Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
Après Facebook, Google ?
Cité par nos confrères, Pierre Louette, président de l’Alliance et également PDG du groupe Les Échos-Le Parisien, se réjoui : « Les termes auxquels nous sommes parvenus permettront à Facebook d’appliquer la directive et la loi française, tout en générant des financements importants pour les éditeurs de l’Alliance, notamment les plus petits d’entre eux ».
En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
Pour rappel, les journaux français négocient toujours avec Google, autre géant concerné par le droit voisin. Selon Les Échos, si les discussions n’aboutissent pas d’ici mi-novembre, l’Autorité de la concurrence se saisira du dossier et pourrait mettre en place des mesures d’astreintes journalières.

Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
Après Facebook, Google ?
Cité par nos confrères, Pierre Louette, président de l’Alliance et également PDG du groupe Les Échos-Le Parisien, se réjoui : « Les termes auxquels nous sommes parvenus permettront à Facebook d’appliquer la directive et la loi française, tout en générant des financements importants pour les éditeurs de l’Alliance, notamment les plus petits d’entre eux ».
En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
Pour rappel, les journaux français négocient toujours avec Google, autre géant concerné par le droit voisin. Selon Les Échos, si les discussions n’aboutissent pas d’ici mi-novembre, l’Autorité de la concurrence se saisira du dossier et pourrait mettre en place des mesures d’astreintes journalières.

Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
Après Facebook, Google ?
Cité par nos confrères, Pierre Louette, président de l’Alliance et également PDG du groupe Les Échos-Le Parisien, se réjoui : « Les termes auxquels nous sommes parvenus permettront à Facebook d’appliquer la directive et la loi française, tout en générant des financements importants pour les éditeurs de l’Alliance, notamment les plus petits d’entre eux ».
En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
Pour rappel, les journaux français négocient toujours avec Google, autre géant concerné par le droit voisin. Selon Les Échos, si les discussions n’aboutissent pas d’ici mi-novembre, l’Autorité de la concurrence se saisira du dossier et pourrait mettre en place des mesures d’astreintes journalières.

Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
Après Facebook, Google ?
Cité par nos confrères, Pierre Louette, président de l’Alliance et également PDG du groupe Les Échos-Le Parisien, se réjoui : « Les termes auxquels nous sommes parvenus permettront à Facebook d’appliquer la directive et la loi française, tout en générant des financements importants pour les éditeurs de l’Alliance, notamment les plus petits d’entre eux ».
En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
Pour rappel, les journaux français négocient toujours avec Google, autre géant concerné par le droit voisin. Selon Les Échos, si les discussions n’aboutissent pas d’ici mi-novembre, l’Autorité de la concurrence se saisira du dossier et pourrait mettre en place des mesures d’astreintes journalières.

Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
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Cité par nos confrères, Pierre Louette, président de l’Alliance et également PDG du groupe Les Échos-Le Parisien, se réjoui : « Les termes auxquels nous sommes parvenus permettront à Facebook d’appliquer la directive et la loi française, tout en générant des financements importants pour les éditeurs de l’Alliance, notamment les plus petits d’entre eux ».
En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
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Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
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En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
Pour rappel, les journaux français négocient toujours avec Google, autre géant concerné par le droit voisin. Selon Les Échos, si les discussions n’aboutissent pas d’ici mi-novembre, l’Autorité de la concurrence se saisira du dossier et pourrait mettre en place des mesures d’astreintes journalières.

Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
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Cité par nos confrères, Pierre Louette, président de l’Alliance et également PDG du groupe Les Échos-Le Parisien, se réjoui : « Les termes auxquels nous sommes parvenus permettront à Facebook d’appliquer la directive et la loi française, tout en générant des financements importants pour les éditeurs de l’Alliance, notamment les plus petits d’entre eux ».
En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
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Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
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En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
Pour rappel, les journaux français négocient toujours avec Google, autre géant concerné par le droit voisin. Selon Les Échos, si les discussions n’aboutissent pas d’ici mi-novembre, l’Autorité de la concurrence se saisira du dossier et pourrait mettre en place des mesures d’astreintes journalières.

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Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
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Cité par nos confrères, Pierre Louette, président de l’Alliance et également PDG du groupe Les Échos-Le Parisien, se réjoui : « Les termes auxquels nous sommes parvenus permettront à Facebook d’appliquer la directive et la loi française, tout en générant des financements importants pour les éditeurs de l’Alliance, notamment les plus petits d’entre eux ».
En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
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Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
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En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
Pour rappel, les journaux français négocient toujours avec Google, autre géant concerné par le droit voisin. Selon Les Échos, si les discussions n’aboutissent pas d’ici mi-novembre, l’Autorité de la concurrence se saisira du dossier et pourrait mettre en place des mesures d’astreintes journalières.

Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
Après Facebook, Google ?
Cité par nos confrères, Pierre Louette, président de l’Alliance et également PDG du groupe Les Échos-Le Parisien, se réjoui : « Les termes auxquels nous sommes parvenus permettront à Facebook d’appliquer la directive et la loi française, tout en générant des financements importants pour les éditeurs de l’Alliance, notamment les plus petits d’entre eux ».
En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
Pour rappel, les journaux français négocient toujours avec Google, autre géant concerné par le droit voisin. Selon Les Échos, si les discussions n’aboutissent pas d’ici mi-novembre, l’Autorité de la concurrence se saisira du dossier et pourrait mettre en place des mesures d’astreintes journalières.

Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
Après Facebook, Google ?
Cité par nos confrères, Pierre Louette, président de l’Alliance et également PDG du groupe Les Échos-Le Parisien, se réjoui : « Les termes auxquels nous sommes parvenus permettront à Facebook d’appliquer la directive et la loi française, tout en générant des financements importants pour les éditeurs de l’Alliance, notamment les plus petits d’entre eux ».
En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
Pour rappel, les journaux français négocient toujours avec Google, autre géant concerné par le droit voisin. Selon Les Échos, si les discussions n’aboutissent pas d’ici mi-novembre, l’Autorité de la concurrence se saisira du dossier et pourrait mettre en place des mesures d’astreintes journalières.

Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
Après Facebook, Google ?
Cité par nos confrères, Pierre Louette, président de l’Alliance et également PDG du groupe Les Échos-Le Parisien, se réjoui : « Les termes auxquels nous sommes parvenus permettront à Facebook d’appliquer la directive et la loi française, tout en générant des financements importants pour les éditeurs de l’Alliance, notamment les plus petits d’entre eux ».
En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
Pour rappel, les journaux français négocient toujours avec Google, autre géant concerné par le droit voisin. Selon Les Échos, si les discussions n’aboutissent pas d’ici mi-novembre, l’Autorité de la concurrence se saisira du dossier et pourrait mettre en place des mesures d’astreintes journalières.

Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
Après Facebook, Google ?
Cité par nos confrères, Pierre Louette, président de l’Alliance et également PDG du groupe Les Échos-Le Parisien, se réjoui : « Les termes auxquels nous sommes parvenus permettront à Facebook d’appliquer la directive et la loi française, tout en générant des financements importants pour les éditeurs de l’Alliance, notamment les plus petits d’entre eux ».
En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
Pour rappel, les journaux français négocient toujours avec Google, autre géant concerné par le droit voisin. Selon Les Échos, si les discussions n’aboutissent pas d’ici mi-novembre, l’Autorité de la concurrence se saisira du dossier et pourrait mettre en place des mesures d’astreintes journalières.

Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
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En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
Pour rappel, les journaux français négocient toujours avec Google, autre géant concerné par le droit voisin. Selon Les Échos, si les discussions n’aboutissent pas d’ici mi-novembre, l’Autorité de la concurrence se saisira du dossier et pourrait mettre en place des mesures d’astreintes journalières.

Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
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Cité par nos confrères, Pierre Louette, président de l’Alliance et également PDG du groupe Les Échos-Le Parisien, se réjoui : « Les termes auxquels nous sommes parvenus permettront à Facebook d’appliquer la directive et la loi française, tout en générant des financements importants pour les éditeurs de l’Alliance, notamment les plus petits d’entre eux ».
En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
Pour rappel, les journaux français négocient toujours avec Google, autre géant concerné par le droit voisin. Selon Les Échos, si les discussions n’aboutissent pas d’ici mi-novembre, l’Autorité de la concurrence se saisira du dossier et pourrait mettre en place des mesures d’astreintes journalières.

Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
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Cité par nos confrères, Pierre Louette, président de l’Alliance et également PDG du groupe Les Échos-Le Parisien, se réjoui : « Les termes auxquels nous sommes parvenus permettront à Facebook d’appliquer la directive et la loi française, tout en générant des financements importants pour les éditeurs de l’Alliance, notamment les plus petits d’entre eux ».
En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
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Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
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En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
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Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
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En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
Pour rappel, les journaux français négocient toujours avec Google, autre géant concerné par le droit voisin. Selon Les Échos, si les discussions n’aboutissent pas d’ici mi-novembre, l’Autorité de la concurrence se saisira du dossier et pourrait mettre en place des mesures d’astreintes journalières.

Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
Après Facebook, Google ?
Cité par nos confrères, Pierre Louette, président de l’Alliance et également PDG du groupe Les Échos-Le Parisien, se réjoui : « Les termes auxquels nous sommes parvenus permettront à Facebook d’appliquer la directive et la loi française, tout en générant des financements importants pour les éditeurs de l’Alliance, notamment les plus petits d’entre eux ».
En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
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En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
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En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
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Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
Après Facebook, Google ?
Cité par nos confrères, Pierre Louette, président de l’Alliance et également PDG du groupe Les Échos-Le Parisien, se réjoui : « Les termes auxquels nous sommes parvenus permettront à Facebook d’appliquer la directive et la loi française, tout en générant des financements importants pour les éditeurs de l’Alliance, notamment les plus petits d’entre eux ».
En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
Pour rappel, les journaux français négocient toujours avec Google, autre géant concerné par le droit voisin. Selon Les Échos, si les discussions n’aboutissent pas d’ici mi-novembre, l’Autorité de la concurrence se saisira du dossier et pourrait mettre en place des mesures d’astreintes journalières.

Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
Après Facebook, Google ?
Cité par nos confrères, Pierre Louette, président de l’Alliance et également PDG du groupe Les Échos-Le Parisien, se réjoui : « Les termes auxquels nous sommes parvenus permettront à Facebook d’appliquer la directive et la loi française, tout en générant des financements importants pour les éditeurs de l’Alliance, notamment les plus petits d’entre eux ».
En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
Pour rappel, les journaux français négocient toujours avec Google, autre géant concerné par le droit voisin. Selon Les Échos, si les discussions n’aboutissent pas d’ici mi-novembre, l’Autorité de la concurrence se saisira du dossier et pourrait mettre en place des mesures d’astreintes journalières.

Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
Après Facebook, Google ?
Cité par nos confrères, Pierre Louette, président de l’Alliance et également PDG du groupe Les Échos-Le Parisien, se réjoui : « Les termes auxquels nous sommes parvenus permettront à Facebook d’appliquer la directive et la loi française, tout en générant des financements importants pour les éditeurs de l’Alliance, notamment les plus petits d’entre eux ».
En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
Pour rappel, les journaux français négocient toujours avec Google, autre géant concerné par le droit voisin. Selon Les Échos, si les discussions n’aboutissent pas d’ici mi-novembre, l’Autorité de la concurrence se saisira du dossier et pourrait mettre en place des mesures d’astreintes journalières.

Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
Après Facebook, Google ?
Cité par nos confrères, Pierre Louette, président de l’Alliance et également PDG du groupe Les Échos-Le Parisien, se réjoui : « Les termes auxquels nous sommes parvenus permettront à Facebook d’appliquer la directive et la loi française, tout en générant des financements importants pour les éditeurs de l’Alliance, notamment les plus petits d’entre eux ».
En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
Pour rappel, les journaux français négocient toujours avec Google, autre géant concerné par le droit voisin. Selon Les Échos, si les discussions n’aboutissent pas d’ici mi-novembre, l’Autorité de la concurrence se saisira du dossier et pourrait mettre en place des mesures d’astreintes journalières.

Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
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Cité par nos confrères, Pierre Louette, président de l’Alliance et également PDG du groupe Les Échos-Le Parisien, se réjoui : « Les termes auxquels nous sommes parvenus permettront à Facebook d’appliquer la directive et la loi française, tout en générant des financements importants pour les éditeurs de l’Alliance, notamment les plus petits d’entre eux ».
En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
Pour rappel, les journaux français négocient toujours avec Google, autre géant concerné par le droit voisin. Selon Les Échos, si les discussions n’aboutissent pas d’ici mi-novembre, l’Autorité de la concurrence se saisira du dossier et pourrait mettre en place des mesures d’astreintes journalières.

Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
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En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
Pour rappel, les journaux français négocient toujours avec Google, autre géant concerné par le droit voisin. Selon Les Échos, si les discussions n’aboutissent pas d’ici mi-novembre, l’Autorité de la concurrence se saisira du dossier et pourrait mettre en place des mesures d’astreintes journalières.

Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
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Cité par nos confrères, Pierre Louette, président de l’Alliance et également PDG du groupe Les Échos-Le Parisien, se réjoui : « Les termes auxquels nous sommes parvenus permettront à Facebook d’appliquer la directive et la loi française, tout en générant des financements importants pour les éditeurs de l’Alliance, notamment les plus petits d’entre eux ».
En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
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Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
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En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
Pour rappel, les journaux français négocient toujours avec Google, autre géant concerné par le droit voisin. Selon Les Échos, si les discussions n’aboutissent pas d’ici mi-novembre, l’Autorité de la concurrence se saisira du dossier et pourrait mettre en place des mesures d’astreintes journalières.

Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
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En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
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En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
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Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
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Cité par nos confrères, Pierre Louette, président de l’Alliance et également PDG du groupe Les Échos-Le Parisien, se réjoui : « Les termes auxquels nous sommes parvenus permettront à Facebook d’appliquer la directive et la loi française, tout en générant des financements importants pour les éditeurs de l’Alliance, notamment les plus petits d’entre eux ».
En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
Pour rappel, les journaux français négocient toujours avec Google, autre géant concerné par le droit voisin. Selon Les Échos, si les discussions n’aboutissent pas d’ici mi-novembre, l’Autorité de la concurrence se saisira du dossier et pourrait mettre en place des mesures d’astreintes journalières.

Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
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Cité par nos confrères, Pierre Louette, président de l’Alliance et également PDG du groupe Les Échos-Le Parisien, se réjoui : « Les termes auxquels nous sommes parvenus permettront à Facebook d’appliquer la directive et la loi française, tout en générant des financements importants pour les éditeurs de l’Alliance, notamment les plus petits d’entre eux ».
En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
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En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
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Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
Pour rappel, les journaux français négocient toujours avec Google, autre géant concerné par le droit voisin. Selon Les Échos, si les discussions n’aboutissent pas d’ici mi-novembre, l’Autorité de la concurrence se saisira du dossier et pourrait mettre en place des mesures d’astreintes journalières.

Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
Après Facebook, Google ?
Cité par nos confrères, Pierre Louette, président de l’Alliance et également PDG du groupe Les Échos-Le Parisien, se réjoui : « Les termes auxquels nous sommes parvenus permettront à Facebook d’appliquer la directive et la loi française, tout en générant des financements importants pour les éditeurs de l’Alliance, notamment les plus petits d’entre eux ».
En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
Pour rappel, les journaux français négocient toujours avec Google, autre géant concerné par le droit voisin. Selon Les Échos, si les discussions n’aboutissent pas d’ici mi-novembre, l’Autorité de la concurrence se saisira du dossier et pourrait mettre en place des mesures d’astreintes journalières.

Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
Après Facebook, Google ?
Cité par nos confrères, Pierre Louette, président de l’Alliance et également PDG du groupe Les Échos-Le Parisien, se réjoui : « Les termes auxquels nous sommes parvenus permettront à Facebook d’appliquer la directive et la loi française, tout en générant des financements importants pour les éditeurs de l’Alliance, notamment les plus petits d’entre eux ».
En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
Pour rappel, les journaux français négocient toujours avec Google, autre géant concerné par le droit voisin. Selon Les Échos, si les discussions n’aboutissent pas d’ici mi-novembre, l’Autorité de la concurrence se saisira du dossier et pourrait mettre en place des mesures d’astreintes journalières.

Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
Après Facebook, Google ?
Cité par nos confrères, Pierre Louette, président de l’Alliance et également PDG du groupe Les Échos-Le Parisien, se réjoui : « Les termes auxquels nous sommes parvenus permettront à Facebook d’appliquer la directive et la loi française, tout en générant des financements importants pour les éditeurs de l’Alliance, notamment les plus petits d’entre eux ».
En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
Pour rappel, les journaux français négocient toujours avec Google, autre géant concerné par le droit voisin. Selon Les Échos, si les discussions n’aboutissent pas d’ici mi-novembre, l’Autorité de la concurrence se saisira du dossier et pourrait mettre en place des mesures d’astreintes journalières.

Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
Après Facebook, Google ?
Cité par nos confrères, Pierre Louette, président de l’Alliance et également PDG du groupe Les Échos-Le Parisien, se réjoui : « Les termes auxquels nous sommes parvenus permettront à Facebook d’appliquer la directive et la loi française, tout en générant des financements importants pour les éditeurs de l’Alliance, notamment les plus petits d’entre eux ».
En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
Pour rappel, les journaux français négocient toujours avec Google, autre géant concerné par le droit voisin. Selon Les Échos, si les discussions n’aboutissent pas d’ici mi-novembre, l’Autorité de la concurrence se saisira du dossier et pourrait mettre en place des mesures d’astreintes journalières.

Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
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En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
Pour rappel, les journaux français négocient toujours avec Google, autre géant concerné par le droit voisin. Selon Les Échos, si les discussions n’aboutissent pas d’ici mi-novembre, l’Autorité de la concurrence se saisira du dossier et pourrait mettre en place des mesures d’astreintes journalières.

Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
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Cité par nos confrères, Pierre Louette, président de l’Alliance et également PDG du groupe Les Échos-Le Parisien, se réjoui : « Les termes auxquels nous sommes parvenus permettront à Facebook d’appliquer la directive et la loi française, tout en générant des financements importants pour les éditeurs de l’Alliance, notamment les plus petits d’entre eux ».
En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
Pour rappel, les journaux français négocient toujours avec Google, autre géant concerné par le droit voisin. Selon Les Échos, si les discussions n’aboutissent pas d’ici mi-novembre, l’Autorité de la concurrence se saisira du dossier et pourrait mettre en place des mesures d’astreintes journalières.

Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
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Cité par nos confrères, Pierre Louette, président de l’Alliance et également PDG du groupe Les Échos-Le Parisien, se réjoui : « Les termes auxquels nous sommes parvenus permettront à Facebook d’appliquer la directive et la loi française, tout en générant des financements importants pour les éditeurs de l’Alliance, notamment les plus petits d’entre eux ».
En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
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Cette fois, c’est fait. Après de longues discussions, Facebook et l’Alliance de la presse d’information générale (Apig) ont trouvé un accord sur les droits voisins. Comme le rapporte Les Échos, ce dernier fixe les principes généraux de la rémunération des contenus publiés et partagés sur la plateforme.
Il est établi en vertu d’une loi qui est une transposition de la directive européenne adoptée en 2018. Concrètement, l’idée est de faire payer les géants du web pour les publications des médias, dont elles bénéficient.
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En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
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Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
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En tout, 300 éditeurs tricolores sont concernés par ces mesures. La plupart des grands journaux nationaux, mais aussi régionaux et départementaux sont membre de l’Alliance, mais pas la presse magazine qui a sa propre organisation. Il s’agit concrètement d’un contrat de licence d’une durée de trois ans renouvelables, rapporte le quotidien économique, de quoi fournir une nouvelle source de revenus à ces médias.
Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
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Du côté de la firme de Mark Zuckerberg, on salue aussi cette mesure : « Ce processus a été long, mais il est l’aboutissement d’un travail collaboratif, minutieux et approfondi ». Le géant du web ajoute que les journaux qui le souhaitent pourront rejoindre Facebook News, l’espace « dédié à l’actualité qui sera lancé en France en janvier 2022. Ce nouveau service offrira aux internautes un espace dédié pour accéder au contenu de sources d’information fiables et réputées. »
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