
Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.

Alors qu’un cabinet révélait il y a quelques jours que les véhicules Tesla étaient les plus chers à réparer après ceux de Porsche, il semble que dans le cas du Model Y, la réparation soit même tout bonnement impossible.
C’est ce que révèle le site Automobile Magazine. Après une enquête auprès des réparateurs agréés Tesla, le site spécialisé dans l’automobile explique que la conception du Model Y rend les réparations si compliquées qu’elles en deviennent impossibles.
En effet, le Model Y est fabriqué à la fois à Freemont en Californie, à Austin au Texas et à Berlin (Allemagne). Selon l’usine de laquelle ils sortent, les Model Y ne disposent pas de la même structure. Ainsi, il dispose sous sa carrosserie de panneaux uniques à l’avant à l’arrière, sauf pour les modèles sortis de l’usine de Freemont où il n’y a un panneau qu’à l’arrière.
Or, selon les informations fournies par Tesla, chaque panneau remplace environ 70 pièces pour améliorer le processus de fabrication. Problème : en cas de choc, ces pièces ne sont pas réparables et doivent donc être remplacées. Et c’est là que les choses se compliquent.
“Sur la partie avant, 8 procédures de réparation sont possibles contre 40 pour les modèles qui n’ont pas le panneau avant, explique à Automobile Magazine Thomas Alunni, directeur de la carrosserie Lecoq, établissement effectuant 1000 réparations Tesla chaque année. L’inflation des coûts est indéniable, on parle de quelques heures de travail par rapport à des dizaines d’heures composées de déshabillage, de découpe, de peinture, etc”.
Pas de pièces d’occasion
Autre problème : les pièces détachées sont difficiles à recevoir. Non seulement Tesla doit faire face aux mêmes problématiques d’approvisionnement que les autres constructeurs, mais “les Tesla ont une sinistralité plus importante que les autres voitures” explique Thomas Alunni. “Les gens se font surprendre par la puissance, le couple ou l’Autopilot” ajoute-t-il.
Du coup, les problèmes d’approvisionnement sont tels que les carrossiers sont obligés “d’aller jusqu’à la limite de réparabilité de certaines pièces”.
Dans ce genre de situation, les garagistes ont pour habitude d’avoir recours aux pièces d’occasion. D’ailleurs, la loi française oblige les garagistes à proposer un devis alternatif comprenant des pièces d’occasion lorsqu’un véhicule n’est plus sous garantie.
Chez Tesla, on s’en moque. “L’utilisation de pièces de réemploi est contractuellement interdite par le constructeur” poursuit Thomas Alunni. Il peste :
C’est une aberration ! On a par exemple une pénurie de pare-chocs et on laisse les épaves partir avec vers les payes de l’Est. Cela va à l’encontre du bon sens.
Tesla hors la loi
Au delà du bon sens, l‘entêtement de Tesla va surtout à l’encontre de la loi. Si pour l’heure le constructeur n’a fait l’objet d’aucune attaque en justice, le risque lui pend au nez.
Automobile Magazine rappelle d’ailleurs que l’entreprise a déjà été condamnée en février 2021 suite à une attaque de ZDK, l’association allemande du commerce et de la réparation automobile, auprès de la Commission européenne.
ZDK reprochait à Tesla de ne pas fournir la documentation technique de ses véhicules aux réparateurs. Après un rappel à l’ordre l’américain avait alors accepté d’ouvrir sa documentation aux réparateurs… moyennant 30 euros par heure de consultation voire 125 euros en cas de diagnostic via un logiciel de diagnostic et de programmation.