
Le chiffre fait froid dans le dos. D’après une enquête menée par e-Enfance, une association de protection de l’enfance en ligne, et la Caisse d’épargne : 20 % des jeunes français déclarent avoir été confrontés à une situation de cyberharcèlement. Comme l’a constaté France Bleu, ce phénomène correspond à de nombreuses situations : insultes, messages haineux, humiliations sur les réseaux sociaux, et aussi divulgations de photos intimes.
Les parents se sentent souvent démunis face à ce phénomène
Pour mieux comprendre, il faut savoir que les enfants ont accès de plus en plus tôt à leur premier appareil numérique et on voit aussi que 63 % des jeunes de l’étude sont inscrits sur un ou plusieurs réseaux sociaux. Sans surprise, TikTok, Snapchat, Instagram, ou encore YouTube se taillent la part du lion. Ils déclarent justement y passer plus de deux heures par jour pour communiquer avec leurs amis, ou suivre leur activité, mais aussi chercher des contenus divertissants.
Dans le même temps, les parents interrogés ont souvent du mal à suivre. D’ailleurs 83 % des sondés affirment ne pas savoir exactement ce que font leurs enfants en ligne. De même, 74 % d’entre eux déclarent que leurs enfants prennent un risque en se rendant sur les réseaux sociaux et craignent qu’elles ne soient victimes de cyberharcèlement.
Dans ces conditions, il n’est pas surprenant de constater que 95 % des parents préviennent verbalement leurs enfant des risques encourus sur Internet. Pour autant, 90 % sont demandeurs d’un meilleur accompagnement de la part d’association spécialisés ou des établissements scolaires.
Nos confrères reviennent enfin sur le numéro d’assistance 3018, Net Ecoute, mis en place par le gouvernement et qui est géré par E-Enfance. Il s’agit d’une ligne compétente « pour tous les enjeux de protection des mineurs sur internet comme la lutte contre les violences numériques et l’aide à la parentalité numérique ». Les conseillers sont à l’écoute pour régler les problèmes mais peuvent aussi fournir une aide pour le retrait d’images, de propos blessants, ou de comptes.
Pour rappel, les conclusions de cette étude confirment une tendance que nous avions déjà observé par le passé. En 2020, une enquête a ainsi pu constater une inquiétante montée en puissance du cyberharcèlement aux États-Unis.

Le chiffre fait froid dans le dos. D’après une enquête menée par e-Enfance, une association de protection de l’enfance en ligne, et la Caisse d’épargne : 20 % des jeunes français déclarent avoir été confrontés à une situation de cyberharcèlement. Comme l’a constaté France Bleu, ce phénomène correspond à de nombreuses situations : insultes, messages haineux, humiliations sur les réseaux sociaux, et aussi divulgations de photos intimes.
Les parents se sentent souvent démunis face à ce phénomène
Pour mieux comprendre, il faut savoir que les enfants ont accès de plus en plus tôt à leur premier appareil numérique et on voit aussi que 63 % des jeunes de l’étude sont inscrits sur un ou plusieurs réseaux sociaux. Sans surprise, TikTok, Snapchat, Instagram, ou encore YouTube se taillent la part du lion. Ils déclarent justement y passer plus de deux heures par jour pour communiquer avec leurs amis, ou suivre leur activité, mais aussi chercher des contenus divertissants.
Dans le même temps, les parents interrogés ont souvent du mal à suivre. D’ailleurs 83 % des sondés affirment ne pas savoir exactement ce que font leurs enfants en ligne. De même, 74 % d’entre eux déclarent que leurs enfants prennent un risque en se rendant sur les réseaux sociaux et craignent qu’elles ne soient victimes de cyberharcèlement.
Dans ces conditions, il n’est pas surprenant de constater que 95 % des parents préviennent verbalement leurs enfant des risques encourus sur Internet. Pour autant, 90 % sont demandeurs d’un meilleur accompagnement de la part d’association spécialisés ou des établissements scolaires.
Nos confrères reviennent enfin sur le numéro d’assistance 3018, Net Ecoute, mis en place par le gouvernement et qui est géré par E-Enfance. Il s’agit d’une ligne compétente « pour tous les enjeux de protection des mineurs sur internet comme la lutte contre les violences numériques et l’aide à la parentalité numérique ». Les conseillers sont à l’écoute pour régler les problèmes mais peuvent aussi fournir une aide pour le retrait d’images, de propos blessants, ou de comptes.
Pour rappel, les conclusions de cette étude confirment une tendance que nous avions déjà observé par le passé. En 2020, une enquête a ainsi pu constater une inquiétante montée en puissance du cyberharcèlement aux États-Unis.

Le chiffre fait froid dans le dos. D’après une enquête menée par e-Enfance, une association de protection de l’enfance en ligne, et la Caisse d’épargne : 20 % des jeunes français déclarent avoir été confrontés à une situation de cyberharcèlement. Comme l’a constaté France Bleu, ce phénomène correspond à de nombreuses situations : insultes, messages haineux, humiliations sur les réseaux sociaux, et aussi divulgations de photos intimes.
Les parents se sentent souvent démunis face à ce phénomène
Pour mieux comprendre, il faut savoir que les enfants ont accès de plus en plus tôt à leur premier appareil numérique et on voit aussi que 63 % des jeunes de l’étude sont inscrits sur un ou plusieurs réseaux sociaux. Sans surprise, TikTok, Snapchat, Instagram, ou encore YouTube se taillent la part du lion. Ils déclarent justement y passer plus de deux heures par jour pour communiquer avec leurs amis, ou suivre leur activité, mais aussi chercher des contenus divertissants.
Dans le même temps, les parents interrogés ont souvent du mal à suivre. D’ailleurs 83 % des sondés affirment ne pas savoir exactement ce que font leurs enfants en ligne. De même, 74 % d’entre eux déclarent que leurs enfants prennent un risque en se rendant sur les réseaux sociaux et craignent qu’elles ne soient victimes de cyberharcèlement.
Dans ces conditions, il n’est pas surprenant de constater que 95 % des parents préviennent verbalement leurs enfant des risques encourus sur Internet. Pour autant, 90 % sont demandeurs d’un meilleur accompagnement de la part d’association spécialisés ou des établissements scolaires.
Nos confrères reviennent enfin sur le numéro d’assistance 3018, Net Ecoute, mis en place par le gouvernement et qui est géré par E-Enfance. Il s’agit d’une ligne compétente « pour tous les enjeux de protection des mineurs sur internet comme la lutte contre les violences numériques et l’aide à la parentalité numérique ». Les conseillers sont à l’écoute pour régler les problèmes mais peuvent aussi fournir une aide pour le retrait d’images, de propos blessants, ou de comptes.
Pour rappel, les conclusions de cette étude confirment une tendance que nous avions déjà observé par le passé. En 2020, une enquête a ainsi pu constater une inquiétante montée en puissance du cyberharcèlement aux États-Unis.

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Les parents se sentent souvent démunis face à ce phénomène
Pour mieux comprendre, il faut savoir que les enfants ont accès de plus en plus tôt à leur premier appareil numérique et on voit aussi que 63 % des jeunes de l’étude sont inscrits sur un ou plusieurs réseaux sociaux. Sans surprise, TikTok, Snapchat, Instagram, ou encore YouTube se taillent la part du lion. Ils déclarent justement y passer plus de deux heures par jour pour communiquer avec leurs amis, ou suivre leur activité, mais aussi chercher des contenus divertissants.
Dans le même temps, les parents interrogés ont souvent du mal à suivre. D’ailleurs 83 % des sondés affirment ne pas savoir exactement ce que font leurs enfants en ligne. De même, 74 % d’entre eux déclarent que leurs enfants prennent un risque en se rendant sur les réseaux sociaux et craignent qu’elles ne soient victimes de cyberharcèlement.
Dans ces conditions, il n’est pas surprenant de constater que 95 % des parents préviennent verbalement leurs enfant des risques encourus sur Internet. Pour autant, 90 % sont demandeurs d’un meilleur accompagnement de la part d’association spécialisés ou des établissements scolaires.
Nos confrères reviennent enfin sur le numéro d’assistance 3018, Net Ecoute, mis en place par le gouvernement et qui est géré par E-Enfance. Il s’agit d’une ligne compétente « pour tous les enjeux de protection des mineurs sur internet comme la lutte contre les violences numériques et l’aide à la parentalité numérique ». Les conseillers sont à l’écoute pour régler les problèmes mais peuvent aussi fournir une aide pour le retrait d’images, de propos blessants, ou de comptes.
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Dans ces conditions, il n’est pas surprenant de constater que 95 % des parents préviennent verbalement leurs enfant des risques encourus sur Internet. Pour autant, 90 % sont demandeurs d’un meilleur accompagnement de la part d’association spécialisés ou des établissements scolaires.
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Les parents se sentent souvent démunis face à ce phénomène
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Dans ces conditions, il n’est pas surprenant de constater que 95 % des parents préviennent verbalement leurs enfant des risques encourus sur Internet. Pour autant, 90 % sont demandeurs d’un meilleur accompagnement de la part d’association spécialisés ou des établissements scolaires.
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Pour rappel, les conclusions de cette étude confirment une tendance que nous avions déjà observé par le passé. En 2020, une enquête a ainsi pu constater une inquiétante montée en puissance du cyberharcèlement aux États-Unis.

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Nos confrères reviennent enfin sur le numéro d’assistance 3018, Net Ecoute, mis en place par le gouvernement et qui est géré par E-Enfance. Il s’agit d’une ligne compétente « pour tous les enjeux de protection des mineurs sur internet comme la lutte contre les violences numériques et l’aide à la parentalité numérique ». Les conseillers sont à l’écoute pour régler les problèmes mais peuvent aussi fournir une aide pour le retrait d’images, de propos blessants, ou de comptes.
Pour rappel, les conclusions de cette étude confirment une tendance que nous avions déjà observé par le passé. En 2020, une enquête a ainsi pu constater une inquiétante montée en puissance du cyberharcèlement aux États-Unis.

Le chiffre fait froid dans le dos. D’après une enquête menée par e-Enfance, une association de protection de l’enfance en ligne, et la Caisse d’épargne : 20 % des jeunes français déclarent avoir été confrontés à une situation de cyberharcèlement. Comme l’a constaté France Bleu, ce phénomène correspond à de nombreuses situations : insultes, messages haineux, humiliations sur les réseaux sociaux, et aussi divulgations de photos intimes.
Les parents se sentent souvent démunis face à ce phénomène
Pour mieux comprendre, il faut savoir que les enfants ont accès de plus en plus tôt à leur premier appareil numérique et on voit aussi que 63 % des jeunes de l’étude sont inscrits sur un ou plusieurs réseaux sociaux. Sans surprise, TikTok, Snapchat, Instagram, ou encore YouTube se taillent la part du lion. Ils déclarent justement y passer plus de deux heures par jour pour communiquer avec leurs amis, ou suivre leur activité, mais aussi chercher des contenus divertissants.
Dans le même temps, les parents interrogés ont souvent du mal à suivre. D’ailleurs 83 % des sondés affirment ne pas savoir exactement ce que font leurs enfants en ligne. De même, 74 % d’entre eux déclarent que leurs enfants prennent un risque en se rendant sur les réseaux sociaux et craignent qu’elles ne soient victimes de cyberharcèlement.
Dans ces conditions, il n’est pas surprenant de constater que 95 % des parents préviennent verbalement leurs enfant des risques encourus sur Internet. Pour autant, 90 % sont demandeurs d’un meilleur accompagnement de la part d’association spécialisés ou des établissements scolaires.
Nos confrères reviennent enfin sur le numéro d’assistance 3018, Net Ecoute, mis en place par le gouvernement et qui est géré par E-Enfance. Il s’agit d’une ligne compétente « pour tous les enjeux de protection des mineurs sur internet comme la lutte contre les violences numériques et l’aide à la parentalité numérique ». Les conseillers sont à l’écoute pour régler les problèmes mais peuvent aussi fournir une aide pour le retrait d’images, de propos blessants, ou de comptes.
Pour rappel, les conclusions de cette étude confirment une tendance que nous avions déjà observé par le passé. En 2020, une enquête a ainsi pu constater une inquiétante montée en puissance du cyberharcèlement aux États-Unis.

Le chiffre fait froid dans le dos. D’après une enquête menée par e-Enfance, une association de protection de l’enfance en ligne, et la Caisse d’épargne : 20 % des jeunes français déclarent avoir été confrontés à une situation de cyberharcèlement. Comme l’a constaté France Bleu, ce phénomène correspond à de nombreuses situations : insultes, messages haineux, humiliations sur les réseaux sociaux, et aussi divulgations de photos intimes.
Les parents se sentent souvent démunis face à ce phénomène
Pour mieux comprendre, il faut savoir que les enfants ont accès de plus en plus tôt à leur premier appareil numérique et on voit aussi que 63 % des jeunes de l’étude sont inscrits sur un ou plusieurs réseaux sociaux. Sans surprise, TikTok, Snapchat, Instagram, ou encore YouTube se taillent la part du lion. Ils déclarent justement y passer plus de deux heures par jour pour communiquer avec leurs amis, ou suivre leur activité, mais aussi chercher des contenus divertissants.
Dans le même temps, les parents interrogés ont souvent du mal à suivre. D’ailleurs 83 % des sondés affirment ne pas savoir exactement ce que font leurs enfants en ligne. De même, 74 % d’entre eux déclarent que leurs enfants prennent un risque en se rendant sur les réseaux sociaux et craignent qu’elles ne soient victimes de cyberharcèlement.
Dans ces conditions, il n’est pas surprenant de constater que 95 % des parents préviennent verbalement leurs enfant des risques encourus sur Internet. Pour autant, 90 % sont demandeurs d’un meilleur accompagnement de la part d’association spécialisés ou des établissements scolaires.
Nos confrères reviennent enfin sur le numéro d’assistance 3018, Net Ecoute, mis en place par le gouvernement et qui est géré par E-Enfance. Il s’agit d’une ligne compétente « pour tous les enjeux de protection des mineurs sur internet comme la lutte contre les violences numériques et l’aide à la parentalité numérique ». Les conseillers sont à l’écoute pour régler les problèmes mais peuvent aussi fournir une aide pour le retrait d’images, de propos blessants, ou de comptes.
Pour rappel, les conclusions de cette étude confirment une tendance que nous avions déjà observé par le passé. En 2020, une enquête a ainsi pu constater une inquiétante montée en puissance du cyberharcèlement aux États-Unis.

Le chiffre fait froid dans le dos. D’après une enquête menée par e-Enfance, une association de protection de l’enfance en ligne, et la Caisse d’épargne : 20 % des jeunes français déclarent avoir été confrontés à une situation de cyberharcèlement. Comme l’a constaté France Bleu, ce phénomène correspond à de nombreuses situations : insultes, messages haineux, humiliations sur les réseaux sociaux, et aussi divulgations de photos intimes.
Les parents se sentent souvent démunis face à ce phénomène
Pour mieux comprendre, il faut savoir que les enfants ont accès de plus en plus tôt à leur premier appareil numérique et on voit aussi que 63 % des jeunes de l’étude sont inscrits sur un ou plusieurs réseaux sociaux. Sans surprise, TikTok, Snapchat, Instagram, ou encore YouTube se taillent la part du lion. Ils déclarent justement y passer plus de deux heures par jour pour communiquer avec leurs amis, ou suivre leur activité, mais aussi chercher des contenus divertissants.
Dans le même temps, les parents interrogés ont souvent du mal à suivre. D’ailleurs 83 % des sondés affirment ne pas savoir exactement ce que font leurs enfants en ligne. De même, 74 % d’entre eux déclarent que leurs enfants prennent un risque en se rendant sur les réseaux sociaux et craignent qu’elles ne soient victimes de cyberharcèlement.
Dans ces conditions, il n’est pas surprenant de constater que 95 % des parents préviennent verbalement leurs enfant des risques encourus sur Internet. Pour autant, 90 % sont demandeurs d’un meilleur accompagnement de la part d’association spécialisés ou des établissements scolaires.
Nos confrères reviennent enfin sur le numéro d’assistance 3018, Net Ecoute, mis en place par le gouvernement et qui est géré par E-Enfance. Il s’agit d’une ligne compétente « pour tous les enjeux de protection des mineurs sur internet comme la lutte contre les violences numériques et l’aide à la parentalité numérique ». Les conseillers sont à l’écoute pour régler les problèmes mais peuvent aussi fournir une aide pour le retrait d’images, de propos blessants, ou de comptes.
Pour rappel, les conclusions de cette étude confirment une tendance que nous avions déjà observé par le passé. En 2020, une enquête a ainsi pu constater une inquiétante montée en puissance du cyberharcèlement aux États-Unis.

Le chiffre fait froid dans le dos. D’après une enquête menée par e-Enfance, une association de protection de l’enfance en ligne, et la Caisse d’épargne : 20 % des jeunes français déclarent avoir été confrontés à une situation de cyberharcèlement. Comme l’a constaté France Bleu, ce phénomène correspond à de nombreuses situations : insultes, messages haineux, humiliations sur les réseaux sociaux, et aussi divulgations de photos intimes.
Les parents se sentent souvent démunis face à ce phénomène
Pour mieux comprendre, il faut savoir que les enfants ont accès de plus en plus tôt à leur premier appareil numérique et on voit aussi que 63 % des jeunes de l’étude sont inscrits sur un ou plusieurs réseaux sociaux. Sans surprise, TikTok, Snapchat, Instagram, ou encore YouTube se taillent la part du lion. Ils déclarent justement y passer plus de deux heures par jour pour communiquer avec leurs amis, ou suivre leur activité, mais aussi chercher des contenus divertissants.
Dans le même temps, les parents interrogés ont souvent du mal à suivre. D’ailleurs 83 % des sondés affirment ne pas savoir exactement ce que font leurs enfants en ligne. De même, 74 % d’entre eux déclarent que leurs enfants prennent un risque en se rendant sur les réseaux sociaux et craignent qu’elles ne soient victimes de cyberharcèlement.
Dans ces conditions, il n’est pas surprenant de constater que 95 % des parents préviennent verbalement leurs enfant des risques encourus sur Internet. Pour autant, 90 % sont demandeurs d’un meilleur accompagnement de la part d’association spécialisés ou des établissements scolaires.
Nos confrères reviennent enfin sur le numéro d’assistance 3018, Net Ecoute, mis en place par le gouvernement et qui est géré par E-Enfance. Il s’agit d’une ligne compétente « pour tous les enjeux de protection des mineurs sur internet comme la lutte contre les violences numériques et l’aide à la parentalité numérique ». Les conseillers sont à l’écoute pour régler les problèmes mais peuvent aussi fournir une aide pour le retrait d’images, de propos blessants, ou de comptes.
Pour rappel, les conclusions de cette étude confirment une tendance que nous avions déjà observé par le passé. En 2020, une enquête a ainsi pu constater une inquiétante montée en puissance du cyberharcèlement aux États-Unis.

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Les parents se sentent souvent démunis face à ce phénomène
Pour mieux comprendre, il faut savoir que les enfants ont accès de plus en plus tôt à leur premier appareil numérique et on voit aussi que 63 % des jeunes de l’étude sont inscrits sur un ou plusieurs réseaux sociaux. Sans surprise, TikTok, Snapchat, Instagram, ou encore YouTube se taillent la part du lion. Ils déclarent justement y passer plus de deux heures par jour pour communiquer avec leurs amis, ou suivre leur activité, mais aussi chercher des contenus divertissants.
Dans le même temps, les parents interrogés ont souvent du mal à suivre. D’ailleurs 83 % des sondés affirment ne pas savoir exactement ce que font leurs enfants en ligne. De même, 74 % d’entre eux déclarent que leurs enfants prennent un risque en se rendant sur les réseaux sociaux et craignent qu’elles ne soient victimes de cyberharcèlement.
Dans ces conditions, il n’est pas surprenant de constater que 95 % des parents préviennent verbalement leurs enfant des risques encourus sur Internet. Pour autant, 90 % sont demandeurs d’un meilleur accompagnement de la part d’association spécialisés ou des établissements scolaires.
Nos confrères reviennent enfin sur le numéro d’assistance 3018, Net Ecoute, mis en place par le gouvernement et qui est géré par E-Enfance. Il s’agit d’une ligne compétente « pour tous les enjeux de protection des mineurs sur internet comme la lutte contre les violences numériques et l’aide à la parentalité numérique ». Les conseillers sont à l’écoute pour régler les problèmes mais peuvent aussi fournir une aide pour le retrait d’images, de propos blessants, ou de comptes.
Pour rappel, les conclusions de cette étude confirment une tendance que nous avions déjà observé par le passé. En 2020, une enquête a ainsi pu constater une inquiétante montée en puissance du cyberharcèlement aux États-Unis.

Le chiffre fait froid dans le dos. D’après une enquête menée par e-Enfance, une association de protection de l’enfance en ligne, et la Caisse d’épargne : 20 % des jeunes français déclarent avoir été confrontés à une situation de cyberharcèlement. Comme l’a constaté France Bleu, ce phénomène correspond à de nombreuses situations : insultes, messages haineux, humiliations sur les réseaux sociaux, et aussi divulgations de photos intimes.
Les parents se sentent souvent démunis face à ce phénomène
Pour mieux comprendre, il faut savoir que les enfants ont accès de plus en plus tôt à leur premier appareil numérique et on voit aussi que 63 % des jeunes de l’étude sont inscrits sur un ou plusieurs réseaux sociaux. Sans surprise, TikTok, Snapchat, Instagram, ou encore YouTube se taillent la part du lion. Ils déclarent justement y passer plus de deux heures par jour pour communiquer avec leurs amis, ou suivre leur activité, mais aussi chercher des contenus divertissants.
Dans le même temps, les parents interrogés ont souvent du mal à suivre. D’ailleurs 83 % des sondés affirment ne pas savoir exactement ce que font leurs enfants en ligne. De même, 74 % d’entre eux déclarent que leurs enfants prennent un risque en se rendant sur les réseaux sociaux et craignent qu’elles ne soient victimes de cyberharcèlement.
Dans ces conditions, il n’est pas surprenant de constater que 95 % des parents préviennent verbalement leurs enfant des risques encourus sur Internet. Pour autant, 90 % sont demandeurs d’un meilleur accompagnement de la part d’association spécialisés ou des établissements scolaires.
Nos confrères reviennent enfin sur le numéro d’assistance 3018, Net Ecoute, mis en place par le gouvernement et qui est géré par E-Enfance. Il s’agit d’une ligne compétente « pour tous les enjeux de protection des mineurs sur internet comme la lutte contre les violences numériques et l’aide à la parentalité numérique ». Les conseillers sont à l’écoute pour régler les problèmes mais peuvent aussi fournir une aide pour le retrait d’images, de propos blessants, ou de comptes.
Pour rappel, les conclusions de cette étude confirment une tendance que nous avions déjà observé par le passé. En 2020, une enquête a ainsi pu constater une inquiétante montée en puissance du cyberharcèlement aux États-Unis.

Le chiffre fait froid dans le dos. D’après une enquête menée par e-Enfance, une association de protection de l’enfance en ligne, et la Caisse d’épargne : 20 % des jeunes français déclarent avoir été confrontés à une situation de cyberharcèlement. Comme l’a constaté France Bleu, ce phénomène correspond à de nombreuses situations : insultes, messages haineux, humiliations sur les réseaux sociaux, et aussi divulgations de photos intimes.
Les parents se sentent souvent démunis face à ce phénomène
Pour mieux comprendre, il faut savoir que les enfants ont accès de plus en plus tôt à leur premier appareil numérique et on voit aussi que 63 % des jeunes de l’étude sont inscrits sur un ou plusieurs réseaux sociaux. Sans surprise, TikTok, Snapchat, Instagram, ou encore YouTube se taillent la part du lion. Ils déclarent justement y passer plus de deux heures par jour pour communiquer avec leurs amis, ou suivre leur activité, mais aussi chercher des contenus divertissants.
Dans le même temps, les parents interrogés ont souvent du mal à suivre. D’ailleurs 83 % des sondés affirment ne pas savoir exactement ce que font leurs enfants en ligne. De même, 74 % d’entre eux déclarent que leurs enfants prennent un risque en se rendant sur les réseaux sociaux et craignent qu’elles ne soient victimes de cyberharcèlement.
Dans ces conditions, il n’est pas surprenant de constater que 95 % des parents préviennent verbalement leurs enfant des risques encourus sur Internet. Pour autant, 90 % sont demandeurs d’un meilleur accompagnement de la part d’association spécialisés ou des établissements scolaires.
Nos confrères reviennent enfin sur le numéro d’assistance 3018, Net Ecoute, mis en place par le gouvernement et qui est géré par E-Enfance. Il s’agit d’une ligne compétente « pour tous les enjeux de protection des mineurs sur internet comme la lutte contre les violences numériques et l’aide à la parentalité numérique ». Les conseillers sont à l’écoute pour régler les problèmes mais peuvent aussi fournir une aide pour le retrait d’images, de propos blessants, ou de comptes.
Pour rappel, les conclusions de cette étude confirment une tendance que nous avions déjà observé par le passé. En 2020, une enquête a ainsi pu constater une inquiétante montée en puissance du cyberharcèlement aux États-Unis.

Le chiffre fait froid dans le dos. D’après une enquête menée par e-Enfance, une association de protection de l’enfance en ligne, et la Caisse d’épargne : 20 % des jeunes français déclarent avoir été confrontés à une situation de cyberharcèlement. Comme l’a constaté France Bleu, ce phénomène correspond à de nombreuses situations : insultes, messages haineux, humiliations sur les réseaux sociaux, et aussi divulgations de photos intimes.
Les parents se sentent souvent démunis face à ce phénomène
Pour mieux comprendre, il faut savoir que les enfants ont accès de plus en plus tôt à leur premier appareil numérique et on voit aussi que 63 % des jeunes de l’étude sont inscrits sur un ou plusieurs réseaux sociaux. Sans surprise, TikTok, Snapchat, Instagram, ou encore YouTube se taillent la part du lion. Ils déclarent justement y passer plus de deux heures par jour pour communiquer avec leurs amis, ou suivre leur activité, mais aussi chercher des contenus divertissants.
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Dans ces conditions, il n’est pas surprenant de constater que 95 % des parents préviennent verbalement leurs enfant des risques encourus sur Internet. Pour autant, 90 % sont demandeurs d’un meilleur accompagnement de la part d’association spécialisés ou des établissements scolaires.
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Pour rappel, les conclusions de cette étude confirment une tendance que nous avions déjà observé par le passé. En 2020, une enquête a ainsi pu constater une inquiétante montée en puissance du cyberharcèlement aux États-Unis.

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Les parents se sentent souvent démunis face à ce phénomène
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Dans ces conditions, il n’est pas surprenant de constater que 95 % des parents préviennent verbalement leurs enfant des risques encourus sur Internet. Pour autant, 90 % sont demandeurs d’un meilleur accompagnement de la part d’association spécialisés ou des établissements scolaires.
Nos confrères reviennent enfin sur le numéro d’assistance 3018, Net Ecoute, mis en place par le gouvernement et qui est géré par E-Enfance. Il s’agit d’une ligne compétente « pour tous les enjeux de protection des mineurs sur internet comme la lutte contre les violences numériques et l’aide à la parentalité numérique ». Les conseillers sont à l’écoute pour régler les problèmes mais peuvent aussi fournir une aide pour le retrait d’images, de propos blessants, ou de comptes.
Pour rappel, les conclusions de cette étude confirment une tendance que nous avions déjà observé par le passé. En 2020, une enquête a ainsi pu constater une inquiétante montée en puissance du cyberharcèlement aux États-Unis.

Le chiffre fait froid dans le dos. D’après une enquête menée par e-Enfance, une association de protection de l’enfance en ligne, et la Caisse d’épargne : 20 % des jeunes français déclarent avoir été confrontés à une situation de cyberharcèlement. Comme l’a constaté France Bleu, ce phénomène correspond à de nombreuses situations : insultes, messages haineux, humiliations sur les réseaux sociaux, et aussi divulgations de photos intimes.
Les parents se sentent souvent démunis face à ce phénomène
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Dans le même temps, les parents interrogés ont souvent du mal à suivre. D’ailleurs 83 % des sondés affirment ne pas savoir exactement ce que font leurs enfants en ligne. De même, 74 % d’entre eux déclarent que leurs enfants prennent un risque en se rendant sur les réseaux sociaux et craignent qu’elles ne soient victimes de cyberharcèlement.
Dans ces conditions, il n’est pas surprenant de constater que 95 % des parents préviennent verbalement leurs enfant des risques encourus sur Internet. Pour autant, 90 % sont demandeurs d’un meilleur accompagnement de la part d’association spécialisés ou des établissements scolaires.
Nos confrères reviennent enfin sur le numéro d’assistance 3018, Net Ecoute, mis en place par le gouvernement et qui est géré par E-Enfance. Il s’agit d’une ligne compétente « pour tous les enjeux de protection des mineurs sur internet comme la lutte contre les violences numériques et l’aide à la parentalité numérique ». Les conseillers sont à l’écoute pour régler les problèmes mais peuvent aussi fournir une aide pour le retrait d’images, de propos blessants, ou de comptes.
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Les parents se sentent souvent démunis face à ce phénomène
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Dans ces conditions, il n’est pas surprenant de constater que 95 % des parents préviennent verbalement leurs enfant des risques encourus sur Internet. Pour autant, 90 % sont demandeurs d’un meilleur accompagnement de la part d’association spécialisés ou des établissements scolaires.
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Nos confrères reviennent enfin sur le numéro d’assistance 3018, Net Ecoute, mis en place par le gouvernement et qui est géré par E-Enfance. Il s’agit d’une ligne compétente « pour tous les enjeux de protection des mineurs sur internet comme la lutte contre les violences numériques et l’aide à la parentalité numérique ». Les conseillers sont à l’écoute pour régler les problèmes mais peuvent aussi fournir une aide pour le retrait d’images, de propos blessants, ou de comptes.
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Nos confrères reviennent enfin sur le numéro d’assistance 3018, Net Ecoute, mis en place par le gouvernement et qui est géré par E-Enfance. Il s’agit d’une ligne compétente « pour tous les enjeux de protection des mineurs sur internet comme la lutte contre les violences numériques et l’aide à la parentalité numérique ». Les conseillers sont à l’écoute pour régler les problèmes mais peuvent aussi fournir une aide pour le retrait d’images, de propos blessants, ou de comptes.
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Le chiffre fait froid dans le dos. D’après une enquête menée par e-Enfance, une association de protection de l’enfance en ligne, et la Caisse d’épargne : 20 % des jeunes français déclarent avoir été confrontés à une situation de cyberharcèlement. Comme l’a constaté France Bleu, ce phénomène correspond à de nombreuses situations : insultes, messages haineux, humiliations sur les réseaux sociaux, et aussi divulgations de photos intimes.
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Dans le même temps, les parents interrogés ont souvent du mal à suivre. D’ailleurs 83 % des sondés affirment ne pas savoir exactement ce que font leurs enfants en ligne. De même, 74 % d’entre eux déclarent que leurs enfants prennent un risque en se rendant sur les réseaux sociaux et craignent qu’elles ne soient victimes de cyberharcèlement.
Dans ces conditions, il n’est pas surprenant de constater que 95 % des parents préviennent verbalement leurs enfant des risques encourus sur Internet. Pour autant, 90 % sont demandeurs d’un meilleur accompagnement de la part d’association spécialisés ou des établissements scolaires.
Nos confrères reviennent enfin sur le numéro d’assistance 3018, Net Ecoute, mis en place par le gouvernement et qui est géré par E-Enfance. Il s’agit d’une ligne compétente « pour tous les enjeux de protection des mineurs sur internet comme la lutte contre les violences numériques et l’aide à la parentalité numérique ». Les conseillers sont à l’écoute pour régler les problèmes mais peuvent aussi fournir une aide pour le retrait d’images, de propos blessants, ou de comptes.
Pour rappel, les conclusions de cette étude confirment une tendance que nous avions déjà observé par le passé. En 2020, une enquête a ainsi pu constater une inquiétante montée en puissance du cyberharcèlement aux États-Unis.

Le chiffre fait froid dans le dos. D’après une enquête menée par e-Enfance, une association de protection de l’enfance en ligne, et la Caisse d’épargne : 20 % des jeunes français déclarent avoir été confrontés à une situation de cyberharcèlement. Comme l’a constaté France Bleu, ce phénomène correspond à de nombreuses situations : insultes, messages haineux, humiliations sur les réseaux sociaux, et aussi divulgations de photos intimes.
Les parents se sentent souvent démunis face à ce phénomène
Pour mieux comprendre, il faut savoir que les enfants ont accès de plus en plus tôt à leur premier appareil numérique et on voit aussi que 63 % des jeunes de l’étude sont inscrits sur un ou plusieurs réseaux sociaux. Sans surprise, TikTok, Snapchat, Instagram, ou encore YouTube se taillent la part du lion. Ils déclarent justement y passer plus de deux heures par jour pour communiquer avec leurs amis, ou suivre leur activité, mais aussi chercher des contenus divertissants.
Dans le même temps, les parents interrogés ont souvent du mal à suivre. D’ailleurs 83 % des sondés affirment ne pas savoir exactement ce que font leurs enfants en ligne. De même, 74 % d’entre eux déclarent que leurs enfants prennent un risque en se rendant sur les réseaux sociaux et craignent qu’elles ne soient victimes de cyberharcèlement.
Dans ces conditions, il n’est pas surprenant de constater que 95 % des parents préviennent verbalement leurs enfant des risques encourus sur Internet. Pour autant, 90 % sont demandeurs d’un meilleur accompagnement de la part d’association spécialisés ou des établissements scolaires.
Nos confrères reviennent enfin sur le numéro d’assistance 3018, Net Ecoute, mis en place par le gouvernement et qui est géré par E-Enfance. Il s’agit d’une ligne compétente « pour tous les enjeux de protection des mineurs sur internet comme la lutte contre les violences numériques et l’aide à la parentalité numérique ». Les conseillers sont à l’écoute pour régler les problèmes mais peuvent aussi fournir une aide pour le retrait d’images, de propos blessants, ou de comptes.
Pour rappel, les conclusions de cette étude confirment une tendance que nous avions déjà observé par le passé. En 2020, une enquête a ainsi pu constater une inquiétante montée en puissance du cyberharcèlement aux États-Unis.

Le chiffre fait froid dans le dos. D’après une enquête menée par e-Enfance, une association de protection de l’enfance en ligne, et la Caisse d’épargne : 20 % des jeunes français déclarent avoir été confrontés à une situation de cyberharcèlement. Comme l’a constaté France Bleu, ce phénomène correspond à de nombreuses situations : insultes, messages haineux, humiliations sur les réseaux sociaux, et aussi divulgations de photos intimes.
Les parents se sentent souvent démunis face à ce phénomène
Pour mieux comprendre, il faut savoir que les enfants ont accès de plus en plus tôt à leur premier appareil numérique et on voit aussi que 63 % des jeunes de l’étude sont inscrits sur un ou plusieurs réseaux sociaux. Sans surprise, TikTok, Snapchat, Instagram, ou encore YouTube se taillent la part du lion. Ils déclarent justement y passer plus de deux heures par jour pour communiquer avec leurs amis, ou suivre leur activité, mais aussi chercher des contenus divertissants.
Dans le même temps, les parents interrogés ont souvent du mal à suivre. D’ailleurs 83 % des sondés affirment ne pas savoir exactement ce que font leurs enfants en ligne. De même, 74 % d’entre eux déclarent que leurs enfants prennent un risque en se rendant sur les réseaux sociaux et craignent qu’elles ne soient victimes de cyberharcèlement.
Dans ces conditions, il n’est pas surprenant de constater que 95 % des parents préviennent verbalement leurs enfant des risques encourus sur Internet. Pour autant, 90 % sont demandeurs d’un meilleur accompagnement de la part d’association spécialisés ou des établissements scolaires.
Nos confrères reviennent enfin sur le numéro d’assistance 3018, Net Ecoute, mis en place par le gouvernement et qui est géré par E-Enfance. Il s’agit d’une ligne compétente « pour tous les enjeux de protection des mineurs sur internet comme la lutte contre les violences numériques et l’aide à la parentalité numérique ». Les conseillers sont à l’écoute pour régler les problèmes mais peuvent aussi fournir une aide pour le retrait d’images, de propos blessants, ou de comptes.
Pour rappel, les conclusions de cette étude confirment une tendance que nous avions déjà observé par le passé. En 2020, une enquête a ainsi pu constater une inquiétante montée en puissance du cyberharcèlement aux États-Unis.