
La pénurie de composants électroniques ne sera pas résolue avant longtemps et même Apple, que l’on pensait à l’abri, est aujourd’hui affecté. Fin octobre, lors de la présentation de ses résultats trimestriels, la firme a d’ailleurs évoqué les lourdes conséquences de cette situation.
En effet, si celle-ci a réalisé de bonnes performances financières, elle estime qu’elle aurait pu faire encore mieux s’il n’y avait pas de problèmes d’approvisionnement. Selon Tim Cook, la pénurie aurait coûté 6 milliards de dollars à Apple.
Si pour le moment, on ne parle pas encore de pénurie d’iPhone, l’offre serait inférieure à la demande. Le risque de rupture de stock serait tellement important qu’Apple aurait décidé de sacrifier l’iPad afin de produire plus d’iPhone. En effet, des composants qui étaient normalement destinés à ses tablettes seraient finalement utilisés pour produire la série iPhone 13.
Et malheureusement, la situation ne s’améliorerait pas dans l’immédiat. Dans un article publié cette semaine, nos confrères de 9to5Mac relaient une info de Digitimes sur le sujet.
L’équilibre entre l’offre et la demande en février 2022 ?
En substance, les contraintes auxquelles Apple fait face existeraient jusqu’en février 2022. Ensuite, la firme devrait être en mesure de satisfaire la demande. Néanmoins, la bonne nouvelle, c’est que la situation s’améliore.
En effet, toujours d’après Digitimes, la pénurie de composants qui avait débuté en octobre pour la série iPhone 13 serait progressivement résolue, au fur et à mesure que les partenaires d’Apple augmentent leurs productions.
A priori, Apple ne devrait pas avoir de difficultés à s’approvisionner en SoC (les processeurs de ses smartphones, tablettes et ordinateurs). En effet, contrairement à la plupart de ses concurrents, la firme conçoit ce composant pour ses produits. De plus, celle-ci a un important pouvoir de négociation auprès des fournisseurs. Les problèmes d’approvisionnement d’Apple concerneraient plutôt des composants moins sophistiqués, mais qui sont tout aussi essentiels pour ses produits.
Notons également que récemment, lors du Web Summit à Lisbonne, le patron d’ARM (dont les processeurs d’Apple et des smartphones Android utilisent l’architecture), Simon Segars, a indiqué que le problème d’approvisionnement en semiconducteurs ne serait pas réglé avant Noël 2022. En effet, les délais seraient actuellement très longs, pouvant atteindre les 60 semaines. Aussi, selon lui, si vous n’avez pas encore acheté vos appareils électroniques, vous allez être déçu.

La pénurie de composants électroniques ne sera pas résolue avant longtemps et même Apple, que l’on pensait à l’abri, est aujourd’hui affecté. Fin octobre, lors de la présentation de ses résultats trimestriels, la firme a d’ailleurs évoqué les lourdes conséquences de cette situation.
En effet, si celle-ci a réalisé de bonnes performances financières, elle estime qu’elle aurait pu faire encore mieux s’il n’y avait pas de problèmes d’approvisionnement. Selon Tim Cook, la pénurie aurait coûté 6 milliards de dollars à Apple.
Si pour le moment, on ne parle pas encore de pénurie d’iPhone, l’offre serait inférieure à la demande. Le risque de rupture de stock serait tellement important qu’Apple aurait décidé de sacrifier l’iPad afin de produire plus d’iPhone. En effet, des composants qui étaient normalement destinés à ses tablettes seraient finalement utilisés pour produire la série iPhone 13.
Et malheureusement, la situation ne s’améliorerait pas dans l’immédiat. Dans un article publié cette semaine, nos confrères de 9to5Mac relaient une info de Digitimes sur le sujet.
L’équilibre entre l’offre et la demande en février 2022 ?
En substance, les contraintes auxquelles Apple fait face existeraient jusqu’en février 2022. Ensuite, la firme devrait être en mesure de satisfaire la demande. Néanmoins, la bonne nouvelle, c’est que la situation s’améliore.
En effet, toujours d’après Digitimes, la pénurie de composants qui avait débuté en octobre pour la série iPhone 13 serait progressivement résolue, au fur et à mesure que les partenaires d’Apple augmentent leurs productions.
A priori, Apple ne devrait pas avoir de difficultés à s’approvisionner en SoC (les processeurs de ses smartphones, tablettes et ordinateurs). En effet, contrairement à la plupart de ses concurrents, la firme conçoit ce composant pour ses produits. De plus, celle-ci a un important pouvoir de négociation auprès des fournisseurs. Les problèmes d’approvisionnement d’Apple concerneraient plutôt des composants moins sophistiqués, mais qui sont tout aussi essentiels pour ses produits.
Notons également que récemment, lors du Web Summit à Lisbonne, le patron d’ARM (dont les processeurs d’Apple et des smartphones Android utilisent l’architecture), Simon Segars, a indiqué que le problème d’approvisionnement en semiconducteurs ne serait pas réglé avant Noël 2022. En effet, les délais seraient actuellement très longs, pouvant atteindre les 60 semaines. Aussi, selon lui, si vous n’avez pas encore acheté vos appareils électroniques, vous allez être déçu.

La pénurie de composants électroniques ne sera pas résolue avant longtemps et même Apple, que l’on pensait à l’abri, est aujourd’hui affecté. Fin octobre, lors de la présentation de ses résultats trimestriels, la firme a d’ailleurs évoqué les lourdes conséquences de cette situation.
En effet, si celle-ci a réalisé de bonnes performances financières, elle estime qu’elle aurait pu faire encore mieux s’il n’y avait pas de problèmes d’approvisionnement. Selon Tim Cook, la pénurie aurait coûté 6 milliards de dollars à Apple.
Si pour le moment, on ne parle pas encore de pénurie d’iPhone, l’offre serait inférieure à la demande. Le risque de rupture de stock serait tellement important qu’Apple aurait décidé de sacrifier l’iPad afin de produire plus d’iPhone. En effet, des composants qui étaient normalement destinés à ses tablettes seraient finalement utilisés pour produire la série iPhone 13.
Et malheureusement, la situation ne s’améliorerait pas dans l’immédiat. Dans un article publié cette semaine, nos confrères de 9to5Mac relaient une info de Digitimes sur le sujet.
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En substance, les contraintes auxquelles Apple fait face existeraient jusqu’en février 2022. Ensuite, la firme devrait être en mesure de satisfaire la demande. Néanmoins, la bonne nouvelle, c’est que la situation s’améliore.
En effet, toujours d’après Digitimes, la pénurie de composants qui avait débuté en octobre pour la série iPhone 13 serait progressivement résolue, au fur et à mesure que les partenaires d’Apple augmentent leurs productions.
A priori, Apple ne devrait pas avoir de difficultés à s’approvisionner en SoC (les processeurs de ses smartphones, tablettes et ordinateurs). En effet, contrairement à la plupart de ses concurrents, la firme conçoit ce composant pour ses produits. De plus, celle-ci a un important pouvoir de négociation auprès des fournisseurs. Les problèmes d’approvisionnement d’Apple concerneraient plutôt des composants moins sophistiqués, mais qui sont tout aussi essentiels pour ses produits.
Notons également que récemment, lors du Web Summit à Lisbonne, le patron d’ARM (dont les processeurs d’Apple et des smartphones Android utilisent l’architecture), Simon Segars, a indiqué que le problème d’approvisionnement en semiconducteurs ne serait pas réglé avant Noël 2022. En effet, les délais seraient actuellement très longs, pouvant atteindre les 60 semaines. Aussi, selon lui, si vous n’avez pas encore acheté vos appareils électroniques, vous allez être déçu.

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En substance, les contraintes auxquelles Apple fait face existeraient jusqu’en février 2022. Ensuite, la firme devrait être en mesure de satisfaire la demande. Néanmoins, la bonne nouvelle, c’est que la situation s’améliore.
En effet, toujours d’après Digitimes, la pénurie de composants qui avait débuté en octobre pour la série iPhone 13 serait progressivement résolue, au fur et à mesure que les partenaires d’Apple augmentent leurs productions.
A priori, Apple ne devrait pas avoir de difficultés à s’approvisionner en SoC (les processeurs de ses smartphones, tablettes et ordinateurs). En effet, contrairement à la plupart de ses concurrents, la firme conçoit ce composant pour ses produits. De plus, celle-ci a un important pouvoir de négociation auprès des fournisseurs. Les problèmes d’approvisionnement d’Apple concerneraient plutôt des composants moins sophistiqués, mais qui sont tout aussi essentiels pour ses produits.
Notons également que récemment, lors du Web Summit à Lisbonne, le patron d’ARM (dont les processeurs d’Apple et des smartphones Android utilisent l’architecture), Simon Segars, a indiqué que le problème d’approvisionnement en semiconducteurs ne serait pas réglé avant Noël 2022. En effet, les délais seraient actuellement très longs, pouvant atteindre les 60 semaines. Aussi, selon lui, si vous n’avez pas encore acheté vos appareils électroniques, vous allez être déçu.

La pénurie de composants électroniques ne sera pas résolue avant longtemps et même Apple, que l’on pensait à l’abri, est aujourd’hui affecté. Fin octobre, lors de la présentation de ses résultats trimestriels, la firme a d’ailleurs évoqué les lourdes conséquences de cette situation.
En effet, si celle-ci a réalisé de bonnes performances financières, elle estime qu’elle aurait pu faire encore mieux s’il n’y avait pas de problèmes d’approvisionnement. Selon Tim Cook, la pénurie aurait coûté 6 milliards de dollars à Apple.
Si pour le moment, on ne parle pas encore de pénurie d’iPhone, l’offre serait inférieure à la demande. Le risque de rupture de stock serait tellement important qu’Apple aurait décidé de sacrifier l’iPad afin de produire plus d’iPhone. En effet, des composants qui étaient normalement destinés à ses tablettes seraient finalement utilisés pour produire la série iPhone 13.
Et malheureusement, la situation ne s’améliorerait pas dans l’immédiat. Dans un article publié cette semaine, nos confrères de 9to5Mac relaient une info de Digitimes sur le sujet.
L’équilibre entre l’offre et la demande en février 2022 ?
En substance, les contraintes auxquelles Apple fait face existeraient jusqu’en février 2022. Ensuite, la firme devrait être en mesure de satisfaire la demande. Néanmoins, la bonne nouvelle, c’est que la situation s’améliore.
En effet, toujours d’après Digitimes, la pénurie de composants qui avait débuté en octobre pour la série iPhone 13 serait progressivement résolue, au fur et à mesure que les partenaires d’Apple augmentent leurs productions.
A priori, Apple ne devrait pas avoir de difficultés à s’approvisionner en SoC (les processeurs de ses smartphones, tablettes et ordinateurs). En effet, contrairement à la plupart de ses concurrents, la firme conçoit ce composant pour ses produits. De plus, celle-ci a un important pouvoir de négociation auprès des fournisseurs. Les problèmes d’approvisionnement d’Apple concerneraient plutôt des composants moins sophistiqués, mais qui sont tout aussi essentiels pour ses produits.
Notons également que récemment, lors du Web Summit à Lisbonne, le patron d’ARM (dont les processeurs d’Apple et des smartphones Android utilisent l’architecture), Simon Segars, a indiqué que le problème d’approvisionnement en semiconducteurs ne serait pas réglé avant Noël 2022. En effet, les délais seraient actuellement très longs, pouvant atteindre les 60 semaines. Aussi, selon lui, si vous n’avez pas encore acheté vos appareils électroniques, vous allez être déçu.

La pénurie de composants électroniques ne sera pas résolue avant longtemps et même Apple, que l’on pensait à l’abri, est aujourd’hui affecté. Fin octobre, lors de la présentation de ses résultats trimestriels, la firme a d’ailleurs évoqué les lourdes conséquences de cette situation.
En effet, si celle-ci a réalisé de bonnes performances financières, elle estime qu’elle aurait pu faire encore mieux s’il n’y avait pas de problèmes d’approvisionnement. Selon Tim Cook, la pénurie aurait coûté 6 milliards de dollars à Apple.
Si pour le moment, on ne parle pas encore de pénurie d’iPhone, l’offre serait inférieure à la demande. Le risque de rupture de stock serait tellement important qu’Apple aurait décidé de sacrifier l’iPad afin de produire plus d’iPhone. En effet, des composants qui étaient normalement destinés à ses tablettes seraient finalement utilisés pour produire la série iPhone 13.
Et malheureusement, la situation ne s’améliorerait pas dans l’immédiat. Dans un article publié cette semaine, nos confrères de 9to5Mac relaient une info de Digitimes sur le sujet.
L’équilibre entre l’offre et la demande en février 2022 ?
En substance, les contraintes auxquelles Apple fait face existeraient jusqu’en février 2022. Ensuite, la firme devrait être en mesure de satisfaire la demande. Néanmoins, la bonne nouvelle, c’est que la situation s’améliore.
En effet, toujours d’après Digitimes, la pénurie de composants qui avait débuté en octobre pour la série iPhone 13 serait progressivement résolue, au fur et à mesure que les partenaires d’Apple augmentent leurs productions.
A priori, Apple ne devrait pas avoir de difficultés à s’approvisionner en SoC (les processeurs de ses smartphones, tablettes et ordinateurs). En effet, contrairement à la plupart de ses concurrents, la firme conçoit ce composant pour ses produits. De plus, celle-ci a un important pouvoir de négociation auprès des fournisseurs. Les problèmes d’approvisionnement d’Apple concerneraient plutôt des composants moins sophistiqués, mais qui sont tout aussi essentiels pour ses produits.
Notons également que récemment, lors du Web Summit à Lisbonne, le patron d’ARM (dont les processeurs d’Apple et des smartphones Android utilisent l’architecture), Simon Segars, a indiqué que le problème d’approvisionnement en semiconducteurs ne serait pas réglé avant Noël 2022. En effet, les délais seraient actuellement très longs, pouvant atteindre les 60 semaines. Aussi, selon lui, si vous n’avez pas encore acheté vos appareils électroniques, vous allez être déçu.

La pénurie de composants électroniques ne sera pas résolue avant longtemps et même Apple, que l’on pensait à l’abri, est aujourd’hui affecté. Fin octobre, lors de la présentation de ses résultats trimestriels, la firme a d’ailleurs évoqué les lourdes conséquences de cette situation.
En effet, si celle-ci a réalisé de bonnes performances financières, elle estime qu’elle aurait pu faire encore mieux s’il n’y avait pas de problèmes d’approvisionnement. Selon Tim Cook, la pénurie aurait coûté 6 milliards de dollars à Apple.
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Et malheureusement, la situation ne s’améliorerait pas dans l’immédiat. Dans un article publié cette semaine, nos confrères de 9to5Mac relaient une info de Digitimes sur le sujet.
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En effet, toujours d’après Digitimes, la pénurie de composants qui avait débuté en octobre pour la série iPhone 13 serait progressivement résolue, au fur et à mesure que les partenaires d’Apple augmentent leurs productions.
A priori, Apple ne devrait pas avoir de difficultés à s’approvisionner en SoC (les processeurs de ses smartphones, tablettes et ordinateurs). En effet, contrairement à la plupart de ses concurrents, la firme conçoit ce composant pour ses produits. De plus, celle-ci a un important pouvoir de négociation auprès des fournisseurs. Les problèmes d’approvisionnement d’Apple concerneraient plutôt des composants moins sophistiqués, mais qui sont tout aussi essentiels pour ses produits.
Notons également que récemment, lors du Web Summit à Lisbonne, le patron d’ARM (dont les processeurs d’Apple et des smartphones Android utilisent l’architecture), Simon Segars, a indiqué que le problème d’approvisionnement en semiconducteurs ne serait pas réglé avant Noël 2022. En effet, les délais seraient actuellement très longs, pouvant atteindre les 60 semaines. Aussi, selon lui, si vous n’avez pas encore acheté vos appareils électroniques, vous allez être déçu.

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En effet, si celle-ci a réalisé de bonnes performances financières, elle estime qu’elle aurait pu faire encore mieux s’il n’y avait pas de problèmes d’approvisionnement. Selon Tim Cook, la pénurie aurait coûté 6 milliards de dollars à Apple.
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Notons également que récemment, lors du Web Summit à Lisbonne, le patron d’ARM (dont les processeurs d’Apple et des smartphones Android utilisent l’architecture), Simon Segars, a indiqué que le problème d’approvisionnement en semiconducteurs ne serait pas réglé avant Noël 2022. En effet, les délais seraient actuellement très longs, pouvant atteindre les 60 semaines. Aussi, selon lui, si vous n’avez pas encore acheté vos appareils électroniques, vous allez être déçu.

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En effet, si celle-ci a réalisé de bonnes performances financières, elle estime qu’elle aurait pu faire encore mieux s’il n’y avait pas de problèmes d’approvisionnement. Selon Tim Cook, la pénurie aurait coûté 6 milliards de dollars à Apple.
Si pour le moment, on ne parle pas encore de pénurie d’iPhone, l’offre serait inférieure à la demande. Le risque de rupture de stock serait tellement important qu’Apple aurait décidé de sacrifier l’iPad afin de produire plus d’iPhone. En effet, des composants qui étaient normalement destinés à ses tablettes seraient finalement utilisés pour produire la série iPhone 13.
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En effet, toujours d’après Digitimes, la pénurie de composants qui avait débuté en octobre pour la série iPhone 13 serait progressivement résolue, au fur et à mesure que les partenaires d’Apple augmentent leurs productions.
A priori, Apple ne devrait pas avoir de difficultés à s’approvisionner en SoC (les processeurs de ses smartphones, tablettes et ordinateurs). En effet, contrairement à la plupart de ses concurrents, la firme conçoit ce composant pour ses produits. De plus, celle-ci a un important pouvoir de négociation auprès des fournisseurs. Les problèmes d’approvisionnement d’Apple concerneraient plutôt des composants moins sophistiqués, mais qui sont tout aussi essentiels pour ses produits.
Notons également que récemment, lors du Web Summit à Lisbonne, le patron d’ARM (dont les processeurs d’Apple et des smartphones Android utilisent l’architecture), Simon Segars, a indiqué que le problème d’approvisionnement en semiconducteurs ne serait pas réglé avant Noël 2022. En effet, les délais seraient actuellement très longs, pouvant atteindre les 60 semaines. Aussi, selon lui, si vous n’avez pas encore acheté vos appareils électroniques, vous allez être déçu.

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A priori, Apple ne devrait pas avoir de difficultés à s’approvisionner en SoC (les processeurs de ses smartphones, tablettes et ordinateurs). En effet, contrairement à la plupart de ses concurrents, la firme conçoit ce composant pour ses produits. De plus, celle-ci a un important pouvoir de négociation auprès des fournisseurs. Les problèmes d’approvisionnement d’Apple concerneraient plutôt des composants moins sophistiqués, mais qui sont tout aussi essentiels pour ses produits.
Notons également que récemment, lors du Web Summit à Lisbonne, le patron d’ARM (dont les processeurs d’Apple et des smartphones Android utilisent l’architecture), Simon Segars, a indiqué que le problème d’approvisionnement en semiconducteurs ne serait pas réglé avant Noël 2022. En effet, les délais seraient actuellement très longs, pouvant atteindre les 60 semaines. Aussi, selon lui, si vous n’avez pas encore acheté vos appareils électroniques, vous allez être déçu.

La pénurie de composants électroniques ne sera pas résolue avant longtemps et même Apple, que l’on pensait à l’abri, est aujourd’hui affecté. Fin octobre, lors de la présentation de ses résultats trimestriels, la firme a d’ailleurs évoqué les lourdes conséquences de cette situation.
En effet, si celle-ci a réalisé de bonnes performances financières, elle estime qu’elle aurait pu faire encore mieux s’il n’y avait pas de problèmes d’approvisionnement. Selon Tim Cook, la pénurie aurait coûté 6 milliards de dollars à Apple.
Si pour le moment, on ne parle pas encore de pénurie d’iPhone, l’offre serait inférieure à la demande. Le risque de rupture de stock serait tellement important qu’Apple aurait décidé de sacrifier l’iPad afin de produire plus d’iPhone. En effet, des composants qui étaient normalement destinés à ses tablettes seraient finalement utilisés pour produire la série iPhone 13.
Et malheureusement, la situation ne s’améliorerait pas dans l’immédiat. Dans un article publié cette semaine, nos confrères de 9to5Mac relaient une info de Digitimes sur le sujet.
L’équilibre entre l’offre et la demande en février 2022 ?
En substance, les contraintes auxquelles Apple fait face existeraient jusqu’en février 2022. Ensuite, la firme devrait être en mesure de satisfaire la demande. Néanmoins, la bonne nouvelle, c’est que la situation s’améliore.
En effet, toujours d’après Digitimes, la pénurie de composants qui avait débuté en octobre pour la série iPhone 13 serait progressivement résolue, au fur et à mesure que les partenaires d’Apple augmentent leurs productions.
A priori, Apple ne devrait pas avoir de difficultés à s’approvisionner en SoC (les processeurs de ses smartphones, tablettes et ordinateurs). En effet, contrairement à la plupart de ses concurrents, la firme conçoit ce composant pour ses produits. De plus, celle-ci a un important pouvoir de négociation auprès des fournisseurs. Les problèmes d’approvisionnement d’Apple concerneraient plutôt des composants moins sophistiqués, mais qui sont tout aussi essentiels pour ses produits.
Notons également que récemment, lors du Web Summit à Lisbonne, le patron d’ARM (dont les processeurs d’Apple et des smartphones Android utilisent l’architecture), Simon Segars, a indiqué que le problème d’approvisionnement en semiconducteurs ne serait pas réglé avant Noël 2022. En effet, les délais seraient actuellement très longs, pouvant atteindre les 60 semaines. Aussi, selon lui, si vous n’avez pas encore acheté vos appareils électroniques, vous allez être déçu.

La pénurie de composants électroniques ne sera pas résolue avant longtemps et même Apple, que l’on pensait à l’abri, est aujourd’hui affecté. Fin octobre, lors de la présentation de ses résultats trimestriels, la firme a d’ailleurs évoqué les lourdes conséquences de cette situation.
En effet, si celle-ci a réalisé de bonnes performances financières, elle estime qu’elle aurait pu faire encore mieux s’il n’y avait pas de problèmes d’approvisionnement. Selon Tim Cook, la pénurie aurait coûté 6 milliards de dollars à Apple.
Si pour le moment, on ne parle pas encore de pénurie d’iPhone, l’offre serait inférieure à la demande. Le risque de rupture de stock serait tellement important qu’Apple aurait décidé de sacrifier l’iPad afin de produire plus d’iPhone. En effet, des composants qui étaient normalement destinés à ses tablettes seraient finalement utilisés pour produire la série iPhone 13.
Et malheureusement, la situation ne s’améliorerait pas dans l’immédiat. Dans un article publié cette semaine, nos confrères de 9to5Mac relaient une info de Digitimes sur le sujet.
L’équilibre entre l’offre et la demande en février 2022 ?
En substance, les contraintes auxquelles Apple fait face existeraient jusqu’en février 2022. Ensuite, la firme devrait être en mesure de satisfaire la demande. Néanmoins, la bonne nouvelle, c’est que la situation s’améliore.
En effet, toujours d’après Digitimes, la pénurie de composants qui avait débuté en octobre pour la série iPhone 13 serait progressivement résolue, au fur et à mesure que les partenaires d’Apple augmentent leurs productions.
A priori, Apple ne devrait pas avoir de difficultés à s’approvisionner en SoC (les processeurs de ses smartphones, tablettes et ordinateurs). En effet, contrairement à la plupart de ses concurrents, la firme conçoit ce composant pour ses produits. De plus, celle-ci a un important pouvoir de négociation auprès des fournisseurs. Les problèmes d’approvisionnement d’Apple concerneraient plutôt des composants moins sophistiqués, mais qui sont tout aussi essentiels pour ses produits.
Notons également que récemment, lors du Web Summit à Lisbonne, le patron d’ARM (dont les processeurs d’Apple et des smartphones Android utilisent l’architecture), Simon Segars, a indiqué que le problème d’approvisionnement en semiconducteurs ne serait pas réglé avant Noël 2022. En effet, les délais seraient actuellement très longs, pouvant atteindre les 60 semaines. Aussi, selon lui, si vous n’avez pas encore acheté vos appareils électroniques, vous allez être déçu.

La pénurie de composants électroniques ne sera pas résolue avant longtemps et même Apple, que l’on pensait à l’abri, est aujourd’hui affecté. Fin octobre, lors de la présentation de ses résultats trimestriels, la firme a d’ailleurs évoqué les lourdes conséquences de cette situation.
En effet, si celle-ci a réalisé de bonnes performances financières, elle estime qu’elle aurait pu faire encore mieux s’il n’y avait pas de problèmes d’approvisionnement. Selon Tim Cook, la pénurie aurait coûté 6 milliards de dollars à Apple.
Si pour le moment, on ne parle pas encore de pénurie d’iPhone, l’offre serait inférieure à la demande. Le risque de rupture de stock serait tellement important qu’Apple aurait décidé de sacrifier l’iPad afin de produire plus d’iPhone. En effet, des composants qui étaient normalement destinés à ses tablettes seraient finalement utilisés pour produire la série iPhone 13.
Et malheureusement, la situation ne s’améliorerait pas dans l’immédiat. Dans un article publié cette semaine, nos confrères de 9to5Mac relaient une info de Digitimes sur le sujet.
L’équilibre entre l’offre et la demande en février 2022 ?
En substance, les contraintes auxquelles Apple fait face existeraient jusqu’en février 2022. Ensuite, la firme devrait être en mesure de satisfaire la demande. Néanmoins, la bonne nouvelle, c’est que la situation s’améliore.
En effet, toujours d’après Digitimes, la pénurie de composants qui avait débuté en octobre pour la série iPhone 13 serait progressivement résolue, au fur et à mesure que les partenaires d’Apple augmentent leurs productions.
A priori, Apple ne devrait pas avoir de difficultés à s’approvisionner en SoC (les processeurs de ses smartphones, tablettes et ordinateurs). En effet, contrairement à la plupart de ses concurrents, la firme conçoit ce composant pour ses produits. De plus, celle-ci a un important pouvoir de négociation auprès des fournisseurs. Les problèmes d’approvisionnement d’Apple concerneraient plutôt des composants moins sophistiqués, mais qui sont tout aussi essentiels pour ses produits.
Notons également que récemment, lors du Web Summit à Lisbonne, le patron d’ARM (dont les processeurs d’Apple et des smartphones Android utilisent l’architecture), Simon Segars, a indiqué que le problème d’approvisionnement en semiconducteurs ne serait pas réglé avant Noël 2022. En effet, les délais seraient actuellement très longs, pouvant atteindre les 60 semaines. Aussi, selon lui, si vous n’avez pas encore acheté vos appareils électroniques, vous allez être déçu.

La pénurie de composants électroniques ne sera pas résolue avant longtemps et même Apple, que l’on pensait à l’abri, est aujourd’hui affecté. Fin octobre, lors de la présentation de ses résultats trimestriels, la firme a d’ailleurs évoqué les lourdes conséquences de cette situation.
En effet, si celle-ci a réalisé de bonnes performances financières, elle estime qu’elle aurait pu faire encore mieux s’il n’y avait pas de problèmes d’approvisionnement. Selon Tim Cook, la pénurie aurait coûté 6 milliards de dollars à Apple.
Si pour le moment, on ne parle pas encore de pénurie d’iPhone, l’offre serait inférieure à la demande. Le risque de rupture de stock serait tellement important qu’Apple aurait décidé de sacrifier l’iPad afin de produire plus d’iPhone. En effet, des composants qui étaient normalement destinés à ses tablettes seraient finalement utilisés pour produire la série iPhone 13.
Et malheureusement, la situation ne s’améliorerait pas dans l’immédiat. Dans un article publié cette semaine, nos confrères de 9to5Mac relaient une info de Digitimes sur le sujet.
L’équilibre entre l’offre et la demande en février 2022 ?
En substance, les contraintes auxquelles Apple fait face existeraient jusqu’en février 2022. Ensuite, la firme devrait être en mesure de satisfaire la demande. Néanmoins, la bonne nouvelle, c’est que la situation s’améliore.
En effet, toujours d’après Digitimes, la pénurie de composants qui avait débuté en octobre pour la série iPhone 13 serait progressivement résolue, au fur et à mesure que les partenaires d’Apple augmentent leurs productions.
A priori, Apple ne devrait pas avoir de difficultés à s’approvisionner en SoC (les processeurs de ses smartphones, tablettes et ordinateurs). En effet, contrairement à la plupart de ses concurrents, la firme conçoit ce composant pour ses produits. De plus, celle-ci a un important pouvoir de négociation auprès des fournisseurs. Les problèmes d’approvisionnement d’Apple concerneraient plutôt des composants moins sophistiqués, mais qui sont tout aussi essentiels pour ses produits.
Notons également que récemment, lors du Web Summit à Lisbonne, le patron d’ARM (dont les processeurs d’Apple et des smartphones Android utilisent l’architecture), Simon Segars, a indiqué que le problème d’approvisionnement en semiconducteurs ne serait pas réglé avant Noël 2022. En effet, les délais seraient actuellement très longs, pouvant atteindre les 60 semaines. Aussi, selon lui, si vous n’avez pas encore acheté vos appareils électroniques, vous allez être déçu.

La pénurie de composants électroniques ne sera pas résolue avant longtemps et même Apple, que l’on pensait à l’abri, est aujourd’hui affecté. Fin octobre, lors de la présentation de ses résultats trimestriels, la firme a d’ailleurs évoqué les lourdes conséquences de cette situation.
En effet, si celle-ci a réalisé de bonnes performances financières, elle estime qu’elle aurait pu faire encore mieux s’il n’y avait pas de problèmes d’approvisionnement. Selon Tim Cook, la pénurie aurait coûté 6 milliards de dollars à Apple.
Si pour le moment, on ne parle pas encore de pénurie d’iPhone, l’offre serait inférieure à la demande. Le risque de rupture de stock serait tellement important qu’Apple aurait décidé de sacrifier l’iPad afin de produire plus d’iPhone. En effet, des composants qui étaient normalement destinés à ses tablettes seraient finalement utilisés pour produire la série iPhone 13.
Et malheureusement, la situation ne s’améliorerait pas dans l’immédiat. Dans un article publié cette semaine, nos confrères de 9to5Mac relaient une info de Digitimes sur le sujet.
L’équilibre entre l’offre et la demande en février 2022 ?
En substance, les contraintes auxquelles Apple fait face existeraient jusqu’en février 2022. Ensuite, la firme devrait être en mesure de satisfaire la demande. Néanmoins, la bonne nouvelle, c’est que la situation s’améliore.
En effet, toujours d’après Digitimes, la pénurie de composants qui avait débuté en octobre pour la série iPhone 13 serait progressivement résolue, au fur et à mesure que les partenaires d’Apple augmentent leurs productions.
A priori, Apple ne devrait pas avoir de difficultés à s’approvisionner en SoC (les processeurs de ses smartphones, tablettes et ordinateurs). En effet, contrairement à la plupart de ses concurrents, la firme conçoit ce composant pour ses produits. De plus, celle-ci a un important pouvoir de négociation auprès des fournisseurs. Les problèmes d’approvisionnement d’Apple concerneraient plutôt des composants moins sophistiqués, mais qui sont tout aussi essentiels pour ses produits.
Notons également que récemment, lors du Web Summit à Lisbonne, le patron d’ARM (dont les processeurs d’Apple et des smartphones Android utilisent l’architecture), Simon Segars, a indiqué que le problème d’approvisionnement en semiconducteurs ne serait pas réglé avant Noël 2022. En effet, les délais seraient actuellement très longs, pouvant atteindre les 60 semaines. Aussi, selon lui, si vous n’avez pas encore acheté vos appareils électroniques, vous allez être déçu.