C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
L’UE maintient la pression sur Google
L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
L’UE maintient la pression sur Google
L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
L’UE maintient la pression sur Google
L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
L’UE maintient la pression sur Google
L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
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L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

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Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
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L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
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L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
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L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
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L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

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Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
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Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
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L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
L’UE maintient la pression sur Google
L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
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Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
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Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
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Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
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Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
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Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
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Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
L’UE maintient la pression sur Google
L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
L’UE maintient la pression sur Google
L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
L’UE maintient la pression sur Google
L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
L’UE maintient la pression sur Google
L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
L’UE maintient la pression sur Google
L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
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L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
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L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
L’UE maintient la pression sur Google
L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
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L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

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Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
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Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
L’UE maintient la pression sur Google
L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
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C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
L’UE maintient la pression sur Google
L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

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Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
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Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
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Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
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Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
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L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
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Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
L’UE maintient la pression sur Google
L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
L’UE maintient la pression sur Google
L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
L’UE maintient la pression sur Google
L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
L’UE maintient la pression sur Google
L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
L’UE maintient la pression sur Google
L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

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Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
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Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
L’UE maintient la pression sur Google
L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
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L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
L’UE maintient la pression sur Google
L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
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Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
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Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
L’UE maintient la pression sur Google
L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
L’UE maintient la pression sur Google
L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
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Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

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Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
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Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
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Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
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Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
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L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
L’UE maintient la pression sur Google
L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
L’UE maintient la pression sur Google
L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
L’UE maintient la pression sur Google
L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
L’UE maintient la pression sur Google
L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
L’UE maintient la pression sur Google
L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
L’UE maintient la pression sur Google
L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
L’UE maintient la pression sur Google
L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
L’UE maintient la pression sur Google
L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
L’UE maintient la pression sur Google
L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
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L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
L’UE maintient la pression sur Google
L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.

C’est une vieille affaire qui reste plus que jamais d’actualité. En 2015, un groupement d’entreprises dont Microsoft et Oracle ont déposé plainte contre Google auprès des juridictions européennes. Une requête enregistrée par les autorités qui poursuivent depuis la firme de Mountain View pour abus de position dominante.
Concrètement, l’entreprise aurait profité de la force de son système d’exploitation Android pour asseoir l’emprise de son moteur de recherche et de son navigateur. Selon les enquêteurs, la société aurait pour cela eu recours à des clauses dans ses contrats avec les fabricants de smartphones et tablettes.
L’UE maintient la pression sur Google
L’affaire suit depuis son cours, et en 2018, le géant de la Tech a été condamné à une lourde amende de 5 milliards de dollars (4,34 milliards d’euros) par Bruxelles. Loin de se laisser abattre Google a décidé de faire appel de cette décision. La compagnie tente donc de faire valoir sa position devant les juges.
Ainsi, Meredith Pickford, l’avocat de la firme de Mountain View, argumente : « Android est en vérité une histoire de réussite exceptionnelle du pouvoir de la concurrence en action ». Il poursuit : « Nous allons expliquer que […] la commission a fermé les yeux sur la véritable dynamique concurrentielle de ce secteur, celle qui oppose Apple et Android ».
De même, le représentant de Google estime que le téléchargement d’applications tierces était largement accessible via un simple clic et que les consommateurs n’étaient donc pas contraints d’utiliser les produits de Google sur Android.
Reste à voir si ces arguments seront suffisamment convaincants. Quoi qu’il en soit, l’UE n’a pas l’intention d’en rester là. Un projet de régulation est en effet en discussion sur le vieux continent. Le Digital Markets Act (DMA) vise spécifiquement des entreprises comme Google, Apple, Facebook, Amazon, Samsung, et Microsoft. Il interdit un certain nombre de pratiques pour éviter qu’elles imposent leur domination à la concurrence. Parmi les mesures envisagées figure l’idée qu’elles ne pourront plus favoriser leurs propres services sur leurs appareils ou leur plateforme.
