
1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.

1,03 milliard d’euros, c’est ce qu’aurait coûté le piratage des contenus audiovisuels et sportifs au cours de l’année 2019 en France. Cela signifie que 9 % de ce marché global de 11,6 milliards d’euros partent en fumée. Face à ce phénomène, la pression des ayant-droit s’accentue et le parlement français vient justement d’adopter une loi visant à mieux contrer les IPTV.
Comment lutter contre le piratage des retransmissions sportives ?
Un rapport publié par Synamedia, une société britannique spécialisée dans le streaming, fournit également des informations intéressantes sur le piratage de retransmissions sportives. Au terme d’une vaste enquête menée auprès d’internautes résidant dans dix pays (Allemagne, Arabie saoudite, Brésil, Égypte, Inde, Italie, Jordanie, Malaisie, Royaume-Uni et États-Unis), les experts ont tout d’abord pu constater l’écrasante domination du football.
Il s’agit du sport le plus piraté dans tous ces pays, à l’exception de l’Inde où le cricket pointe en première position. Les auteurs notent aussi que la moitié des personnes qui consomment des contenus sportifs piratés commencent par visionner du foot avant de passer à d’autres disciplines.
Les chercheurs constatent par ailleurs que les internautes piratent avant tout pour des motifs financiers. Ils n’ont en effet souvent pas les moyens de se payer les abonnements légaux.
Un autre problème évoqué est l’absence d’offre légale dans certains cas. Les consommateurs se tournent alors de manière logique vers des offres alternatives pirates. Or, ces « trous noirs de disponibilité » les amènent ensuite à visionner davantage de contenus piratés, explique Synamedia.
Forts de ces constats, les analystes se demandent ensuite comment contrer le piratage sportif. Selon eux, il convient de rendre ce dernier moins attrayant en coupant les flux illégaux. Il faudrait aussi s’assurer que les clients potentiels puissent trouver des offres légales à des tarifs abordables. Si ces conditions sont respectées, une manne colossale de 28 milliards de dollars pourrait alors revenir dans les poches des ayant-droits.