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Home » WeWork fait de l’œil aux startups et casse les prix

WeWork fait de l’œil aux startups et casse les prix

Rédacteur Digital RoundUp Par Rédacteur Digital RoundUp
14/10/2021
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Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

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Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

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Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

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L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

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Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

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Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

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Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

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WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

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WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

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WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

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L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

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WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

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Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

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WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

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L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

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Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

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L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

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Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

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« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

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L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

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« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

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Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

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Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

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WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

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WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

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WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

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« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

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WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

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Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

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Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

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L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

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Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

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Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

WeWork en retard en bourse ?

Le contexte actuel n’est pas au beau fixe chez la société américaine, qui pourrait une nouvelle fois reporter son introduction en bourse. Selon des sources rapportées par Bloomberg, la fusion de WeWork avec BowX Acquisition Corp sous la forme d’un SPAC pourrait être reporté au quatrième trimestre.

L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

Nous ne savons pas encore combien de startups et associations pourront être acceptées dans le programme européen.

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L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

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L’accord devrait entraîner WeWork à peser 9 milliards de dollars mais la concurrence ne semble pas faiblir sur le secteur. « Le retard pourrait pousser la cotation à la fin octobre et intervient alors que l’équipe de WeWork répond aux commentaires de la Securities and Exchange Commission », rapportait une source proche du dossier.

Les programmes poussant les startups à se fidéliser aux locaux et structures de WeWork pourrait l’aider à se conforter sur le marché du coworking. Cela dit, casser les prix de ses accès aux bureaux et aux programmes d’accompagnement coûtera tout de même 17 millions d’euros à l’entreprise.

Après le Royaume-Uni et l’Asie-Pacifique, WeWork se tourne vers l’Europe pour lancer son programme « Growth Campus », qui compte accompagner des startups en leur fournissant ses locaux et ses programmes d’accompagnement à prix réduit.

WeWork compte diviser par 2 les frais d’inscription pour ces startups qui seront sélectionnées ces prochaines semaines. Elles risquent d’être nombreuses : la même initiative au Royaume-Uni avait généré 800 inscriptions les six premiers mois.

L’objectif est de faire de l’œil aux startups en présentant à une partie d’entre-elles ce dont WeWork peut apporter aux projets en plein lancement. Un moyen peut-être, à la fin, de faire de la concurrence avec des incubateurs.

« En tant que l’un des plus grands fournisseurs d’espaces de travail flexibles dans les grandes villes européennes, nous sommes heureux de contribuer à soutenir les entreprises dont les idées façonnent l’avenir de tant de secteurs différents. […] Notre expertise permettra à ces entreprises d’accéder au réseau, aux compétences et aux outils qui les aideront à prospérer », déclarait Samit Chopra, en charge des opérations chez WeWork.

Ce nouveau programme « Growth Campus » se déploie en France, Espagne, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Suède, Norvège et République tchèque. Les villes concernées sont Paris, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Francfort, Munich, Cologne, Amsterdam, Varsovie, Stockholm, Oslo et Prague.

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