
C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
Un service critiqué pour son inefficacité
Pour expliquer l’origine de cette panne, nos confrères indiquent que la direction de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF) a changé de prestataire pour le service. Ainsi, depuis le 1er octobre, la société Wordline a pris la suite d’Opposetel. Sauf que cette transition ne semble pas se faire en douceur.
Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
Un service critiqué pour son inefficacité
Pour expliquer l’origine de cette panne, nos confrères indiquent que la direction de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF) a changé de prestataire pour le service. Ainsi, depuis le 1er octobre, la société Wordline a pris la suite d’Opposetel. Sauf que cette transition ne semble pas se faire en douceur.
Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
Un service critiqué pour son inefficacité
Pour expliquer l’origine de cette panne, nos confrères indiquent que la direction de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF) a changé de prestataire pour le service. Ainsi, depuis le 1er octobre, la société Wordline a pris la suite d’Opposetel. Sauf que cette transition ne semble pas se faire en douceur.
Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
Un service critiqué pour son inefficacité
Pour expliquer l’origine de cette panne, nos confrères indiquent que la direction de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF) a changé de prestataire pour le service. Ainsi, depuis le 1er octobre, la société Wordline a pris la suite d’Opposetel. Sauf que cette transition ne semble pas se faire en douceur.
Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
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Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
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C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
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Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
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Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
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Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
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Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
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Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
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Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
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C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
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C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
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Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
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Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
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Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
Un service critiqué pour son inefficacité
Pour expliquer l’origine de cette panne, nos confrères indiquent que la direction de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF) a changé de prestataire pour le service. Ainsi, depuis le 1er octobre, la société Wordline a pris la suite d’Opposetel. Sauf que cette transition ne semble pas se faire en douceur.
Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
Un service critiqué pour son inefficacité
Pour expliquer l’origine de cette panne, nos confrères indiquent que la direction de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF) a changé de prestataire pour le service. Ainsi, depuis le 1er octobre, la société Wordline a pris la suite d’Opposetel. Sauf que cette transition ne semble pas se faire en douceur.
Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
Un service critiqué pour son inefficacité
Pour expliquer l’origine de cette panne, nos confrères indiquent que la direction de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF) a changé de prestataire pour le service. Ainsi, depuis le 1er octobre, la société Wordline a pris la suite d’Opposetel. Sauf que cette transition ne semble pas se faire en douceur.
Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
Un service critiqué pour son inefficacité
Pour expliquer l’origine de cette panne, nos confrères indiquent que la direction de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF) a changé de prestataire pour le service. Ainsi, depuis le 1er octobre, la société Wordline a pris la suite d’Opposetel. Sauf que cette transition ne semble pas se faire en douceur.
Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
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Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
Un service critiqué pour son inefficacité
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Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
Un service critiqué pour son inefficacité
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Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
Un service critiqué pour son inefficacité
Pour expliquer l’origine de cette panne, nos confrères indiquent que la direction de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF) a changé de prestataire pour le service. Ainsi, depuis le 1er octobre, la société Wordline a pris la suite d’Opposetel. Sauf que cette transition ne semble pas se faire en douceur.
Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
Un service critiqué pour son inefficacité
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Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
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C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
Un service critiqué pour son inefficacité
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Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
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Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
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C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
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Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
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Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
Un service critiqué pour son inefficacité
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Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
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Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
Un service critiqué pour son inefficacité
Pour expliquer l’origine de cette panne, nos confrères indiquent que la direction de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF) a changé de prestataire pour le service. Ainsi, depuis le 1er octobre, la société Wordline a pris la suite d’Opposetel. Sauf que cette transition ne semble pas se faire en douceur.
Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
Un service critiqué pour son inefficacité
Pour expliquer l’origine de cette panne, nos confrères indiquent que la direction de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF) a changé de prestataire pour le service. Ainsi, depuis le 1er octobre, la société Wordline a pris la suite d’Opposetel. Sauf que cette transition ne semble pas se faire en douceur.
Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
Un service critiqué pour son inefficacité
Pour expliquer l’origine de cette panne, nos confrères indiquent que la direction de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF) a changé de prestataire pour le service. Ainsi, depuis le 1er octobre, la société Wordline a pris la suite d’Opposetel. Sauf que cette transition ne semble pas se faire en douceur.
Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
Un service critiqué pour son inefficacité
Pour expliquer l’origine de cette panne, nos confrères indiquent que la direction de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF) a changé de prestataire pour le service. Ainsi, depuis le 1er octobre, la société Wordline a pris la suite d’Opposetel. Sauf que cette transition ne semble pas se faire en douceur.
Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
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Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
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Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
Un service critiqué pour son inefficacité
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Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
Un service critiqué pour son inefficacité
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Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
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Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
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Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
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Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
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C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
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Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
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Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
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Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
Un service critiqué pour son inefficacité
Pour expliquer l’origine de cette panne, nos confrères indiquent que la direction de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF) a changé de prestataire pour le service. Ainsi, depuis le 1er octobre, la société Wordline a pris la suite d’Opposetel. Sauf que cette transition ne semble pas se faire en douceur.
Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
Un service critiqué pour son inefficacité
Pour expliquer l’origine de cette panne, nos confrères indiquent que la direction de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF) a changé de prestataire pour le service. Ainsi, depuis le 1er octobre, la société Wordline a pris la suite d’Opposetel. Sauf que cette transition ne semble pas se faire en douceur.
Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
Un service critiqué pour son inefficacité
Pour expliquer l’origine de cette panne, nos confrères indiquent que la direction de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF) a changé de prestataire pour le service. Ainsi, depuis le 1er octobre, la société Wordline a pris la suite d’Opposetel. Sauf que cette transition ne semble pas se faire en douceur.
Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
Un service critiqué pour son inefficacité
Pour expliquer l’origine de cette panne, nos confrères indiquent que la direction de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF) a changé de prestataire pour le service. Ainsi, depuis le 1er octobre, la société Wordline a pris la suite d’Opposetel. Sauf que cette transition ne semble pas se faire en douceur.
Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
Un service critiqué pour son inefficacité
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Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
Un service critiqué pour son inefficacité
Pour expliquer l’origine de cette panne, nos confrères indiquent que la direction de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF) a changé de prestataire pour le service. Ainsi, depuis le 1er octobre, la société Wordline a pris la suite d’Opposetel. Sauf que cette transition ne semble pas se faire en douceur.
Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
Un service critiqué pour son inefficacité
Pour expliquer l’origine de cette panne, nos confrères indiquent que la direction de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF) a changé de prestataire pour le service. Ainsi, depuis le 1er octobre, la société Wordline a pris la suite d’Opposetel. Sauf que cette transition ne semble pas se faire en douceur.
Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
Un service critiqué pour son inefficacité
Pour expliquer l’origine de cette panne, nos confrères indiquent que la direction de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF) a changé de prestataire pour le service. Ainsi, depuis le 1er octobre, la société Wordline a pris la suite d’Opposetel. Sauf que cette transition ne semble pas se faire en douceur.
Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
Un service critiqué pour son inefficacité
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Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
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Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
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C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
Un service critiqué pour son inefficacité
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Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
Selon une enquête de 60 millions de consommateurs menée en 2017, Bloctel avait bien du mal à assurer sa mission. D’ailleurs, 47 % des personnes inscrites n’avaient pas noté de ralentissement du démarchage téléphonique, tandis que 38 % estimaient que les appels étaient un peu moins nombreux qu’auparavant.

C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
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C’est un outil qui est actuellement utilisé par 4 millions de foyers en France. Bloctel, le dispositif de lutte contre le démarchage abusif, est actuellement en cours de maintenance selon un message posté sur la page d’accueil du site. Il promet toutefois que « tout est mis en œuvre pour assurer la continuité du service ».
Concrètement, Bloctel a changé d’exploitant depuis le 1er octobre dernier, cela implique une opération qui doit durer « plusieurs jours ». Selon Le Figaro, cela peut se traduire par des conséquences négatives pour les particuliers qui pourraient de nouveau recevoir des appels non-sollicités. Les démarcheurs sont en effet tenus de consulter la liste des numéros inscrits sur Bloctel et ne peuvent pas les contacter. Cette dernière n’est pour l’heure plus accessible.
Un service critiqué pour son inefficacité
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Et ce sont justement les entreprises de centre d’appels qui ont sonné l’alerte pour anticiper les problèmes. Elles craignent en effet cette période incertaine sur le plan juridique qui les expose à un rappel à la loi.
Rappelons que depuis ces débuts, cet outil est très critiqué. S’il est séduisant sur le papier, de nombreux utilisateurs ont aussi pointé sa faible efficacité. En 2020, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire avait reconnu les limites de ce dispositif en promettant un nouveau texte de loi pour mieux encadrer le démarchage téléphonique.
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