
Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

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Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
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Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

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Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
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Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

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Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
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Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
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Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

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Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
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Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

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Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

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Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.

Une enveloppe d’1,8 milliard d’euros sur 4 ans. Ce mardi, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, Cédric O, a dévoilé son plan de soutien à la filière cloud française et européenne dans les locaux d’OVH Cloud, acteur majeur de ce marché.
Sur ce total, l’État prévoit de financer 667 millions d’euros, tandis que des financements européens assureront 444 millions d’euros. Enfin 680 millions seront abondés par des confinancements privés. En tout, « 23 projets de recherche et développement ont déjà été sélectionnés par l’État, pour un financement public de plus de 421 millions d’euros », précise Cédric O.
« La bataille du cloud n’est pas perdue », selon Cédric O
Le ministre s’est voulu à cette occasion très optimiste, affirmant qu’en dépit de la domination des acteurs américains, « la bataille du cloud n’est pas perdue », pour les Européens. Interrogé par BFM Business, il a ensuite expliqué que « ce montant va servir à la fois à développer des offres innovantes, pour former plus et faire en sorte que la recherche française travaille plus avec des clouders français ».
Cédric O veut donc faire en sorte « qu’il y ait des champions français du cloud qui émergent ». Ce pari semble néanmoins très difficile, puisque selon les chiffres du gouvernement, des acteurs comme Microsoft, Google, ou Amazon Web Services représentent à eux trois, 69 % du marché européen.
Pour rappel, le gouvernement a lancé un plan en mai dernier, visant à soutenir la mise en place d’un cloud souverain pour s’affranchir de la domination des géants du secteur. Un label « cloud de confiance » a été créé afin de garantir « indépendance totale par rapport aux lois extra-territoriales américaines ».
Il faut en effet savoir que la justice de l’oncle Sam s’est octroyée le droit de saisir les données hors du territoire américain. Ce label n’est donc accordé qu’aux entreprises « européennes et possédées par des Européens ». Elles doivent aussi disposer « de serveurs opérés en France ».
Pour autant, le gouvernement sait qu’il ne pourra pas se passer du jour au lendemain des services d’Amazon, Google et Microsoft. Dès lors, cette mention « cloud de confiance » pourra donc être accordée à des entreprises qui travaillent sous licence avec les technologies de ces géants de la Tech.