
À 22 ans, Rozy est une influenceuse bien dans son époque qui reproduit à merveille les codes de son métier. Avec une centaine de contrats à son actif, sa réussite est même fulgurante pour cette Coréenne qui s’est lancée en décembre 2020 et devrait avoir gagné plus de 850 000 dollars d’ici la fin de l’année. Mais Rozy a surtout un atout essentiel qui la distingue de la concurrence : elle n’existe que virtuellement et a été créé via une intelligence artificielle.
Ikea mise sur des influenceurs virtuels
C’est Baek Seung Yeop, le PDG de Sidus Studio X, qui est à l’origine de ce projet. Cité par Allkpop, il revient sur les atouts des influenceurs virtuels :
De nos jours, les célébrités sont parfois retirées des fictions qu’elles tournaient à cause de scandales de violence à l’école ou de controverses. En revanche, les humains virtuels n’ont pas à s’inquiéter de ces problèmes.
Le dirigeant se montre également assez fier de Rozy : « Nous n’avons pas utilisé une personne spécifique comme modèle pour son look. La génération Z n’aime pas cacher ses défauts ni les révéler. Nous n’avons pas non plus pris la beauté occidentale comme norme de beauté. »
Il nourrit d’ailleurs des projets ambitieux pour l’influenceuse qui pourrait prochainement tourner des films, des séries, ou participer à des émissions de divertissement.
Sur un plan plus général, on peut voir que les modèles artificiels se sont encore plus imposés depuis le début de la pandémie. Alors que les humains étaient privés de voyages, leurs concurrents virtuels n’étaient quant à eux soumis à aucune limite d’ordre spatio-temporel.
Rappelons que de nombreuses marques font déjà appel à des influenceurs virtuels. Pour ne citer qu’un seul exemple, nous vous parlions l’an dernier de la stratégie d’Ikea qui lancé une campagne publicitaire au Japon avec l’avatar Imma. Elle compte déjà près de 350 000 abonnés sur Instagram.

À 22 ans, Rozy est une influenceuse bien dans son époque qui reproduit à merveille les codes de son métier. Avec une centaine de contrats à son actif, sa réussite est même fulgurante pour cette Coréenne qui s’est lancée en décembre 2020 et devrait avoir gagné plus de 850 000 dollars d’ici la fin de l’année. Mais Rozy a surtout un atout essentiel qui la distingue de la concurrence : elle n’existe que virtuellement et a été créé via une intelligence artificielle.
Ikea mise sur des influenceurs virtuels
C’est Baek Seung Yeop, le PDG de Sidus Studio X, qui est à l’origine de ce projet. Cité par Allkpop, il revient sur les atouts des influenceurs virtuels :
De nos jours, les célébrités sont parfois retirées des fictions qu’elles tournaient à cause de scandales de violence à l’école ou de controverses. En revanche, les humains virtuels n’ont pas à s’inquiéter de ces problèmes.
Le dirigeant se montre également assez fier de Rozy : « Nous n’avons pas utilisé une personne spécifique comme modèle pour son look. La génération Z n’aime pas cacher ses défauts ni les révéler. Nous n’avons pas non plus pris la beauté occidentale comme norme de beauté. »
Il nourrit d’ailleurs des projets ambitieux pour l’influenceuse qui pourrait prochainement tourner des films, des séries, ou participer à des émissions de divertissement.
Sur un plan plus général, on peut voir que les modèles artificiels se sont encore plus imposés depuis le début de la pandémie. Alors que les humains étaient privés de voyages, leurs concurrents virtuels n’étaient quant à eux soumis à aucune limite d’ordre spatio-temporel.
Rappelons que de nombreuses marques font déjà appel à des influenceurs virtuels. Pour ne citer qu’un seul exemple, nous vous parlions l’an dernier de la stratégie d’Ikea qui lancé une campagne publicitaire au Japon avec l’avatar Imma. Elle compte déjà près de 350 000 abonnés sur Instagram.

À 22 ans, Rozy est une influenceuse bien dans son époque qui reproduit à merveille les codes de son métier. Avec une centaine de contrats à son actif, sa réussite est même fulgurante pour cette Coréenne qui s’est lancée en décembre 2020 et devrait avoir gagné plus de 850 000 dollars d’ici la fin de l’année. Mais Rozy a surtout un atout essentiel qui la distingue de la concurrence : elle n’existe que virtuellement et a été créé via une intelligence artificielle.
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C’est Baek Seung Yeop, le PDG de Sidus Studio X, qui est à l’origine de ce projet. Cité par Allkpop, il revient sur les atouts des influenceurs virtuels :
De nos jours, les célébrités sont parfois retirées des fictions qu’elles tournaient à cause de scandales de violence à l’école ou de controverses. En revanche, les humains virtuels n’ont pas à s’inquiéter de ces problèmes.
Le dirigeant se montre également assez fier de Rozy : « Nous n’avons pas utilisé une personne spécifique comme modèle pour son look. La génération Z n’aime pas cacher ses défauts ni les révéler. Nous n’avons pas non plus pris la beauté occidentale comme norme de beauté. »
Il nourrit d’ailleurs des projets ambitieux pour l’influenceuse qui pourrait prochainement tourner des films, des séries, ou participer à des émissions de divertissement.
Sur un plan plus général, on peut voir que les modèles artificiels se sont encore plus imposés depuis le début de la pandémie. Alors que les humains étaient privés de voyages, leurs concurrents virtuels n’étaient quant à eux soumis à aucune limite d’ordre spatio-temporel.
Rappelons que de nombreuses marques font déjà appel à des influenceurs virtuels. Pour ne citer qu’un seul exemple, nous vous parlions l’an dernier de la stratégie d’Ikea qui lancé une campagne publicitaire au Japon avec l’avatar Imma. Elle compte déjà près de 350 000 abonnés sur Instagram.

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Le dirigeant se montre également assez fier de Rozy : « Nous n’avons pas utilisé une personne spécifique comme modèle pour son look. La génération Z n’aime pas cacher ses défauts ni les révéler. Nous n’avons pas non plus pris la beauté occidentale comme norme de beauté. »
Il nourrit d’ailleurs des projets ambitieux pour l’influenceuse qui pourrait prochainement tourner des films, des séries, ou participer à des émissions de divertissement.
Sur un plan plus général, on peut voir que les modèles artificiels se sont encore plus imposés depuis le début de la pandémie. Alors que les humains étaient privés de voyages, leurs concurrents virtuels n’étaient quant à eux soumis à aucune limite d’ordre spatio-temporel.
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Ikea mise sur des influenceurs virtuels
C’est Baek Seung Yeop, le PDG de Sidus Studio X, qui est à l’origine de ce projet. Cité par Allkpop, il revient sur les atouts des influenceurs virtuels :
De nos jours, les célébrités sont parfois retirées des fictions qu’elles tournaient à cause de scandales de violence à l’école ou de controverses. En revanche, les humains virtuels n’ont pas à s’inquiéter de ces problèmes.
Le dirigeant se montre également assez fier de Rozy : « Nous n’avons pas utilisé une personne spécifique comme modèle pour son look. La génération Z n’aime pas cacher ses défauts ni les révéler. Nous n’avons pas non plus pris la beauté occidentale comme norme de beauté. »
Il nourrit d’ailleurs des projets ambitieux pour l’influenceuse qui pourrait prochainement tourner des films, des séries, ou participer à des émissions de divertissement.
Sur un plan plus général, on peut voir que les modèles artificiels se sont encore plus imposés depuis le début de la pandémie. Alors que les humains étaient privés de voyages, leurs concurrents virtuels n’étaient quant à eux soumis à aucune limite d’ordre spatio-temporel.
Rappelons que de nombreuses marques font déjà appel à des influenceurs virtuels. Pour ne citer qu’un seul exemple, nous vous parlions l’an dernier de la stratégie d’Ikea qui lancé une campagne publicitaire au Japon avec l’avatar Imma. Elle compte déjà près de 350 000 abonnés sur Instagram.

À 22 ans, Rozy est une influenceuse bien dans son époque qui reproduit à merveille les codes de son métier. Avec une centaine de contrats à son actif, sa réussite est même fulgurante pour cette Coréenne qui s’est lancée en décembre 2020 et devrait avoir gagné plus de 850 000 dollars d’ici la fin de l’année. Mais Rozy a surtout un atout essentiel qui la distingue de la concurrence : elle n’existe que virtuellement et a été créé via une intelligence artificielle.
Ikea mise sur des influenceurs virtuels
C’est Baek Seung Yeop, le PDG de Sidus Studio X, qui est à l’origine de ce projet. Cité par Allkpop, il revient sur les atouts des influenceurs virtuels :
De nos jours, les célébrités sont parfois retirées des fictions qu’elles tournaient à cause de scandales de violence à l’école ou de controverses. En revanche, les humains virtuels n’ont pas à s’inquiéter de ces problèmes.
Le dirigeant se montre également assez fier de Rozy : « Nous n’avons pas utilisé une personne spécifique comme modèle pour son look. La génération Z n’aime pas cacher ses défauts ni les révéler. Nous n’avons pas non plus pris la beauté occidentale comme norme de beauté. »
Il nourrit d’ailleurs des projets ambitieux pour l’influenceuse qui pourrait prochainement tourner des films, des séries, ou participer à des émissions de divertissement.
Sur un plan plus général, on peut voir que les modèles artificiels se sont encore plus imposés depuis le début de la pandémie. Alors que les humains étaient privés de voyages, leurs concurrents virtuels n’étaient quant à eux soumis à aucune limite d’ordre spatio-temporel.
Rappelons que de nombreuses marques font déjà appel à des influenceurs virtuels. Pour ne citer qu’un seul exemple, nous vous parlions l’an dernier de la stratégie d’Ikea qui lancé une campagne publicitaire au Japon avec l’avatar Imma. Elle compte déjà près de 350 000 abonnés sur Instagram.

À 22 ans, Rozy est une influenceuse bien dans son époque qui reproduit à merveille les codes de son métier. Avec une centaine de contrats à son actif, sa réussite est même fulgurante pour cette Coréenne qui s’est lancée en décembre 2020 et devrait avoir gagné plus de 850 000 dollars d’ici la fin de l’année. Mais Rozy a surtout un atout essentiel qui la distingue de la concurrence : elle n’existe que virtuellement et a été créé via une intelligence artificielle.
Ikea mise sur des influenceurs virtuels
C’est Baek Seung Yeop, le PDG de Sidus Studio X, qui est à l’origine de ce projet. Cité par Allkpop, il revient sur les atouts des influenceurs virtuels :
De nos jours, les célébrités sont parfois retirées des fictions qu’elles tournaient à cause de scandales de violence à l’école ou de controverses. En revanche, les humains virtuels n’ont pas à s’inquiéter de ces problèmes.
Le dirigeant se montre également assez fier de Rozy : « Nous n’avons pas utilisé une personne spécifique comme modèle pour son look. La génération Z n’aime pas cacher ses défauts ni les révéler. Nous n’avons pas non plus pris la beauté occidentale comme norme de beauté. »
Il nourrit d’ailleurs des projets ambitieux pour l’influenceuse qui pourrait prochainement tourner des films, des séries, ou participer à des émissions de divertissement.
Sur un plan plus général, on peut voir que les modèles artificiels se sont encore plus imposés depuis le début de la pandémie. Alors que les humains étaient privés de voyages, leurs concurrents virtuels n’étaient quant à eux soumis à aucune limite d’ordre spatio-temporel.
Rappelons que de nombreuses marques font déjà appel à des influenceurs virtuels. Pour ne citer qu’un seul exemple, nous vous parlions l’an dernier de la stratégie d’Ikea qui lancé une campagne publicitaire au Japon avec l’avatar Imma. Elle compte déjà près de 350 000 abonnés sur Instagram.

À 22 ans, Rozy est une influenceuse bien dans son époque qui reproduit à merveille les codes de son métier. Avec une centaine de contrats à son actif, sa réussite est même fulgurante pour cette Coréenne qui s’est lancée en décembre 2020 et devrait avoir gagné plus de 850 000 dollars d’ici la fin de l’année. Mais Rozy a surtout un atout essentiel qui la distingue de la concurrence : elle n’existe que virtuellement et a été créé via une intelligence artificielle.
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De nos jours, les célébrités sont parfois retirées des fictions qu’elles tournaient à cause de scandales de violence à l’école ou de controverses. En revanche, les humains virtuels n’ont pas à s’inquiéter de ces problèmes.
Le dirigeant se montre également assez fier de Rozy : « Nous n’avons pas utilisé une personne spécifique comme modèle pour son look. La génération Z n’aime pas cacher ses défauts ni les révéler. Nous n’avons pas non plus pris la beauté occidentale comme norme de beauté. »
Il nourrit d’ailleurs des projets ambitieux pour l’influenceuse qui pourrait prochainement tourner des films, des séries, ou participer à des émissions de divertissement.
Sur un plan plus général, on peut voir que les modèles artificiels se sont encore plus imposés depuis le début de la pandémie. Alors que les humains étaient privés de voyages, leurs concurrents virtuels n’étaient quant à eux soumis à aucune limite d’ordre spatio-temporel.
Rappelons que de nombreuses marques font déjà appel à des influenceurs virtuels. Pour ne citer qu’un seul exemple, nous vous parlions l’an dernier de la stratégie d’Ikea qui lancé une campagne publicitaire au Japon avec l’avatar Imma. Elle compte déjà près de 350 000 abonnés sur Instagram.

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Le dirigeant se montre également assez fier de Rozy : « Nous n’avons pas utilisé une personne spécifique comme modèle pour son look. La génération Z n’aime pas cacher ses défauts ni les révéler. Nous n’avons pas non plus pris la beauté occidentale comme norme de beauté. »
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Le dirigeant se montre également assez fier de Rozy : « Nous n’avons pas utilisé une personne spécifique comme modèle pour son look. La génération Z n’aime pas cacher ses défauts ni les révéler. Nous n’avons pas non plus pris la beauté occidentale comme norme de beauté. »
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À 22 ans, Rozy est une influenceuse bien dans son époque qui reproduit à merveille les codes de son métier. Avec une centaine de contrats à son actif, sa réussite est même fulgurante pour cette Coréenne qui s’est lancée en décembre 2020 et devrait avoir gagné plus de 850 000 dollars d’ici la fin de l’année. Mais Rozy a surtout un atout essentiel qui la distingue de la concurrence : elle n’existe que virtuellement et a été créé via une intelligence artificielle.
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