conducteur, Tesla se base sur l’analyse des données de conduite recueillies en temps réel par ses véhicules.

Ce recueil de données est déjà présent dans tous les véhicules de la marque mais les résultats ne sont donnés qu’à des fins pédagogiques. Dans les Etats où l’offre d’assurance sera proposée, ces résultats permettront de réajuster le montant de leur police d’assurance.

Parmi les données analysées, Tesla mentionne le nombre d’avertissements de collision avant (respect des distances de sécurité), le nombre de freinages brusques, la vitesse en virage ou encore les débrayages forcés de l’Autopilot (lorsque le véhicule en est équipé). L’analyse de ces résultats permet d’obtenir un score de sécurité.

En fonction du score de sécurité, Tesla classe les conducteurs dans différentes catégories (mauvais, moyens, bons). La nouvelle offre d’assurance se base sur ce classement pour moduler le montant de la prime. Un conducteur moyen pourra économique 20 à 40% sur sa prime par rapport à la concurrence. Un bon conducteur pourra économiser jusqu’à 60%. Et les économies peuvent vite être conséquentes.

Par exemple, un conducteur dont le score de sécurité passerait de 93 à 98 paierait 83$ indiquent les Numériques. En revanche si score passe de 98 à 88, sa prime d’assurance mensuelle passerait à 130$.

Et en France ?

En France, ces assurances existent mais nécessitent l’installation d’un boîtier connecté pour récupérer les données de conduite. Allianz ou Direct Assurance proposent ces offres dites « d’assurance auto connectée ». Mais ces formules restent marginales sur le marché.

Et pour cause, la récolte des données est soumise aux règles de la CNIL. Selon Index Assurance, « cet enregistrement de données sensibles et nominatives sur les conducteurs est accepté par la CNIL sous certaines conditions ». Et il subsiste un risque que les données soient utilisées à des fins non prévues par le contrat. D’où, peut-être, une adoption encore minoritaire sur le marché.

Que l’on aime ou non Tesla, force est de constater que le constructeur a révolutionné le marché de l’automobile. Et il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

Pour proposer la meilleure expérience possible à ses clients, Tesla s’apprête à commercialiser une police d’assurance d’un nouveau genre. Lancée pour la première fois dans l’Etat du Nevada, cette nouvelle assurance arrive dans l’Arizona, le Colorado, l’Illinois, l’Ohio, l’Oregon, le Texax et la Virginie. Sa particularité : elle se base sur une analyse en temps réel des données du conducteur. 

Si de tels dispositifs existent déjà, ils nécessitent l’installation d’un matériel complémentaire. Chez Tesla, les technologies embarquées dans le véhicule permettent une analyse plus rapide et plus précise.

Mieux vous conduisez moins vous payez

La nouvelle offre d’assurance de Tesla se veut la plus juste possible pour les conducteurs. Le principe est enfantin : mieux vous conduisez, moins vous payez. Pour savoir ce qu’est un bon conducteur, Tesla se base sur l’analyse des données de conduite recueillies en temps réel par ses véhicules.

Ce recueil de données est déjà présent dans tous les véhicules de la marque mais les résultats ne sont donnés qu’à des fins pédagogiques. Dans les Etats où l’offre d’assurance sera proposée, ces résultats permettront de réajuster le montant de leur police d’assurance.

Parmi les données analysées, Tesla mentionne le nombre d’avertissements de collision avant (respect des distances de sécurité), le nombre de freinages brusques, la vitesse en virage ou encore les débrayages forcés de l’Autopilot (lorsque le véhicule en est équipé). L’analyse de ces résultats permet d’obtenir un score de sécurité.

En fonction du score de sécurité, Tesla classe les conducteurs dans différentes catégories (mauvais, moyens, bons). La nouvelle offre d’assurance se base sur ce classement pour moduler le montant de la prime. Un conducteur moyen pourra économique 20 à 40% sur sa prime par rapport à la concurrence. Un bon conducteur pourra économiser jusqu’à 60%. Et les économies peuvent vite être conséquentes.

Par exemple, un conducteur dont le score de sécurité passerait de 93 à 98 paierait 83$ indiquent les Numériques. En revanche si score passe de 98 à 88, sa prime d’assurance mensuelle passerait à 130$.

Et en France ?

En France, ces assurances existent mais nécessitent l’installation d’un boîtier connecté pour récupérer les données de conduite. Allianz ou Direct Assurance proposent ces offres dites « d’assurance auto connectée ». Mais ces formules restent marginales sur le marché.

Et pour cause, la récolte des données est soumise aux règles de la CNIL. Selon Index Assurance, « cet enregistrement de données sensibles et nominatives sur les conducteurs est accepté par la CNIL sous certaines conditions ». Et il subsiste un risque que les données soient utilisées à des fins non prévues par le contrat. D’où, peut-être, une adoption encore minoritaire sur le marché.

Que l’on aime ou non Tesla, force est de constater que le constructeur a révolutionné le marché de l’automobile. Et il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

Pour proposer la meilleure expérience possible à ses clients, Tesla s’apprête à commercialiser une police d’assurance d’un nouveau genre. Lancée pour la première fois dans l’Etat du Nevada, cette nouvelle assurance arrive dans l’Arizona, le Colorado, l’Illinois, l’Ohio, l’Oregon, le Texax et la Virginie. Sa particularité : elle se base sur une analyse en temps réel des données du conducteur. 

Si de tels dispositifs existent déjà, ils nécessitent l’installation d’un matériel complémentaire. Chez Tesla, les technologies embarquées dans le véhicule permettent une analyse plus rapide et plus précise.

Mieux vous conduisez moins vous payez

La nouvelle offre d’assurance de Tesla se veut la plus juste possible pour les conducteurs. Le principe est enfantin : mieux vous conduisez, moins vous payez. Pour savoir ce qu’est un bon conducteur, Tesla se base sur l’analyse des données de conduite recueillies en temps réel par ses véhicules.

Ce recueil de données est déjà présent dans tous les véhicules de la marque mais les résultats ne sont donnés qu’à des fins pédagogiques. Dans les Etats où l’offre d’assurance sera proposée, ces résultats permettront de réajuster le montant de leur police d’assurance.

Parmi les données analysées, Tesla mentionne le nombre d’avertissements de collision avant (respect des distances de sécurité), le nombre de freinages brusques, la vitesse en virage ou encore les débrayages forcés de l’Autopilot (lorsque le véhicule en est équipé). L’analyse de ces résultats permet d’obtenir un score de sécurité.

En fonction du score de sécurité, Tesla classe les conducteurs dans différentes catégories (mauvais, moyens, bons). La nouvelle offre d’assurance se base sur ce classement pour moduler le montant de la prime. Un conducteur moyen pourra économique 20 à 40% sur sa prime par rapport à la concurrence. Un bon conducteur pourra économiser jusqu’à 60%. Et les économies peuvent vite être conséquentes.

Par exemple, un conducteur dont le score de sécurité passerait de 93 à 98 paierait 83$ indiquent les Numériques. En revanche si score passe de 98 à 88, sa prime d’assurance mensuelle passerait à 130$.

Et en France ?

En France, ces assurances existent mais nécessitent l’installation d’un boîtier connecté pour récupérer les données de conduite. Allianz ou Direct Assurance proposent ces offres dites « d’assurance auto connectée ». Mais ces formules restent marginales sur le marché.

Et pour cause, la récolte des données est soumise aux règles de la CNIL. Selon Index Assurance, « cet enregistrement de données sensibles et nominatives sur les conducteurs est accepté par la CNIL sous certaines conditions ». Et il subsiste un risque que les données soient utilisées à des fins non prévues par le contrat. D’où, peut-être, une adoption encore minoritaire sur le marché.

Que l’on aime ou non Tesla, force est de constater que le constructeur a révolutionné le marché de l’automobile. Et il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

Pour proposer la meilleure expérience possible à ses clients, Tesla s’apprête à commercialiser une police d’assurance d’un nouveau genre. Lancée pour la première fois dans l’Etat du Nevada, cette nouvelle assurance arrive dans l’Arizona, le Colorado, l’Illinois, l’Ohio, l’Oregon, le Texax et la Virginie. Sa particularité : elle se base sur une analyse en temps réel des données du conducteur. 

Si de tels dispositifs existent déjà, ils nécessitent l’installation d’un matériel complémentaire. Chez Tesla, les technologies embarquées dans le véhicule permettent une analyse plus rapide et plus précise.

Mieux vous conduisez moins vous payez

La nouvelle offre d’assurance de Tesla se veut la plus juste possible pour les conducteurs. Le principe est enfantin : mieux vous conduisez, moins vous payez. Pour savoir ce qu’est un bon conducteur, Tesla se base sur l’analyse des données de conduite recueillies en temps réel par ses véhicules.

Ce recueil de données est déjà présent dans tous les véhicules de la marque mais les résultats ne sont donnés qu’à des fins pédagogiques. Dans les Etats où l’offre d’assurance sera proposée, ces résultats permettront de réajuster le montant de leur police d’assurance.

Parmi les données analysées, Tesla mentionne le nombre d’avertissements de collision avant (respect des distances de sécurité), le nombre de freinages brusques, la vitesse en virage ou encore les débrayages forcés de l’Autopilot (lorsque le véhicule en est équipé). L’analyse de ces résultats permet d’obtenir un score de sécurité.

En fonction du score de sécurité, Tesla classe les conducteurs dans différentes catégories (mauvais, moyens, bons). La nouvelle offre d’assurance se base sur ce classement pour moduler le montant de la prime. Un conducteur moyen pourra économique 20 à 40% sur sa prime par rapport à la concurrence. Un bon conducteur pourra économiser jusqu’à 60%. Et les économies peuvent vite être conséquentes.

Par exemple, un conducteur dont le score de sécurité passerait de 93 à 98 paierait 83$ indiquent les Numériques. En revanche si score passe de 98 à 88, sa prime d’assurance mensuelle passerait à 130$.

Et en France ?

En France, ces assurances existent mais nécessitent l’installation d’un boîtier connecté pour récupérer les données de conduite. Allianz ou Direct Assurance proposent ces offres dites « d’assurance auto connectée ». Mais ces formules restent marginales sur le marché.

Et pour cause, la récolte des données est soumise aux règles de la CNIL. Selon Index Assurance, « cet enregistrement de données sensibles et nominatives sur les conducteurs est accepté par la CNIL sous certaines conditions ». Et il subsiste un risque que les données soient utilisées à des fins non prévues par le contrat. D’où, peut-être, une adoption encore minoritaire sur le marché.

Que l’on aime ou non Tesla, force est de constater que le constructeur a révolutionné le marché de l’automobile. Et il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

Pour proposer la meilleure expérience possible à ses clients, Tesla s’apprête à commercialiser une police d’assurance d’un nouveau genre. Lancée pour la première fois dans l’Etat du Nevada, cette nouvelle assurance arrive dans l’Arizona, le Colorado, l’Illinois, l’Ohio, l’Oregon, le Texax et la Virginie. Sa particularité : elle se base sur une analyse en temps réel des données du conducteur. 

Si de tels dispositifs existent déjà, ils nécessitent l’installation d’un matériel complémentaire. Chez Tesla, les technologies embarquées dans le véhicule permettent une analyse plus rapide et plus précise.

Mieux vous conduisez moins vous payez

La nouvelle offre d’assurance de Tesla se veut la plus juste possible pour les conducteurs. Le principe est enfantin : mieux vous conduisez, moins vous payez. Pour savoir ce qu’est un bon conducteur, Tesla se base sur l’analyse des données de conduite recueillies en temps réel par ses véhicules.

Ce recueil de données est déjà présent dans tous les véhicules de la marque mais les résultats ne sont donnés qu’à des fins pédagogiques. Dans les Etats où l’offre d’assurance sera proposée, ces résultats permettront de réajuster le montant de leur police d’assurance.

Parmi les données analysées, Tesla mentionne le nombre d’avertissements de collision avant (respect des distances de sécurité), le nombre de freinages brusques, la vitesse en virage ou encore les débrayages forcés de l’Autopilot (lorsque le véhicule en est équipé). L’analyse de ces résultats permet d’obtenir un score de sécurité.

En fonction du score de sécurité, Tesla classe les conducteurs dans différentes catégories (mauvais, moyens, bons). La nouvelle offre d’assurance se base sur ce classement pour moduler le montant de la prime. Un conducteur moyen pourra économique 20 à 40% sur sa prime par rapport à la concurrence. Un bon conducteur pourra économiser jusqu’à 60%. Et les économies peuvent vite être conséquentes.

Par exemple, un conducteur dont le score de sécurité passerait de 93 à 98 paierait 83$ indiquent les Numériques. En revanche si score passe de 98 à 88, sa prime d’assurance mensuelle passerait à 130$.

Et en France ?

En France, ces assurances existent mais nécessitent l’installation d’un boîtier connecté pour récupérer les données de conduite. Allianz ou Direct Assurance proposent ces offres dites « d’assurance auto connectée ». Mais ces formules restent marginales sur le marché.

Et pour cause, la récolte des données est soumise aux règles de la CNIL. Selon Index Assurance, « cet enregistrement de données sensibles et nominatives sur les conducteurs est accepté par la CNIL sous certaines conditions ». Et il subsiste un risque que les données soient utilisées à des fins non prévues par le contrat. D’où, peut-être, une adoption encore minoritaire sur le marché.

Que l’on aime ou non Tesla, force est de constater que le constructeur a révolutionné le marché de l’automobile. Et il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

Pour proposer la meilleure expérience possible à ses clients, Tesla s’apprête à commercialiser une police d’assurance d’un nouveau genre. Lancée pour la première fois dans l’Etat du Nevada, cette nouvelle assurance arrive dans l’Arizona, le Colorado, l’Illinois, l’Ohio, l’Oregon, le Texax et la Virginie. Sa particularité : elle se base sur une analyse en temps réel des données du conducteur. 

Si de tels dispositifs existent déjà, ils nécessitent l’installation d’un matériel complémentaire. Chez Tesla, les technologies embarquées dans le véhicule permettent une analyse plus rapide et plus précise.

Mieux vous conduisez moins vous payez

La nouvelle offre d’assurance de Tesla se veut la plus juste possible pour les conducteurs. Le principe est enfantin : mieux vous conduisez, moins vous payez. Pour savoir ce qu’est un bon conducteur, Tesla se base sur l’analyse des données de conduite recueillies en temps réel par ses véhicules.

Ce recueil de données est déjà présent dans tous les véhicules de la marque mais les résultats ne sont donnés qu’à des fins pédagogiques. Dans les Etats où l’offre d’assurance sera proposée, ces résultats permettront de réajuster le montant de leur police d’assurance.

Parmi les données analysées, Tesla mentionne le nombre d’avertissements de collision avant (respect des distances de sécurité), le nombre de freinages brusques, la vitesse en virage ou encore les débrayages forcés de l’Autopilot (lorsque le véhicule en est équipé). L’analyse de ces résultats permet d’obtenir un score de sécurité.

En fonction du score de sécurité, Tesla classe les conducteurs dans différentes catégories (mauvais, moyens, bons). La nouvelle offre d’assurance se base sur ce classement pour moduler le montant de la prime. Un conducteur moyen pourra économique 20 à 40% sur sa prime par rapport à la concurrence. Un bon conducteur pourra économiser jusqu’à 60%. Et les économies peuvent vite être conséquentes.

Par exemple, un conducteur dont le score de sécurité passerait de 93 à 98 paierait 83$ indiquent les Numériques. En revanche si score passe de 98 à 88, sa prime d’assurance mensuelle passerait à 130$.

Et en France ?

En France, ces assurances existent mais nécessitent l’installation d’un boîtier connecté pour récupérer les données de conduite. Allianz ou Direct Assurance proposent ces offres dites « d’assurance auto connectée ». Mais ces formules restent marginales sur le marché.

Et pour cause, la récolte des données est soumise aux règles de la CNIL. Selon Index Assurance, « cet enregistrement de données sensibles et nominatives sur les conducteurs est accepté par la CNIL sous certaines conditions ». Et il subsiste un risque que les données soient utilisées à des fins non prévues par le contrat. D’où, peut-être, une adoption encore minoritaire sur le marché.

Que l’on aime ou non Tesla, force est de constater que le constructeur a révolutionné le marché de l’automobile. Et il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

Pour proposer la meilleure expérience possible à ses clients, Tesla s’apprête à commercialiser une police d’assurance d’un nouveau genre. Lancée pour la première fois dans l’Etat du Nevada, cette nouvelle assurance arrive dans l’Arizona, le Colorado, l’Illinois, l’Ohio, l’Oregon, le Texax et la Virginie. Sa particularité : elle se base sur une analyse en temps réel des données du conducteur. 

Si de tels dispositifs existent déjà, ils nécessitent l’installation d’un matériel complémentaire. Chez Tesla, les technologies embarquées dans le véhicule permettent une analyse plus rapide et plus précise.

Mieux vous conduisez moins vous payez

La nouvelle offre d’assurance de Tesla se veut la plus juste possible pour les conducteurs. Le principe est enfantin : mieux vous conduisez, moins vous payez. Pour savoir ce qu’est un bon conducteur, Tesla se base sur l’analyse des données de conduite recueillies en temps réel par ses véhicules.

Ce recueil de données est déjà présent dans tous les véhicules de la marque mais les résultats ne sont donnés qu’à des fins pédagogiques. Dans les Etats où l’offre d’assurance sera proposée, ces résultats permettront de réajuster le montant de leur police d’assurance.

Parmi les données analysées, Tesla mentionne le nombre d’avertissements de collision avant (respect des distances de sécurité), le nombre de freinages brusques, la vitesse en virage ou encore les débrayages forcés de l’Autopilot (lorsque le véhicule en est équipé). L’analyse de ces résultats permet d’obtenir un score de sécurité.

En fonction du score de sécurité, Tesla classe les conducteurs dans différentes catégories (mauvais, moyens, bons). La nouvelle offre d’assurance se base sur ce classement pour moduler le montant de la prime. Un conducteur moyen pourra économique 20 à 40% sur sa prime par rapport à la concurrence. Un bon conducteur pourra économiser jusqu’à 60%. Et les économies peuvent vite être conséquentes.

Par exemple, un conducteur dont le score de sécurité passerait de 93 à 98 paierait 83$ indiquent les Numériques. En revanche si score passe de 98 à 88, sa prime d’assurance mensuelle passerait à 130$.

Et en France ?

En France, ces assurances existent mais nécessitent l’installation d’un boîtier connecté pour récupérer les données de conduite. Allianz ou Direct Assurance proposent ces offres dites « d’assurance auto connectée ». Mais ces formules restent marginales sur le marché.

Et pour cause, la récolte des données est soumise aux règles de la CNIL. Selon Index Assurance, « cet enregistrement de données sensibles et nominatives sur les conducteurs est accepté par la CNIL sous certaines conditions ». Et il subsiste un risque que les données soient utilisées à des fins non prévues par le contrat. D’où, peut-être, une adoption encore minoritaire sur le marché.

Que l’on aime ou non Tesla, force est de constater que le constructeur a révolutionné le marché de l’automobile. Et il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

Pour proposer la meilleure expérience possible à ses clients, Tesla s’apprête à commercialiser une police d’assurance d’un nouveau genre. Lancée pour la première fois dans l’Etat du Nevada, cette nouvelle assurance arrive dans l’Arizona, le Colorado, l’Illinois, l’Ohio, l’Oregon, le Texax et la Virginie. Sa particularité : elle se base sur une analyse en temps réel des données du conducteur. 

Si de tels dispositifs existent déjà, ils nécessitent l’installation d’un matériel complémentaire. Chez Tesla, les technologies embarquées dans le véhicule permettent une analyse plus rapide et plus précise.

Mieux vous conduisez moins vous payez

La nouvelle offre d’assurance de Tesla se veut la plus juste possible pour les conducteurs. Le principe est enfantin : mieux vous conduisez, moins vous payez. Pour savoir ce qu’est un bon conducteur, Tesla se base sur l’analyse des données de conduite recueillies en temps réel par ses véhicules.

Ce recueil de données est déjà présent dans tous les véhicules de la marque mais les résultats ne sont donnés qu’à des fins pédagogiques. Dans les Etats où l’offre d’assurance sera proposée, ces résultats permettront de réajuster le montant de leur police d’assurance.

Parmi les données analysées, Tesla mentionne le nombre d’avertissements de collision avant (respect des distances de sécurité), le nombre de freinages brusques, la vitesse en virage ou encore les débrayages forcés de l’Autopilot (lorsque le véhicule en est équipé). L’analyse de ces résultats permet d’obtenir un score de sécurité.

En fonction du score de sécurité, Tesla classe les conducteurs dans différentes catégories (mauvais, moyens, bons). La nouvelle offre d’assurance se base sur ce classement pour moduler le montant de la prime. Un conducteur moyen pourra économique 20 à 40% sur sa prime par rapport à la concurrence. Un bon conducteur pourra économiser jusqu’à 60%. Et les économies peuvent vite être conséquentes.

Par exemple, un conducteur dont le score de sécurité passerait de 93 à 98 paierait 83$ indiquent les Numériques. En revanche si score passe de 98 à 88, sa prime d’assurance mensuelle passerait à 130$.

Et en France ?

En France, ces assurances existent mais nécessitent l’installation d’un boîtier connecté pour récupérer les données de conduite. Allianz ou Direct Assurance proposent ces offres dites « d’assurance auto connectée ». Mais ces formules restent marginales sur le marché.

Et pour cause, la récolte des données est soumise aux règles de la CNIL. Selon Index Assurance, « cet enregistrement de données sensibles et nominatives sur les conducteurs est accepté par la CNIL sous certaines conditions ». Et il subsiste un risque que les données soient utilisées à des fins non prévues par le contrat. D’où, peut-être, une adoption encore minoritaire sur le marché.

Que l’on aime ou non Tesla, force est de constater que le constructeur a révolutionné le marché de l’automobile. Et il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

Pour proposer la meilleure expérience possible à ses clients, Tesla s’apprête à commercialiser une police d’assurance d’un nouveau genre. Lancée pour la première fois dans l’Etat du Nevada, cette nouvelle assurance arrive dans l’Arizona, le Colorado, l’Illinois, l’Ohio, l’Oregon, le Texax et la Virginie. Sa particularité : elle se base sur une analyse en temps réel des données du conducteur. 

Si de tels dispositifs existent déjà, ils nécessitent l’installation d’un matériel complémentaire. Chez Tesla, les technologies embarquées dans le véhicule permettent une analyse plus rapide et plus précise.

Mieux vous conduisez moins vous payez

La nouvelle offre d’assurance de Tesla se veut la plus juste possible pour les conducteurs. Le principe est enfantin : mieux vous conduisez, moins vous payez. Pour savoir ce qu’est un bon conducteur, Tesla se base sur l’analyse des données de conduite recueillies en temps réel par ses véhicules.

Ce recueil de données est déjà présent dans tous les véhicules de la marque mais les résultats ne sont donnés qu’à des fins pédagogiques. Dans les Etats où l’offre d’assurance sera proposée, ces résultats permettront de réajuster le montant de leur police d’assurance.

Parmi les données analysées, Tesla mentionne le nombre d’avertissements de collision avant (respect des distances de sécurité), le nombre de freinages brusques, la vitesse en virage ou encore les débrayages forcés de l’Autopilot (lorsque le véhicule en est équipé). L’analyse de ces résultats permet d’obtenir un score de sécurité.

En fonction du score de sécurité, Tesla classe les conducteurs dans différentes catégories (mauvais, moyens, bons). La nouvelle offre d’assurance se base sur ce classement pour moduler le montant de la prime. Un conducteur moyen pourra économique 20 à 40% sur sa prime par rapport à la concurrence. Un bon conducteur pourra économiser jusqu’à 60%. Et les économies peuvent vite être conséquentes.

Par exemple, un conducteur dont le score de sécurité passerait de 93 à 98 paierait 83$ indiquent les Numériques. En revanche si score passe de 98 à 88, sa prime d’assurance mensuelle passerait à 130$.

Et en France ?

En France, ces assurances existent mais nécessitent l’installation d’un boîtier connecté pour récupérer les données de conduite. Allianz ou Direct Assurance proposent ces offres dites « d’assurance auto connectée ». Mais ces formules restent marginales sur le marché.

Et pour cause, la récolte des données est soumise aux règles de la CNIL. Selon Index Assurance, « cet enregistrement de données sensibles et nominatives sur les conducteurs est accepté par la CNIL sous certaines conditions ». Et il subsiste un risque que les données soient utilisées à des fins non prévues par le contrat. D’où, peut-être, une adoption encore minoritaire sur le marché.

Que l’on aime ou non Tesla, force est de constater que le constructeur a révolutionné le marché de l’automobile. Et il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

Pour proposer la meilleure expérience possible à ses clients, Tesla s’apprête à commercialiser une police d’assurance d’un nouveau genre. Lancée pour la première fois dans l’Etat du Nevada, cette nouvelle assurance arrive dans l’Arizona, le Colorado, l’Illinois, l’Ohio, l’Oregon, le Texax et la Virginie. Sa particularité : elle se base sur une analyse en temps réel des données du conducteur. 

Si de tels dispositifs existent déjà, ils nécessitent l’installation d’un matériel complémentaire. Chez Tesla, les technologies embarquées dans le véhicule permettent une analyse plus rapide et plus précise.

Mieux vous conduisez moins vous payez

La nouvelle offre d’assurance de Tesla se veut la plus juste possible pour les conducteurs. Le principe est enfantin : mieux vous conduisez, moins vous payez. Pour savoir ce qu’est un bon conducteur, Tesla se base sur l’analyse des données de conduite recueillies en temps réel par ses véhicules.

Ce recueil de données est déjà présent dans tous les véhicules de la marque mais les résultats ne sont donnés qu’à des fins pédagogiques. Dans les Etats où l’offre d’assurance sera proposée, ces résultats permettront de réajuster le montant de leur police d’assurance.

Parmi les données analysées, Tesla mentionne le nombre d’avertissements de collision avant (respect des distances de sécurité), le nombre de freinages brusques, la vitesse en virage ou encore les débrayages forcés de l’Autopilot (lorsque le véhicule en est équipé). L’analyse de ces résultats permet d’obtenir un score de sécurité.

En fonction du score de sécurité, Tesla classe les conducteurs dans différentes catégories (mauvais, moyens, bons). La nouvelle offre d’assurance se base sur ce classement pour moduler le montant de la prime. Un conducteur moyen pourra économique 20 à 40% sur sa prime par rapport à la concurrence. Un bon conducteur pourra économiser jusqu’à 60%. Et les économies peuvent vite être conséquentes.

Par exemple, un conducteur dont le score de sécurité passerait de 93 à 98 paierait 83$ indiquent les Numériques. En revanche si score passe de 98 à 88, sa prime d’assurance mensuelle passerait à 130$.

Et en France ?

En France, ces assurances existent mais nécessitent l’installation d’un boîtier connecté pour récupérer les données de conduite. Allianz ou Direct Assurance proposent ces offres dites « d’assurance auto connectée ». Mais ces formules restent marginales sur le marché.

Et pour cause, la récolte des données est soumise aux règles de la CNIL. Selon Index Assurance, « cet enregistrement de données sensibles et nominatives sur les conducteurs est accepté par la CNIL sous certaines conditions ». Et il subsiste un risque que les données soient utilisées à des fins non prévues par le contrat. D’où, peut-être, une adoption encore minoritaire sur le marché.

Que l’on aime ou non Tesla, force est de constater que le constructeur a révolutionné le marché de l’automobile. Et il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

Pour proposer la meilleure expérience possible à ses clients, Tesla s’apprête à commercialiser une police d’assurance d’un nouveau genre. Lancée pour la première fois dans l’Etat du Nevada, cette nouvelle assurance arrive dans l’Arizona, le Colorado, l’Illinois, l’Ohio, l’Oregon, le Texax et la Virginie. Sa particularité : elle se base sur une analyse en temps réel des données du conducteur. 

Si de tels dispositifs existent déjà, ils nécessitent l’installation d’un matériel complémentaire. Chez Tesla, les technologies embarquées dans le véhicule permettent une analyse plus rapide et plus précise.

Mieux vous conduisez moins vous payez

La nouvelle offre d’assurance de Tesla se veut la plus juste possible pour les conducteurs. Le principe est enfantin : mieux vous conduisez, moins vous payez. Pour savoir ce qu’est un bon conducteur, Tesla se base sur l’analyse des données de conduite recueillies en temps réel par ses véhicules.

Ce recueil de données est déjà présent dans tous les véhicules de la marque mais les résultats ne sont donnés qu’à des fins pédagogiques. Dans les Etats où l’offre d’assurance sera proposée, ces résultats permettront de réajuster le montant de leur police d’assurance.

Parmi les données analysées, Tesla mentionne le nombre d’avertissements de collision avant (respect des distances de sécurité), le nombre de freinages brusques, la vitesse en virage ou encore les débrayages forcés de l’Autopilot (lorsque le véhicule en est équipé). L’analyse de ces résultats permet d’obtenir un score de sécurité.

En fonction du score de sécurité, Tesla classe les conducteurs dans différentes catégories (mauvais, moyens, bons). La nouvelle offre d’assurance se base sur ce classement pour moduler le montant de la prime. Un conducteur moyen pourra économique 20 à 40% sur sa prime par rapport à la concurrence. Un bon conducteur pourra économiser jusqu’à 60%. Et les économies peuvent vite être conséquentes.

Par exemple, un conducteur dont le score de sécurité passerait de 93 à 98 paierait 83$ indiquent les Numériques. En revanche si score passe de 98 à 88, sa prime d’assurance mensuelle passerait à 130$.

Et en France ?

En France, ces assurances existent mais nécessitent l’installation d’un boîtier connecté pour récupérer les données de conduite. Allianz ou Direct Assurance proposent ces offres dites « d’assurance auto connectée ». Mais ces formules restent marginales sur le marché.

Et pour cause, la récolte des données est soumise aux règles de la CNIL. Selon Index Assurance, « cet enregistrement de données sensibles et nominatives sur les conducteurs est accepté par la CNIL sous certaines conditions ». Et il subsiste un risque que les données soient utilisées à des fins non prévues par le contrat. D’où, peut-être, une adoption encore minoritaire sur le marché.

Que l’on aime ou non Tesla, force est de constater que le constructeur a révolutionné le marché de l’automobile. Et il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

Pour proposer la meilleure expérience possible à ses clients, Tesla s’apprête à commercialiser une police d’assurance d’un nouveau genre. Lancée pour la première fois dans l’Etat du Nevada, cette nouvelle assurance arrive dans l’Arizona, le Colorado, l’Illinois, l’Ohio, l’Oregon, le Texax et la Virginie. Sa particularité : elle se base sur une analyse en temps réel des données du conducteur. 

Si de tels dispositifs existent déjà, ils nécessitent l’installation d’un matériel complémentaire. Chez Tesla, les technologies embarquées dans le véhicule permettent une analyse plus rapide et plus précise.

Mieux vous conduisez moins vous payez

La nouvelle offre d’assurance de Tesla se veut la plus juste possible pour les conducteurs. Le principe est enfantin : mieux vous conduisez, moins vous payez. Pour savoir ce qu’est un bon conducteur, Tesla se base sur l’analyse des données de conduite recueillies en temps réel par ses véhicules.

Ce recueil de données est déjà présent dans tous les véhicules de la marque mais les résultats ne sont donnés qu’à des fins pédagogiques. Dans les Etats où l’offre d’assurance sera proposée, ces résultats permettront de réajuster le montant de leur police d’assurance.

Parmi les données analysées, Tesla mentionne le nombre d’avertissements de collision avant (respect des distances de sécurité), le nombre de freinages brusques, la vitesse en virage ou encore les débrayages forcés de l’Autopilot (lorsque le véhicule en est équipé). L’analyse de ces résultats permet d’obtenir un score de sécurité.

En fonction du score de sécurité, Tesla classe les conducteurs dans différentes catégories (mauvais, moyens, bons). La nouvelle offre d’assurance se base sur ce classement pour moduler le montant de la prime. Un conducteur moyen pourra économique 20 à 40% sur sa prime par rapport à la concurrence. Un bon conducteur pourra économiser jusqu’à 60%. Et les économies peuvent vite être conséquentes.

Par exemple, un conducteur dont le score de sécurité passerait de 93 à 98 paierait 83$ indiquent les Numériques. En revanche si score passe de 98 à 88, sa prime d’assurance mensuelle passerait à 130$.

Et en France ?

En France, ces assurances existent mais nécessitent l’installation d’un boîtier connecté pour récupérer les données de conduite. Allianz ou Direct Assurance proposent ces offres dites « d’assurance auto connectée ». Mais ces formules restent marginales sur le marché.

Et pour cause, la récolte des données est soumise aux règles de la CNIL. Selon Index Assurance, « cet enregistrement de données sensibles et nominatives sur les conducteurs est accepté par la CNIL sous certaines conditions ». Et il subsiste un risque que les données soient utilisées à des fins non prévues par le contrat. D’où, peut-être, une adoption encore minoritaire sur le marché.

Que l’on aime ou non Tesla, force est de constater que le constructeur a révolutionné le marché de l’automobile. Et il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

Pour proposer la meilleure expérience possible à ses clients, Tesla s’apprête à commercialiser une police d’assurance d’un nouveau genre. Lancée pour la première fois dans l’Etat du Nevada, cette nouvelle assurance arrive dans l’Arizona, le Colorado, l’Illinois, l’Ohio, l’Oregon, le Texax et la Virginie. Sa particularité : elle se base sur une analyse en temps réel des données du conducteur. 

Si de tels dispositifs existent déjà, ils nécessitent l’installation d’un matériel complémentaire. Chez Tesla, les technologies embarquées dans le véhicule permettent une analyse plus rapide et plus précise.

Mieux vous conduisez moins vous payez

La nouvelle offre d’assurance de Tesla se veut la plus juste possible pour les conducteurs. Le principe est enfantin : mieux vous conduisez, moins vous payez. Pour savoir ce qu’est un bon conducteur, Tesla se base sur l’analyse des données de conduite recueillies en temps réel par ses véhicules.

Ce recueil de données est déjà présent dans tous les véhicules de la marque mais les résultats ne sont donnés qu’à des fins pédagogiques. Dans les Etats où l’offre d’assurance sera proposée, ces résultats permettront de réajuster le montant de leur police d’assurance.

Parmi les données analysées, Tesla mentionne le nombre d’avertissements de collision avant (respect des distances de sécurité), le nombre de freinages brusques, la vitesse en virage ou encore les débrayages forcés de l’Autopilot (lorsque le véhicule en est équipé). L’analyse de ces résultats permet d’obtenir un score de sécurité.

En fonction du score de sécurité, Tesla classe les conducteurs dans différentes catégories (mauvais, moyens, bons). La nouvelle offre d’assurance se base sur ce classement pour moduler le montant de la prime. Un conducteur moyen pourra économique 20 à 40% sur sa prime par rapport à la concurrence. Un bon conducteur pourra économiser jusqu’à 60%. Et les économies peuvent vite être conséquentes.

Par exemple, un conducteur dont le score de sécurité passerait de 93 à 98 paierait 83$ indiquent les Numériques. En revanche si score passe de 98 à 88, sa prime d’assurance mensuelle passerait à 130$.

Et en France ?

En France, ces assurances existent mais nécessitent l’installation d’un boîtier connecté pour récupérer les données de conduite. Allianz ou Direct Assurance proposent ces offres dites « d’assurance auto connectée ». Mais ces formules restent marginales sur le marché.

Et pour cause, la récolte des données est soumise aux règles de la CNIL. Selon Index Assurance, « cet enregistrement de données sensibles et nominatives sur les conducteurs est accepté par la CNIL sous certaines conditions ». Et il subsiste un risque que les données soient utilisées à des fins non prévues par le contrat. D’où, peut-être, une adoption encore minoritaire sur le marché.

Que l’on aime ou non Tesla, force est de constater que le constructeur a révolutionné le marché de l’automobile. Et il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

Pour proposer la meilleure expérience possible à ses clients, Tesla s’apprête à commercialiser une police d’assurance d’un nouveau genre. Lancée pour la première fois dans l’Etat du Nevada, cette nouvelle assurance arrive dans l’Arizona, le Colorado, l’Illinois, l’Ohio, l’Oregon, le Texax et la Virginie. Sa particularité : elle se base sur une analyse en temps réel des données du conducteur. 

Si de tels dispositifs existent déjà, ils nécessitent l’installation d’un matériel complémentaire. Chez Tesla, les technologies embarquées dans le véhicule permettent une analyse plus rapide et plus précise.

Mieux vous conduisez moins vous payez

La nouvelle offre d’assurance de Tesla se veut la plus juste possible pour les conducteurs. Le principe est enfantin : mieux vous conduisez, moins vous payez. Pour savoir ce qu’est un bon conducteur, Tesla se base sur l’analyse des données de conduite recueillies en temps réel par ses véhicules.

Ce recueil de données est déjà présent dans tous les véhicules de la marque mais les résultats ne sont donnés qu’à des fins pédagogiques. Dans les Etats où l’offre d’assurance sera proposée, ces résultats permettront de réajuster le montant de leur police d’assurance.

Parmi les données analysées, Tesla mentionne le nombre d’avertissements de collision avant (respect des distances de sécurité), le nombre de freinages brusques, la vitesse en virage ou encore les débrayages forcés de l’Autopilot (lorsque le véhicule en est équipé). L’analyse de ces résultats permet d’obtenir un score de sécurité.

En fonction du score de sécurité, Tesla classe les conducteurs dans différentes catégories (mauvais, moyens, bons). La nouvelle offre d’assurance se base sur ce classement pour moduler le montant de la prime. Un conducteur moyen pourra économique 20 à 40% sur sa prime par rapport à la concurrence. Un bon conducteur pourra économiser jusqu’à 60%. Et les économies peuvent vite être conséquentes.

Par exemple, un conducteur dont le score de sécurité passerait de 93 à 98 paierait 83$ indiquent les Numériques. En revanche si score passe de 98 à 88, sa prime d’assurance mensuelle passerait à 130$.

Et en France ?

En France, ces assurances existent mais nécessitent l’installation d’un boîtier connecté pour récupérer les données de conduite. Allianz ou Direct Assurance proposent ces offres dites « d’assurance auto connectée ». Mais ces formules restent marginales sur le marché.

Et pour cause, la récolte des données est soumise aux règles de la CNIL. Selon Index Assurance, « cet enregistrement de données sensibles et nominatives sur les conducteurs est accepté par la CNIL sous certaines conditions ». Et il subsiste un risque que les données soient utilisées à des fins non prévues par le contrat. D’où, peut-être, une adoption encore minoritaire sur le marché.

Que l’on aime ou non Tesla, force est de constater que le constructeur a révolutionné le marché de l’automobile. Et il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

Pour proposer la meilleure expérience possible à ses clients, Tesla s’apprête à commercialiser une police d’assurance d’un nouveau genre. Lancée pour la première fois dans l’Etat du Nevada, cette nouvelle assurance arrive dans l’Arizona, le Colorado, l’Illinois, l’Ohio, l’Oregon, le Texax et la Virginie. Sa particularité : elle se base sur une analyse en temps réel des données du conducteur. 

Si de tels dispositifs existent déjà, ils nécessitent l’installation d’un matériel complémentaire. Chez Tesla, les technologies embarquées dans le véhicule permettent une analyse plus rapide et plus précise.

Mieux vous conduisez moins vous payez

La nouvelle offre d’assurance de Tesla se veut la plus juste possible pour les conducteurs. Le principe est enfantin : mieux vous conduisez, moins vous payez. Pour savoir ce qu’est un bon conducteur, Tesla se base sur l’analyse des données de conduite recueillies en temps réel par ses véhicules.

Ce recueil de données est déjà présent dans tous les véhicules de la marque mais les résultats ne sont donnés qu’à des fins pédagogiques. Dans les Etats où l’offre d’assurance sera proposée, ces résultats permettront de réajuster le montant de leur police d’assurance.

Parmi les données analysées, Tesla mentionne le nombre d’avertissements de collision avant (respect des distances de sécurité), le nombre de freinages brusques, la vitesse en virage ou encore les débrayages forcés de l’Autopilot (lorsque le véhicule en est équipé). L’analyse de ces résultats permet d’obtenir un score de sécurité.

En fonction du score de sécurité, Tesla classe les conducteurs dans différentes catégories (mauvais, moyens, bons). La nouvelle offre d’assurance se base sur ce classement pour moduler le montant de la prime. Un conducteur moyen pourra économique 20 à 40% sur sa prime par rapport à la concurrence. Un bon conducteur pourra économiser jusqu’à 60%. Et les économies peuvent vite être conséquentes.

Par exemple, un conducteur dont le score de sécurité passerait de 93 à 98 paierait 83$ indiquent les Numériques. En revanche si score passe de 98 à 88, sa prime d’assurance mensuelle passerait à 130$.

Et en France ?

En France, ces assurances existent mais nécessitent l’installation d’un boîtier connecté pour récupérer les données de conduite. Allianz ou Direct Assurance proposent ces offres dites « d’assurance auto connectée ». Mais ces formules restent marginales sur le marché.

Et pour cause, la récolte des données est soumise aux règles de la CNIL. Selon Index Assurance, « cet enregistrement de données sensibles et nominatives sur les conducteurs est accepté par la CNIL sous certaines conditions ». Et il subsiste un risque que les données soient utilisées à des fins non prévues par le contrat. D’où, peut-être, une adoption encore minoritaire sur le marché.

Que l’on aime ou non Tesla, force est de constater que le constructeur a révolutionné le marché de l’automobile. Et il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

Pour proposer la meilleure expérience possible à ses clients, Tesla s’apprête à commercialiser une police d’assurance d’un nouveau genre. Lancée pour la première fois dans l’Etat du Nevada, cette nouvelle assurance arrive dans l’Arizona, le Colorado, l’Illinois, l’Ohio, l’Oregon, le Texax et la Virginie. Sa particularité : elle se base sur une analyse en temps réel des données du conducteur. 

Si de tels dispositifs existent déjà, ils nécessitent l’installation d’un matériel complémentaire. Chez Tesla, les technologies embarquées dans le véhicule permettent une analyse plus rapide et plus précise.

Mieux vous conduisez moins vous payez

La nouvelle offre d’assurance de Tesla se veut la plus juste possible pour les conducteurs. Le principe est enfantin : mieux vous conduisez, moins vous payez. Pour savoir ce qu’est un bon conducteur, Tesla se base sur l’analyse des données de conduite recueillies en temps réel par ses véhicules.

Ce recueil de données est déjà présent dans tous les véhicules de la marque mais les résultats ne sont donnés qu’à des fins pédagogiques. Dans les Etats où l’offre d’assurance sera proposée, ces résultats permettront de réajuster le montant de leur police d’assurance.

Parmi les données analysées, Tesla mentionne le nombre d’avertissements de collision avant (respect des distances de sécurité), le nombre de freinages brusques, la vitesse en virage ou encore les débrayages forcés de l’Autopilot (lorsque le véhicule en est équipé). L’analyse de ces résultats permet d’obtenir un score de sécurité.

En fonction du score de sécurité, Tesla classe les conducteurs dans différentes catégories (mauvais, moyens, bons). La nouvelle offre d’assurance se base sur ce classement pour moduler le montant de la prime. Un conducteur moyen pourra économique 20 à 40% sur sa prime par rapport à la concurrence. Un bon conducteur pourra économiser jusqu’à 60%. Et les économies peuvent vite être conséquentes.

Par exemple, un conducteur dont le score de sécurité passerait de 93 à 98 paierait 83$ indiquent les Numériques. En revanche si score passe de 98 à 88, sa prime d’assurance mensuelle passerait à 130$.

Et en France ?

En France, ces assurances existent mais nécessitent l’installation d’un boîtier connecté pour récupérer les données de conduite. Allianz ou Direct Assurance proposent ces offres dites « d’assurance auto connectée ». Mais ces formules restent marginales sur le marché.

Et pour cause, la récolte des données est soumise aux règles de la CNIL. Selon Index Assurance, « cet enregistrement de données sensibles et nominatives sur les conducteurs est accepté par la CNIL sous certaines conditions ». Et il subsiste un risque que les données soient utilisées à des fins non prévues par le contrat. D’où, peut-être, une adoption encore minoritaire sur le marché.

Que l’on aime ou non Tesla, force est de constater que le constructeur a révolutionné le marché de l’automobile. Et il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

Pour proposer la meilleure expérience possible à ses clients, Tesla s’apprête à commercialiser une police d’assurance d’un nouveau genre. Lancée pour la première fois dans l’Etat du Nevada, cette nouvelle assurance arrive dans l’Arizona, le Colorado, l’Illinois, l’Ohio, l’Oregon, le Texax et la Virginie. Sa particularité : elle se base sur une analyse en temps réel des données du conducteur. 

Si de tels dispositifs existent déjà, ils nécessitent l’installation d’un matériel complémentaire. Chez Tesla, les technologies embarquées dans le véhicule permettent une analyse plus rapide et plus précise.

Mieux vous conduisez moins vous payez

La nouvelle offre d’assurance de Tesla se veut la plus juste possible pour les conducteurs. Le principe est enfantin : mieux vous conduisez, moins vous payez. Pour savoir ce qu’est un bon conducteur, Tesla se base sur l’analyse des données de conduite recueillies en temps réel par ses véhicules.

Ce recueil de données est déjà présent dans tous les véhicules de la marque mais les résultats ne sont donnés qu’à des fins pédagogiques. Dans les Etats où l’offre d’assurance sera proposée, ces résultats permettront de réajuster le montant de leur police d’assurance.

Parmi les données analysées, Tesla mentionne le nombre d’avertissements de collision avant (respect des distances de sécurité), le nombre de freinages brusques, la vitesse en virage ou encore les débrayages forcés de l’Autopilot (lorsque le véhicule en est équipé). L’analyse de ces résultats permet d’obtenir un score de sécurité.

En fonction du score de sécurité, Tesla classe les conducteurs dans différentes catégories (mauvais, moyens, bons). La nouvelle offre d’assurance se base sur ce classement pour moduler le montant de la prime. Un conducteur moyen pourra économique 20 à 40% sur sa prime par rapport à la concurrence. Un bon conducteur pourra économiser jusqu’à 60%. Et les économies peuvent vite être conséquentes.

Par exemple, un conducteur dont le score de sécurité passerait de 93 à 98 paierait 83$ indiquent les Numériques. En revanche si score passe de 98 à 88, sa prime d’assurance mensuelle passerait à 130$.

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En France, ces assurances existent mais nécessitent l’installation d’un boîtier connecté pour récupérer les données de conduite. Allianz ou Direct Assurance proposent ces offres dites « d’assurance auto connectée ». Mais ces formules restent marginales sur le marché.

Et pour cause, la récolte des données est soumise aux règles de la CNIL. Selon Index Assurance, « cet enregistrement de données sensibles et nominatives sur les conducteurs est accepté par la CNIL sous certaines conditions ». Et il subsiste un risque que les données soient utilisées à des fins non prévues par le contrat. D’où, peut-être, une adoption encore minoritaire sur le marché.

Que l’on aime ou non Tesla, force est de constater que le constructeur a révolutionné le marché de l’automobile. Et il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

Pour proposer la meilleure expérience possible à ses clients, Tesla s’apprête à commercialiser une police d’assurance d’un nouveau genre. Lancée pour la première fois dans l’Etat du Nevada, cette nouvelle assurance arrive dans l’Arizona, le Colorado, l’Illinois, l’Ohio, l’Oregon, le Texax et la Virginie. Sa particularité : elle se base sur une analyse en temps réel des données du conducteur. 

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Mieux vous conduisez moins vous payez

La nouvelle offre d’assurance de Tesla se veut la plus juste possible pour les conducteurs. Le principe est enfantin : mieux vous conduisez, moins vous payez. Pour savoir ce qu’est un bon conducteur, Tesla se base sur l’analyse des données de conduite recueillies en temps réel par ses véhicules.

Ce recueil de données est déjà présent dans tous les véhicules de la marque mais les résultats ne sont donnés qu’à des fins pédagogiques. Dans les Etats où l’offre d’assurance sera proposée, ces résultats permettront de réajuster le montant de leur police d’assurance.

Parmi les données analysées, Tesla mentionne le nombre d’avertissements de collision avant (respect des distances de sécurité), le nombre de freinages brusques, la vitesse en virage ou encore les débrayages forcés de l’Autopilot (lorsque le véhicule en est équipé). L’analyse de ces résultats permet d’obtenir un score de sécurité.

En fonction du score de sécurité, Tesla classe les conducteurs dans différentes catégories (mauvais, moyens, bons). La nouvelle offre d’assurance se base sur ce classement pour moduler le montant de la prime. Un conducteur moyen pourra économique 20 à 40% sur sa prime par rapport à la concurrence. Un bon conducteur pourra économiser jusqu’à 60%. Et les économies peuvent vite être conséquentes.

Par exemple, un conducteur dont le score de sécurité passerait de 93 à 98 paierait 83$ indiquent les Numériques. En revanche si score passe de 98 à 88, sa prime d’assurance mensuelle passerait à 130$.

Et en France ?

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Et pour cause, la récolte des données est soumise aux règles de la CNIL. Selon Index Assurance, « cet enregistrement de données sensibles et nominatives sur les conducteurs est accepté par la CNIL sous certaines conditions ». Et il subsiste un risque que les données soient utilisées à des fins non prévues par le contrat. D’où, peut-être, une adoption encore minoritaire sur le marché.

Que l’on aime ou non Tesla, force est de constater que le constructeur a révolutionné le marché de l’automobile. Et il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

Pour proposer la meilleure expérience possible à ses clients, Tesla s’apprête à commercialiser une police d’assurance d’un nouveau genre. Lancée pour la première fois dans l’Etat du Nevada, cette nouvelle assurance arrive dans l’Arizona, le Colorado, l’Illinois, l’Ohio, l’Oregon, le Texax et la Virginie. Sa particularité : elle se base sur une analyse en temps réel des données du conducteur. 

Si de tels dispositifs existent déjà, ils nécessitent l’installation d’un matériel complémentaire. Chez Tesla, les technologies embarquées dans le véhicule permettent une analyse plus rapide et plus précise.

Mieux vous conduisez moins vous payez

La nouvelle offre d’assurance de Tesla se veut la plus juste possible pour les conducteurs. Le principe est enfantin : mieux vous conduisez, moins vous payez. Pour savoir ce qu’est un bon conducteur, Tesla se base sur l’analyse des données de conduite recueillies en temps réel par ses véhicules.

Ce recueil de données est déjà présent dans tous les véhicules de la marque mais les résultats ne sont donnés qu’à des fins pédagogiques. Dans les Etats où l’offre d’assurance sera proposée, ces résultats permettront de réajuster le montant de leur police d’assurance.

Parmi les données analysées, Tesla mentionne le nombre d’avertissements de collision avant (respect des distances de sécurité), le nombre de freinages brusques, la vitesse en virage ou encore les débrayages forcés de l’Autopilot (lorsque le véhicule en est équipé). L’analyse de ces résultats permet d’obtenir un score de sécurité.

En fonction du score de sécurité, Tesla classe les conducteurs dans différentes catégories (mauvais, moyens, bons). La nouvelle offre d’assurance se base sur ce classement pour moduler le montant de la prime. Un conducteur moyen pourra économique 20 à 40% sur sa prime par rapport à la concurrence. Un bon conducteur pourra économiser jusqu’à 60%. Et les économies peuvent vite être conséquentes.

Par exemple, un conducteur dont le score de sécurité passerait de 93 à 98 paierait 83$ indiquent les Numériques. En revanche si score passe de 98 à 88, sa prime d’assurance mensuelle passerait à 130$.

Et en France ?

En France, ces assurances existent mais nécessitent l’installation d’un boîtier connecté pour récupérer les données de conduite. Allianz ou Direct Assurance proposent ces offres dites « d’assurance auto connectée ». Mais ces formules restent marginales sur le marché.

Et pour cause, la récolte des données est soumise aux règles de la CNIL. Selon Index Assurance, « cet enregistrement de données sensibles et nominatives sur les conducteurs est accepté par la CNIL sous certaines conditions ». Et il subsiste un risque que les données soient utilisées à des fins non prévues par le contrat. D’où, peut-être, une adoption encore minoritaire sur le marché.

Que l’on aime ou non Tesla, force est de constater que le constructeur a révolutionné le marché de l’automobile. Et il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

Pour proposer la meilleure expérience possible à ses clients, Tesla s’apprête à commercialiser une police d’assurance d’un nouveau genre. Lancée pour la première fois dans l’Etat du Nevada, cette nouvelle assurance arrive dans l’Arizona, le Colorado, l’Illinois, l’Ohio, l’Oregon, le Texax et la Virginie. Sa particularité : elle se base sur une analyse en temps réel des données du conducteur. 

Si de tels dispositifs existent déjà, ils nécessitent l’installation d’un matériel complémentaire. Chez Tesla, les technologies embarquées dans le véhicule permettent une analyse plus rapide et plus précise.

Mieux vous conduisez moins vous payez

La nouvelle offre d’assurance de Tesla se veut la plus juste possible pour les conducteurs. Le principe est enfantin : mieux vous conduisez, moins vous payez. Pour savoir ce qu’est un bon conducteur, Tesla se base sur l’analyse des données de conduite recueillies en temps réel par ses véhicules.

Ce recueil de données est déjà présent dans tous les véhicules de la marque mais les résultats ne sont donnés qu’à des fins pédagogiques. Dans les Etats où l’offre d’assurance sera proposée, ces résultats permettront de réajuster le montant de leur police d’assurance.

Parmi les données analysées, Tesla mentionne le nombre d’avertissements de collision avant (respect des distances de sécurité), le nombre de freinages brusques, la vitesse en virage ou encore les débrayages forcés de l’Autopilot (lorsque le véhicule en est équipé). L’analyse de ces résultats permet d’obtenir un score de sécurité.

En fonction du score de sécurité, Tesla classe les conducteurs dans différentes catégories (mauvais, moyens, bons). La nouvelle offre d’assurance se base sur ce classement pour moduler le montant de la prime. Un conducteur moyen pourra économique 20 à 40% sur sa prime par rapport à la concurrence. Un bon conducteur pourra économiser jusqu’à 60%. Et les économies peuvent vite être conséquentes.

Par exemple, un conducteur dont le score de sécurité passerait de 93 à 98 paierait 83$ indiquent les Numériques. En revanche si score passe de 98 à 88, sa prime d’assurance mensuelle passerait à 130$.

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En France, ces assurances existent mais nécessitent l’installation d’un boîtier connecté pour récupérer les données de conduite. Allianz ou Direct Assurance proposent ces offres dites « d’assurance auto connectée ». Mais ces formules restent marginales sur le marché.

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Que l’on aime ou non Tesla, force est de constater que le constructeur a révolutionné le marché de l’automobile. Et il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

Pour proposer la meilleure expérience possible à ses clients, Tesla s’apprête à commercialiser une police d’assurance d’un nouveau genre. Lancée pour la première fois dans l’Etat du Nevada, cette nouvelle assurance arrive dans l’Arizona, le Colorado, l’Illinois, l’Ohio, l’Oregon, le Texax et la Virginie. Sa particularité : elle se base sur une analyse en temps réel des données du conducteur. 

Si de tels dispositifs existent déjà, ils nécessitent l’installation d’un matériel complémentaire. Chez Tesla, les technologies embarquées dans le véhicule permettent une analyse plus rapide et plus précise.

Mieux vous conduisez moins vous payez

La nouvelle offre d’assurance de Tesla se veut la plus juste possible pour les conducteurs. Le principe est enfantin : mieux vous conduisez, moins vous payez. Pour savoir ce qu’est un bon conducteur, Tesla se base sur l’analyse des données de conduite recueillies en temps réel par ses véhicules.

Ce recueil de données est déjà présent dans tous les véhicules de la marque mais les résultats ne sont donnés qu’à des fins pédagogiques. Dans les Etats où l’offre d’assurance sera proposée, ces résultats permettront de réajuster le montant de leur police d’assurance.

Parmi les données analysées, Tesla mentionne le nombre d’avertissements de collision avant (respect des distances de sécurité), le nombre de freinages brusques, la vitesse en virage ou encore les débrayages forcés de l’Autopilot (lorsque le véhicule en est équipé). L’analyse de ces résultats permet d’obtenir un score de sécurité.

En fonction du score de sécurité, Tesla classe les conducteurs dans différentes catégories (mauvais, moyens, bons). La nouvelle offre d’assurance se base sur ce classement pour moduler le montant de la prime. Un conducteur moyen pourra économique 20 à 40% sur sa prime par rapport à la concurrence. Un bon conducteur pourra économiser jusqu’à 60%. Et les économies peuvent vite être conséquentes.

Par exemple, un conducteur dont le score de sécurité passerait de 93 à 98 paierait 83$ indiquent les Numériques. En revanche si score passe de 98 à 88, sa prime d’assurance mensuelle passerait à 130$.

Et en France ?

En France, ces assurances existent mais nécessitent l’installation d’un boîtier connecté pour récupérer les données de conduite. Allianz ou Direct Assurance proposent ces offres dites « d’assurance auto connectée ». Mais ces formules restent marginales sur le marché.

Et pour cause, la récolte des données est soumise aux règles de la CNIL. Selon Index Assurance, « cet enregistrement de données sensibles et nominatives sur les conducteurs est accepté par la CNIL sous certaines conditions ». Et il subsiste un risque que les données soient utilisées à des fins non prévues par le contrat. D’où, peut-être, une adoption encore minoritaire sur le marché.

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Pour proposer la meilleure expérience possible à ses clients, Tesla s’apprête à commercialiser une police d’assurance d’un nouveau genre. Lancée pour la première fois dans l’Etat du Nevada, cette nouvelle assurance arrive dans l’Arizona, le Colorado, l’Illinois, l’Ohio, l’Oregon, le Texax et la Virginie. Sa particularité : elle se base sur une analyse en temps réel des données du conducteur. 

Si de tels dispositifs existent déjà, ils nécessitent l’installation d’un matériel complémentaire. Chez Tesla, les technologies embarquées dans le véhicule permettent une analyse plus rapide et plus précise.

Mieux vous conduisez moins vous payez

La nouvelle offre d’assurance de Tesla se veut la plus juste possible pour les conducteurs. Le principe est enfantin : mieux vous conduisez, moins vous payez. Pour savoir ce qu’est un bon conducteur, Tesla se base sur l’analyse des données de conduite recueillies en temps réel par ses véhicules.

Ce recueil de données est déjà présent dans tous les véhicules de la marque mais les résultats ne sont donnés qu’à des fins pédagogiques. Dans les Etats où l’offre d’assurance sera proposée, ces résultats permettront de réajuster le montant de leur police d’assurance.

Parmi les données analysées, Tesla mentionne le nombre d’avertissements de collision avant (respect des distances de sécurité), le nombre de freinages brusques, la vitesse en virage ou encore les débrayages forcés de l’Autopilot (lorsque le véhicule en est équipé). L’analyse de ces résultats permet d’obtenir un score de sécurité.

En fonction du score de sécurité, Tesla classe les conducteurs dans différentes catégories (mauvais, moyens, bons). La nouvelle offre d’assurance se base sur ce classement pour moduler le montant de la prime. Un conducteur moyen pourra économique 20 à 40% sur sa prime par rapport à la concurrence. Un bon conducteur pourra économiser jusqu’à 60%. Et les économies peuvent vite être conséquentes.

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Et en France ?

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Pour proposer la meilleure expérience possible à ses clients, Tesla s’apprête à commercialiser une police d’assurance d’un nouveau genre. Lancée pour la première fois dans l’Etat du Nevada, cette nouvelle assurance arrive dans l’Arizona, le Colorado, l’Illinois, l’Ohio, l’Oregon, le Texax et la Virginie. Sa particularité : elle se base sur une analyse en temps réel des données du conducteur. 

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En fonction du score de sécurité, Tesla classe les conducteurs dans différentes catégories (mauvais, moyens, bons). La nouvelle offre d’assurance se base sur ce classement pour moduler le montant de la prime. Un conducteur moyen pourra économique 20 à 40% sur sa prime par rapport à la concurrence. Un bon conducteur pourra économiser jusqu’à 60%. Et les économies peuvent vite être conséquentes.

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