À moins que vous ne viviez au fin fond d’une grotte ces derniers jours, vous n’avez probablement pas manqué l’officialisation du rachat de Twitter par Elon Musk ce lundi. Le coût de l’opération qui devrait, sauf accident, être bouclée dans le courant de l’année, s’élève à 44 milliards de dollars.
Elon Musk promet de ne plus vendre d’actions Tesla
Elon Musk a beau être l’homme le plus riche du monde, réunir cette somme n’a rien d’évident. Pour aller jusqu’au bout de cette acquisition, il prévoit ainsi de piocher dans sa fortune personnelle et d’obtenir l’aide de partenaires financiers.
Et justement, les grandes manœuvres ont peut-être déjà commencé dès cette semaine. On a ainsi appris que le CEO de Tesla a revendu 4,4 millions d’actions de cette société ce mardi, selon les dépôts réglementaires enregistrés par la SEC, le gendarme de la Bourse américain. La valeur totale de ces ventes s’élève à environ 4 milliards de dollars. Elon Musk a par ailleurs promis qu’il n’allait pas céder davantage de titres du constructeur automobile.
No further TSLA sales planned after today
— Elon Musk (@elonmusk) April 29, 2022
Si l’on ignore à quoi pourrait servir cet argent, cela ne sera en tout cas pas suffisant pour couvrir la somme nécessaire pour racheter Twitter. Nos confrères de Techcrunch notent tout de même que 4 milliards de dollars pourraient permettre de payer le milliard de dollars de résiliation de l’accord de rachat du réseau social, si l’opération capotait.
Ces dernières semaines, il semble bien difficile d’y voir clair dans les manœuvres d’Elon Musk. Alors qu’il s’affaire à acquérir Twitter, le patron de SpaceX multiplie les provocations à destination de la plateforme et de ses dirigeants actuels.
En interne, ses positions visant à atténuer la modération sont critiquées, à l’image de cet employé qui déclare en gardant l’anonymat : « Mais l’idée d’amener plus de liberté d’expression sur la plateforme expose sa naïveté lorsqu’on creuse un peu le sujet. Beaucoup de plateformes ont été fondées sur ce principe de liberté d’expression, mais dans la réalité, soit elles deviennent des cloaques étouffants, soit elles réalisent qu’un certain niveau de modération est nécessaire ».
À moins que vous ne viviez au fin fond d’une grotte ces derniers jours, vous n’avez probablement pas manqué l’officialisation du rachat de Twitter par Elon Musk ce lundi. Le coût de l’opération qui devrait, sauf accident, être bouclée dans le courant de l’année, s’élève à 44 milliards de dollars.
Elon Musk promet de ne plus vendre d’actions Tesla
Elon Musk a beau être l’homme le plus riche du monde, réunir cette somme n’a rien d’évident. Pour aller jusqu’au bout de cette acquisition, il prévoit ainsi de piocher dans sa fortune personnelle et d’obtenir l’aide de partenaires financiers.
Et justement, les grandes manœuvres ont peut-être déjà commencé dès cette semaine. On a ainsi appris que le CEO de Tesla a revendu 4,4 millions d’actions de cette société ce mardi, selon les dépôts réglementaires enregistrés par la SEC, le gendarme de la Bourse américain. La valeur totale de ces ventes s’élève à environ 4 milliards de dollars. Elon Musk a par ailleurs promis qu’il n’allait pas céder davantage de titres du constructeur automobile.
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Si l’on ignore à quoi pourrait servir cet argent, cela ne sera en tout cas pas suffisant pour couvrir la somme nécessaire pour racheter Twitter. Nos confrères de Techcrunch notent tout de même que 4 milliards de dollars pourraient permettre de payer le milliard de dollars de résiliation de l’accord de rachat du réseau social, si l’opération capotait.
Ces dernières semaines, il semble bien difficile d’y voir clair dans les manœuvres d’Elon Musk. Alors qu’il s’affaire à acquérir Twitter, le patron de SpaceX multiplie les provocations à destination de la plateforme et de ses dirigeants actuels.
En interne, ses positions visant à atténuer la modération sont critiquées, à l’image de cet employé qui déclare en gardant l’anonymat : « Mais l’idée d’amener plus de liberté d’expression sur la plateforme expose sa naïveté lorsqu’on creuse un peu le sujet. Beaucoup de plateformes ont été fondées sur ce principe de liberté d’expression, mais dans la réalité, soit elles deviennent des cloaques étouffants, soit elles réalisent qu’un certain niveau de modération est nécessaire ».
À moins que vous ne viviez au fin fond d’une grotte ces derniers jours, vous n’avez probablement pas manqué l’officialisation du rachat de Twitter par Elon Musk ce lundi. Le coût de l’opération qui devrait, sauf accident, être bouclée dans le courant de l’année, s’élève à 44 milliards de dollars.
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Elon Musk a beau être l’homme le plus riche du monde, réunir cette somme n’a rien d’évident. Pour aller jusqu’au bout de cette acquisition, il prévoit ainsi de piocher dans sa fortune personnelle et d’obtenir l’aide de partenaires financiers.
Et justement, les grandes manœuvres ont peut-être déjà commencé dès cette semaine. On a ainsi appris que le CEO de Tesla a revendu 4,4 millions d’actions de cette société ce mardi, selon les dépôts réglementaires enregistrés par la SEC, le gendarme de la Bourse américain. La valeur totale de ces ventes s’élève à environ 4 milliards de dollars. Elon Musk a par ailleurs promis qu’il n’allait pas céder davantage de titres du constructeur automobile.
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Si l’on ignore à quoi pourrait servir cet argent, cela ne sera en tout cas pas suffisant pour couvrir la somme nécessaire pour racheter Twitter. Nos confrères de Techcrunch notent tout de même que 4 milliards de dollars pourraient permettre de payer le milliard de dollars de résiliation de l’accord de rachat du réseau social, si l’opération capotait.
Ces dernières semaines, il semble bien difficile d’y voir clair dans les manœuvres d’Elon Musk. Alors qu’il s’affaire à acquérir Twitter, le patron de SpaceX multiplie les provocations à destination de la plateforme et de ses dirigeants actuels.
En interne, ses positions visant à atténuer la modération sont critiquées, à l’image de cet employé qui déclare en gardant l’anonymat : « Mais l’idée d’amener plus de liberté d’expression sur la plateforme expose sa naïveté lorsqu’on creuse un peu le sujet. Beaucoup de plateformes ont été fondées sur ce principe de liberté d’expression, mais dans la réalité, soit elles deviennent des cloaques étouffants, soit elles réalisent qu’un certain niveau de modération est nécessaire ».
À moins que vous ne viviez au fin fond d’une grotte ces derniers jours, vous n’avez probablement pas manqué l’officialisation du rachat de Twitter par Elon Musk ce lundi. Le coût de l’opération qui devrait, sauf accident, être bouclée dans le courant de l’année, s’élève à 44 milliards de dollars.
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Et justement, les grandes manœuvres ont peut-être déjà commencé dès cette semaine. On a ainsi appris que le CEO de Tesla a revendu 4,4 millions d’actions de cette société ce mardi, selon les dépôts réglementaires enregistrés par la SEC, le gendarme de la Bourse américain. La valeur totale de ces ventes s’élève à environ 4 milliards de dollars. Elon Musk a par ailleurs promis qu’il n’allait pas céder davantage de titres du constructeur automobile.
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Ces dernières semaines, il semble bien difficile d’y voir clair dans les manœuvres d’Elon Musk. Alors qu’il s’affaire à acquérir Twitter, le patron de SpaceX multiplie les provocations à destination de la plateforme et de ses dirigeants actuels.
En interne, ses positions visant à atténuer la modération sont critiquées, à l’image de cet employé qui déclare en gardant l’anonymat : « Mais l’idée d’amener plus de liberté d’expression sur la plateforme expose sa naïveté lorsqu’on creuse un peu le sujet. Beaucoup de plateformes ont été fondées sur ce principe de liberté d’expression, mais dans la réalité, soit elles deviennent des cloaques étouffants, soit elles réalisent qu’un certain niveau de modération est nécessaire ».
À moins que vous ne viviez au fin fond d’une grotte ces derniers jours, vous n’avez probablement pas manqué l’officialisation du rachat de Twitter par Elon Musk ce lundi. Le coût de l’opération qui devrait, sauf accident, être bouclée dans le courant de l’année, s’élève à 44 milliards de dollars.
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Et justement, les grandes manœuvres ont peut-être déjà commencé dès cette semaine. On a ainsi appris que le CEO de Tesla a revendu 4,4 millions d’actions de cette société ce mardi, selon les dépôts réglementaires enregistrés par la SEC, le gendarme de la Bourse américain. La valeur totale de ces ventes s’élève à environ 4 milliards de dollars. Elon Musk a par ailleurs promis qu’il n’allait pas céder davantage de titres du constructeur automobile.
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À moins que vous ne viviez au fin fond d’une grotte ces derniers jours, vous n’avez probablement pas manqué l’officialisation du rachat de Twitter par Elon Musk ce lundi. Le coût de l’opération qui devrait, sauf accident, être bouclée dans le courant de l’année, s’élève à 44 milliards de dollars.
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Si l’on ignore à quoi pourrait servir cet argent, cela ne sera en tout cas pas suffisant pour couvrir la somme nécessaire pour racheter Twitter. Nos confrères de Techcrunch notent tout de même que 4 milliards de dollars pourraient permettre de payer le milliard de dollars de résiliation de l’accord de rachat du réseau social, si l’opération capotait.
Ces dernières semaines, il semble bien difficile d’y voir clair dans les manœuvres d’Elon Musk. Alors qu’il s’affaire à acquérir Twitter, le patron de SpaceX multiplie les provocations à destination de la plateforme et de ses dirigeants actuels.
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Ces dernières semaines, il semble bien difficile d’y voir clair dans les manœuvres d’Elon Musk. Alors qu’il s’affaire à acquérir Twitter, le patron de SpaceX multiplie les provocations à destination de la plateforme et de ses dirigeants actuels.
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Ces dernières semaines, il semble bien difficile d’y voir clair dans les manœuvres d’Elon Musk. Alors qu’il s’affaire à acquérir Twitter, le patron de SpaceX multiplie les provocations à destination de la plateforme et de ses dirigeants actuels.
En interne, ses positions visant à atténuer la modération sont critiquées, à l’image de cet employé qui déclare en gardant l’anonymat : « Mais l’idée d’amener plus de liberté d’expression sur la plateforme expose sa naïveté lorsqu’on creuse un peu le sujet. Beaucoup de plateformes ont été fondées sur ce principe de liberté d’expression, mais dans la réalité, soit elles deviennent des cloaques étouffants, soit elles réalisent qu’un certain niveau de modération est nécessaire ».
À moins que vous ne viviez au fin fond d’une grotte ces derniers jours, vous n’avez probablement pas manqué l’officialisation du rachat de Twitter par Elon Musk ce lundi. Le coût de l’opération qui devrait, sauf accident, être bouclée dans le courant de l’année, s’élève à 44 milliards de dollars.
Elon Musk promet de ne plus vendre d’actions Tesla
Elon Musk a beau être l’homme le plus riche du monde, réunir cette somme n’a rien d’évident. Pour aller jusqu’au bout de cette acquisition, il prévoit ainsi de piocher dans sa fortune personnelle et d’obtenir l’aide de partenaires financiers.
Et justement, les grandes manœuvres ont peut-être déjà commencé dès cette semaine. On a ainsi appris que le CEO de Tesla a revendu 4,4 millions d’actions de cette société ce mardi, selon les dépôts réglementaires enregistrés par la SEC, le gendarme de la Bourse américain. La valeur totale de ces ventes s’élève à environ 4 milliards de dollars. Elon Musk a par ailleurs promis qu’il n’allait pas céder davantage de titres du constructeur automobile.
No further TSLA sales planned after today
— Elon Musk (@elonmusk) April 29, 2022
Si l’on ignore à quoi pourrait servir cet argent, cela ne sera en tout cas pas suffisant pour couvrir la somme nécessaire pour racheter Twitter. Nos confrères de Techcrunch notent tout de même que 4 milliards de dollars pourraient permettre de payer le milliard de dollars de résiliation de l’accord de rachat du réseau social, si l’opération capotait.
Ces dernières semaines, il semble bien difficile d’y voir clair dans les manœuvres d’Elon Musk. Alors qu’il s’affaire à acquérir Twitter, le patron de SpaceX multiplie les provocations à destination de la plateforme et de ses dirigeants actuels.
En interne, ses positions visant à atténuer la modération sont critiquées, à l’image de cet employé qui déclare en gardant l’anonymat : « Mais l’idée d’amener plus de liberté d’expression sur la plateforme expose sa naïveté lorsqu’on creuse un peu le sujet. Beaucoup de plateformes ont été fondées sur ce principe de liberté d’expression, mais dans la réalité, soit elles deviennent des cloaques étouffants, soit elles réalisent qu’un certain niveau de modération est nécessaire ».
À moins que vous ne viviez au fin fond d’une grotte ces derniers jours, vous n’avez probablement pas manqué l’officialisation du rachat de Twitter par Elon Musk ce lundi. Le coût de l’opération qui devrait, sauf accident, être bouclée dans le courant de l’année, s’élève à 44 milliards de dollars.
Elon Musk promet de ne plus vendre d’actions Tesla
Elon Musk a beau être l’homme le plus riche du monde, réunir cette somme n’a rien d’évident. Pour aller jusqu’au bout de cette acquisition, il prévoit ainsi de piocher dans sa fortune personnelle et d’obtenir l’aide de partenaires financiers.
Et justement, les grandes manœuvres ont peut-être déjà commencé dès cette semaine. On a ainsi appris que le CEO de Tesla a revendu 4,4 millions d’actions de cette société ce mardi, selon les dépôts réglementaires enregistrés par la SEC, le gendarme de la Bourse américain. La valeur totale de ces ventes s’élève à environ 4 milliards de dollars. Elon Musk a par ailleurs promis qu’il n’allait pas céder davantage de titres du constructeur automobile.
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Si l’on ignore à quoi pourrait servir cet argent, cela ne sera en tout cas pas suffisant pour couvrir la somme nécessaire pour racheter Twitter. Nos confrères de Techcrunch notent tout de même que 4 milliards de dollars pourraient permettre de payer le milliard de dollars de résiliation de l’accord de rachat du réseau social, si l’opération capotait.
Ces dernières semaines, il semble bien difficile d’y voir clair dans les manœuvres d’Elon Musk. Alors qu’il s’affaire à acquérir Twitter, le patron de SpaceX multiplie les provocations à destination de la plateforme et de ses dirigeants actuels.
En interne, ses positions visant à atténuer la modération sont critiquées, à l’image de cet employé qui déclare en gardant l’anonymat : « Mais l’idée d’amener plus de liberté d’expression sur la plateforme expose sa naïveté lorsqu’on creuse un peu le sujet. Beaucoup de plateformes ont été fondées sur ce principe de liberté d’expression, mais dans la réalité, soit elles deviennent des cloaques étouffants, soit elles réalisent qu’un certain niveau de modération est nécessaire ».
À moins que vous ne viviez au fin fond d’une grotte ces derniers jours, vous n’avez probablement pas manqué l’officialisation du rachat de Twitter par Elon Musk ce lundi. Le coût de l’opération qui devrait, sauf accident, être bouclée dans le courant de l’année, s’élève à 44 milliards de dollars.
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Elon Musk a beau être l’homme le plus riche du monde, réunir cette somme n’a rien d’évident. Pour aller jusqu’au bout de cette acquisition, il prévoit ainsi de piocher dans sa fortune personnelle et d’obtenir l’aide de partenaires financiers.
Et justement, les grandes manœuvres ont peut-être déjà commencé dès cette semaine. On a ainsi appris que le CEO de Tesla a revendu 4,4 millions d’actions de cette société ce mardi, selon les dépôts réglementaires enregistrés par la SEC, le gendarme de la Bourse américain. La valeur totale de ces ventes s’élève à environ 4 milliards de dollars. Elon Musk a par ailleurs promis qu’il n’allait pas céder davantage de titres du constructeur automobile.
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Si l’on ignore à quoi pourrait servir cet argent, cela ne sera en tout cas pas suffisant pour couvrir la somme nécessaire pour racheter Twitter. Nos confrères de Techcrunch notent tout de même que 4 milliards de dollars pourraient permettre de payer le milliard de dollars de résiliation de l’accord de rachat du réseau social, si l’opération capotait.
Ces dernières semaines, il semble bien difficile d’y voir clair dans les manœuvres d’Elon Musk. Alors qu’il s’affaire à acquérir Twitter, le patron de SpaceX multiplie les provocations à destination de la plateforme et de ses dirigeants actuels.
En interne, ses positions visant à atténuer la modération sont critiquées, à l’image de cet employé qui déclare en gardant l’anonymat : « Mais l’idée d’amener plus de liberté d’expression sur la plateforme expose sa naïveté lorsqu’on creuse un peu le sujet. Beaucoup de plateformes ont été fondées sur ce principe de liberté d’expression, mais dans la réalité, soit elles deviennent des cloaques étouffants, soit elles réalisent qu’un certain niveau de modération est nécessaire ».
À moins que vous ne viviez au fin fond d’une grotte ces derniers jours, vous n’avez probablement pas manqué l’officialisation du rachat de Twitter par Elon Musk ce lundi. Le coût de l’opération qui devrait, sauf accident, être bouclée dans le courant de l’année, s’élève à 44 milliards de dollars.
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Et justement, les grandes manœuvres ont peut-être déjà commencé dès cette semaine. On a ainsi appris que le CEO de Tesla a revendu 4,4 millions d’actions de cette société ce mardi, selon les dépôts réglementaires enregistrés par la SEC, le gendarme de la Bourse américain. La valeur totale de ces ventes s’élève à environ 4 milliards de dollars. Elon Musk a par ailleurs promis qu’il n’allait pas céder davantage de titres du constructeur automobile.
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Ces dernières semaines, il semble bien difficile d’y voir clair dans les manœuvres d’Elon Musk. Alors qu’il s’affaire à acquérir Twitter, le patron de SpaceX multiplie les provocations à destination de la plateforme et de ses dirigeants actuels.
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Et justement, les grandes manœuvres ont peut-être déjà commencé dès cette semaine. On a ainsi appris que le CEO de Tesla a revendu 4,4 millions d’actions de cette société ce mardi, selon les dépôts réglementaires enregistrés par la SEC, le gendarme de la Bourse américain. La valeur totale de ces ventes s’élève à environ 4 milliards de dollars. Elon Musk a par ailleurs promis qu’il n’allait pas céder davantage de titres du constructeur automobile.
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Ces dernières semaines, il semble bien difficile d’y voir clair dans les manœuvres d’Elon Musk. Alors qu’il s’affaire à acquérir Twitter, le patron de SpaceX multiplie les provocations à destination de la plateforme et de ses dirigeants actuels.
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Ces dernières semaines, il semble bien difficile d’y voir clair dans les manœuvres d’Elon Musk. Alors qu’il s’affaire à acquérir Twitter, le patron de SpaceX multiplie les provocations à destination de la plateforme et de ses dirigeants actuels.
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Ces dernières semaines, il semble bien difficile d’y voir clair dans les manœuvres d’Elon Musk. Alors qu’il s’affaire à acquérir Twitter, le patron de SpaceX multiplie les provocations à destination de la plateforme et de ses dirigeants actuels.
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Si l’on ignore à quoi pourrait servir cet argent, cela ne sera en tout cas pas suffisant pour couvrir la somme nécessaire pour racheter Twitter. Nos confrères de Techcrunch notent tout de même que 4 milliards de dollars pourraient permettre de payer le milliard de dollars de résiliation de l’accord de rachat du réseau social, si l’opération capotait.
Ces dernières semaines, il semble bien difficile d’y voir clair dans les manœuvres d’Elon Musk. Alors qu’il s’affaire à acquérir Twitter, le patron de SpaceX multiplie les provocations à destination de la plateforme et de ses dirigeants actuels.
En interne, ses positions visant à atténuer la modération sont critiquées, à l’image de cet employé qui déclare en gardant l’anonymat : « Mais l’idée d’amener plus de liberté d’expression sur la plateforme expose sa naïveté lorsqu’on creuse un peu le sujet. Beaucoup de plateformes ont été fondées sur ce principe de liberté d’expression, mais dans la réalité, soit elles deviennent des cloaques étouffants, soit elles réalisent qu’un certain niveau de modération est nécessaire ».
À moins que vous ne viviez au fin fond d’une grotte ces derniers jours, vous n’avez probablement pas manqué l’officialisation du rachat de Twitter par Elon Musk ce lundi. Le coût de l’opération qui devrait, sauf accident, être bouclée dans le courant de l’année, s’élève à 44 milliards de dollars.
Elon Musk promet de ne plus vendre d’actions Tesla
Elon Musk a beau être l’homme le plus riche du monde, réunir cette somme n’a rien d’évident. Pour aller jusqu’au bout de cette acquisition, il prévoit ainsi de piocher dans sa fortune personnelle et d’obtenir l’aide de partenaires financiers.
Et justement, les grandes manœuvres ont peut-être déjà commencé dès cette semaine. On a ainsi appris que le CEO de Tesla a revendu 4,4 millions d’actions de cette société ce mardi, selon les dépôts réglementaires enregistrés par la SEC, le gendarme de la Bourse américain. La valeur totale de ces ventes s’élève à environ 4 milliards de dollars. Elon Musk a par ailleurs promis qu’il n’allait pas céder davantage de titres du constructeur automobile.
No further TSLA sales planned after today
— Elon Musk (@elonmusk) April 29, 2022
Si l’on ignore à quoi pourrait servir cet argent, cela ne sera en tout cas pas suffisant pour couvrir la somme nécessaire pour racheter Twitter. Nos confrères de Techcrunch notent tout de même que 4 milliards de dollars pourraient permettre de payer le milliard de dollars de résiliation de l’accord de rachat du réseau social, si l’opération capotait.
Ces dernières semaines, il semble bien difficile d’y voir clair dans les manœuvres d’Elon Musk. Alors qu’il s’affaire à acquérir Twitter, le patron de SpaceX multiplie les provocations à destination de la plateforme et de ses dirigeants actuels.
En interne, ses positions visant à atténuer la modération sont critiquées, à l’image de cet employé qui déclare en gardant l’anonymat : « Mais l’idée d’amener plus de liberté d’expression sur la plateforme expose sa naïveté lorsqu’on creuse un peu le sujet. Beaucoup de plateformes ont été fondées sur ce principe de liberté d’expression, mais dans la réalité, soit elles deviennent des cloaques étouffants, soit elles réalisent qu’un certain niveau de modération est nécessaire ».
À moins que vous ne viviez au fin fond d’une grotte ces derniers jours, vous n’avez probablement pas manqué l’officialisation du rachat de Twitter par Elon Musk ce lundi. Le coût de l’opération qui devrait, sauf accident, être bouclée dans le courant de l’année, s’élève à 44 milliards de dollars.
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Elon Musk a beau être l’homme le plus riche du monde, réunir cette somme n’a rien d’évident. Pour aller jusqu’au bout de cette acquisition, il prévoit ainsi de piocher dans sa fortune personnelle et d’obtenir l’aide de partenaires financiers.
Et justement, les grandes manœuvres ont peut-être déjà commencé dès cette semaine. On a ainsi appris que le CEO de Tesla a revendu 4,4 millions d’actions de cette société ce mardi, selon les dépôts réglementaires enregistrés par la SEC, le gendarme de la Bourse américain. La valeur totale de ces ventes s’élève à environ 4 milliards de dollars. Elon Musk a par ailleurs promis qu’il n’allait pas céder davantage de titres du constructeur automobile.
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Si l’on ignore à quoi pourrait servir cet argent, cela ne sera en tout cas pas suffisant pour couvrir la somme nécessaire pour racheter Twitter. Nos confrères de Techcrunch notent tout de même que 4 milliards de dollars pourraient permettre de payer le milliard de dollars de résiliation de l’accord de rachat du réseau social, si l’opération capotait.
Ces dernières semaines, il semble bien difficile d’y voir clair dans les manœuvres d’Elon Musk. Alors qu’il s’affaire à acquérir Twitter, le patron de SpaceX multiplie les provocations à destination de la plateforme et de ses dirigeants actuels.
En interne, ses positions visant à atténuer la modération sont critiquées, à l’image de cet employé qui déclare en gardant l’anonymat : « Mais l’idée d’amener plus de liberté d’expression sur la plateforme expose sa naïveté lorsqu’on creuse un peu le sujet. Beaucoup de plateformes ont été fondées sur ce principe de liberté d’expression, mais dans la réalité, soit elles deviennent des cloaques étouffants, soit elles réalisent qu’un certain niveau de modération est nécessaire ».
À moins que vous ne viviez au fin fond d’une grotte ces derniers jours, vous n’avez probablement pas manqué l’officialisation du rachat de Twitter par Elon Musk ce lundi. Le coût de l’opération qui devrait, sauf accident, être bouclée dans le courant de l’année, s’élève à 44 milliards de dollars.
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Et justement, les grandes manœuvres ont peut-être déjà commencé dès cette semaine. On a ainsi appris que le CEO de Tesla a revendu 4,4 millions d’actions de cette société ce mardi, selon les dépôts réglementaires enregistrés par la SEC, le gendarme de la Bourse américain. La valeur totale de ces ventes s’élève à environ 4 milliards de dollars. Elon Musk a par ailleurs promis qu’il n’allait pas céder davantage de titres du constructeur automobile.
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Ces dernières semaines, il semble bien difficile d’y voir clair dans les manœuvres d’Elon Musk. Alors qu’il s’affaire à acquérir Twitter, le patron de SpaceX multiplie les provocations à destination de la plateforme et de ses dirigeants actuels.
En interne, ses positions visant à atténuer la modération sont critiquées, à l’image de cet employé qui déclare en gardant l’anonymat : « Mais l’idée d’amener plus de liberté d’expression sur la plateforme expose sa naïveté lorsqu’on creuse un peu le sujet. Beaucoup de plateformes ont été fondées sur ce principe de liberté d’expression, mais dans la réalité, soit elles deviennent des cloaques étouffants, soit elles réalisent qu’un certain niveau de modération est nécessaire ».
À moins que vous ne viviez au fin fond d’une grotte ces derniers jours, vous n’avez probablement pas manqué l’officialisation du rachat de Twitter par Elon Musk ce lundi. Le coût de l’opération qui devrait, sauf accident, être bouclée dans le courant de l’année, s’élève à 44 milliards de dollars.
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En interne, ses positions visant à atténuer la modération sont critiquées, à l’image de cet employé qui déclare en gardant l’anonymat : « Mais l’idée d’amener plus de liberté d’expression sur la plateforme expose sa naïveté lorsqu’on creuse un peu le sujet. Beaucoup de plateformes ont été fondées sur ce principe de liberté d’expression, mais dans la réalité, soit elles deviennent des cloaques étouffants, soit elles réalisent qu’un certain niveau de modération est nécessaire ».
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À moins que vous ne viviez au fin fond d’une grotte ces derniers jours, vous n’avez probablement pas manqué l’officialisation du rachat de Twitter par Elon Musk ce lundi. Le coût de l’opération qui devrait, sauf accident, être bouclée dans le courant de l’année, s’élève à 44 milliards de dollars.
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Et justement, les grandes manœuvres ont peut-être déjà commencé dès cette semaine. On a ainsi appris que le CEO de Tesla a revendu 4,4 millions d’actions de cette société ce mardi, selon les dépôts réglementaires enregistrés par la SEC, le gendarme de la Bourse américain. La valeur totale de ces ventes s’élève à environ 4 milliards de dollars. Elon Musk a par ailleurs promis qu’il n’allait pas céder davantage de titres du constructeur automobile.
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Ces dernières semaines, il semble bien difficile d’y voir clair dans les manœuvres d’Elon Musk. Alors qu’il s’affaire à acquérir Twitter, le patron de SpaceX multiplie les provocations à destination de la plateforme et de ses dirigeants actuels.
En interne, ses positions visant à atténuer la modération sont critiquées, à l’image de cet employé qui déclare en gardant l’anonymat : « Mais l’idée d’amener plus de liberté d’expression sur la plateforme expose sa naïveté lorsqu’on creuse un peu le sujet. Beaucoup de plateformes ont été fondées sur ce principe de liberté d’expression, mais dans la réalité, soit elles deviennent des cloaques étouffants, soit elles réalisent qu’un certain niveau de modération est nécessaire ».
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Si l’on ignore à quoi pourrait servir cet argent, cela ne sera en tout cas pas suffisant pour couvrir la somme nécessaire pour racheter Twitter. Nos confrères de Techcrunch notent tout de même que 4 milliards de dollars pourraient permettre de payer le milliard de dollars de résiliation de l’accord de rachat du réseau social, si l’opération capotait.
Ces dernières semaines, il semble bien difficile d’y voir clair dans les manœuvres d’Elon Musk. Alors qu’il s’affaire à acquérir Twitter, le patron de SpaceX multiplie les provocations à destination de la plateforme et de ses dirigeants actuels.
En interne, ses positions visant à atténuer la modération sont critiquées, à l’image de cet employé qui déclare en gardant l’anonymat : « Mais l’idée d’amener plus de liberté d’expression sur la plateforme expose sa naïveté lorsqu’on creuse un peu le sujet. Beaucoup de plateformes ont été fondées sur ce principe de liberté d’expression, mais dans la réalité, soit elles deviennent des cloaques étouffants, soit elles réalisent qu’un certain niveau de modération est nécessaire ».
À moins que vous ne viviez au fin fond d’une grotte ces derniers jours, vous n’avez probablement pas manqué l’officialisation du rachat de Twitter par Elon Musk ce lundi. Le coût de l’opération qui devrait, sauf accident, être bouclée dans le courant de l’année, s’élève à 44 milliards de dollars.
Elon Musk promet de ne plus vendre d’actions Tesla
Elon Musk a beau être l’homme le plus riche du monde, réunir cette somme n’a rien d’évident. Pour aller jusqu’au bout de cette acquisition, il prévoit ainsi de piocher dans sa fortune personnelle et d’obtenir l’aide de partenaires financiers.
Et justement, les grandes manœuvres ont peut-être déjà commencé dès cette semaine. On a ainsi appris que le CEO de Tesla a revendu 4,4 millions d’actions de cette société ce mardi, selon les dépôts réglementaires enregistrés par la SEC, le gendarme de la Bourse américain. La valeur totale de ces ventes s’élève à environ 4 milliards de dollars. Elon Musk a par ailleurs promis qu’il n’allait pas céder davantage de titres du constructeur automobile.
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Si l’on ignore à quoi pourrait servir cet argent, cela ne sera en tout cas pas suffisant pour couvrir la somme nécessaire pour racheter Twitter. Nos confrères de Techcrunch notent tout de même que 4 milliards de dollars pourraient permettre de payer le milliard de dollars de résiliation de l’accord de rachat du réseau social, si l’opération capotait.
Ces dernières semaines, il semble bien difficile d’y voir clair dans les manœuvres d’Elon Musk. Alors qu’il s’affaire à acquérir Twitter, le patron de SpaceX multiplie les provocations à destination de la plateforme et de ses dirigeants actuels.
En interne, ses positions visant à atténuer la modération sont critiquées, à l’image de cet employé qui déclare en gardant l’anonymat : « Mais l’idée d’amener plus de liberté d’expression sur la plateforme expose sa naïveté lorsqu’on creuse un peu le sujet. Beaucoup de plateformes ont été fondées sur ce principe de liberté d’expression, mais dans la réalité, soit elles deviennent des cloaques étouffants, soit elles réalisent qu’un certain niveau de modération est nécessaire ».
À moins que vous ne viviez au fin fond d’une grotte ces derniers jours, vous n’avez probablement pas manqué l’officialisation du rachat de Twitter par Elon Musk ce lundi. Le coût de l’opération qui devrait, sauf accident, être bouclée dans le courant de l’année, s’élève à 44 milliards de dollars.
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Elon Musk a beau être l’homme le plus riche du monde, réunir cette somme n’a rien d’évident. Pour aller jusqu’au bout de cette acquisition, il prévoit ainsi de piocher dans sa fortune personnelle et d’obtenir l’aide de partenaires financiers.
Et justement, les grandes manœuvres ont peut-être déjà commencé dès cette semaine. On a ainsi appris que le CEO de Tesla a revendu 4,4 millions d’actions de cette société ce mardi, selon les dépôts réglementaires enregistrés par la SEC, le gendarme de la Bourse américain. La valeur totale de ces ventes s’élève à environ 4 milliards de dollars. Elon Musk a par ailleurs promis qu’il n’allait pas céder davantage de titres du constructeur automobile.
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Ces dernières semaines, il semble bien difficile d’y voir clair dans les manœuvres d’Elon Musk. Alors qu’il s’affaire à acquérir Twitter, le patron de SpaceX multiplie les provocations à destination de la plateforme et de ses dirigeants actuels.
En interne, ses positions visant à atténuer la modération sont critiquées, à l’image de cet employé qui déclare en gardant l’anonymat : « Mais l’idée d’amener plus de liberté d’expression sur la plateforme expose sa naïveté lorsqu’on creuse un peu le sujet. Beaucoup de plateformes ont été fondées sur ce principe de liberté d’expression, mais dans la réalité, soit elles deviennent des cloaques étouffants, soit elles réalisent qu’un certain niveau de modération est nécessaire ».
À moins que vous ne viviez au fin fond d’une grotte ces derniers jours, vous n’avez probablement pas manqué l’officialisation du rachat de Twitter par Elon Musk ce lundi. Le coût de l’opération qui devrait, sauf accident, être bouclée dans le courant de l’année, s’élève à 44 milliards de dollars.
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Et justement, les grandes manœuvres ont peut-être déjà commencé dès cette semaine. On a ainsi appris que le CEO de Tesla a revendu 4,4 millions d’actions de cette société ce mardi, selon les dépôts réglementaires enregistrés par la SEC, le gendarme de la Bourse américain. La valeur totale de ces ventes s’élève à environ 4 milliards de dollars. Elon Musk a par ailleurs promis qu’il n’allait pas céder davantage de titres du constructeur automobile.
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Ces dernières semaines, il semble bien difficile d’y voir clair dans les manœuvres d’Elon Musk. Alors qu’il s’affaire à acquérir Twitter, le patron de SpaceX multiplie les provocations à destination de la plateforme et de ses dirigeants actuels.
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No further TSLA sales planned after today
— Elon Musk (@elonmusk) April 29, 2022
Si l’on ignore à quoi pourrait servir cet argent, cela ne sera en tout cas pas suffisant pour couvrir la somme nécessaire pour racheter Twitter. Nos confrères de Techcrunch notent tout de même que 4 milliards de dollars pourraient permettre de payer le milliard de dollars de résiliation de l’accord de rachat du réseau social, si l’opération capotait.
Ces dernières semaines, il semble bien difficile d’y voir clair dans les manœuvres d’Elon Musk. Alors qu’il s’affaire à acquérir Twitter, le patron de SpaceX multiplie les provocations à destination de la plateforme et de ses dirigeants actuels.
En interne, ses positions visant à atténuer la modération sont critiquées, à l’image de cet employé qui déclare en gardant l’anonymat : « Mais l’idée d’amener plus de liberté d’expression sur la plateforme expose sa naïveté lorsqu’on creuse un peu le sujet. Beaucoup de plateformes ont été fondées sur ce principe de liberté d’expression, mais dans la réalité, soit elles deviennent des cloaques étouffants, soit elles réalisent qu’un certain niveau de modération est nécessaire ».
À moins que vous ne viviez au fin fond d’une grotte ces derniers jours, vous n’avez probablement pas manqué l’officialisation du rachat de Twitter par Elon Musk ce lundi. Le coût de l’opération qui devrait, sauf accident, être bouclée dans le courant de l’année, s’élève à 44 milliards de dollars.
Elon Musk promet de ne plus vendre d’actions Tesla
Elon Musk a beau être l’homme le plus riche du monde, réunir cette somme n’a rien d’évident. Pour aller jusqu’au bout de cette acquisition, il prévoit ainsi de piocher dans sa fortune personnelle et d’obtenir l’aide de partenaires financiers.
Et justement, les grandes manœuvres ont peut-être déjà commencé dès cette semaine. On a ainsi appris que le CEO de Tesla a revendu 4,4 millions d’actions de cette société ce mardi, selon les dépôts réglementaires enregistrés par la SEC, le gendarme de la Bourse américain. La valeur totale de ces ventes s’élève à environ 4 milliards de dollars. Elon Musk a par ailleurs promis qu’il n’allait pas céder davantage de titres du constructeur automobile.
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— Elon Musk (@elonmusk) April 29, 2022
Si l’on ignore à quoi pourrait servir cet argent, cela ne sera en tout cas pas suffisant pour couvrir la somme nécessaire pour racheter Twitter. Nos confrères de Techcrunch notent tout de même que 4 milliards de dollars pourraient permettre de payer le milliard de dollars de résiliation de l’accord de rachat du réseau social, si l’opération capotait.
Ces dernières semaines, il semble bien difficile d’y voir clair dans les manœuvres d’Elon Musk. Alors qu’il s’affaire à acquérir Twitter, le patron de SpaceX multiplie les provocations à destination de la plateforme et de ses dirigeants actuels.
En interne, ses positions visant à atténuer la modération sont critiquées, à l’image de cet employé qui déclare en gardant l’anonymat : « Mais l’idée d’amener plus de liberté d’expression sur la plateforme expose sa naïveté lorsqu’on creuse un peu le sujet. Beaucoup de plateformes ont été fondées sur ce principe de liberté d’expression, mais dans la réalité, soit elles deviennent des cloaques étouffants, soit elles réalisent qu’un certain niveau de modération est nécessaire ».
À moins que vous ne viviez au fin fond d’une grotte ces derniers jours, vous n’avez probablement pas manqué l’officialisation du rachat de Twitter par Elon Musk ce lundi. Le coût de l’opération qui devrait, sauf accident, être bouclée dans le courant de l’année, s’élève à 44 milliards de dollars.
Elon Musk promet de ne plus vendre d’actions Tesla
Elon Musk a beau être l’homme le plus riche du monde, réunir cette somme n’a rien d’évident. Pour aller jusqu’au bout de cette acquisition, il prévoit ainsi de piocher dans sa fortune personnelle et d’obtenir l’aide de partenaires financiers.
Et justement, les grandes manœuvres ont peut-être déjà commencé dès cette semaine. On a ainsi appris que le CEO de Tesla a revendu 4,4 millions d’actions de cette société ce mardi, selon les dépôts réglementaires enregistrés par la SEC, le gendarme de la Bourse américain. La valeur totale de ces ventes s’élève à environ 4 milliards de dollars. Elon Musk a par ailleurs promis qu’il n’allait pas céder davantage de titres du constructeur automobile.
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Si l’on ignore à quoi pourrait servir cet argent, cela ne sera en tout cas pas suffisant pour couvrir la somme nécessaire pour racheter Twitter. Nos confrères de Techcrunch notent tout de même que 4 milliards de dollars pourraient permettre de payer le milliard de dollars de résiliation de l’accord de rachat du réseau social, si l’opération capotait.
Ces dernières semaines, il semble bien difficile d’y voir clair dans les manœuvres d’Elon Musk. Alors qu’il s’affaire à acquérir Twitter, le patron de SpaceX multiplie les provocations à destination de la plateforme et de ses dirigeants actuels.
En interne, ses positions visant à atténuer la modération sont critiquées, à l’image de cet employé qui déclare en gardant l’anonymat : « Mais l’idée d’amener plus de liberté d’expression sur la plateforme expose sa naïveté lorsqu’on creuse un peu le sujet. Beaucoup de plateformes ont été fondées sur ce principe de liberté d’expression, mais dans la réalité, soit elles deviennent des cloaques étouffants, soit elles réalisent qu’un certain niveau de modération est nécessaire ».
À moins que vous ne viviez au fin fond d’une grotte ces derniers jours, vous n’avez probablement pas manqué l’officialisation du rachat de Twitter par Elon Musk ce lundi. Le coût de l’opération qui devrait, sauf accident, être bouclée dans le courant de l’année, s’élève à 44 milliards de dollars.
Elon Musk promet de ne plus vendre d’actions Tesla
Elon Musk a beau être l’homme le plus riche du monde, réunir cette somme n’a rien d’évident. Pour aller jusqu’au bout de cette acquisition, il prévoit ainsi de piocher dans sa fortune personnelle et d’obtenir l’aide de partenaires financiers.
Et justement, les grandes manœuvres ont peut-être déjà commencé dès cette semaine. On a ainsi appris que le CEO de Tesla a revendu 4,4 millions d’actions de cette société ce mardi, selon les dépôts réglementaires enregistrés par la SEC, le gendarme de la Bourse américain. La valeur totale de ces ventes s’élève à environ 4 milliards de dollars. Elon Musk a par ailleurs promis qu’il n’allait pas céder davantage de titres du constructeur automobile.
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Si l’on ignore à quoi pourrait servir cet argent, cela ne sera en tout cas pas suffisant pour couvrir la somme nécessaire pour racheter Twitter. Nos confrères de Techcrunch notent tout de même que 4 milliards de dollars pourraient permettre de payer le milliard de dollars de résiliation de l’accord de rachat du réseau social, si l’opération capotait.
Ces dernières semaines, il semble bien difficile d’y voir clair dans les manœuvres d’Elon Musk. Alors qu’il s’affaire à acquérir Twitter, le patron de SpaceX multiplie les provocations à destination de la plateforme et de ses dirigeants actuels.
En interne, ses positions visant à atténuer la modération sont critiquées, à l’image de cet employé qui déclare en gardant l’anonymat : « Mais l’idée d’amener plus de liberté d’expression sur la plateforme expose sa naïveté lorsqu’on creuse un peu le sujet. Beaucoup de plateformes ont été fondées sur ce principe de liberté d’expression, mais dans la réalité, soit elles deviennent des cloaques étouffants, soit elles réalisent qu’un certain niveau de modération est nécessaire ».
À moins que vous ne viviez au fin fond d’une grotte ces derniers jours, vous n’avez probablement pas manqué l’officialisation du rachat de Twitter par Elon Musk ce lundi. Le coût de l’opération qui devrait, sauf accident, être bouclée dans le courant de l’année, s’élève à 44 milliards de dollars.
Elon Musk promet de ne plus vendre d’actions Tesla
Elon Musk a beau être l’homme le plus riche du monde, réunir cette somme n’a rien d’évident. Pour aller jusqu’au bout de cette acquisition, il prévoit ainsi de piocher dans sa fortune personnelle et d’obtenir l’aide de partenaires financiers.
Et justement, les grandes manœuvres ont peut-être déjà commencé dès cette semaine. On a ainsi appris que le CEO de Tesla a revendu 4,4 millions d’actions de cette société ce mardi, selon les dépôts réglementaires enregistrés par la SEC, le gendarme de la Bourse américain. La valeur totale de ces ventes s’élève à environ 4 milliards de dollars. Elon Musk a par ailleurs promis qu’il n’allait pas céder davantage de titres du constructeur automobile.
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Si l’on ignore à quoi pourrait servir cet argent, cela ne sera en tout cas pas suffisant pour couvrir la somme nécessaire pour racheter Twitter. Nos confrères de Techcrunch notent tout de même que 4 milliards de dollars pourraient permettre de payer le milliard de dollars de résiliation de l’accord de rachat du réseau social, si l’opération capotait.
Ces dernières semaines, il semble bien difficile d’y voir clair dans les manœuvres d’Elon Musk. Alors qu’il s’affaire à acquérir Twitter, le patron de SpaceX multiplie les provocations à destination de la plateforme et de ses dirigeants actuels.
En interne, ses positions visant à atténuer la modération sont critiquées, à l’image de cet employé qui déclare en gardant l’anonymat : « Mais l’idée d’amener plus de liberté d’expression sur la plateforme expose sa naïveté lorsqu’on creuse un peu le sujet. Beaucoup de plateformes ont été fondées sur ce principe de liberté d’expression, mais dans la réalité, soit elles deviennent des cloaques étouffants, soit elles réalisent qu’un certain niveau de modération est nécessaire ».
