
C’est un bref communiqué diffusé au plein cœur du mois de juillet. Rezzil, la société britannique spécialisée dans les applications de réalité virtuelle à usage sportif, a levé 2 millions de livres sterling. À vrai dire, cette information aurait pu passer inaperçue, si ce n’est que les noms des investisseurs ont particulièrement attiré notre attention : Thierry Henry, Gary Neville ou encore Vincent Kompany participent à ce projet.
Les trois anciens internationaux ont tous misé sur cette startup, persuadés de son potentiel dans le monde du ballon rond. Ainsi, Thierry Henry explique : « En tant que père, je vois l’intérêt de Rezzil pour les enfants et c’est passionnant en tant que parent car la combinaison de l’e-sport et du sport traditionnel signifie qu’ils sont en bonne santé et actifs lorsqu’ils jouent, par opposition à un jeu sédentaire ».
Simuler des situations de matches pour progresser
Même son de cloche du côté de Gary Neville pour qui « il y a tellement de potentiel pour Rezzil, à la fois dans le sport d’élite et comme produit de consommation, et cela correspond parfaitement à ma vision d’avoir des investissements qui me passionnent ».
Depuis quelques années, cette technologie est déjà utilisée par de grands clubs britanniques et notamment au tout début de la pandémie de Covid-19. Alors que la crise sanitaire empêchait les rencontres de se tenir, la VR a été un substitut très apprécié pour préparer la reprise.
Bardés de plusieurs capteurs et équipés de casques, les utilisateurs peuvent se glisser dans la peau d’un joueur dans une position précise. Nos confrères d’iNews, qui ont pu voir ce dispositif à l’œuvre, citent l’exemple de Jesse Lingard, le milieu de Manchester United qui défend sur l’attaquant du PSG, Kylian Mbappé. L’objectif est de travailler sur ces situations de matches où tout se joue en une fraction de seconde afin d’améliorer ses réflexes.
L’avantage de ce système est que les données sont enregistrées et peuvent ensuite permettre de juger sa progression au fil du temps. Reste à voir si cette technologie sera à même de séduire des clubs de plus petite taille. C’est tout l’enjeu pour les spécialistes du secteur qui devront tenter de démocratiser ces outils.

C’est un bref communiqué diffusé au plein cœur du mois de juillet. Rezzil, la société britannique spécialisée dans les applications de réalité virtuelle à usage sportif, a levé 2 millions de livres sterling. À vrai dire, cette information aurait pu passer inaperçue, si ce n’est que les noms des investisseurs ont particulièrement attiré notre attention : Thierry Henry, Gary Neville ou encore Vincent Kompany participent à ce projet.
Les trois anciens internationaux ont tous misé sur cette startup, persuadés de son potentiel dans le monde du ballon rond. Ainsi, Thierry Henry explique : « En tant que père, je vois l’intérêt de Rezzil pour les enfants et c’est passionnant en tant que parent car la combinaison de l’e-sport et du sport traditionnel signifie qu’ils sont en bonne santé et actifs lorsqu’ils jouent, par opposition à un jeu sédentaire ».
Simuler des situations de matches pour progresser
Même son de cloche du côté de Gary Neville pour qui « il y a tellement de potentiel pour Rezzil, à la fois dans le sport d’élite et comme produit de consommation, et cela correspond parfaitement à ma vision d’avoir des investissements qui me passionnent ».
Depuis quelques années, cette technologie est déjà utilisée par de grands clubs britanniques et notamment au tout début de la pandémie de Covid-19. Alors que la crise sanitaire empêchait les rencontres de se tenir, la VR a été un substitut très apprécié pour préparer la reprise.
Bardés de plusieurs capteurs et équipés de casques, les utilisateurs peuvent se glisser dans la peau d’un joueur dans une position précise. Nos confrères d’iNews, qui ont pu voir ce dispositif à l’œuvre, citent l’exemple de Jesse Lingard, le milieu de Manchester United qui défend sur l’attaquant du PSG, Kylian Mbappé. L’objectif est de travailler sur ces situations de matches où tout se joue en une fraction de seconde afin d’améliorer ses réflexes.
L’avantage de ce système est que les données sont enregistrées et peuvent ensuite permettre de juger sa progression au fil du temps. Reste à voir si cette technologie sera à même de séduire des clubs de plus petite taille. C’est tout l’enjeu pour les spécialistes du secteur qui devront tenter de démocratiser ces outils.

C’est un bref communiqué diffusé au plein cœur du mois de juillet. Rezzil, la société britannique spécialisée dans les applications de réalité virtuelle à usage sportif, a levé 2 millions de livres sterling. À vrai dire, cette information aurait pu passer inaperçue, si ce n’est que les noms des investisseurs ont particulièrement attiré notre attention : Thierry Henry, Gary Neville ou encore Vincent Kompany participent à ce projet.
Les trois anciens internationaux ont tous misé sur cette startup, persuadés de son potentiel dans le monde du ballon rond. Ainsi, Thierry Henry explique : « En tant que père, je vois l’intérêt de Rezzil pour les enfants et c’est passionnant en tant que parent car la combinaison de l’e-sport et du sport traditionnel signifie qu’ils sont en bonne santé et actifs lorsqu’ils jouent, par opposition à un jeu sédentaire ».
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Même son de cloche du côté de Gary Neville pour qui « il y a tellement de potentiel pour Rezzil, à la fois dans le sport d’élite et comme produit de consommation, et cela correspond parfaitement à ma vision d’avoir des investissements qui me passionnent ».
Depuis quelques années, cette technologie est déjà utilisée par de grands clubs britanniques et notamment au tout début de la pandémie de Covid-19. Alors que la crise sanitaire empêchait les rencontres de se tenir, la VR a été un substitut très apprécié pour préparer la reprise.
Bardés de plusieurs capteurs et équipés de casques, les utilisateurs peuvent se glisser dans la peau d’un joueur dans une position précise. Nos confrères d’iNews, qui ont pu voir ce dispositif à l’œuvre, citent l’exemple de Jesse Lingard, le milieu de Manchester United qui défend sur l’attaquant du PSG, Kylian Mbappé. L’objectif est de travailler sur ces situations de matches où tout se joue en une fraction de seconde afin d’améliorer ses réflexes.
L’avantage de ce système est que les données sont enregistrées et peuvent ensuite permettre de juger sa progression au fil du temps. Reste à voir si cette technologie sera à même de séduire des clubs de plus petite taille. C’est tout l’enjeu pour les spécialistes du secteur qui devront tenter de démocratiser ces outils.

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Les trois anciens internationaux ont tous misé sur cette startup, persuadés de son potentiel dans le monde du ballon rond. Ainsi, Thierry Henry explique : « En tant que père, je vois l’intérêt de Rezzil pour les enfants et c’est passionnant en tant que parent car la combinaison de l’e-sport et du sport traditionnel signifie qu’ils sont en bonne santé et actifs lorsqu’ils jouent, par opposition à un jeu sédentaire ».
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Les trois anciens internationaux ont tous misé sur cette startup, persuadés de son potentiel dans le monde du ballon rond. Ainsi, Thierry Henry explique : « En tant que père, je vois l’intérêt de Rezzil pour les enfants et c’est passionnant en tant que parent car la combinaison de l’e-sport et du sport traditionnel signifie qu’ils sont en bonne santé et actifs lorsqu’ils jouent, par opposition à un jeu sédentaire ».
Simuler des situations de matches pour progresser
Même son de cloche du côté de Gary Neville pour qui « il y a tellement de potentiel pour Rezzil, à la fois dans le sport d’élite et comme produit de consommation, et cela correspond parfaitement à ma vision d’avoir des investissements qui me passionnent ».
Depuis quelques années, cette technologie est déjà utilisée par de grands clubs britanniques et notamment au tout début de la pandémie de Covid-19. Alors que la crise sanitaire empêchait les rencontres de se tenir, la VR a été un substitut très apprécié pour préparer la reprise.
Bardés de plusieurs capteurs et équipés de casques, les utilisateurs peuvent se glisser dans la peau d’un joueur dans une position précise. Nos confrères d’iNews, qui ont pu voir ce dispositif à l’œuvre, citent l’exemple de Jesse Lingard, le milieu de Manchester United qui défend sur l’attaquant du PSG, Kylian Mbappé. L’objectif est de travailler sur ces situations de matches où tout se joue en une fraction de seconde afin d’améliorer ses réflexes.
L’avantage de ce système est que les données sont enregistrées et peuvent ensuite permettre de juger sa progression au fil du temps. Reste à voir si cette technologie sera à même de séduire des clubs de plus petite taille. C’est tout l’enjeu pour les spécialistes du secteur qui devront tenter de démocratiser ces outils.

C’est un bref communiqué diffusé au plein cœur du mois de juillet. Rezzil, la société britannique spécialisée dans les applications de réalité virtuelle à usage sportif, a levé 2 millions de livres sterling. À vrai dire, cette information aurait pu passer inaperçue, si ce n’est que les noms des investisseurs ont particulièrement attiré notre attention : Thierry Henry, Gary Neville ou encore Vincent Kompany participent à ce projet.
Les trois anciens internationaux ont tous misé sur cette startup, persuadés de son potentiel dans le monde du ballon rond. Ainsi, Thierry Henry explique : « En tant que père, je vois l’intérêt de Rezzil pour les enfants et c’est passionnant en tant que parent car la combinaison de l’e-sport et du sport traditionnel signifie qu’ils sont en bonne santé et actifs lorsqu’ils jouent, par opposition à un jeu sédentaire ».
Simuler des situations de matches pour progresser
Même son de cloche du côté de Gary Neville pour qui « il y a tellement de potentiel pour Rezzil, à la fois dans le sport d’élite et comme produit de consommation, et cela correspond parfaitement à ma vision d’avoir des investissements qui me passionnent ».
Depuis quelques années, cette technologie est déjà utilisée par de grands clubs britanniques et notamment au tout début de la pandémie de Covid-19. Alors que la crise sanitaire empêchait les rencontres de se tenir, la VR a été un substitut très apprécié pour préparer la reprise.
Bardés de plusieurs capteurs et équipés de casques, les utilisateurs peuvent se glisser dans la peau d’un joueur dans une position précise. Nos confrères d’iNews, qui ont pu voir ce dispositif à l’œuvre, citent l’exemple de Jesse Lingard, le milieu de Manchester United qui défend sur l’attaquant du PSG, Kylian Mbappé. L’objectif est de travailler sur ces situations de matches où tout se joue en une fraction de seconde afin d’améliorer ses réflexes.
L’avantage de ce système est que les données sont enregistrées et peuvent ensuite permettre de juger sa progression au fil du temps. Reste à voir si cette technologie sera à même de séduire des clubs de plus petite taille. C’est tout l’enjeu pour les spécialistes du secteur qui devront tenter de démocratiser ces outils.

C’est un bref communiqué diffusé au plein cœur du mois de juillet. Rezzil, la société britannique spécialisée dans les applications de réalité virtuelle à usage sportif, a levé 2 millions de livres sterling. À vrai dire, cette information aurait pu passer inaperçue, si ce n’est que les noms des investisseurs ont particulièrement attiré notre attention : Thierry Henry, Gary Neville ou encore Vincent Kompany participent à ce projet.
Les trois anciens internationaux ont tous misé sur cette startup, persuadés de son potentiel dans le monde du ballon rond. Ainsi, Thierry Henry explique : « En tant que père, je vois l’intérêt de Rezzil pour les enfants et c’est passionnant en tant que parent car la combinaison de l’e-sport et du sport traditionnel signifie qu’ils sont en bonne santé et actifs lorsqu’ils jouent, par opposition à un jeu sédentaire ».
Simuler des situations de matches pour progresser
Même son de cloche du côté de Gary Neville pour qui « il y a tellement de potentiel pour Rezzil, à la fois dans le sport d’élite et comme produit de consommation, et cela correspond parfaitement à ma vision d’avoir des investissements qui me passionnent ».
Depuis quelques années, cette technologie est déjà utilisée par de grands clubs britanniques et notamment au tout début de la pandémie de Covid-19. Alors que la crise sanitaire empêchait les rencontres de se tenir, la VR a été un substitut très apprécié pour préparer la reprise.
Bardés de plusieurs capteurs et équipés de casques, les utilisateurs peuvent se glisser dans la peau d’un joueur dans une position précise. Nos confrères d’iNews, qui ont pu voir ce dispositif à l’œuvre, citent l’exemple de Jesse Lingard, le milieu de Manchester United qui défend sur l’attaquant du PSG, Kylian Mbappé. L’objectif est de travailler sur ces situations de matches où tout se joue en une fraction de seconde afin d’améliorer ses réflexes.
L’avantage de ce système est que les données sont enregistrées et peuvent ensuite permettre de juger sa progression au fil du temps. Reste à voir si cette technologie sera à même de séduire des clubs de plus petite taille. C’est tout l’enjeu pour les spécialistes du secteur qui devront tenter de démocratiser ces outils.

C’est un bref communiqué diffusé au plein cœur du mois de juillet. Rezzil, la société britannique spécialisée dans les applications de réalité virtuelle à usage sportif, a levé 2 millions de livres sterling. À vrai dire, cette information aurait pu passer inaperçue, si ce n’est que les noms des investisseurs ont particulièrement attiré notre attention : Thierry Henry, Gary Neville ou encore Vincent Kompany participent à ce projet.
Les trois anciens internationaux ont tous misé sur cette startup, persuadés de son potentiel dans le monde du ballon rond. Ainsi, Thierry Henry explique : « En tant que père, je vois l’intérêt de Rezzil pour les enfants et c’est passionnant en tant que parent car la combinaison de l’e-sport et du sport traditionnel signifie qu’ils sont en bonne santé et actifs lorsqu’ils jouent, par opposition à un jeu sédentaire ».
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Même son de cloche du côté de Gary Neville pour qui « il y a tellement de potentiel pour Rezzil, à la fois dans le sport d’élite et comme produit de consommation, et cela correspond parfaitement à ma vision d’avoir des investissements qui me passionnent ».
Depuis quelques années, cette technologie est déjà utilisée par de grands clubs britanniques et notamment au tout début de la pandémie de Covid-19. Alors que la crise sanitaire empêchait les rencontres de se tenir, la VR a été un substitut très apprécié pour préparer la reprise.
Bardés de plusieurs capteurs et équipés de casques, les utilisateurs peuvent se glisser dans la peau d’un joueur dans une position précise. Nos confrères d’iNews, qui ont pu voir ce dispositif à l’œuvre, citent l’exemple de Jesse Lingard, le milieu de Manchester United qui défend sur l’attaquant du PSG, Kylian Mbappé. L’objectif est de travailler sur ces situations de matches où tout se joue en une fraction de seconde afin d’améliorer ses réflexes.
L’avantage de ce système est que les données sont enregistrées et peuvent ensuite permettre de juger sa progression au fil du temps. Reste à voir si cette technologie sera à même de séduire des clubs de plus petite taille. C’est tout l’enjeu pour les spécialistes du secteur qui devront tenter de démocratiser ces outils.

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Les trois anciens internationaux ont tous misé sur cette startup, persuadés de son potentiel dans le monde du ballon rond. Ainsi, Thierry Henry explique : « En tant que père, je vois l’intérêt de Rezzil pour les enfants et c’est passionnant en tant que parent car la combinaison de l’e-sport et du sport traditionnel signifie qu’ils sont en bonne santé et actifs lorsqu’ils jouent, par opposition à un jeu sédentaire ».
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L’avantage de ce système est que les données sont enregistrées et peuvent ensuite permettre de juger sa progression au fil du temps. Reste à voir si cette technologie sera à même de séduire des clubs de plus petite taille. C’est tout l’enjeu pour les spécialistes du secteur qui devront tenter de démocratiser ces outils.

C’est un bref communiqué diffusé au plein cœur du mois de juillet. Rezzil, la société britannique spécialisée dans les applications de réalité virtuelle à usage sportif, a levé 2 millions de livres sterling. À vrai dire, cette information aurait pu passer inaperçue, si ce n’est que les noms des investisseurs ont particulièrement attiré notre attention : Thierry Henry, Gary Neville ou encore Vincent Kompany participent à ce projet.
Les trois anciens internationaux ont tous misé sur cette startup, persuadés de son potentiel dans le monde du ballon rond. Ainsi, Thierry Henry explique : « En tant que père, je vois l’intérêt de Rezzil pour les enfants et c’est passionnant en tant que parent car la combinaison de l’e-sport et du sport traditionnel signifie qu’ils sont en bonne santé et actifs lorsqu’ils jouent, par opposition à un jeu sédentaire ».
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Simuler des situations de matches pour progresser
Même son de cloche du côté de Gary Neville pour qui « il y a tellement de potentiel pour Rezzil, à la fois dans le sport d’élite et comme produit de consommation, et cela correspond parfaitement à ma vision d’avoir des investissements qui me passionnent ».
Depuis quelques années, cette technologie est déjà utilisée par de grands clubs britanniques et notamment au tout début de la pandémie de Covid-19. Alors que la crise sanitaire empêchait les rencontres de se tenir, la VR a été un substitut très apprécié pour préparer la reprise.
Bardés de plusieurs capteurs et équipés de casques, les utilisateurs peuvent se glisser dans la peau d’un joueur dans une position précise. Nos confrères d’iNews, qui ont pu voir ce dispositif à l’œuvre, citent l’exemple de Jesse Lingard, le milieu de Manchester United qui défend sur l’attaquant du PSG, Kylian Mbappé. L’objectif est de travailler sur ces situations de matches où tout se joue en une fraction de seconde afin d’améliorer ses réflexes.
L’avantage de ce système est que les données sont enregistrées et peuvent ensuite permettre de juger sa progression au fil du temps. Reste à voir si cette technologie sera à même de séduire des clubs de plus petite taille. C’est tout l’enjeu pour les spécialistes du secteur qui devront tenter de démocratiser ces outils.

C’est un bref communiqué diffusé au plein cœur du mois de juillet. Rezzil, la société britannique spécialisée dans les applications de réalité virtuelle à usage sportif, a levé 2 millions de livres sterling. À vrai dire, cette information aurait pu passer inaperçue, si ce n’est que les noms des investisseurs ont particulièrement attiré notre attention : Thierry Henry, Gary Neville ou encore Vincent Kompany participent à ce projet.
Les trois anciens internationaux ont tous misé sur cette startup, persuadés de son potentiel dans le monde du ballon rond. Ainsi, Thierry Henry explique : « En tant que père, je vois l’intérêt de Rezzil pour les enfants et c’est passionnant en tant que parent car la combinaison de l’e-sport et du sport traditionnel signifie qu’ils sont en bonne santé et actifs lorsqu’ils jouent, par opposition à un jeu sédentaire ».
Simuler des situations de matches pour progresser
Même son de cloche du côté de Gary Neville pour qui « il y a tellement de potentiel pour Rezzil, à la fois dans le sport d’élite et comme produit de consommation, et cela correspond parfaitement à ma vision d’avoir des investissements qui me passionnent ».
Depuis quelques années, cette technologie est déjà utilisée par de grands clubs britanniques et notamment au tout début de la pandémie de Covid-19. Alors que la crise sanitaire empêchait les rencontres de se tenir, la VR a été un substitut très apprécié pour préparer la reprise.
Bardés de plusieurs capteurs et équipés de casques, les utilisateurs peuvent se glisser dans la peau d’un joueur dans une position précise. Nos confrères d’iNews, qui ont pu voir ce dispositif à l’œuvre, citent l’exemple de Jesse Lingard, le milieu de Manchester United qui défend sur l’attaquant du PSG, Kylian Mbappé. L’objectif est de travailler sur ces situations de matches où tout se joue en une fraction de seconde afin d’améliorer ses réflexes.
L’avantage de ce système est que les données sont enregistrées et peuvent ensuite permettre de juger sa progression au fil du temps. Reste à voir si cette technologie sera à même de séduire des clubs de plus petite taille. C’est tout l’enjeu pour les spécialistes du secteur qui devront tenter de démocratiser ces outils.

C’est un bref communiqué diffusé au plein cœur du mois de juillet. Rezzil, la société britannique spécialisée dans les applications de réalité virtuelle à usage sportif, a levé 2 millions de livres sterling. À vrai dire, cette information aurait pu passer inaperçue, si ce n’est que les noms des investisseurs ont particulièrement attiré notre attention : Thierry Henry, Gary Neville ou encore Vincent Kompany participent à ce projet.
Les trois anciens internationaux ont tous misé sur cette startup, persuadés de son potentiel dans le monde du ballon rond. Ainsi, Thierry Henry explique : « En tant que père, je vois l’intérêt de Rezzil pour les enfants et c’est passionnant en tant que parent car la combinaison de l’e-sport et du sport traditionnel signifie qu’ils sont en bonne santé et actifs lorsqu’ils jouent, par opposition à un jeu sédentaire ».
Simuler des situations de matches pour progresser
Même son de cloche du côté de Gary Neville pour qui « il y a tellement de potentiel pour Rezzil, à la fois dans le sport d’élite et comme produit de consommation, et cela correspond parfaitement à ma vision d’avoir des investissements qui me passionnent ».
Depuis quelques années, cette technologie est déjà utilisée par de grands clubs britanniques et notamment au tout début de la pandémie de Covid-19. Alors que la crise sanitaire empêchait les rencontres de se tenir, la VR a été un substitut très apprécié pour préparer la reprise.
Bardés de plusieurs capteurs et équipés de casques, les utilisateurs peuvent se glisser dans la peau d’un joueur dans une position précise. Nos confrères d’iNews, qui ont pu voir ce dispositif à l’œuvre, citent l’exemple de Jesse Lingard, le milieu de Manchester United qui défend sur l’attaquant du PSG, Kylian Mbappé. L’objectif est de travailler sur ces situations de matches où tout se joue en une fraction de seconde afin d’améliorer ses réflexes.
L’avantage de ce système est que les données sont enregistrées et peuvent ensuite permettre de juger sa progression au fil du temps. Reste à voir si cette technologie sera à même de séduire des clubs de plus petite taille. C’est tout l’enjeu pour les spécialistes du secteur qui devront tenter de démocratiser ces outils.

C’est un bref communiqué diffusé au plein cœur du mois de juillet. Rezzil, la société britannique spécialisée dans les applications de réalité virtuelle à usage sportif, a levé 2 millions de livres sterling. À vrai dire, cette information aurait pu passer inaperçue, si ce n’est que les noms des investisseurs ont particulièrement attiré notre attention : Thierry Henry, Gary Neville ou encore Vincent Kompany participent à ce projet.
Les trois anciens internationaux ont tous misé sur cette startup, persuadés de son potentiel dans le monde du ballon rond. Ainsi, Thierry Henry explique : « En tant que père, je vois l’intérêt de Rezzil pour les enfants et c’est passionnant en tant que parent car la combinaison de l’e-sport et du sport traditionnel signifie qu’ils sont en bonne santé et actifs lorsqu’ils jouent, par opposition à un jeu sédentaire ».
Simuler des situations de matches pour progresser
Même son de cloche du côté de Gary Neville pour qui « il y a tellement de potentiel pour Rezzil, à la fois dans le sport d’élite et comme produit de consommation, et cela correspond parfaitement à ma vision d’avoir des investissements qui me passionnent ».
Depuis quelques années, cette technologie est déjà utilisée par de grands clubs britanniques et notamment au tout début de la pandémie de Covid-19. Alors que la crise sanitaire empêchait les rencontres de se tenir, la VR a été un substitut très apprécié pour préparer la reprise.
Bardés de plusieurs capteurs et équipés de casques, les utilisateurs peuvent se glisser dans la peau d’un joueur dans une position précise. Nos confrères d’iNews, qui ont pu voir ce dispositif à l’œuvre, citent l’exemple de Jesse Lingard, le milieu de Manchester United qui défend sur l’attaquant du PSG, Kylian Mbappé. L’objectif est de travailler sur ces situations de matches où tout se joue en une fraction de seconde afin d’améliorer ses réflexes.
L’avantage de ce système est que les données sont enregistrées et peuvent ensuite permettre de juger sa progression au fil du temps. Reste à voir si cette technologie sera à même de séduire des clubs de plus petite taille. C’est tout l’enjeu pour les spécialistes du secteur qui devront tenter de démocratiser ces outils.

C’est un bref communiqué diffusé au plein cœur du mois de juillet. Rezzil, la société britannique spécialisée dans les applications de réalité virtuelle à usage sportif, a levé 2 millions de livres sterling. À vrai dire, cette information aurait pu passer inaperçue, si ce n’est que les noms des investisseurs ont particulièrement attiré notre attention : Thierry Henry, Gary Neville ou encore Vincent Kompany participent à ce projet.
Les trois anciens internationaux ont tous misé sur cette startup, persuadés de son potentiel dans le monde du ballon rond. Ainsi, Thierry Henry explique : « En tant que père, je vois l’intérêt de Rezzil pour les enfants et c’est passionnant en tant que parent car la combinaison de l’e-sport et du sport traditionnel signifie qu’ils sont en bonne santé et actifs lorsqu’ils jouent, par opposition à un jeu sédentaire ».
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Même son de cloche du côté de Gary Neville pour qui « il y a tellement de potentiel pour Rezzil, à la fois dans le sport d’élite et comme produit de consommation, et cela correspond parfaitement à ma vision d’avoir des investissements qui me passionnent ».
Depuis quelques années, cette technologie est déjà utilisée par de grands clubs britanniques et notamment au tout début de la pandémie de Covid-19. Alors que la crise sanitaire empêchait les rencontres de se tenir, la VR a été un substitut très apprécié pour préparer la reprise.
Bardés de plusieurs capteurs et équipés de casques, les utilisateurs peuvent se glisser dans la peau d’un joueur dans une position précise. Nos confrères d’iNews, qui ont pu voir ce dispositif à l’œuvre, citent l’exemple de Jesse Lingard, le milieu de Manchester United qui défend sur l’attaquant du PSG, Kylian Mbappé. L’objectif est de travailler sur ces situations de matches où tout se joue en une fraction de seconde afin d’améliorer ses réflexes.
L’avantage de ce système est que les données sont enregistrées et peuvent ensuite permettre de juger sa progression au fil du temps. Reste à voir si cette technologie sera à même de séduire des clubs de plus petite taille. C’est tout l’enjeu pour les spécialistes du secteur qui devront tenter de démocratiser ces outils.

C’est un bref communiqué diffusé au plein cœur du mois de juillet. Rezzil, la société britannique spécialisée dans les applications de réalité virtuelle à usage sportif, a levé 2 millions de livres sterling. À vrai dire, cette information aurait pu passer inaperçue, si ce n’est que les noms des investisseurs ont particulièrement attiré notre attention : Thierry Henry, Gary Neville ou encore Vincent Kompany participent à ce projet.
Les trois anciens internationaux ont tous misé sur cette startup, persuadés de son potentiel dans le monde du ballon rond. Ainsi, Thierry Henry explique : « En tant que père, je vois l’intérêt de Rezzil pour les enfants et c’est passionnant en tant que parent car la combinaison de l’e-sport et du sport traditionnel signifie qu’ils sont en bonne santé et actifs lorsqu’ils jouent, par opposition à un jeu sédentaire ».
Simuler des situations de matches pour progresser
Même son de cloche du côté de Gary Neville pour qui « il y a tellement de potentiel pour Rezzil, à la fois dans le sport d’élite et comme produit de consommation, et cela correspond parfaitement à ma vision d’avoir des investissements qui me passionnent ».
Depuis quelques années, cette technologie est déjà utilisée par de grands clubs britanniques et notamment au tout début de la pandémie de Covid-19. Alors que la crise sanitaire empêchait les rencontres de se tenir, la VR a été un substitut très apprécié pour préparer la reprise.
Bardés de plusieurs capteurs et équipés de casques, les utilisateurs peuvent se glisser dans la peau d’un joueur dans une position précise. Nos confrères d’iNews, qui ont pu voir ce dispositif à l’œuvre, citent l’exemple de Jesse Lingard, le milieu de Manchester United qui défend sur l’attaquant du PSG, Kylian Mbappé. L’objectif est de travailler sur ces situations de matches où tout se joue en une fraction de seconde afin d’améliorer ses réflexes.
L’avantage de ce système est que les données sont enregistrées et peuvent ensuite permettre de juger sa progression au fil du temps. Reste à voir si cette technologie sera à même de séduire des clubs de plus petite taille. C’est tout l’enjeu pour les spécialistes du secteur qui devront tenter de démocratiser ces outils.

C’est un bref communiqué diffusé au plein cœur du mois de juillet. Rezzil, la société britannique spécialisée dans les applications de réalité virtuelle à usage sportif, a levé 2 millions de livres sterling. À vrai dire, cette information aurait pu passer inaperçue, si ce n’est que les noms des investisseurs ont particulièrement attiré notre attention : Thierry Henry, Gary Neville ou encore Vincent Kompany participent à ce projet.
Les trois anciens internationaux ont tous misé sur cette startup, persuadés de son potentiel dans le monde du ballon rond. Ainsi, Thierry Henry explique : « En tant que père, je vois l’intérêt de Rezzil pour les enfants et c’est passionnant en tant que parent car la combinaison de l’e-sport et du sport traditionnel signifie qu’ils sont en bonne santé et actifs lorsqu’ils jouent, par opposition à un jeu sédentaire ».
Simuler des situations de matches pour progresser
Même son de cloche du côté de Gary Neville pour qui « il y a tellement de potentiel pour Rezzil, à la fois dans le sport d’élite et comme produit de consommation, et cela correspond parfaitement à ma vision d’avoir des investissements qui me passionnent ».
Depuis quelques années, cette technologie est déjà utilisée par de grands clubs britanniques et notamment au tout début de la pandémie de Covid-19. Alors que la crise sanitaire empêchait les rencontres de se tenir, la VR a été un substitut très apprécié pour préparer la reprise.
Bardés de plusieurs capteurs et équipés de casques, les utilisateurs peuvent se glisser dans la peau d’un joueur dans une position précise. Nos confrères d’iNews, qui ont pu voir ce dispositif à l’œuvre, citent l’exemple de Jesse Lingard, le milieu de Manchester United qui défend sur l’attaquant du PSG, Kylian Mbappé. L’objectif est de travailler sur ces situations de matches où tout se joue en une fraction de seconde afin d’améliorer ses réflexes.
L’avantage de ce système est que les données sont enregistrées et peuvent ensuite permettre de juger sa progression au fil du temps. Reste à voir si cette technologie sera à même de séduire des clubs de plus petite taille. C’est tout l’enjeu pour les spécialistes du secteur qui devront tenter de démocratiser ces outils.

C’est un bref communiqué diffusé au plein cœur du mois de juillet. Rezzil, la société britannique spécialisée dans les applications de réalité virtuelle à usage sportif, a levé 2 millions de livres sterling. À vrai dire, cette information aurait pu passer inaperçue, si ce n’est que les noms des investisseurs ont particulièrement attiré notre attention : Thierry Henry, Gary Neville ou encore Vincent Kompany participent à ce projet.
Les trois anciens internationaux ont tous misé sur cette startup, persuadés de son potentiel dans le monde du ballon rond. Ainsi, Thierry Henry explique : « En tant que père, je vois l’intérêt de Rezzil pour les enfants et c’est passionnant en tant que parent car la combinaison de l’e-sport et du sport traditionnel signifie qu’ils sont en bonne santé et actifs lorsqu’ils jouent, par opposition à un jeu sédentaire ».
Simuler des situations de matches pour progresser
Même son de cloche du côté de Gary Neville pour qui « il y a tellement de potentiel pour Rezzil, à la fois dans le sport d’élite et comme produit de consommation, et cela correspond parfaitement à ma vision d’avoir des investissements qui me passionnent ».
Depuis quelques années, cette technologie est déjà utilisée par de grands clubs britanniques et notamment au tout début de la pandémie de Covid-19. Alors que la crise sanitaire empêchait les rencontres de se tenir, la VR a été un substitut très apprécié pour préparer la reprise.
Bardés de plusieurs capteurs et équipés de casques, les utilisateurs peuvent se glisser dans la peau d’un joueur dans une position précise. Nos confrères d’iNews, qui ont pu voir ce dispositif à l’œuvre, citent l’exemple de Jesse Lingard, le milieu de Manchester United qui défend sur l’attaquant du PSG, Kylian Mbappé. L’objectif est de travailler sur ces situations de matches où tout se joue en une fraction de seconde afin d’améliorer ses réflexes.
L’avantage de ce système est que les données sont enregistrées et peuvent ensuite permettre de juger sa progression au fil du temps. Reste à voir si cette technologie sera à même de séduire des clubs de plus petite taille. C’est tout l’enjeu pour les spécialistes du secteur qui devront tenter de démocratiser ces outils.

C’est un bref communiqué diffusé au plein cœur du mois de juillet. Rezzil, la société britannique spécialisée dans les applications de réalité virtuelle à usage sportif, a levé 2 millions de livres sterling. À vrai dire, cette information aurait pu passer inaperçue, si ce n’est que les noms des investisseurs ont particulièrement attiré notre attention : Thierry Henry, Gary Neville ou encore Vincent Kompany participent à ce projet.
Les trois anciens internationaux ont tous misé sur cette startup, persuadés de son potentiel dans le monde du ballon rond. Ainsi, Thierry Henry explique : « En tant que père, je vois l’intérêt de Rezzil pour les enfants et c’est passionnant en tant que parent car la combinaison de l’e-sport et du sport traditionnel signifie qu’ils sont en bonne santé et actifs lorsqu’ils jouent, par opposition à un jeu sédentaire ».
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Bardés de plusieurs capteurs et équipés de casques, les utilisateurs peuvent se glisser dans la peau d’un joueur dans une position précise. Nos confrères d’iNews, qui ont pu voir ce dispositif à l’œuvre, citent l’exemple de Jesse Lingard, le milieu de Manchester United qui défend sur l’attaquant du PSG, Kylian Mbappé. L’objectif est de travailler sur ces situations de matches où tout se joue en une fraction de seconde afin d’améliorer ses réflexes.
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L’avantage de ce système est que les données sont enregistrées et peuvent ensuite permettre de juger sa progression au fil du temps. Reste à voir si cette technologie sera à même de séduire des clubs de plus petite taille. C’est tout l’enjeu pour les spécialistes du secteur qui devront tenter de démocratiser ces outils.

C’est un bref communiqué diffusé au plein cœur du mois de juillet. Rezzil, la société britannique spécialisée dans les applications de réalité virtuelle à usage sportif, a levé 2 millions de livres sterling. À vrai dire, cette information aurait pu passer inaperçue, si ce n’est que les noms des investisseurs ont particulièrement attiré notre attention : Thierry Henry, Gary Neville ou encore Vincent Kompany participent à ce projet.
Les trois anciens internationaux ont tous misé sur cette startup, persuadés de son potentiel dans le monde du ballon rond. Ainsi, Thierry Henry explique : « En tant que père, je vois l’intérêt de Rezzil pour les enfants et c’est passionnant en tant que parent car la combinaison de l’e-sport et du sport traditionnel signifie qu’ils sont en bonne santé et actifs lorsqu’ils jouent, par opposition à un jeu sédentaire ».
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Depuis quelques années, cette technologie est déjà utilisée par de grands clubs britanniques et notamment au tout début de la pandémie de Covid-19. Alors que la crise sanitaire empêchait les rencontres de se tenir, la VR a été un substitut très apprécié pour préparer la reprise.
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L’avantage de ce système est que les données sont enregistrées et peuvent ensuite permettre de juger sa progression au fil du temps. Reste à voir si cette technologie sera à même de séduire des clubs de plus petite taille. C’est tout l’enjeu pour les spécialistes du secteur qui devront tenter de démocratiser ces outils.

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Les trois anciens internationaux ont tous misé sur cette startup, persuadés de son potentiel dans le monde du ballon rond. Ainsi, Thierry Henry explique : « En tant que père, je vois l’intérêt de Rezzil pour les enfants et c’est passionnant en tant que parent car la combinaison de l’e-sport et du sport traditionnel signifie qu’ils sont en bonne santé et actifs lorsqu’ils jouent, par opposition à un jeu sédentaire ».
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