Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney
Les débats se poursuivent autour de la réforme de la chronologie des médias en France, alors qu’aucun accord n’a été trouvé avant la date butoir du 1er juillet. Rappelons qu’il s’agit d’une règle qui définit l’ordre et les délais de retransmission des œuvres cinématographiques.
Actuellement, l’exploitation d’un film se fait de manière exclusive en salle pendant quatre mois et ne peut pas faire l’objet d’une sortie en DVD ou être proposé via des formules de vidéo à la demande durant ce laps de temps. Au bout de 36 mois, les plateformes de streaming telles que Netflix ou Disney+ peuvent ensuite l’intégrer dans leurs catalogues.
Disney reste attaché aux salles obscures
Selon les informations de Variety, les échanges entre les différents acteurs impliqués sont très houleuses. Les services de streaming, sont notamment assez irrités par les règles actuelles. L’objectif est bien sûr pour eux de réduire les délais de diffusion pour rendre leurs offres plus attractives mais pas que. Les chaînes de télévision gratuites demandent ainsi une fenêtre d’exclusivité d’un mois durant laquelle les films devraient être retirées des plateformes, ce qui est vu d’un très mauvais œil par Disney.
La compagnie serait même prête à envisager l’idée de ne plus diffuser ses films dans les salles obscures et de les proposer directement en streaming. Autant dire que ce choix mettrait à la mal les exploitants qui dépendent beaucoup des grosses productions du studio. Le financement du cinéma français dans son ensemble serait aussi affecté car une partie des recettes des blockbusters américains est redistribuée aux productions hexagonales.
Il s’agit donc d’un gros coup de pression mis par Disney qui espère faire changer ce modèle qui fait figure d’exception à l’échelle mondiale. Reste à voir si la firme ira jusqu’au bout. Ses dirigeants ont rappelé à plusieurs reprises leur attachement aux salles obscures qui retrouvent un certains attrait aux yeux du public depuis que la situation sanitaire s’améliore. D’ailleurs le dernier film Marvel, Shang-Chi, a battu des records au box-office américain.

Par : Disney