
La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.
C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.
Comprendre la création du système solaire
Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.
Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.
Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.
Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.
Un message pour les “nous” de demain
Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.
We all shine on… like the moon and the stars and the sun.
From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09
— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021
Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.
La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.
C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.
Comprendre la création du système solaire
Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.
Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.
Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.
Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.
Un message pour les “nous” de demain
Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.
We all shine on… like the moon and the stars and the sun.
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Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.
La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.
C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.
Comprendre la création du système solaire
Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.
Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.
Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.
Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.
Un message pour les “nous” de demain
Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.
We all shine on… like the moon and the stars and the sun.
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La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.
C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.
Comprendre la création du système solaire
Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.
Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.
Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.
Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.
Un message pour les “nous” de demain
Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.
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La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.
C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.
Comprendre la création du système solaire
Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.
Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.
Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.
Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.
Un message pour les “nous” de demain
Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.
We all shine on… like the moon and the stars and the sun.
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La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.
C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.
Comprendre la création du système solaire
Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.
Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.
Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.
Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.
Un message pour les “nous” de demain
Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.
We all shine on… like the moon and the stars and the sun.
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La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.
C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.
Comprendre la création du système solaire
Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.
Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.
Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.
Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.
Un message pour les “nous” de demain
Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.
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La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.
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Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.
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Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.
Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.
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La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

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La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

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Comprendre la création du système solaire
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Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.
Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.
Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.
Un message pour les “nous” de demain
Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.
We all shine on… like the moon and the stars and the sun.
From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09
— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021
Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.
La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.
C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.
Comprendre la création du système solaire
Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.
Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.
Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.
Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.
Un message pour les “nous” de demain
Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.
We all shine on… like the moon and the stars and the sun.
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Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.
La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.
C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.
Comprendre la création du système solaire
Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.
Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.
Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.
Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.
Un message pour les “nous” de demain
Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.
We all shine on… like the moon and the stars and the sun.
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Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.
La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.
C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.
Comprendre la création du système solaire
Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.
Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.
Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.
Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.
Un message pour les “nous” de demain
Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.
We all shine on… like the moon and the stars and the sun.
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Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.
La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.
C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.
Comprendre la création du système solaire
Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.
Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.
Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.
Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.
Un message pour les “nous” de demain
Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.
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La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.
C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.
Comprendre la création du système solaire
Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.
Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.
Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.
Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.
Un message pour les “nous” de demain
Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.
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La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.
C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.
Comprendre la création du système solaire
Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.
Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.
Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.
Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.
Un message pour les “nous” de demain
Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.
We all shine on… like the moon and the stars and the sun.
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La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.
C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.
Comprendre la création du système solaire
Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.
Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.
Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.
Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.
Un message pour les “nous” de demain
Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.
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La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

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La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

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C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.
Comprendre la création du système solaire
Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.
Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.
Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.
Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.
Un message pour les “nous” de demain
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We all shine on… like the moon and the stars and the sun.
From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09
— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021
Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.
La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.
C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.
Comprendre la création du système solaire
Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.
Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.
Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.
Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.
Un message pour les “nous” de demain
Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.
We all shine on… like the moon and the stars and the sun.
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Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.
La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.
C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.
Comprendre la création du système solaire
Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.
Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.
Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.
Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.
Un message pour les “nous” de demain
Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.
We all shine on… like the moon and the stars and the sun.
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La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.
C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.
Comprendre la création du système solaire
Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.
Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.
Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.
Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.
Un message pour les “nous” de demain
Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.
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La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.
C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.
Comprendre la création du système solaire
Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.
Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.
Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.
Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.
Un message pour les “nous” de demain
Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.
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La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.
C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.
Comprendre la création du système solaire
Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.
Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.
Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.
Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.
Un message pour les “nous” de demain
Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.
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La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.
C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.
Comprendre la création du système solaire
Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.
Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.
Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.
Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.
Un message pour les “nous” de demain
Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.
We all shine on… like the moon and the stars and the sun.
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La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.
C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.
Comprendre la création du système solaire
Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.
Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.
Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.
Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.
Un message pour les “nous” de demain
Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.
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La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

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Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.
Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.
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La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

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Un message pour les “nous” de demain
Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.
We all shine on… like the moon and the stars and the sun.
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Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.
La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.
C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.
Comprendre la création du système solaire
Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.
Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.
Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.
Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.
Un message pour les “nous” de demain
Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.
We all shine on… like the moon and the stars and the sun.
From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09
— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021
Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.
La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.
C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.
Comprendre la création du système solaire
Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.
Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.
Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.
Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.
Un message pour les “nous” de demain
Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.
We all shine on… like the moon and the stars and the sun.
From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09
— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021
Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.
La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.
C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.
Comprendre la création du système solaire
Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.
Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.
Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.
Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.
Un message pour les “nous” de demain
Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.
We all shine on… like the moon and the stars and the sun.
From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09
— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021
Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.
La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.
C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.
Comprendre la création du système solaire
Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.
Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.
Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.
Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.
Un message pour les “nous” de demain
Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.
We all shine on… like the moon and the stars and the sun.
From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09
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Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.
La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?