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Home » Après avoir racheté le leader des GIFs, Facebook fait peur aux autorités

Après avoir racheté le leader des GIFs, Facebook fait peur aux autorités

digitalroundup_e8kf4d Par digitalroundup_e8kf4d
30/11/2021
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Mise à jour (30/11/2021) :

C’est officiel, dans un communiqué de presse, l’autorité de la concurrence britannique annonce sa décision. « Après avoir consulté les entreprises et les organisations intéressées – et évalué les solutions alternatives (appelées « recours ») proposées par Facebook – la CMA a conclu que ses problèmes de concurrence ne peuvent être résolus que si Facebook vend Giphy dans son intégralité à un acheteur approuvé », lit-on dans le communiqué.

Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

Une décision dans quelques jours ?

En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

Facebook

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C’est officiel, dans un communiqué de presse, l’autorité de la concurrence britannique annonce sa décision. « Après avoir consulté les entreprises et les organisations intéressées – et évalué les solutions alternatives (appelées « recours ») proposées par Facebook – la CMA a conclu que ses problèmes de concurrence ne peuvent être résolus que si Facebook vend Giphy dans son intégralité à un acheteur approuvé », lit-on dans le communiqué.

Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

Une décision dans quelques jours ?

En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

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Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

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Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

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Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

Une décision dans quelques jours ?

En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

Facebook

2.1 / 5

123,0 M avis

Mise à jour (30/11/2021) :

C’est officiel, dans un communiqué de presse, l’autorité de la concurrence britannique annonce sa décision. « Après avoir consulté les entreprises et les organisations intéressées – et évalué les solutions alternatives (appelées « recours ») proposées par Facebook – la CMA a conclu que ses problèmes de concurrence ne peuvent être résolus que si Facebook vend Giphy dans son intégralité à un acheteur approuvé », lit-on dans le communiqué.

Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

Une décision dans quelques jours ?

En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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C’est officiel, dans un communiqué de presse, l’autorité de la concurrence britannique annonce sa décision. « Après avoir consulté les entreprises et les organisations intéressées – et évalué les solutions alternatives (appelées « recours ») proposées par Facebook – la CMA a conclu que ses problèmes de concurrence ne peuvent être résolus que si Facebook vend Giphy dans son intégralité à un acheteur approuvé », lit-on dans le communiqué.

Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

Une décision dans quelques jours ?

En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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C’est officiel, dans un communiqué de presse, l’autorité de la concurrence britannique annonce sa décision. « Après avoir consulté les entreprises et les organisations intéressées – et évalué les solutions alternatives (appelées « recours ») proposées par Facebook – la CMA a conclu que ses problèmes de concurrence ne peuvent être résolus que si Facebook vend Giphy dans son intégralité à un acheteur approuvé », lit-on dans le communiqué.

Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

Une décision dans quelques jours ?

En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

Une décision dans quelques jours ?

En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

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Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

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Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

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C’est officiel, dans un communiqué de presse, l’autorité de la concurrence britannique annonce sa décision. « Après avoir consulté les entreprises et les organisations intéressées – et évalué les solutions alternatives (appelées « recours ») proposées par Facebook – la CMA a conclu que ses problèmes de concurrence ne peuvent être résolus que si Facebook vend Giphy dans son intégralité à un acheteur approuvé », lit-on dans le communiqué.

Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

Facebook

2.1 / 5

123,0 M avis

Mise à jour (30/11/2021) :

C’est officiel, dans un communiqué de presse, l’autorité de la concurrence britannique annonce sa décision. « Après avoir consulté les entreprises et les organisations intéressées – et évalué les solutions alternatives (appelées « recours ») proposées par Facebook – la CMA a conclu que ses problèmes de concurrence ne peuvent être résolus que si Facebook vend Giphy dans son intégralité à un acheteur approuvé », lit-on dans le communiqué.

Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

Une décision dans quelques jours ?

En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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C’est officiel, dans un communiqué de presse, l’autorité de la concurrence britannique annonce sa décision. « Après avoir consulté les entreprises et les organisations intéressées – et évalué les solutions alternatives (appelées « recours ») proposées par Facebook – la CMA a conclu que ses problèmes de concurrence ne peuvent être résolus que si Facebook vend Giphy dans son intégralité à un acheteur approuvé », lit-on dans le communiqué.

Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

Une décision dans quelques jours ?

En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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C’est officiel, dans un communiqué de presse, l’autorité de la concurrence britannique annonce sa décision. « Après avoir consulté les entreprises et les organisations intéressées – et évalué les solutions alternatives (appelées « recours ») proposées par Facebook – la CMA a conclu que ses problèmes de concurrence ne peuvent être résolus que si Facebook vend Giphy dans son intégralité à un acheteur approuvé », lit-on dans le communiqué.

Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

Une décision dans quelques jours ?

En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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C’est officiel, dans un communiqué de presse, l’autorité de la concurrence britannique annonce sa décision. « Après avoir consulté les entreprises et les organisations intéressées – et évalué les solutions alternatives (appelées « recours ») proposées par Facebook – la CMA a conclu que ses problèmes de concurrence ne peuvent être résolus que si Facebook vend Giphy dans son intégralité à un acheteur approuvé », lit-on dans le communiqué.

Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

Une décision dans quelques jours ?

En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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C’est officiel, dans un communiqué de presse, l’autorité de la concurrence britannique annonce sa décision. « Après avoir consulté les entreprises et les organisations intéressées – et évalué les solutions alternatives (appelées « recours ») proposées par Facebook – la CMA a conclu que ses problèmes de concurrence ne peuvent être résolus que si Facebook vend Giphy dans son intégralité à un acheteur approuvé », lit-on dans le communiqué.

Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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C’est officiel, dans un communiqué de presse, l’autorité de la concurrence britannique annonce sa décision. « Après avoir consulté les entreprises et les organisations intéressées – et évalué les solutions alternatives (appelées « recours ») proposées par Facebook – la CMA a conclu que ses problèmes de concurrence ne peuvent être résolus que si Facebook vend Giphy dans son intégralité à un acheteur approuvé », lit-on dans le communiqué.

Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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C’est officiel, dans un communiqué de presse, l’autorité de la concurrence britannique annonce sa décision. « Après avoir consulté les entreprises et les organisations intéressées – et évalué les solutions alternatives (appelées « recours ») proposées par Facebook – la CMA a conclu que ses problèmes de concurrence ne peuvent être résolus que si Facebook vend Giphy dans son intégralité à un acheteur approuvé », lit-on dans le communiqué.

Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

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Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

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C’est officiel, dans un communiqué de presse, l’autorité de la concurrence britannique annonce sa décision. « Après avoir consulté les entreprises et les organisations intéressées – et évalué les solutions alternatives (appelées « recours ») proposées par Facebook – la CMA a conclu que ses problèmes de concurrence ne peuvent être résolus que si Facebook vend Giphy dans son intégralité à un acheteur approuvé », lit-on dans le communiqué.

Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

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C’est officiel, dans un communiqué de presse, l’autorité de la concurrence britannique annonce sa décision. « Après avoir consulté les entreprises et les organisations intéressées – et évalué les solutions alternatives (appelées « recours ») proposées par Facebook – la CMA a conclu que ses problèmes de concurrence ne peuvent être résolus que si Facebook vend Giphy dans son intégralité à un acheteur approuvé », lit-on dans le communiqué.

Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

Une décision dans quelques jours ?

En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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2.1 / 5

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C’est officiel, dans un communiqué de presse, l’autorité de la concurrence britannique annonce sa décision. « Après avoir consulté les entreprises et les organisations intéressées – et évalué les solutions alternatives (appelées « recours ») proposées par Facebook – la CMA a conclu que ses problèmes de concurrence ne peuvent être résolus que si Facebook vend Giphy dans son intégralité à un acheteur approuvé », lit-on dans le communiqué.

Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

Une décision dans quelques jours ?

En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

Une décision dans quelques jours ?

En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

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Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

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Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

Une décision dans quelques jours ?

En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

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Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

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Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

Une décision dans quelques jours ?

En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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C’est officiel, dans un communiqué de presse, l’autorité de la concurrence britannique annonce sa décision. « Après avoir consulté les entreprises et les organisations intéressées – et évalué les solutions alternatives (appelées « recours ») proposées par Facebook – la CMA a conclu que ses problèmes de concurrence ne peuvent être résolus que si Facebook vend Giphy dans son intégralité à un acheteur approuvé », lit-on dans le communiqué.

Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

Une décision dans quelques jours ?

En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

Facebook

2.1 / 5

123,0 M avis

Mise à jour (30/11/2021) :

C’est officiel, dans un communiqué de presse, l’autorité de la concurrence britannique annonce sa décision. « Après avoir consulté les entreprises et les organisations intéressées – et évalué les solutions alternatives (appelées « recours ») proposées par Facebook – la CMA a conclu que ses problèmes de concurrence ne peuvent être résolus que si Facebook vend Giphy dans son intégralité à un acheteur approuvé », lit-on dans le communiqué.

Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

Une décision dans quelques jours ?

En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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C’est officiel, dans un communiqué de presse, l’autorité de la concurrence britannique annonce sa décision. « Après avoir consulté les entreprises et les organisations intéressées – et évalué les solutions alternatives (appelées « recours ») proposées par Facebook – la CMA a conclu que ses problèmes de concurrence ne peuvent être résolus que si Facebook vend Giphy dans son intégralité à un acheteur approuvé », lit-on dans le communiqué.

Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

Une décision dans quelques jours ?

En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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C’est officiel, dans un communiqué de presse, l’autorité de la concurrence britannique annonce sa décision. « Après avoir consulté les entreprises et les organisations intéressées – et évalué les solutions alternatives (appelées « recours ») proposées par Facebook – la CMA a conclu que ses problèmes de concurrence ne peuvent être résolus que si Facebook vend Giphy dans son intégralité à un acheteur approuvé », lit-on dans le communiqué.

Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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C’est officiel, dans un communiqué de presse, l’autorité de la concurrence britannique annonce sa décision. « Après avoir consulté les entreprises et les organisations intéressées – et évalué les solutions alternatives (appelées « recours ») proposées par Facebook – la CMA a conclu que ses problèmes de concurrence ne peuvent être résolus que si Facebook vend Giphy dans son intégralité à un acheteur approuvé », lit-on dans le communiqué.

Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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C’est officiel, dans un communiqué de presse, l’autorité de la concurrence britannique annonce sa décision. « Après avoir consulté les entreprises et les organisations intéressées – et évalué les solutions alternatives (appelées « recours ») proposées par Facebook – la CMA a conclu que ses problèmes de concurrence ne peuvent être résolus que si Facebook vend Giphy dans son intégralité à un acheteur approuvé », lit-on dans le communiqué.

Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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C’est officiel, dans un communiqué de presse, l’autorité de la concurrence britannique annonce sa décision. « Après avoir consulté les entreprises et les organisations intéressées – et évalué les solutions alternatives (appelées « recours ») proposées par Facebook – la CMA a conclu que ses problèmes de concurrence ne peuvent être résolus que si Facebook vend Giphy dans son intégralité à un acheteur approuvé », lit-on dans le communiqué.

Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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C’est officiel, dans un communiqué de presse, l’autorité de la concurrence britannique annonce sa décision. « Après avoir consulté les entreprises et les organisations intéressées – et évalué les solutions alternatives (appelées « recours ») proposées par Facebook – la CMA a conclu que ses problèmes de concurrence ne peuvent être résolus que si Facebook vend Giphy dans son intégralité à un acheteur approuvé », lit-on dans le communiqué.

Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

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C’est officiel, dans un communiqué de presse, l’autorité de la concurrence britannique annonce sa décision. « Après avoir consulté les entreprises et les organisations intéressées – et évalué les solutions alternatives (appelées « recours ») proposées par Facebook – la CMA a conclu que ses problèmes de concurrence ne peuvent être résolus que si Facebook vend Giphy dans son intégralité à un acheteur approuvé », lit-on dans le communiqué.

Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

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C’est officiel, dans un communiqué de presse, l’autorité de la concurrence britannique annonce sa décision. « Après avoir consulté les entreprises et les organisations intéressées – et évalué les solutions alternatives (appelées « recours ») proposées par Facebook – la CMA a conclu que ses problèmes de concurrence ne peuvent être résolus que si Facebook vend Giphy dans son intégralité à un acheteur approuvé », lit-on dans le communiqué.

Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

Une décision dans quelques jours ?

En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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C’est officiel, dans un communiqué de presse, l’autorité de la concurrence britannique annonce sa décision. « Après avoir consulté les entreprises et les organisations intéressées – et évalué les solutions alternatives (appelées « recours ») proposées par Facebook – la CMA a conclu que ses problèmes de concurrence ne peuvent être résolus que si Facebook vend Giphy dans son intégralité à un acheteur approuvé », lit-on dans le communiqué.

Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

Une décision dans quelques jours ?

En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

Facebook

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Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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En attendant la décision finale de la CMA, des rumeurs circulent déjà sur le sujet. Et celles-ci pourraient faire trembler les dirigeants de Meta.

Selon un article publié par le Financial Times, la CMA pourrait annoncer une décision dans quelques jours : bloquer l’acquisition de Giphy. Si cela se produit, Meta serait alors obligé de revendre cette société.

Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

En tout cas, si l’autorité de la concurrence britannique décide de défaire l’acquisition de Giphy, cela créerait un nouveau précédent. Selon le Financial Times, ce serait en effet la première fois que la CMA fait annuler un accord d’un géant de la tech.

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Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

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Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

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Bien entendu, Meta n’est pas d’accord avec les accusations du régulateur britannique. « Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions préliminaires de l’AMC, que nous ne croyons pas étayées par les preuves. Comme nous l’avons démontré, cette fusion est dans le meilleur intérêt des personnes et des entreprises au Royaume-Uni – et dans le monde – qui utilisent GIPHY et nos services », commentait un porte-parole, il y a quelques mois.

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Article original, publié le 29/11/2021 :

Meta (anciennement Facebook) a déjà réalisé de nombreuses acquisitions afin de renforcer ses produits et services. Et parmi les acquisitions les plus importantes de l’histoire de l’entreprise, il y a celle de Giphy pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition a été annoncée en mai 2020.

Pour rappel, Giphy est une plateforme qui permet de partager des GIF (des images animées) sur d’autres sites. Et Giphy et Meta étaient déjà très interdépendants avant cette acquisition puisque, d’après les explications de Mark Zuckerberg, 50 % du trafic de Giphy provient des apps de son groupe.

L’acquisition de cette entreprise par Meta est donc tout à fait logique. Cependant, celle-ci a été suivie de près par la CMA, l’autorité de la concurrence britannique. En janvier, cette agence avait annoncé l’ouverture d’une enquête. Celle-ci craignait que grâce à cette acquisition, Meta puisse avoir un pouvoir de marché considérable, que ce soit sur la publicité, ou sur les données personnelles.

Par exemple, Meta pourrait empêcher ses concurrents d’accéder aux fonctionnalités de partage de GIFs de Giphy. Ou bien, l’entreprise pourrait aussi obliger les sociétés comme TikTok ou Snapchat à fournir des données d’utilisateurs s’ils souhaitent utiliser cette plateforme de partage de GIFs.

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