Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.

Comme une vieille tradition, le déploiement d’un nouveau réseau mobile fait toujours l’objet d’une levée de boucliers de la part de certains citoyens. L’arrivée de la 5G a donc été accompagnée par quelques échauffourées ici et là (dans certains pays des antennes ont été démontées par exemple), les plus réfractaires dénonçant des risques pour la santé.
Que les plus inquiets se rassurent, les smartphones 5G ne présentent aucun risque. C’est en tout cas la conclusion tirée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques) suite à une étude commandée par Cédric O, secrétaire d’Etat chargé au Numérique.
Le but de cette étude était de “quantifier l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain”. Plus simplement, il s’agissait de savoir si le fameux DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones 5G était nocif. Bonne nouvelle, en France, les smartphones 5G vendus sur le marché ne présentent aucun danger pour notre santé.
“Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées” peut-on lire dans la conclusion de cette étude.
140 smartphones analysés d’ici la fin de l’année
Pour réaliser son étude, l’ANFR a procédé à des contrôles de DAS (tronc et membre) sur 46 smartphones vendus sur le marché, dont 13 sont compatibles 5G. Sur ces 46 modèles, deux seulement ne respectent pas la réglementation en vigueur (DAS inférieur à 2W/kg au niveau du tronc et inférieur à 4W/kg au niveau des membres).
Ces deux modèles sont les EssentielB Heyou 60 et EssentielB Heyou 4, des smartphones de marque blanche (fabriqués par Sourcing et Création) distribués dans les boutiques Boulanger. Le premier affiche un DAS tronc de 2,86W/kg et un DAS membre de 5,26 W/kg. Le second affiche un DAS tronc de 2,54 W/kg, le DAS membre dépasse à peine la norme avec 4,02W/kg.
Alerté par l’ANFR, le constructeur a dores et déjà annoncé qu’il allait corriger le tir en réduisant la puissance de l’antenne (via une mise à jour) pour diminuer le DAS et respecter la réglementation.
Cette étude n’est qu’une première étape dans le processus de contrôle. L’ANFR a annoncé que d’ici la fin de l’année 2021, elle aurait contrôlé pas moins de 140 smartphones et qu’elle poursuivrait son étude en 2022.
