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Home » Telegram : la version payante se précise !

Telegram : la version payante se précise !

digitalroundup_e8kf4d Par digitalroundup_e8kf4d
08/11/2021
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Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

La pub, un mal nécessaire

Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

Telegram

4.2 / 5

9,0 M avis

Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

La pub, un mal nécessaire

Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

La pub, un mal nécessaire

Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

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« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

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Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

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« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

La pub, un mal nécessaire

Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

Telegram

4.2 / 5

9,0 M avis

Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

La pub, un mal nécessaire

Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

La pub, un mal nécessaire

Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

La pub, un mal nécessaire

Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

La pub, un mal nécessaire

Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

La pub, un mal nécessaire

Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

La pub, un mal nécessaire

Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

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« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

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Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

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En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

Telegram

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Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

La pub, un mal nécessaire

Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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4.2 / 5

9,0 M avis

Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

La pub, un mal nécessaire

Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

La pub, un mal nécessaire

Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

La pub, un mal nécessaire

Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

La pub, un mal nécessaire

Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

La pub, un mal nécessaire

Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

La pub, un mal nécessaire

Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

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Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

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« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

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En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

Telegram

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Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

La pub, un mal nécessaire

Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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9,0 M avis

Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

La pub, un mal nécessaire

Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

La pub, un mal nécessaire

Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

La pub, un mal nécessaire

Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

La pub, un mal nécessaire

Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

La pub, un mal nécessaire

Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

La pub, un mal nécessaire

Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

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« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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9,0 M avis

Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

La pub, un mal nécessaire

Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

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Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

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« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

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Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

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« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

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Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

La pub, un mal nécessaire

Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

Telegram

4.2 / 5

9,0 M avis

Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

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Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

La pub, un mal nécessaire

Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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Telegram s’est toujours positionné comme l’anti-WhatsApp. Aussi, à chaque fois que le service de messagerie de Meta est confronté à un problème, Telegram en profite pour ajouter de nouveaux utilisateurs.

Cette année, on peut dire que la croissance de Telegram a été exceptionnelle. Mais si l’app gagne en popularité, celle-ci doit aussi générer des revenus.

Fin 2020, Pavel Durov, le CEO de Telegram, annonçait le projet de l’entreprise de monétiser son application de messagerie avec des publicités qui ne concernerait cependant pas les messages privés entre deux personnes, mais plutôt les canaux de diffusion, une sorte de plateforme de blog ou de réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent diffuser des contenus à un large public.

Aujourd’hui, ce plan a déjà été mis en exécution. Mais Telegram voudrait donner le choix aux utilisateurs, en proposant un abonnement payant à ceux qui ne voudraient pas voir ces publicités sur les canaux.

Selon le site mspoweruser.com, cette nouvelle idée aurait été exposée par Pavel Durov sur l’un de ses canaux (en russe). « Nous avons déjà commencé à travailler sur cette nouvelle fonctionnalité et sommes impatients de la lancer ce mois-ci. Il peut être émis sous la forme d’un abonnement peu coûteux, qui permettra à tout utilisateur de soutenir directement financièrement le développement de Telegram et de ne jamais voir de publicités officielles dans les chaînes », lirait-on dans cette publication du patron de Telegram.

Outre cela, Telegram pourrait également proposer aux propriétaires des canaux ou chaines de payer pour faire disparaitre les publicités à côté de leurs contenus.

« Pour le moment, nous calculons les conditions économiques de cette option. Les annonceurs pourront bientôt placer une annonce « invisible » sur n’importe quel canal qui, en supposant que le coût par impression soit suffisant, n’entraînera aucune publicité sur ce canal », aurait expliqué Pavel Durov.

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Pour rappel, les publicités de Telegram s’affichent sur les canaux avec une audience de plus de 1 000 abonnés. Les annonceurs peuvent cibler ces publicités en sélectionnant des langues, ainsi que des thématiques. Par exemple, il est possible de cibler des canaux hispanophones parlant de musique. Telegram permet également de cibler un canal en particulier en saisissant son adresse dans un champ, ou d’exclure certains types de canaux.    

En 2020, lorsqu’il a annoncé l’arrivée des publicités, Pavel Durov avait expliqué qu’il était nécessaire de monétiser l’app afin d’éviter un scénario à la WhatsApp.

« Nous n’allons pas vendre l’entreprise comme les fondateurs de WhatsApp. Le monde a besoin d’un Telegram indépendant en tant que lieu où les utilisateurs sont respectés et où un service de haute qualité est assuré. Telegram doit continuer à servir le monde en tant qu’exemple d’entreprise technologique qui aspire à la perfection et à l’intégrité. Et, comme le montrent les tristes exemples de nos prédécesseurs, cela est impossible si vous devenez membre d’une société », avait écrit le fondateur de Telegram.

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