En juillet dernier, Facebook a annoncé une série de mesures visant à mieux protéger les utilisateurs de ses applications âgés de moins de 18 ans. En matière de publicité, la firme de Mark Zuckerberg ne permet ainsi plus aux annonceurs de cibler des mineurs en se basant sur leurs intérêts. Ces jeunes internautes peuvent toutefois être ciblés en fonction de leur âge, du genre, et de leur localisation.
Dans une lettre adressée à Mark Zuckerberg, un collectif de 46 ONG, dont Amnesty International USA, Fairplay, ou encore #jesuislà, accusent clairement le géant de la Tech d’avoir trompé le public avec ces annonces sur le ciblage publicitaire sur les adolescents.
Facebook nie en bloc
Selon la coalition, qui s’appuie sur une étude, ce dernier continue de plus belle. Ils précisent : « Alors que Facebook affirme qu’il ne permettra plus aux annonceurs de cibler sélectivement les adolescents, il semble que Facebook lui-même continue de cibler les adolescents », indique la lettre.
La recherche, menée par Reset Australia avec l’aide d’un journaliste, a consisté en la création de trois comptes d’utilisateurs : l’un âgé de 13 ans et les deux autres de 16 ans. Cela leur a permis de constater que Facebook continue bien de collecter des données sur ces derniers.
Ils précisent que l’IA entre en ligne de compte via « un algorithme extrêmement puissant qui est capable de prédire les publicités avec lesquelles chaque utilisateur peut interagir ». De même, selon Cnet, Facebook collecterait « les données à partir des onglets de navigateur et des pages que les enfants ouvrent, des informations comme les boutons sur lesquels ils cliquent, les termes qu’ils ont recherchés et les produits qu’ils ont achetés ou mis dans leur panier ».
Cité par nos confrères, Joe Osborne, porte-parole de Meta (nouveau nom du groupe Facebook), a expliqué que la société n’avait pas encore vu le rapport mais qu’elle « n’utilise pas les données des sites web et des applications de nos annonceurs et partenaires pour personnaliser les publicités destinées aux personnes de moins de 18 ans ».
Il ajoute : « La raison pour laquelle ces informations apparaissent dans nos outils de transparence est que les adolescents visitent des sites ou des apps qui utilisent nos outils commerciaux. Nous voulons assurer la transparence des données que nous recevons, même si elles ne sont pas utilisées pour la personnalisation des annonces ».
Quoi qu’il en soit cette nouvelle accusation tombe assez mal pour Facebook qui fait l’objet de nombreuses révélations depuis la rentrée. Frances Haugen, une ancienne employée, accuse le géant de la Tech de privilégier la course au profit au détriment du bien-être de ses utilisateurs, ce que le géant du web nie vigoureusement.

En juillet dernier, Facebook a annoncé une série de mesures visant à mieux protéger les utilisateurs de ses applications âgés de moins de 18 ans. En matière de publicité, la firme de Mark Zuckerberg ne permet ainsi plus aux annonceurs de cibler des mineurs en se basant sur leurs intérêts. Ces jeunes internautes peuvent toutefois être ciblés en fonction de leur âge, du genre, et de leur localisation.
Dans une lettre adressée à Mark Zuckerberg, un collectif de 46 ONG, dont Amnesty International USA, Fairplay, ou encore #jesuislà, accusent clairement le géant de la Tech d’avoir trompé le public avec ces annonces sur le ciblage publicitaire sur les adolescents.
Facebook nie en bloc
Selon la coalition, qui s’appuie sur une étude, ce dernier continue de plus belle. Ils précisent : « Alors que Facebook affirme qu’il ne permettra plus aux annonceurs de cibler sélectivement les adolescents, il semble que Facebook lui-même continue de cibler les adolescents », indique la lettre.
La recherche, menée par Reset Australia avec l’aide d’un journaliste, a consisté en la création de trois comptes d’utilisateurs : l’un âgé de 13 ans et les deux autres de 16 ans. Cela leur a permis de constater que Facebook continue bien de collecter des données sur ces derniers.
Ils précisent que l’IA entre en ligne de compte via « un algorithme extrêmement puissant qui est capable de prédire les publicités avec lesquelles chaque utilisateur peut interagir ». De même, selon Cnet, Facebook collecterait « les données à partir des onglets de navigateur et des pages que les enfants ouvrent, des informations comme les boutons sur lesquels ils cliquent, les termes qu’ils ont recherchés et les produits qu’ils ont achetés ou mis dans leur panier ».
Cité par nos confrères, Joe Osborne, porte-parole de Meta (nouveau nom du groupe Facebook), a expliqué que la société n’avait pas encore vu le rapport mais qu’elle « n’utilise pas les données des sites web et des applications de nos annonceurs et partenaires pour personnaliser les publicités destinées aux personnes de moins de 18 ans ».
Il ajoute : « La raison pour laquelle ces informations apparaissent dans nos outils de transparence est que les adolescents visitent des sites ou des apps qui utilisent nos outils commerciaux. Nous voulons assurer la transparence des données que nous recevons, même si elles ne sont pas utilisées pour la personnalisation des annonces ».
Quoi qu’il en soit cette nouvelle accusation tombe assez mal pour Facebook qui fait l’objet de nombreuses révélations depuis la rentrée. Frances Haugen, une ancienne employée, accuse le géant de la Tech de privilégier la course au profit au détriment du bien-être de ses utilisateurs, ce que le géant du web nie vigoureusement.

En juillet dernier, Facebook a annoncé une série de mesures visant à mieux protéger les utilisateurs de ses applications âgés de moins de 18 ans. En matière de publicité, la firme de Mark Zuckerberg ne permet ainsi plus aux annonceurs de cibler des mineurs en se basant sur leurs intérêts. Ces jeunes internautes peuvent toutefois être ciblés en fonction de leur âge, du genre, et de leur localisation.
Dans une lettre adressée à Mark Zuckerberg, un collectif de 46 ONG, dont Amnesty International USA, Fairplay, ou encore #jesuislà, accusent clairement le géant de la Tech d’avoir trompé le public avec ces annonces sur le ciblage publicitaire sur les adolescents.
Facebook nie en bloc
Selon la coalition, qui s’appuie sur une étude, ce dernier continue de plus belle. Ils précisent : « Alors que Facebook affirme qu’il ne permettra plus aux annonceurs de cibler sélectivement les adolescents, il semble que Facebook lui-même continue de cibler les adolescents », indique la lettre.
La recherche, menée par Reset Australia avec l’aide d’un journaliste, a consisté en la création de trois comptes d’utilisateurs : l’un âgé de 13 ans et les deux autres de 16 ans. Cela leur a permis de constater que Facebook continue bien de collecter des données sur ces derniers.
Ils précisent que l’IA entre en ligne de compte via « un algorithme extrêmement puissant qui est capable de prédire les publicités avec lesquelles chaque utilisateur peut interagir ». De même, selon Cnet, Facebook collecterait « les données à partir des onglets de navigateur et des pages que les enfants ouvrent, des informations comme les boutons sur lesquels ils cliquent, les termes qu’ils ont recherchés et les produits qu’ils ont achetés ou mis dans leur panier ».
Cité par nos confrères, Joe Osborne, porte-parole de Meta (nouveau nom du groupe Facebook), a expliqué que la société n’avait pas encore vu le rapport mais qu’elle « n’utilise pas les données des sites web et des applications de nos annonceurs et partenaires pour personnaliser les publicités destinées aux personnes de moins de 18 ans ».
Il ajoute : « La raison pour laquelle ces informations apparaissent dans nos outils de transparence est que les adolescents visitent des sites ou des apps qui utilisent nos outils commerciaux. Nous voulons assurer la transparence des données que nous recevons, même si elles ne sont pas utilisées pour la personnalisation des annonces ».
Quoi qu’il en soit cette nouvelle accusation tombe assez mal pour Facebook qui fait l’objet de nombreuses révélations depuis la rentrée. Frances Haugen, une ancienne employée, accuse le géant de la Tech de privilégier la course au profit au détriment du bien-être de ses utilisateurs, ce que le géant du web nie vigoureusement.

En juillet dernier, Facebook a annoncé une série de mesures visant à mieux protéger les utilisateurs de ses applications âgés de moins de 18 ans. En matière de publicité, la firme de Mark Zuckerberg ne permet ainsi plus aux annonceurs de cibler des mineurs en se basant sur leurs intérêts. Ces jeunes internautes peuvent toutefois être ciblés en fonction de leur âge, du genre, et de leur localisation.
Dans une lettre adressée à Mark Zuckerberg, un collectif de 46 ONG, dont Amnesty International USA, Fairplay, ou encore #jesuislà, accusent clairement le géant de la Tech d’avoir trompé le public avec ces annonces sur le ciblage publicitaire sur les adolescents.
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Selon la coalition, qui s’appuie sur une étude, ce dernier continue de plus belle. Ils précisent : « Alors que Facebook affirme qu’il ne permettra plus aux annonceurs de cibler sélectivement les adolescents, il semble que Facebook lui-même continue de cibler les adolescents », indique la lettre.
La recherche, menée par Reset Australia avec l’aide d’un journaliste, a consisté en la création de trois comptes d’utilisateurs : l’un âgé de 13 ans et les deux autres de 16 ans. Cela leur a permis de constater que Facebook continue bien de collecter des données sur ces derniers.
Ils précisent que l’IA entre en ligne de compte via « un algorithme extrêmement puissant qui est capable de prédire les publicités avec lesquelles chaque utilisateur peut interagir ». De même, selon Cnet, Facebook collecterait « les données à partir des onglets de navigateur et des pages que les enfants ouvrent, des informations comme les boutons sur lesquels ils cliquent, les termes qu’ils ont recherchés et les produits qu’ils ont achetés ou mis dans leur panier ».
Cité par nos confrères, Joe Osborne, porte-parole de Meta (nouveau nom du groupe Facebook), a expliqué que la société n’avait pas encore vu le rapport mais qu’elle « n’utilise pas les données des sites web et des applications de nos annonceurs et partenaires pour personnaliser les publicités destinées aux personnes de moins de 18 ans ».
Il ajoute : « La raison pour laquelle ces informations apparaissent dans nos outils de transparence est que les adolescents visitent des sites ou des apps qui utilisent nos outils commerciaux. Nous voulons assurer la transparence des données que nous recevons, même si elles ne sont pas utilisées pour la personnalisation des annonces ».
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Dans une lettre adressée à Mark Zuckerberg, un collectif de 46 ONG, dont Amnesty International USA, Fairplay, ou encore #jesuislà, accusent clairement le géant de la Tech d’avoir trompé le public avec ces annonces sur le ciblage publicitaire sur les adolescents.
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Selon la coalition, qui s’appuie sur une étude, ce dernier continue de plus belle. Ils précisent : « Alors que Facebook affirme qu’il ne permettra plus aux annonceurs de cibler sélectivement les adolescents, il semble que Facebook lui-même continue de cibler les adolescents », indique la lettre.
La recherche, menée par Reset Australia avec l’aide d’un journaliste, a consisté en la création de trois comptes d’utilisateurs : l’un âgé de 13 ans et les deux autres de 16 ans. Cela leur a permis de constater que Facebook continue bien de collecter des données sur ces derniers.
Ils précisent que l’IA entre en ligne de compte via « un algorithme extrêmement puissant qui est capable de prédire les publicités avec lesquelles chaque utilisateur peut interagir ». De même, selon Cnet, Facebook collecterait « les données à partir des onglets de navigateur et des pages que les enfants ouvrent, des informations comme les boutons sur lesquels ils cliquent, les termes qu’ils ont recherchés et les produits qu’ils ont achetés ou mis dans leur panier ».
Cité par nos confrères, Joe Osborne, porte-parole de Meta (nouveau nom du groupe Facebook), a expliqué que la société n’avait pas encore vu le rapport mais qu’elle « n’utilise pas les données des sites web et des applications de nos annonceurs et partenaires pour personnaliser les publicités destinées aux personnes de moins de 18 ans ».
Il ajoute : « La raison pour laquelle ces informations apparaissent dans nos outils de transparence est que les adolescents visitent des sites ou des apps qui utilisent nos outils commerciaux. Nous voulons assurer la transparence des données que nous recevons, même si elles ne sont pas utilisées pour la personnalisation des annonces ».
Quoi qu’il en soit cette nouvelle accusation tombe assez mal pour Facebook qui fait l’objet de nombreuses révélations depuis la rentrée. Frances Haugen, une ancienne employée, accuse le géant de la Tech de privilégier la course au profit au détriment du bien-être de ses utilisateurs, ce que le géant du web nie vigoureusement.

En juillet dernier, Facebook a annoncé une série de mesures visant à mieux protéger les utilisateurs de ses applications âgés de moins de 18 ans. En matière de publicité, la firme de Mark Zuckerberg ne permet ainsi plus aux annonceurs de cibler des mineurs en se basant sur leurs intérêts. Ces jeunes internautes peuvent toutefois être ciblés en fonction de leur âge, du genre, et de leur localisation.
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Selon la coalition, qui s’appuie sur une étude, ce dernier continue de plus belle. Ils précisent : « Alors que Facebook affirme qu’il ne permettra plus aux annonceurs de cibler sélectivement les adolescents, il semble que Facebook lui-même continue de cibler les adolescents », indique la lettre.
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Quoi qu’il en soit cette nouvelle accusation tombe assez mal pour Facebook qui fait l’objet de nombreuses révélations depuis la rentrée. Frances Haugen, une ancienne employée, accuse le géant de la Tech de privilégier la course au profit au détriment du bien-être de ses utilisateurs, ce que le géant du web nie vigoureusement.

En juillet dernier, Facebook a annoncé une série de mesures visant à mieux protéger les utilisateurs de ses applications âgés de moins de 18 ans. En matière de publicité, la firme de Mark Zuckerberg ne permet ainsi plus aux annonceurs de cibler des mineurs en se basant sur leurs intérêts. Ces jeunes internautes peuvent toutefois être ciblés en fonction de leur âge, du genre, et de leur localisation.
Dans une lettre adressée à Mark Zuckerberg, un collectif de 46 ONG, dont Amnesty International USA, Fairplay, ou encore #jesuislà, accusent clairement le géant de la Tech d’avoir trompé le public avec ces annonces sur le ciblage publicitaire sur les adolescents.
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Selon la coalition, qui s’appuie sur une étude, ce dernier continue de plus belle. Ils précisent : « Alors que Facebook affirme qu’il ne permettra plus aux annonceurs de cibler sélectivement les adolescents, il semble que Facebook lui-même continue de cibler les adolescents », indique la lettre.
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En juillet dernier, Facebook a annoncé une série de mesures visant à mieux protéger les utilisateurs de ses applications âgés de moins de 18 ans. En matière de publicité, la firme de Mark Zuckerberg ne permet ainsi plus aux annonceurs de cibler des mineurs en se basant sur leurs intérêts. Ces jeunes internautes peuvent toutefois être ciblés en fonction de leur âge, du genre, et de leur localisation.
Dans une lettre adressée à Mark Zuckerberg, un collectif de 46 ONG, dont Amnesty International USA, Fairplay, ou encore #jesuislà, accusent clairement le géant de la Tech d’avoir trompé le public avec ces annonces sur le ciblage publicitaire sur les adolescents.
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La recherche, menée par Reset Australia avec l’aide d’un journaliste, a consisté en la création de trois comptes d’utilisateurs : l’un âgé de 13 ans et les deux autres de 16 ans. Cela leur a permis de constater que Facebook continue bien de collecter des données sur ces derniers.
Ils précisent que l’IA entre en ligne de compte via « un algorithme extrêmement puissant qui est capable de prédire les publicités avec lesquelles chaque utilisateur peut interagir ». De même, selon Cnet, Facebook collecterait « les données à partir des onglets de navigateur et des pages que les enfants ouvrent, des informations comme les boutons sur lesquels ils cliquent, les termes qu’ils ont recherchés et les produits qu’ils ont achetés ou mis dans leur panier ».
Cité par nos confrères, Joe Osborne, porte-parole de Meta (nouveau nom du groupe Facebook), a expliqué que la société n’avait pas encore vu le rapport mais qu’elle « n’utilise pas les données des sites web et des applications de nos annonceurs et partenaires pour personnaliser les publicités destinées aux personnes de moins de 18 ans ».
Il ajoute : « La raison pour laquelle ces informations apparaissent dans nos outils de transparence est que les adolescents visitent des sites ou des apps qui utilisent nos outils commerciaux. Nous voulons assurer la transparence des données que nous recevons, même si elles ne sont pas utilisées pour la personnalisation des annonces ».
Quoi qu’il en soit cette nouvelle accusation tombe assez mal pour Facebook qui fait l’objet de nombreuses révélations depuis la rentrée. Frances Haugen, une ancienne employée, accuse le géant de la Tech de privilégier la course au profit au détriment du bien-être de ses utilisateurs, ce que le géant du web nie vigoureusement.

En juillet dernier, Facebook a annoncé une série de mesures visant à mieux protéger les utilisateurs de ses applications âgés de moins de 18 ans. En matière de publicité, la firme de Mark Zuckerberg ne permet ainsi plus aux annonceurs de cibler des mineurs en se basant sur leurs intérêts. Ces jeunes internautes peuvent toutefois être ciblés en fonction de leur âge, du genre, et de leur localisation.
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Selon la coalition, qui s’appuie sur une étude, ce dernier continue de plus belle. Ils précisent : « Alors que Facebook affirme qu’il ne permettra plus aux annonceurs de cibler sélectivement les adolescents, il semble que Facebook lui-même continue de cibler les adolescents », indique la lettre.
La recherche, menée par Reset Australia avec l’aide d’un journaliste, a consisté en la création de trois comptes d’utilisateurs : l’un âgé de 13 ans et les deux autres de 16 ans. Cela leur a permis de constater que Facebook continue bien de collecter des données sur ces derniers.
Ils précisent que l’IA entre en ligne de compte via « un algorithme extrêmement puissant qui est capable de prédire les publicités avec lesquelles chaque utilisateur peut interagir ». De même, selon Cnet, Facebook collecterait « les données à partir des onglets de navigateur et des pages que les enfants ouvrent, des informations comme les boutons sur lesquels ils cliquent, les termes qu’ils ont recherchés et les produits qu’ils ont achetés ou mis dans leur panier ».
Cité par nos confrères, Joe Osborne, porte-parole de Meta (nouveau nom du groupe Facebook), a expliqué que la société n’avait pas encore vu le rapport mais qu’elle « n’utilise pas les données des sites web et des applications de nos annonceurs et partenaires pour personnaliser les publicités destinées aux personnes de moins de 18 ans ».
Il ajoute : « La raison pour laquelle ces informations apparaissent dans nos outils de transparence est que les adolescents visitent des sites ou des apps qui utilisent nos outils commerciaux. Nous voulons assurer la transparence des données que nous recevons, même si elles ne sont pas utilisées pour la personnalisation des annonces ».
Quoi qu’il en soit cette nouvelle accusation tombe assez mal pour Facebook qui fait l’objet de nombreuses révélations depuis la rentrée. Frances Haugen, une ancienne employée, accuse le géant de la Tech de privilégier la course au profit au détriment du bien-être de ses utilisateurs, ce que le géant du web nie vigoureusement.

En juillet dernier, Facebook a annoncé une série de mesures visant à mieux protéger les utilisateurs de ses applications âgés de moins de 18 ans. En matière de publicité, la firme de Mark Zuckerberg ne permet ainsi plus aux annonceurs de cibler des mineurs en se basant sur leurs intérêts. Ces jeunes internautes peuvent toutefois être ciblés en fonction de leur âge, du genre, et de leur localisation.
Dans une lettre adressée à Mark Zuckerberg, un collectif de 46 ONG, dont Amnesty International USA, Fairplay, ou encore #jesuislà, accusent clairement le géant de la Tech d’avoir trompé le public avec ces annonces sur le ciblage publicitaire sur les adolescents.
Facebook nie en bloc
Selon la coalition, qui s’appuie sur une étude, ce dernier continue de plus belle. Ils précisent : « Alors que Facebook affirme qu’il ne permettra plus aux annonceurs de cibler sélectivement les adolescents, il semble que Facebook lui-même continue de cibler les adolescents », indique la lettre.
La recherche, menée par Reset Australia avec l’aide d’un journaliste, a consisté en la création de trois comptes d’utilisateurs : l’un âgé de 13 ans et les deux autres de 16 ans. Cela leur a permis de constater que Facebook continue bien de collecter des données sur ces derniers.
Ils précisent que l’IA entre en ligne de compte via « un algorithme extrêmement puissant qui est capable de prédire les publicités avec lesquelles chaque utilisateur peut interagir ». De même, selon Cnet, Facebook collecterait « les données à partir des onglets de navigateur et des pages que les enfants ouvrent, des informations comme les boutons sur lesquels ils cliquent, les termes qu’ils ont recherchés et les produits qu’ils ont achetés ou mis dans leur panier ».
Cité par nos confrères, Joe Osborne, porte-parole de Meta (nouveau nom du groupe Facebook), a expliqué que la société n’avait pas encore vu le rapport mais qu’elle « n’utilise pas les données des sites web et des applications de nos annonceurs et partenaires pour personnaliser les publicités destinées aux personnes de moins de 18 ans ».
Il ajoute : « La raison pour laquelle ces informations apparaissent dans nos outils de transparence est que les adolescents visitent des sites ou des apps qui utilisent nos outils commerciaux. Nous voulons assurer la transparence des données que nous recevons, même si elles ne sont pas utilisées pour la personnalisation des annonces ».
Quoi qu’il en soit cette nouvelle accusation tombe assez mal pour Facebook qui fait l’objet de nombreuses révélations depuis la rentrée. Frances Haugen, une ancienne employée, accuse le géant de la Tech de privilégier la course au profit au détriment du bien-être de ses utilisateurs, ce que le géant du web nie vigoureusement.

En juillet dernier, Facebook a annoncé une série de mesures visant à mieux protéger les utilisateurs de ses applications âgés de moins de 18 ans. En matière de publicité, la firme de Mark Zuckerberg ne permet ainsi plus aux annonceurs de cibler des mineurs en se basant sur leurs intérêts. Ces jeunes internautes peuvent toutefois être ciblés en fonction de leur âge, du genre, et de leur localisation.
Dans une lettre adressée à Mark Zuckerberg, un collectif de 46 ONG, dont Amnesty International USA, Fairplay, ou encore #jesuislà, accusent clairement le géant de la Tech d’avoir trompé le public avec ces annonces sur le ciblage publicitaire sur les adolescents.
Facebook nie en bloc
Selon la coalition, qui s’appuie sur une étude, ce dernier continue de plus belle. Ils précisent : « Alors que Facebook affirme qu’il ne permettra plus aux annonceurs de cibler sélectivement les adolescents, il semble que Facebook lui-même continue de cibler les adolescents », indique la lettre.
La recherche, menée par Reset Australia avec l’aide d’un journaliste, a consisté en la création de trois comptes d’utilisateurs : l’un âgé de 13 ans et les deux autres de 16 ans. Cela leur a permis de constater que Facebook continue bien de collecter des données sur ces derniers.
Ils précisent que l’IA entre en ligne de compte via « un algorithme extrêmement puissant qui est capable de prédire les publicités avec lesquelles chaque utilisateur peut interagir ». De même, selon Cnet, Facebook collecterait « les données à partir des onglets de navigateur et des pages que les enfants ouvrent, des informations comme les boutons sur lesquels ils cliquent, les termes qu’ils ont recherchés et les produits qu’ils ont achetés ou mis dans leur panier ».
Cité par nos confrères, Joe Osborne, porte-parole de Meta (nouveau nom du groupe Facebook), a expliqué que la société n’avait pas encore vu le rapport mais qu’elle « n’utilise pas les données des sites web et des applications de nos annonceurs et partenaires pour personnaliser les publicités destinées aux personnes de moins de 18 ans ».
Il ajoute : « La raison pour laquelle ces informations apparaissent dans nos outils de transparence est que les adolescents visitent des sites ou des apps qui utilisent nos outils commerciaux. Nous voulons assurer la transparence des données que nous recevons, même si elles ne sont pas utilisées pour la personnalisation des annonces ».
Quoi qu’il en soit cette nouvelle accusation tombe assez mal pour Facebook qui fait l’objet de nombreuses révélations depuis la rentrée. Frances Haugen, une ancienne employée, accuse le géant de la Tech de privilégier la course au profit au détriment du bien-être de ses utilisateurs, ce que le géant du web nie vigoureusement.

En juillet dernier, Facebook a annoncé une série de mesures visant à mieux protéger les utilisateurs de ses applications âgés de moins de 18 ans. En matière de publicité, la firme de Mark Zuckerberg ne permet ainsi plus aux annonceurs de cibler des mineurs en se basant sur leurs intérêts. Ces jeunes internautes peuvent toutefois être ciblés en fonction de leur âge, du genre, et de leur localisation.
Dans une lettre adressée à Mark Zuckerberg, un collectif de 46 ONG, dont Amnesty International USA, Fairplay, ou encore #jesuislà, accusent clairement le géant de la Tech d’avoir trompé le public avec ces annonces sur le ciblage publicitaire sur les adolescents.
Facebook nie en bloc
Selon la coalition, qui s’appuie sur une étude, ce dernier continue de plus belle. Ils précisent : « Alors que Facebook affirme qu’il ne permettra plus aux annonceurs de cibler sélectivement les adolescents, il semble que Facebook lui-même continue de cibler les adolescents », indique la lettre.
La recherche, menée par Reset Australia avec l’aide d’un journaliste, a consisté en la création de trois comptes d’utilisateurs : l’un âgé de 13 ans et les deux autres de 16 ans. Cela leur a permis de constater que Facebook continue bien de collecter des données sur ces derniers.
Ils précisent que l’IA entre en ligne de compte via « un algorithme extrêmement puissant qui est capable de prédire les publicités avec lesquelles chaque utilisateur peut interagir ». De même, selon Cnet, Facebook collecterait « les données à partir des onglets de navigateur et des pages que les enfants ouvrent, des informations comme les boutons sur lesquels ils cliquent, les termes qu’ils ont recherchés et les produits qu’ils ont achetés ou mis dans leur panier ».
Cité par nos confrères, Joe Osborne, porte-parole de Meta (nouveau nom du groupe Facebook), a expliqué que la société n’avait pas encore vu le rapport mais qu’elle « n’utilise pas les données des sites web et des applications de nos annonceurs et partenaires pour personnaliser les publicités destinées aux personnes de moins de 18 ans ».
Il ajoute : « La raison pour laquelle ces informations apparaissent dans nos outils de transparence est que les adolescents visitent des sites ou des apps qui utilisent nos outils commerciaux. Nous voulons assurer la transparence des données que nous recevons, même si elles ne sont pas utilisées pour la personnalisation des annonces ».
Quoi qu’il en soit cette nouvelle accusation tombe assez mal pour Facebook qui fait l’objet de nombreuses révélations depuis la rentrée. Frances Haugen, une ancienne employée, accuse le géant de la Tech de privilégier la course au profit au détriment du bien-être de ses utilisateurs, ce que le géant du web nie vigoureusement.

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La recherche, menée par Reset Australia avec l’aide d’un journaliste, a consisté en la création de trois comptes d’utilisateurs : l’un âgé de 13 ans et les deux autres de 16 ans. Cela leur a permis de constater que Facebook continue bien de collecter des données sur ces derniers.
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Cité par nos confrères, Joe Osborne, porte-parole de Meta (nouveau nom du groupe Facebook), a expliqué que la société n’avait pas encore vu le rapport mais qu’elle « n’utilise pas les données des sites web et des applications de nos annonceurs et partenaires pour personnaliser les publicités destinées aux personnes de moins de 18 ans ».
Il ajoute : « La raison pour laquelle ces informations apparaissent dans nos outils de transparence est que les adolescents visitent des sites ou des apps qui utilisent nos outils commerciaux. Nous voulons assurer la transparence des données que nous recevons, même si elles ne sont pas utilisées pour la personnalisation des annonces ».
Quoi qu’il en soit cette nouvelle accusation tombe assez mal pour Facebook qui fait l’objet de nombreuses révélations depuis la rentrée. Frances Haugen, une ancienne employée, accuse le géant de la Tech de privilégier la course au profit au détriment du bien-être de ses utilisateurs, ce que le géant du web nie vigoureusement.

En juillet dernier, Facebook a annoncé une série de mesures visant à mieux protéger les utilisateurs de ses applications âgés de moins de 18 ans. En matière de publicité, la firme de Mark Zuckerberg ne permet ainsi plus aux annonceurs de cibler des mineurs en se basant sur leurs intérêts. Ces jeunes internautes peuvent toutefois être ciblés en fonction de leur âge, du genre, et de leur localisation.
Dans une lettre adressée à Mark Zuckerberg, un collectif de 46 ONG, dont Amnesty International USA, Fairplay, ou encore #jesuislà, accusent clairement le géant de la Tech d’avoir trompé le public avec ces annonces sur le ciblage publicitaire sur les adolescents.
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Selon la coalition, qui s’appuie sur une étude, ce dernier continue de plus belle. Ils précisent : « Alors que Facebook affirme qu’il ne permettra plus aux annonceurs de cibler sélectivement les adolescents, il semble que Facebook lui-même continue de cibler les adolescents », indique la lettre.
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Ils précisent que l’IA entre en ligne de compte via « un algorithme extrêmement puissant qui est capable de prédire les publicités avec lesquelles chaque utilisateur peut interagir ». De même, selon Cnet, Facebook collecterait « les données à partir des onglets de navigateur et des pages que les enfants ouvrent, des informations comme les boutons sur lesquels ils cliquent, les termes qu’ils ont recherchés et les produits qu’ils ont achetés ou mis dans leur panier ».
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Il ajoute : « La raison pour laquelle ces informations apparaissent dans nos outils de transparence est que les adolescents visitent des sites ou des apps qui utilisent nos outils commerciaux. Nous voulons assurer la transparence des données que nous recevons, même si elles ne sont pas utilisées pour la personnalisation des annonces ».
Quoi qu’il en soit cette nouvelle accusation tombe assez mal pour Facebook qui fait l’objet de nombreuses révélations depuis la rentrée. Frances Haugen, une ancienne employée, accuse le géant de la Tech de privilégier la course au profit au détriment du bien-être de ses utilisateurs, ce que le géant du web nie vigoureusement.

En juillet dernier, Facebook a annoncé une série de mesures visant à mieux protéger les utilisateurs de ses applications âgés de moins de 18 ans. En matière de publicité, la firme de Mark Zuckerberg ne permet ainsi plus aux annonceurs de cibler des mineurs en se basant sur leurs intérêts. Ces jeunes internautes peuvent toutefois être ciblés en fonction de leur âge, du genre, et de leur localisation.
Dans une lettre adressée à Mark Zuckerberg, un collectif de 46 ONG, dont Amnesty International USA, Fairplay, ou encore #jesuislà, accusent clairement le géant de la Tech d’avoir trompé le public avec ces annonces sur le ciblage publicitaire sur les adolescents.
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Selon la coalition, qui s’appuie sur une étude, ce dernier continue de plus belle. Ils précisent : « Alors que Facebook affirme qu’il ne permettra plus aux annonceurs de cibler sélectivement les adolescents, il semble que Facebook lui-même continue de cibler les adolescents », indique la lettre.
La recherche, menée par Reset Australia avec l’aide d’un journaliste, a consisté en la création de trois comptes d’utilisateurs : l’un âgé de 13 ans et les deux autres de 16 ans. Cela leur a permis de constater que Facebook continue bien de collecter des données sur ces derniers.
Ils précisent que l’IA entre en ligne de compte via « un algorithme extrêmement puissant qui est capable de prédire les publicités avec lesquelles chaque utilisateur peut interagir ». De même, selon Cnet, Facebook collecterait « les données à partir des onglets de navigateur et des pages que les enfants ouvrent, des informations comme les boutons sur lesquels ils cliquent, les termes qu’ils ont recherchés et les produits qu’ils ont achetés ou mis dans leur panier ».
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Il ajoute : « La raison pour laquelle ces informations apparaissent dans nos outils de transparence est que les adolescents visitent des sites ou des apps qui utilisent nos outils commerciaux. Nous voulons assurer la transparence des données que nous recevons, même si elles ne sont pas utilisées pour la personnalisation des annonces ».
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En juillet dernier, Facebook a annoncé une série de mesures visant à mieux protéger les utilisateurs de ses applications âgés de moins de 18 ans. En matière de publicité, la firme de Mark Zuckerberg ne permet ainsi plus aux annonceurs de cibler des mineurs en se basant sur leurs intérêts. Ces jeunes internautes peuvent toutefois être ciblés en fonction de leur âge, du genre, et de leur localisation.
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En juillet dernier, Facebook a annoncé une série de mesures visant à mieux protéger les utilisateurs de ses applications âgés de moins de 18 ans. En matière de publicité, la firme de Mark Zuckerberg ne permet ainsi plus aux annonceurs de cibler des mineurs en se basant sur leurs intérêts. Ces jeunes internautes peuvent toutefois être ciblés en fonction de leur âge, du genre, et de leur localisation.
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Quoi qu’il en soit cette nouvelle accusation tombe assez mal pour Facebook qui fait l’objet de nombreuses révélations depuis la rentrée. Frances Haugen, une ancienne employée, accuse le géant de la Tech de privilégier la course au profit au détriment du bien-être de ses utilisateurs, ce que le géant du web nie vigoureusement.

En juillet dernier, Facebook a annoncé une série de mesures visant à mieux protéger les utilisateurs de ses applications âgés de moins de 18 ans. En matière de publicité, la firme de Mark Zuckerberg ne permet ainsi plus aux annonceurs de cibler des mineurs en se basant sur leurs intérêts. Ces jeunes internautes peuvent toutefois être ciblés en fonction de leur âge, du genre, et de leur localisation.
Dans une lettre adressée à Mark Zuckerberg, un collectif de 46 ONG, dont Amnesty International USA, Fairplay, ou encore #jesuislà, accusent clairement le géant de la Tech d’avoir trompé le public avec ces annonces sur le ciblage publicitaire sur les adolescents.
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Ils précisent que l’IA entre en ligne de compte via « un algorithme extrêmement puissant qui est capable de prédire les publicités avec lesquelles chaque utilisateur peut interagir ». De même, selon Cnet, Facebook collecterait « les données à partir des onglets de navigateur et des pages que les enfants ouvrent, des informations comme les boutons sur lesquels ils cliquent, les termes qu’ils ont recherchés et les produits qu’ils ont achetés ou mis dans leur panier ».
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Ils précisent que l’IA entre en ligne de compte via « un algorithme extrêmement puissant qui est capable de prédire les publicités avec lesquelles chaque utilisateur peut interagir ». De même, selon Cnet, Facebook collecterait « les données à partir des onglets de navigateur et des pages que les enfants ouvrent, des informations comme les boutons sur lesquels ils cliquent, les termes qu’ils ont recherchés et les produits qu’ils ont achetés ou mis dans leur panier ».
Cité par nos confrères, Joe Osborne, porte-parole de Meta (nouveau nom du groupe Facebook), a expliqué que la société n’avait pas encore vu le rapport mais qu’elle « n’utilise pas les données des sites web et des applications de nos annonceurs et partenaires pour personnaliser les publicités destinées aux personnes de moins de 18 ans ».
Il ajoute : « La raison pour laquelle ces informations apparaissent dans nos outils de transparence est que les adolescents visitent des sites ou des apps qui utilisent nos outils commerciaux. Nous voulons assurer la transparence des données que nous recevons, même si elles ne sont pas utilisées pour la personnalisation des annonces ».
Quoi qu’il en soit cette nouvelle accusation tombe assez mal pour Facebook qui fait l’objet de nombreuses révélations depuis la rentrée. Frances Haugen, une ancienne employée, accuse le géant de la Tech de privilégier la course au profit au détriment du bien-être de ses utilisateurs, ce que le géant du web nie vigoureusement.

En juillet dernier, Facebook a annoncé une série de mesures visant à mieux protéger les utilisateurs de ses applications âgés de moins de 18 ans. En matière de publicité, la firme de Mark Zuckerberg ne permet ainsi plus aux annonceurs de cibler des mineurs en se basant sur leurs intérêts. Ces jeunes internautes peuvent toutefois être ciblés en fonction de leur âge, du genre, et de leur localisation.
Dans une lettre adressée à Mark Zuckerberg, un collectif de 46 ONG, dont Amnesty International USA, Fairplay, ou encore #jesuislà, accusent clairement le géant de la Tech d’avoir trompé le public avec ces annonces sur le ciblage publicitaire sur les adolescents.
Facebook nie en bloc
Selon la coalition, qui s’appuie sur une étude, ce dernier continue de plus belle. Ils précisent : « Alors que Facebook affirme qu’il ne permettra plus aux annonceurs de cibler sélectivement les adolescents, il semble que Facebook lui-même continue de cibler les adolescents », indique la lettre.
La recherche, menée par Reset Australia avec l’aide d’un journaliste, a consisté en la création de trois comptes d’utilisateurs : l’un âgé de 13 ans et les deux autres de 16 ans. Cela leur a permis de constater que Facebook continue bien de collecter des données sur ces derniers.
Ils précisent que l’IA entre en ligne de compte via « un algorithme extrêmement puissant qui est capable de prédire les publicités avec lesquelles chaque utilisateur peut interagir ». De même, selon Cnet, Facebook collecterait « les données à partir des onglets de navigateur et des pages que les enfants ouvrent, des informations comme les boutons sur lesquels ils cliquent, les termes qu’ils ont recherchés et les produits qu’ils ont achetés ou mis dans leur panier ».
Cité par nos confrères, Joe Osborne, porte-parole de Meta (nouveau nom du groupe Facebook), a expliqué que la société n’avait pas encore vu le rapport mais qu’elle « n’utilise pas les données des sites web et des applications de nos annonceurs et partenaires pour personnaliser les publicités destinées aux personnes de moins de 18 ans ».
Il ajoute : « La raison pour laquelle ces informations apparaissent dans nos outils de transparence est que les adolescents visitent des sites ou des apps qui utilisent nos outils commerciaux. Nous voulons assurer la transparence des données que nous recevons, même si elles ne sont pas utilisées pour la personnalisation des annonces ».
Quoi qu’il en soit cette nouvelle accusation tombe assez mal pour Facebook qui fait l’objet de nombreuses révélations depuis la rentrée. Frances Haugen, une ancienne employée, accuse le géant de la Tech de privilégier la course au profit au détriment du bien-être de ses utilisateurs, ce que le géant du web nie vigoureusement.

En juillet dernier, Facebook a annoncé une série de mesures visant à mieux protéger les utilisateurs de ses applications âgés de moins de 18 ans. En matière de publicité, la firme de Mark Zuckerberg ne permet ainsi plus aux annonceurs de cibler des mineurs en se basant sur leurs intérêts. Ces jeunes internautes peuvent toutefois être ciblés en fonction de leur âge, du genre, et de leur localisation.
Dans une lettre adressée à Mark Zuckerberg, un collectif de 46 ONG, dont Amnesty International USA, Fairplay, ou encore #jesuislà, accusent clairement le géant de la Tech d’avoir trompé le public avec ces annonces sur le ciblage publicitaire sur les adolescents.
Facebook nie en bloc
Selon la coalition, qui s’appuie sur une étude, ce dernier continue de plus belle. Ils précisent : « Alors que Facebook affirme qu’il ne permettra plus aux annonceurs de cibler sélectivement les adolescents, il semble que Facebook lui-même continue de cibler les adolescents », indique la lettre.
La recherche, menée par Reset Australia avec l’aide d’un journaliste, a consisté en la création de trois comptes d’utilisateurs : l’un âgé de 13 ans et les deux autres de 16 ans. Cela leur a permis de constater que Facebook continue bien de collecter des données sur ces derniers.
Ils précisent que l’IA entre en ligne de compte via « un algorithme extrêmement puissant qui est capable de prédire les publicités avec lesquelles chaque utilisateur peut interagir ». De même, selon Cnet, Facebook collecterait « les données à partir des onglets de navigateur et des pages que les enfants ouvrent, des informations comme les boutons sur lesquels ils cliquent, les termes qu’ils ont recherchés et les produits qu’ils ont achetés ou mis dans leur panier ».
Cité par nos confrères, Joe Osborne, porte-parole de Meta (nouveau nom du groupe Facebook), a expliqué que la société n’avait pas encore vu le rapport mais qu’elle « n’utilise pas les données des sites web et des applications de nos annonceurs et partenaires pour personnaliser les publicités destinées aux personnes de moins de 18 ans ».
Il ajoute : « La raison pour laquelle ces informations apparaissent dans nos outils de transparence est que les adolescents visitent des sites ou des apps qui utilisent nos outils commerciaux. Nous voulons assurer la transparence des données que nous recevons, même si elles ne sont pas utilisées pour la personnalisation des annonces ».
Quoi qu’il en soit cette nouvelle accusation tombe assez mal pour Facebook qui fait l’objet de nombreuses révélations depuis la rentrée. Frances Haugen, une ancienne employée, accuse le géant de la Tech de privilégier la course au profit au détriment du bien-être de ses utilisateurs, ce que le géant du web nie vigoureusement.

En juillet dernier, Facebook a annoncé une série de mesures visant à mieux protéger les utilisateurs de ses applications âgés de moins de 18 ans. En matière de publicité, la firme de Mark Zuckerberg ne permet ainsi plus aux annonceurs de cibler des mineurs en se basant sur leurs intérêts. Ces jeunes internautes peuvent toutefois être ciblés en fonction de leur âge, du genre, et de leur localisation.
Dans une lettre adressée à Mark Zuckerberg, un collectif de 46 ONG, dont Amnesty International USA, Fairplay, ou encore #jesuislà, accusent clairement le géant de la Tech d’avoir trompé le public avec ces annonces sur le ciblage publicitaire sur les adolescents.
Facebook nie en bloc
Selon la coalition, qui s’appuie sur une étude, ce dernier continue de plus belle. Ils précisent : « Alors que Facebook affirme qu’il ne permettra plus aux annonceurs de cibler sélectivement les adolescents, il semble que Facebook lui-même continue de cibler les adolescents », indique la lettre.
La recherche, menée par Reset Australia avec l’aide d’un journaliste, a consisté en la création de trois comptes d’utilisateurs : l’un âgé de 13 ans et les deux autres de 16 ans. Cela leur a permis de constater que Facebook continue bien de collecter des données sur ces derniers.
Ils précisent que l’IA entre en ligne de compte via « un algorithme extrêmement puissant qui est capable de prédire les publicités avec lesquelles chaque utilisateur peut interagir ». De même, selon Cnet, Facebook collecterait « les données à partir des onglets de navigateur et des pages que les enfants ouvrent, des informations comme les boutons sur lesquels ils cliquent, les termes qu’ils ont recherchés et les produits qu’ils ont achetés ou mis dans leur panier ».
Cité par nos confrères, Joe Osborne, porte-parole de Meta (nouveau nom du groupe Facebook), a expliqué que la société n’avait pas encore vu le rapport mais qu’elle « n’utilise pas les données des sites web et des applications de nos annonceurs et partenaires pour personnaliser les publicités destinées aux personnes de moins de 18 ans ».
Il ajoute : « La raison pour laquelle ces informations apparaissent dans nos outils de transparence est que les adolescents visitent des sites ou des apps qui utilisent nos outils commerciaux. Nous voulons assurer la transparence des données que nous recevons, même si elles ne sont pas utilisées pour la personnalisation des annonces ».
Quoi qu’il en soit cette nouvelle accusation tombe assez mal pour Facebook qui fait l’objet de nombreuses révélations depuis la rentrée. Frances Haugen, une ancienne employée, accuse le géant de la Tech de privilégier la course au profit au détriment du bien-être de ses utilisateurs, ce que le géant du web nie vigoureusement.

En juillet dernier, Facebook a annoncé une série de mesures visant à mieux protéger les utilisateurs de ses applications âgés de moins de 18 ans. En matière de publicité, la firme de Mark Zuckerberg ne permet ainsi plus aux annonceurs de cibler des mineurs en se basant sur leurs intérêts. Ces jeunes internautes peuvent toutefois être ciblés en fonction de leur âge, du genre, et de leur localisation.
Dans une lettre adressée à Mark Zuckerberg, un collectif de 46 ONG, dont Amnesty International USA, Fairplay, ou encore #jesuislà, accusent clairement le géant de la Tech d’avoir trompé le public avec ces annonces sur le ciblage publicitaire sur les adolescents.
Facebook nie en bloc
Selon la coalition, qui s’appuie sur une étude, ce dernier continue de plus belle. Ils précisent : « Alors que Facebook affirme qu’il ne permettra plus aux annonceurs de cibler sélectivement les adolescents, il semble que Facebook lui-même continue de cibler les adolescents », indique la lettre.
La recherche, menée par Reset Australia avec l’aide d’un journaliste, a consisté en la création de trois comptes d’utilisateurs : l’un âgé de 13 ans et les deux autres de 16 ans. Cela leur a permis de constater que Facebook continue bien de collecter des données sur ces derniers.
Ils précisent que l’IA entre en ligne de compte via « un algorithme extrêmement puissant qui est capable de prédire les publicités avec lesquelles chaque utilisateur peut interagir ». De même, selon Cnet, Facebook collecterait « les données à partir des onglets de navigateur et des pages que les enfants ouvrent, des informations comme les boutons sur lesquels ils cliquent, les termes qu’ils ont recherchés et les produits qu’ils ont achetés ou mis dans leur panier ».
Cité par nos confrères, Joe Osborne, porte-parole de Meta (nouveau nom du groupe Facebook), a expliqué que la société n’avait pas encore vu le rapport mais qu’elle « n’utilise pas les données des sites web et des applications de nos annonceurs et partenaires pour personnaliser les publicités destinées aux personnes de moins de 18 ans ».
Il ajoute : « La raison pour laquelle ces informations apparaissent dans nos outils de transparence est que les adolescents visitent des sites ou des apps qui utilisent nos outils commerciaux. Nous voulons assurer la transparence des données que nous recevons, même si elles ne sont pas utilisées pour la personnalisation des annonces ».
Quoi qu’il en soit cette nouvelle accusation tombe assez mal pour Facebook qui fait l’objet de nombreuses révélations depuis la rentrée. Frances Haugen, une ancienne employée, accuse le géant de la Tech de privilégier la course au profit au détriment du bien-être de ses utilisateurs, ce que le géant du web nie vigoureusement.

En juillet dernier, Facebook a annoncé une série de mesures visant à mieux protéger les utilisateurs de ses applications âgés de moins de 18 ans. En matière de publicité, la firme de Mark Zuckerberg ne permet ainsi plus aux annonceurs de cibler des mineurs en se basant sur leurs intérêts. Ces jeunes internautes peuvent toutefois être ciblés en fonction de leur âge, du genre, et de leur localisation.
Dans une lettre adressée à Mark Zuckerberg, un collectif de 46 ONG, dont Amnesty International USA, Fairplay, ou encore #jesuislà, accusent clairement le géant de la Tech d’avoir trompé le public avec ces annonces sur le ciblage publicitaire sur les adolescents.
Facebook nie en bloc
Selon la coalition, qui s’appuie sur une étude, ce dernier continue de plus belle. Ils précisent : « Alors que Facebook affirme qu’il ne permettra plus aux annonceurs de cibler sélectivement les adolescents, il semble que Facebook lui-même continue de cibler les adolescents », indique la lettre.
La recherche, menée par Reset Australia avec l’aide d’un journaliste, a consisté en la création de trois comptes d’utilisateurs : l’un âgé de 13 ans et les deux autres de 16 ans. Cela leur a permis de constater que Facebook continue bien de collecter des données sur ces derniers.
Ils précisent que l’IA entre en ligne de compte via « un algorithme extrêmement puissant qui est capable de prédire les publicités avec lesquelles chaque utilisateur peut interagir ». De même, selon Cnet, Facebook collecterait « les données à partir des onglets de navigateur et des pages que les enfants ouvrent, des informations comme les boutons sur lesquels ils cliquent, les termes qu’ils ont recherchés et les produits qu’ils ont achetés ou mis dans leur panier ».
Cité par nos confrères, Joe Osborne, porte-parole de Meta (nouveau nom du groupe Facebook), a expliqué que la société n’avait pas encore vu le rapport mais qu’elle « n’utilise pas les données des sites web et des applications de nos annonceurs et partenaires pour personnaliser les publicités destinées aux personnes de moins de 18 ans ».
Il ajoute : « La raison pour laquelle ces informations apparaissent dans nos outils de transparence est que les adolescents visitent des sites ou des apps qui utilisent nos outils commerciaux. Nous voulons assurer la transparence des données que nous recevons, même si elles ne sont pas utilisées pour la personnalisation des annonces ».
Quoi qu’il en soit cette nouvelle accusation tombe assez mal pour Facebook qui fait l’objet de nombreuses révélations depuis la rentrée. Frances Haugen, une ancienne employée, accuse le géant de la Tech de privilégier la course au profit au détriment du bien-être de ses utilisateurs, ce que le géant du web nie vigoureusement.
