• A Propos
  • Politique de confidentialité
  • Contact
Tech News, Magazine & Review WordPress Theme 2017
Pas de résultats
View All Result
Digital RoundUp
Digital RoundUp
Pas de résultats
View All Result
ADVERTISEMENT

Home » La sonde Lucy décolle vers une zone inexplorée de notre système solaire

La sonde Lucy décolle vers une zone inexplorée de notre système solaire

digitalroundup_e8kf4d Par digitalroundup_e8kf4d
16/10/2021
Partager sur FacebookPublier sur TwitterPartager sur LinkedInPartager sur WhatsApp

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

La NASA vit une période dorée. Avec le programme Artemis qui occupe une grande partie de son temps et de sa communication on en vient presque à oublier que l’agence spatiale nord-américain est également à la tête d’autres missions, allant plus loin dans l’espace.

C’est notamment le cas de Lucy, nommé en honneur du squelette d’australopithèque découvert en Ethiopie en 1974, une petite sonde de la NASA (qui pèse tout de même 1550kg) qui vient de décoller ce midi même depuis le pas de tir de Cap Canaveral en Floride.

Comprendre la création du système solaire

Si le squelette africain, nommé en hommage à une chanson des Beatles, nous expliquait l’évolution de notre espèce, les recherches de la sonde spatiale pourrait revenir encore plus loin dans notre passé, avec pour objectif d’expliquer les phénomènes en place lors de la création du système solaire.

Pour répondre à cette question cruciale sur notre passé, la sonde va partir explorer les astéroïdes troyens de Jupiter. Ils sont en effet des “fossiles” de notre système solaire et selon la NASA se sont notre meilleure chance de comprendre comment la Terre et tout ce qui l’entoure se sont formés autour du Soleil, il y a des milliards d’années.

Encore jamais exploré par l’Homme les astéroïdes troyens devraient rester encore quelques temps dans le secret. Distant de plusieurs millions de kilomètres de la Terre, ils ne seront rejoints qu’en 2027 par la sonde pour un premier survol.

Ce voyage est si long qu’il a donné une idée aux ingénieurs de la NASA, travaillant sur la sonde. En effet cette dernière ne rentrera pas sur Terre, du moins pas dans l’immédiat. Après son voyage autour de Jupiter, elle sera livré à elle même, voguant dans notre système solaire au gré des interactions gravitationnelles, pour un périple qui durera finalement des milliers d’années.

Un message pour les “nous” de demain

Alors en plus du matériel scientifique de pointe, les ingénieurs de la NASA ont pensé à embarquer une plaque sur la sonde, comme se fut le cas sur les sondes de Pionner et Voyager, parties elles pour les confins de l’espace. Mais cette fois le message gravé n’est pas à destination d’une possible espèce extraterrestre mais bien de nos descendants.

We all shine on… like the moon and the stars and the sun.

From Oct 2021, @NASA’s #Lucy spacecraft will carry messages to the Trojan Asteroids from @JohnLennon & @YokoOno, @TheBeatles @PaulMcCartney @GeorgeHarrison & @RingoStarrMusic and many more.https://t.co/o06Mt08QAA pic.twitter.com/2G4ln4EI09

— John Lennon ☁️ (@johnlennon) July 13, 2021

Ces messages se devaient alors d’être le reflet de notre époque, de notre civilisation. Ils ont donc été écrits par des prix Nobel, des poètes et d’autres personnalités. Albert Einstein figure parmi ces lignes, lui qui conseille aux futurs habitants de la Terre de devenir des “Hommes de valeur”, en partant de l’hypothèse que la sélection naturelle n’ait pas rendue le nom d’Homme caduque avec le temps. Cette citation du plus célèbre des physiciens côtoie des maxime de Martin Luther King, mais également de Brian May, le guitariste du groupe Queen, qui était également astrophysicien.

La sonde Lucy a donc décollé ce 16 octobre depuis la base de Cap Canaveral en Floride pour un voyage qui pourrait bien être sans retour vers les astéroïdes troyens de Jupiter. En attendant son possible retour, la sonde devrait étudier les bouts de roches stellaires à la recherche d’une réponse à cette question : d’où venons-nous ?

digitalroundup_e8kf4d

digitalroundup_e8kf4d

Post suivant
Les modes de paiement innovants se multiplient… et les risques associés aussi

Les modes de paiement innovants se multiplient... et les risques associés aussi

Recommended.

Call of Duty Modern Warfare 2 : voilà comment y jouer une semaine avant sa sortie

Call of Duty Modern Warfare 2 : voilà comment y jouer une semaine avant sa sortie

19/08/2022
1.5k
« La responsabilité revient à Mark Zuckerberg, il ne rend de comptes à personne » : les propos forts de Frances Haugen lors de son audition

« La responsabilité revient à Mark Zuckerberg, il ne rend de comptes à personne » : les propos forts de Frances Haugen lors de son audition

14/10/2021
1.5k

Trending.

Les entraînements de sport débarquent sur Netflix, comment s’y mettre ?

Les entraînements de sport débarquent sur Netflix, comment s’y mettre ?

22/12/2022
1.5k
Google dépose un nouveau recours contre une amende de plus de 4 milliards d’euros infligée par l’UE

Google dépose un nouveau recours contre une amende de plus de 4 milliards d’euros infligée par l’UE

01/12/2022
1.5k

La fusée qui bloquait le secteur aérien s’est bien écrasée sur Terre

10/11/2022
1.5k
Si vous avez ce bug sur iPhone 14, ne paniquez pas !

Si vous avez ce bug sur iPhone 14, ne paniquez pas !

23/12/2022
1.5k
Waze va inclure les bornes de recharge sur ses cartes

Waze va inclure les bornes de recharge sur ses cartes

26/07/2022
1.5k
Digital RoundUp

Nous vous proposons les dernières infos Tech dans le monde. Abonnez-vous à notre Newletter pour ne rien manquer.

Suivez-nous

Catégories

  • Auto-moto
  • Autres
  • Cryptomonnaies
  • Digital
  • High Tech
  • Intelligence Artificielle
  • Internet
  • Jeux vidéo
  • Logiciel
  • Macbook
  • Musique
  • Ordinateurs
  • PC Windows
  • Sécurité
  • Smartphones, Tablettes, Mobile
  • Social Media
  • Sport

Derniers Articles

Voici comment ChatGPT va tuer les mots-clés

Voici comment ChatGPT va tuer les mots-clés

06/02/2023
Ces avions ont évité un horrible crash au décollage (à 20 m près !)

Ces avions ont évité un horrible crash au décollage (à 20 m près !)

06/02/2023
  • A Propos
  • Politique de confidentialité
  • Contact

© 2021 Digital Round Up - Actualités et revues high-tech | Tous Droits Réservés | Site propulsé par Kipalangutu.

Pas de résultats
View All Result
  • Accueil
  • Les infos
    • Digital
    • Internet
      • Social Media
      • Sécurité
    • Auto-moto
    • Jeux vidéo
    • Smartphones, Tablettes, Mobile
    • Ordinateurs
    • Cryptomonnaies
  • Contact

© 2021 Digital Round Up - Actualités et revues high-tech | Tous Droits Réservés | Site propulsé par Kipalangutu.

We use cookies on our website to give you the most relevant experience by remembering your preferences and repeat visits. By clicking “Accept”, you consent to the use of ALL the cookies.
Do not sell my personal information.
Cookie SettingsAccept
Manage consent

Privacy Overview

This website uses cookies to improve your experience while you navigate through the website. Out of these, the cookies that are categorized as necessary are stored on your browser as they are essential for the working of basic functionalities of the website. We also use third-party cookies that help us analyze and understand how you use this website. These cookies will be stored in your browser only with your consent. You also have the option to opt-out of these cookies. But opting out of some of these cookies may affect your browsing experience.
Necessary
Toujours activé
Necessary cookies are absolutely essential for the website to function properly. These cookies ensure basic functionalities and security features of the website, anonymously.
CookieDuréeDescription
cookielawinfo-checkbox-analytics11 monthsThis cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookie is used to store the user consent for the cookies in the category "Analytics".
cookielawinfo-checkbox-functional11 monthsThe cookie is set by GDPR cookie consent to record the user consent for the cookies in the category "Functional".
cookielawinfo-checkbox-necessary11 monthsThis cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookies is used to store the user consent for the cookies in the category "Necessary".
cookielawinfo-checkbox-others11 monthsThis cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookie is used to store the user consent for the cookies in the category "Other.
cookielawinfo-checkbox-performance11 monthsThis cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookie is used to store the user consent for the cookies in the category "Performance".
viewed_cookie_policy11 monthsThe cookie is set by the GDPR Cookie Consent plugin and is used to store whether or not user has consented to the use of cookies. It does not store any personal data.
Functional
Functional cookies help to perform certain functionalities like sharing the content of the website on social media platforms, collect feedbacks, and other third-party features.
Performance
Performance cookies are used to understand and analyze the key performance indexes of the website which helps in delivering a better user experience for the visitors.
Analytics
Analytical cookies are used to understand how visitors interact with the website. These cookies help provide information on metrics the number of visitors, bounce rate, traffic source, etc.
Advertisement
Advertisement cookies are used to provide visitors with relevant ads and marketing campaigns. These cookies track visitors across websites and collect information to provide customized ads.
Others
Other uncategorized cookies are those that are being analyzed and have not been classified into a category as yet.
Enregistrer & appliquer