• A Propos
  • Politique de confidentialité
  • Contact
Tech News, Magazine & Review WordPress Theme 2017
Pas de résultats
View All Result
Digital RoundUp
Digital RoundUp
Pas de résultats
View All Result
ADVERTISEMENT

Home » Comment désinforme t-on ? Dans les coulisses d’une campagne de manipulation

Comment désinforme t-on ? Dans les coulisses d’une campagne de manipulation

Rédacteur Digital RoundUp Par Rédacteur Digital RoundUp
14/10/2021
Partager sur FacebookPublier sur TwitterPartager sur LinkedInPartager sur WhatsApp

En début d’année, le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, a proposé une réforme constitutionnelle. Une décision de la Haute cour de justice est cependant venu contrarier ses plans et a invalidé la première version du texte. Il reste depuis en suspens en attendant que la Cour suprême du pays ne se prononce.

Dans la foulée de cette décision, des hashtags sont apparus sur les réseaux sociaux et tous visaient la Haute cour de justice et soutenaient la proposition du dirigeant. Des milliers de comptes ont ensuite embrayé pour venir appuyer cette lame de fond. Cela a intrigué des chercheurs de la fondation Mozilla qui ont décidé de se pencher sur ce dossier.

Selon ces derniers, il s’agit en fait d’une véritable campagne de désinformation. Ils sont ainsi rentrés en contact avec des personnes qui étaient payées entre 10 et 15 dollars par jour pour tweeter. Les internautes agissaient sans savoir d’où venait véritablement cet argent. Il faut dire que dans un pays où bon nombre d’habitants vivent avec un dollar par jour, cette rémunération était une aubaine.

Des réseaux sociaux pas assez armés pour lutter contre la désinformation ?

Outre cette masse de petits comptes, un certain nombre de profils vérifiés ont pris part à cette opération. Cela a permis de renforcer la viralité de ces contenus. Parmi les hashtags les plus partagés, la plupart ne faisaient pas mystère de leur aversion pour la justice : « Jugesanarchistes » ou « Justiceàvendre ».

Les experts pointent aussi du doigt le rôle involontaire de Twitter qui a diffusé de la publicité pour ces hashtags. Cité par Restoftheworld, Odanga Madung, un des auteurs explique ainsi : « Cela signifie que Twitter est capable de monétiser la désinformation ».

Le réseau social s’est quant à lui défendu en expliquant avoir supprimé ou pénalisé certains comptes pointés du doigt par Mozilla. Pour cela, la plateforme explique combiner la technologie et l’examen humain des messages. Pour autant, la fondation explique dans son rapport que certains restaient en activité au moment de la publication.

Selon les analystes, il s’agit d’un des nombreux cas de campagne de désinformation menée en ligne. Des personnes reçoivent de l’argent pour participer mais elles ignorent assez souvent qui est le commanditaire tant de nombreux intermédiaires entrent en jeu.

Les chercheurs estiment que les géants du web ne sont pas forcément armés pour y répondre car une grande partie de leurs outils sont automatisés et construits « à partir de notions occidentales de langue anglaise sur ce qu’est un mauvais contenu, comment il sonne et comment il est formulé ».

De plus, si leur attention est grande en période électorale, elle tend à se relâcher le reste du temps, alors que les tentatives de désinformation peuvent survenir à tout instant.

Si ce sujet vous intéresse, vous pouvez justement retrouver notre article dédié à une ferme de trolls. L’occasion de mieux comprendre le fonctionnement de ces lieux dédiés à la manipulation en ligne.

En début d’année, le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, a proposé une réforme constitutionnelle. Une décision de la Haute cour de justice est cependant venu contrarier ses plans et a invalidé la première version du texte. Il reste depuis en suspens en attendant que la Cour suprême du pays ne se prononce.

Dans la foulée de cette décision, des hashtags sont apparus sur les réseaux sociaux et tous visaient la Haute cour de justice et soutenaient la proposition du dirigeant. Des milliers de comptes ont ensuite embrayé pour venir appuyer cette lame de fond. Cela a intrigué des chercheurs de la fondation Mozilla qui ont décidé de se pencher sur ce dossier.

Selon ces derniers, il s’agit en fait d’une véritable campagne de désinformation. Ils sont ainsi rentrés en contact avec des personnes qui étaient payées entre 10 et 15 dollars par jour pour tweeter. Les internautes agissaient sans savoir d’où venait véritablement cet argent. Il faut dire que dans un pays où bon nombre d’habitants vivent avec un dollar par jour, cette rémunération était une aubaine.

Des réseaux sociaux pas assez armés pour lutter contre la désinformation ?

Outre cette masse de petits comptes, un certain nombre de profils vérifiés ont pris part à cette opération. Cela a permis de renforcer la viralité de ces contenus. Parmi les hashtags les plus partagés, la plupart ne faisaient pas mystère de leur aversion pour la justice : « Jugesanarchistes » ou « Justiceàvendre ».

Les experts pointent aussi du doigt le rôle involontaire de Twitter qui a diffusé de la publicité pour ces hashtags. Cité par Restoftheworld, Odanga Madung, un des auteurs explique ainsi : « Cela signifie que Twitter est capable de monétiser la désinformation ».

Le réseau social s’est quant à lui défendu en expliquant avoir supprimé ou pénalisé certains comptes pointés du doigt par Mozilla. Pour cela, la plateforme explique combiner la technologie et l’examen humain des messages. Pour autant, la fondation explique dans son rapport que certains restaient en activité au moment de la publication.

Selon les analystes, il s’agit d’un des nombreux cas de campagne de désinformation menée en ligne. Des personnes reçoivent de l’argent pour participer mais elles ignorent assez souvent qui est le commanditaire tant de nombreux intermédiaires entrent en jeu.

Les chercheurs estiment que les géants du web ne sont pas forcément armés pour y répondre car une grande partie de leurs outils sont automatisés et construits « à partir de notions occidentales de langue anglaise sur ce qu’est un mauvais contenu, comment il sonne et comment il est formulé ».

De plus, si leur attention est grande en période électorale, elle tend à se relâcher le reste du temps, alors que les tentatives de désinformation peuvent survenir à tout instant.

Si ce sujet vous intéresse, vous pouvez justement retrouver notre article dédié à une ferme de trolls. L’occasion de mieux comprendre le fonctionnement de ces lieux dédiés à la manipulation en ligne.

En début d’année, le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, a proposé une réforme constitutionnelle. Une décision de la Haute cour de justice est cependant venu contrarier ses plans et a invalidé la première version du texte. Il reste depuis en suspens en attendant que la Cour suprême du pays ne se prononce.

Dans la foulée de cette décision, des hashtags sont apparus sur les réseaux sociaux et tous visaient la Haute cour de justice et soutenaient la proposition du dirigeant. Des milliers de comptes ont ensuite embrayé pour venir appuyer cette lame de fond. Cela a intrigué des chercheurs de la fondation Mozilla qui ont décidé de se pencher sur ce dossier.

Selon ces derniers, il s’agit en fait d’une véritable campagne de désinformation. Ils sont ainsi rentrés en contact avec des personnes qui étaient payées entre 10 et 15 dollars par jour pour tweeter. Les internautes agissaient sans savoir d’où venait véritablement cet argent. Il faut dire que dans un pays où bon nombre d’habitants vivent avec un dollar par jour, cette rémunération était une aubaine.

Des réseaux sociaux pas assez armés pour lutter contre la désinformation ?

Outre cette masse de petits comptes, un certain nombre de profils vérifiés ont pris part à cette opération. Cela a permis de renforcer la viralité de ces contenus. Parmi les hashtags les plus partagés, la plupart ne faisaient pas mystère de leur aversion pour la justice : « Jugesanarchistes » ou « Justiceàvendre ».

Les experts pointent aussi du doigt le rôle involontaire de Twitter qui a diffusé de la publicité pour ces hashtags. Cité par Restoftheworld, Odanga Madung, un des auteurs explique ainsi : « Cela signifie que Twitter est capable de monétiser la désinformation ».

Le réseau social s’est quant à lui défendu en expliquant avoir supprimé ou pénalisé certains comptes pointés du doigt par Mozilla. Pour cela, la plateforme explique combiner la technologie et l’examen humain des messages. Pour autant, la fondation explique dans son rapport que certains restaient en activité au moment de la publication.

Selon les analystes, il s’agit d’un des nombreux cas de campagne de désinformation menée en ligne. Des personnes reçoivent de l’argent pour participer mais elles ignorent assez souvent qui est le commanditaire tant de nombreux intermédiaires entrent en jeu.

Les chercheurs estiment que les géants du web ne sont pas forcément armés pour y répondre car une grande partie de leurs outils sont automatisés et construits « à partir de notions occidentales de langue anglaise sur ce qu’est un mauvais contenu, comment il sonne et comment il est formulé ».

De plus, si leur attention est grande en période électorale, elle tend à se relâcher le reste du temps, alors que les tentatives de désinformation peuvent survenir à tout instant.

Si ce sujet vous intéresse, vous pouvez justement retrouver notre article dédié à une ferme de trolls. L’occasion de mieux comprendre le fonctionnement de ces lieux dédiés à la manipulation en ligne.

En début d’année, le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, a proposé une réforme constitutionnelle. Une décision de la Haute cour de justice est cependant venu contrarier ses plans et a invalidé la première version du texte. Il reste depuis en suspens en attendant que la Cour suprême du pays ne se prononce.

Dans la foulée de cette décision, des hashtags sont apparus sur les réseaux sociaux et tous visaient la Haute cour de justice et soutenaient la proposition du dirigeant. Des milliers de comptes ont ensuite embrayé pour venir appuyer cette lame de fond. Cela a intrigué des chercheurs de la fondation Mozilla qui ont décidé de se pencher sur ce dossier.

Selon ces derniers, il s’agit en fait d’une véritable campagne de désinformation. Ils sont ainsi rentrés en contact avec des personnes qui étaient payées entre 10 et 15 dollars par jour pour tweeter. Les internautes agissaient sans savoir d’où venait véritablement cet argent. Il faut dire que dans un pays où bon nombre d’habitants vivent avec un dollar par jour, cette rémunération était une aubaine.

Des réseaux sociaux pas assez armés pour lutter contre la désinformation ?

Outre cette masse de petits comptes, un certain nombre de profils vérifiés ont pris part à cette opération. Cela a permis de renforcer la viralité de ces contenus. Parmi les hashtags les plus partagés, la plupart ne faisaient pas mystère de leur aversion pour la justice : « Jugesanarchistes » ou « Justiceàvendre ».

Les experts pointent aussi du doigt le rôle involontaire de Twitter qui a diffusé de la publicité pour ces hashtags. Cité par Restoftheworld, Odanga Madung, un des auteurs explique ainsi : « Cela signifie que Twitter est capable de monétiser la désinformation ».

Le réseau social s’est quant à lui défendu en expliquant avoir supprimé ou pénalisé certains comptes pointés du doigt par Mozilla. Pour cela, la plateforme explique combiner la technologie et l’examen humain des messages. Pour autant, la fondation explique dans son rapport que certains restaient en activité au moment de la publication.

Selon les analystes, il s’agit d’un des nombreux cas de campagne de désinformation menée en ligne. Des personnes reçoivent de l’argent pour participer mais elles ignorent assez souvent qui est le commanditaire tant de nombreux intermédiaires entrent en jeu.

Les chercheurs estiment que les géants du web ne sont pas forcément armés pour y répondre car une grande partie de leurs outils sont automatisés et construits « à partir de notions occidentales de langue anglaise sur ce qu’est un mauvais contenu, comment il sonne et comment il est formulé ».

De plus, si leur attention est grande en période électorale, elle tend à se relâcher le reste du temps, alors que les tentatives de désinformation peuvent survenir à tout instant.

Si ce sujet vous intéresse, vous pouvez justement retrouver notre article dédié à une ferme de trolls. L’occasion de mieux comprendre le fonctionnement de ces lieux dédiés à la manipulation en ligne.

En début d’année, le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, a proposé une réforme constitutionnelle. Une décision de la Haute cour de justice est cependant venu contrarier ses plans et a invalidé la première version du texte. Il reste depuis en suspens en attendant que la Cour suprême du pays ne se prononce.

Dans la foulée de cette décision, des hashtags sont apparus sur les réseaux sociaux et tous visaient la Haute cour de justice et soutenaient la proposition du dirigeant. Des milliers de comptes ont ensuite embrayé pour venir appuyer cette lame de fond. Cela a intrigué des chercheurs de la fondation Mozilla qui ont décidé de se pencher sur ce dossier.

Selon ces derniers, il s’agit en fait d’une véritable campagne de désinformation. Ils sont ainsi rentrés en contact avec des personnes qui étaient payées entre 10 et 15 dollars par jour pour tweeter. Les internautes agissaient sans savoir d’où venait véritablement cet argent. Il faut dire que dans un pays où bon nombre d’habitants vivent avec un dollar par jour, cette rémunération était une aubaine.

Des réseaux sociaux pas assez armés pour lutter contre la désinformation ?

Outre cette masse de petits comptes, un certain nombre de profils vérifiés ont pris part à cette opération. Cela a permis de renforcer la viralité de ces contenus. Parmi les hashtags les plus partagés, la plupart ne faisaient pas mystère de leur aversion pour la justice : « Jugesanarchistes » ou « Justiceàvendre ».

Les experts pointent aussi du doigt le rôle involontaire de Twitter qui a diffusé de la publicité pour ces hashtags. Cité par Restoftheworld, Odanga Madung, un des auteurs explique ainsi : « Cela signifie que Twitter est capable de monétiser la désinformation ».

Le réseau social s’est quant à lui défendu en expliquant avoir supprimé ou pénalisé certains comptes pointés du doigt par Mozilla. Pour cela, la plateforme explique combiner la technologie et l’examen humain des messages. Pour autant, la fondation explique dans son rapport que certains restaient en activité au moment de la publication.

Selon les analystes, il s’agit d’un des nombreux cas de campagne de désinformation menée en ligne. Des personnes reçoivent de l’argent pour participer mais elles ignorent assez souvent qui est le commanditaire tant de nombreux intermédiaires entrent en jeu.

Les chercheurs estiment que les géants du web ne sont pas forcément armés pour y répondre car une grande partie de leurs outils sont automatisés et construits « à partir de notions occidentales de langue anglaise sur ce qu’est un mauvais contenu, comment il sonne et comment il est formulé ».

De plus, si leur attention est grande en période électorale, elle tend à se relâcher le reste du temps, alors que les tentatives de désinformation peuvent survenir à tout instant.

Si ce sujet vous intéresse, vous pouvez justement retrouver notre article dédié à une ferme de trolls. L’occasion de mieux comprendre le fonctionnement de ces lieux dédiés à la manipulation en ligne.

En début d’année, le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, a proposé une réforme constitutionnelle. Une décision de la Haute cour de justice est cependant venu contrarier ses plans et a invalidé la première version du texte. Il reste depuis en suspens en attendant que la Cour suprême du pays ne se prononce.

Dans la foulée de cette décision, des hashtags sont apparus sur les réseaux sociaux et tous visaient la Haute cour de justice et soutenaient la proposition du dirigeant. Des milliers de comptes ont ensuite embrayé pour venir appuyer cette lame de fond. Cela a intrigué des chercheurs de la fondation Mozilla qui ont décidé de se pencher sur ce dossier.

Selon ces derniers, il s’agit en fait d’une véritable campagne de désinformation. Ils sont ainsi rentrés en contact avec des personnes qui étaient payées entre 10 et 15 dollars par jour pour tweeter. Les internautes agissaient sans savoir d’où venait véritablement cet argent. Il faut dire que dans un pays où bon nombre d’habitants vivent avec un dollar par jour, cette rémunération était une aubaine.

Des réseaux sociaux pas assez armés pour lutter contre la désinformation ?

Outre cette masse de petits comptes, un certain nombre de profils vérifiés ont pris part à cette opération. Cela a permis de renforcer la viralité de ces contenus. Parmi les hashtags les plus partagés, la plupart ne faisaient pas mystère de leur aversion pour la justice : « Jugesanarchistes » ou « Justiceàvendre ».

Les experts pointent aussi du doigt le rôle involontaire de Twitter qui a diffusé de la publicité pour ces hashtags. Cité par Restoftheworld, Odanga Madung, un des auteurs explique ainsi : « Cela signifie que Twitter est capable de monétiser la désinformation ».

Le réseau social s’est quant à lui défendu en expliquant avoir supprimé ou pénalisé certains comptes pointés du doigt par Mozilla. Pour cela, la plateforme explique combiner la technologie et l’examen humain des messages. Pour autant, la fondation explique dans son rapport que certains restaient en activité au moment de la publication.

Selon les analystes, il s’agit d’un des nombreux cas de campagne de désinformation menée en ligne. Des personnes reçoivent de l’argent pour participer mais elles ignorent assez souvent qui est le commanditaire tant de nombreux intermédiaires entrent en jeu.

Les chercheurs estiment que les géants du web ne sont pas forcément armés pour y répondre car une grande partie de leurs outils sont automatisés et construits « à partir de notions occidentales de langue anglaise sur ce qu’est un mauvais contenu, comment il sonne et comment il est formulé ».

De plus, si leur attention est grande en période électorale, elle tend à se relâcher le reste du temps, alors que les tentatives de désinformation peuvent survenir à tout instant.

Si ce sujet vous intéresse, vous pouvez justement retrouver notre article dédié à une ferme de trolls. L’occasion de mieux comprendre le fonctionnement de ces lieux dédiés à la manipulation en ligne.

En début d’année, le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, a proposé une réforme constitutionnelle. Une décision de la Haute cour de justice est cependant venu contrarier ses plans et a invalidé la première version du texte. Il reste depuis en suspens en attendant que la Cour suprême du pays ne se prononce.

Dans la foulée de cette décision, des hashtags sont apparus sur les réseaux sociaux et tous visaient la Haute cour de justice et soutenaient la proposition du dirigeant. Des milliers de comptes ont ensuite embrayé pour venir appuyer cette lame de fond. Cela a intrigué des chercheurs de la fondation Mozilla qui ont décidé de se pencher sur ce dossier.

Selon ces derniers, il s’agit en fait d’une véritable campagne de désinformation. Ils sont ainsi rentrés en contact avec des personnes qui étaient payées entre 10 et 15 dollars par jour pour tweeter. Les internautes agissaient sans savoir d’où venait véritablement cet argent. Il faut dire que dans un pays où bon nombre d’habitants vivent avec un dollar par jour, cette rémunération était une aubaine.

Des réseaux sociaux pas assez armés pour lutter contre la désinformation ?

Outre cette masse de petits comptes, un certain nombre de profils vérifiés ont pris part à cette opération. Cela a permis de renforcer la viralité de ces contenus. Parmi les hashtags les plus partagés, la plupart ne faisaient pas mystère de leur aversion pour la justice : « Jugesanarchistes » ou « Justiceàvendre ».

Les experts pointent aussi du doigt le rôle involontaire de Twitter qui a diffusé de la publicité pour ces hashtags. Cité par Restoftheworld, Odanga Madung, un des auteurs explique ainsi : « Cela signifie que Twitter est capable de monétiser la désinformation ».

Le réseau social s’est quant à lui défendu en expliquant avoir supprimé ou pénalisé certains comptes pointés du doigt par Mozilla. Pour cela, la plateforme explique combiner la technologie et l’examen humain des messages. Pour autant, la fondation explique dans son rapport que certains restaient en activité au moment de la publication.

Selon les analystes, il s’agit d’un des nombreux cas de campagne de désinformation menée en ligne. Des personnes reçoivent de l’argent pour participer mais elles ignorent assez souvent qui est le commanditaire tant de nombreux intermédiaires entrent en jeu.

Les chercheurs estiment que les géants du web ne sont pas forcément armés pour y répondre car une grande partie de leurs outils sont automatisés et construits « à partir de notions occidentales de langue anglaise sur ce qu’est un mauvais contenu, comment il sonne et comment il est formulé ».

De plus, si leur attention est grande en période électorale, elle tend à se relâcher le reste du temps, alors que les tentatives de désinformation peuvent survenir à tout instant.

Si ce sujet vous intéresse, vous pouvez justement retrouver notre article dédié à une ferme de trolls. L’occasion de mieux comprendre le fonctionnement de ces lieux dédiés à la manipulation en ligne.

En début d’année, le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, a proposé une réforme constitutionnelle. Une décision de la Haute cour de justice est cependant venu contrarier ses plans et a invalidé la première version du texte. Il reste depuis en suspens en attendant que la Cour suprême du pays ne se prononce.

Dans la foulée de cette décision, des hashtags sont apparus sur les réseaux sociaux et tous visaient la Haute cour de justice et soutenaient la proposition du dirigeant. Des milliers de comptes ont ensuite embrayé pour venir appuyer cette lame de fond. Cela a intrigué des chercheurs de la fondation Mozilla qui ont décidé de se pencher sur ce dossier.

Selon ces derniers, il s’agit en fait d’une véritable campagne de désinformation. Ils sont ainsi rentrés en contact avec des personnes qui étaient payées entre 10 et 15 dollars par jour pour tweeter. Les internautes agissaient sans savoir d’où venait véritablement cet argent. Il faut dire que dans un pays où bon nombre d’habitants vivent avec un dollar par jour, cette rémunération était une aubaine.

Des réseaux sociaux pas assez armés pour lutter contre la désinformation ?

Outre cette masse de petits comptes, un certain nombre de profils vérifiés ont pris part à cette opération. Cela a permis de renforcer la viralité de ces contenus. Parmi les hashtags les plus partagés, la plupart ne faisaient pas mystère de leur aversion pour la justice : « Jugesanarchistes » ou « Justiceàvendre ».

Les experts pointent aussi du doigt le rôle involontaire de Twitter qui a diffusé de la publicité pour ces hashtags. Cité par Restoftheworld, Odanga Madung, un des auteurs explique ainsi : « Cela signifie que Twitter est capable de monétiser la désinformation ».

Le réseau social s’est quant à lui défendu en expliquant avoir supprimé ou pénalisé certains comptes pointés du doigt par Mozilla. Pour cela, la plateforme explique combiner la technologie et l’examen humain des messages. Pour autant, la fondation explique dans son rapport que certains restaient en activité au moment de la publication.

Selon les analystes, il s’agit d’un des nombreux cas de campagne de désinformation menée en ligne. Des personnes reçoivent de l’argent pour participer mais elles ignorent assez souvent qui est le commanditaire tant de nombreux intermédiaires entrent en jeu.

Les chercheurs estiment que les géants du web ne sont pas forcément armés pour y répondre car une grande partie de leurs outils sont automatisés et construits « à partir de notions occidentales de langue anglaise sur ce qu’est un mauvais contenu, comment il sonne et comment il est formulé ».

De plus, si leur attention est grande en période électorale, elle tend à se relâcher le reste du temps, alors que les tentatives de désinformation peuvent survenir à tout instant.

Si ce sujet vous intéresse, vous pouvez justement retrouver notre article dédié à une ferme de trolls. L’occasion de mieux comprendre le fonctionnement de ces lieux dédiés à la manipulation en ligne.

En début d’année, le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, a proposé une réforme constitutionnelle. Une décision de la Haute cour de justice est cependant venu contrarier ses plans et a invalidé la première version du texte. Il reste depuis en suspens en attendant que la Cour suprême du pays ne se prononce.

Dans la foulée de cette décision, des hashtags sont apparus sur les réseaux sociaux et tous visaient la Haute cour de justice et soutenaient la proposition du dirigeant. Des milliers de comptes ont ensuite embrayé pour venir appuyer cette lame de fond. Cela a intrigué des chercheurs de la fondation Mozilla qui ont décidé de se pencher sur ce dossier.

Selon ces derniers, il s’agit en fait d’une véritable campagne de désinformation. Ils sont ainsi rentrés en contact avec des personnes qui étaient payées entre 10 et 15 dollars par jour pour tweeter. Les internautes agissaient sans savoir d’où venait véritablement cet argent. Il faut dire que dans un pays où bon nombre d’habitants vivent avec un dollar par jour, cette rémunération était une aubaine.

Des réseaux sociaux pas assez armés pour lutter contre la désinformation ?

Outre cette masse de petits comptes, un certain nombre de profils vérifiés ont pris part à cette opération. Cela a permis de renforcer la viralité de ces contenus. Parmi les hashtags les plus partagés, la plupart ne faisaient pas mystère de leur aversion pour la justice : « Jugesanarchistes » ou « Justiceàvendre ».

Les experts pointent aussi du doigt le rôle involontaire de Twitter qui a diffusé de la publicité pour ces hashtags. Cité par Restoftheworld, Odanga Madung, un des auteurs explique ainsi : « Cela signifie que Twitter est capable de monétiser la désinformation ».

Le réseau social s’est quant à lui défendu en expliquant avoir supprimé ou pénalisé certains comptes pointés du doigt par Mozilla. Pour cela, la plateforme explique combiner la technologie et l’examen humain des messages. Pour autant, la fondation explique dans son rapport que certains restaient en activité au moment de la publication.

Selon les analystes, il s’agit d’un des nombreux cas de campagne de désinformation menée en ligne. Des personnes reçoivent de l’argent pour participer mais elles ignorent assez souvent qui est le commanditaire tant de nombreux intermédiaires entrent en jeu.

Les chercheurs estiment que les géants du web ne sont pas forcément armés pour y répondre car une grande partie de leurs outils sont automatisés et construits « à partir de notions occidentales de langue anglaise sur ce qu’est un mauvais contenu, comment il sonne et comment il est formulé ».

De plus, si leur attention est grande en période électorale, elle tend à se relâcher le reste du temps, alors que les tentatives de désinformation peuvent survenir à tout instant.

Si ce sujet vous intéresse, vous pouvez justement retrouver notre article dédié à une ferme de trolls. L’occasion de mieux comprendre le fonctionnement de ces lieux dédiés à la manipulation en ligne.

En début d’année, le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, a proposé une réforme constitutionnelle. Une décision de la Haute cour de justice est cependant venu contrarier ses plans et a invalidé la première version du texte. Il reste depuis en suspens en attendant que la Cour suprême du pays ne se prononce.

Dans la foulée de cette décision, des hashtags sont apparus sur les réseaux sociaux et tous visaient la Haute cour de justice et soutenaient la proposition du dirigeant. Des milliers de comptes ont ensuite embrayé pour venir appuyer cette lame de fond. Cela a intrigué des chercheurs de la fondation Mozilla qui ont décidé de se pencher sur ce dossier.

Selon ces derniers, il s’agit en fait d’une véritable campagne de désinformation. Ils sont ainsi rentrés en contact avec des personnes qui étaient payées entre 10 et 15 dollars par jour pour tweeter. Les internautes agissaient sans savoir d’où venait véritablement cet argent. Il faut dire que dans un pays où bon nombre d’habitants vivent avec un dollar par jour, cette rémunération était une aubaine.

Des réseaux sociaux pas assez armés pour lutter contre la désinformation ?

Outre cette masse de petits comptes, un certain nombre de profils vérifiés ont pris part à cette opération. Cela a permis de renforcer la viralité de ces contenus. Parmi les hashtags les plus partagés, la plupart ne faisaient pas mystère de leur aversion pour la justice : « Jugesanarchistes » ou « Justiceàvendre ».

Les experts pointent aussi du doigt le rôle involontaire de Twitter qui a diffusé de la publicité pour ces hashtags. Cité par Restoftheworld, Odanga Madung, un des auteurs explique ainsi : « Cela signifie que Twitter est capable de monétiser la désinformation ».

Le réseau social s’est quant à lui défendu en expliquant avoir supprimé ou pénalisé certains comptes pointés du doigt par Mozilla. Pour cela, la plateforme explique combiner la technologie et l’examen humain des messages. Pour autant, la fondation explique dans son rapport que certains restaient en activité au moment de la publication.

Selon les analystes, il s’agit d’un des nombreux cas de campagne de désinformation menée en ligne. Des personnes reçoivent de l’argent pour participer mais elles ignorent assez souvent qui est le commanditaire tant de nombreux intermédiaires entrent en jeu.

Les chercheurs estiment que les géants du web ne sont pas forcément armés pour y répondre car une grande partie de leurs outils sont automatisés et construits « à partir de notions occidentales de langue anglaise sur ce qu’est un mauvais contenu, comment il sonne et comment il est formulé ».

De plus, si leur attention est grande en période électorale, elle tend à se relâcher le reste du temps, alors que les tentatives de désinformation peuvent survenir à tout instant.

Si ce sujet vous intéresse, vous pouvez justement retrouver notre article dédié à une ferme de trolls. L’occasion de mieux comprendre le fonctionnement de ces lieux dédiés à la manipulation en ligne.

En début d’année, le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, a proposé une réforme constitutionnelle. Une décision de la Haute cour de justice est cependant venu contrarier ses plans et a invalidé la première version du texte. Il reste depuis en suspens en attendant que la Cour suprême du pays ne se prononce.

Dans la foulée de cette décision, des hashtags sont apparus sur les réseaux sociaux et tous visaient la Haute cour de justice et soutenaient la proposition du dirigeant. Des milliers de comptes ont ensuite embrayé pour venir appuyer cette lame de fond. Cela a intrigué des chercheurs de la fondation Mozilla qui ont décidé de se pencher sur ce dossier.

Selon ces derniers, il s’agit en fait d’une véritable campagne de désinformation. Ils sont ainsi rentrés en contact avec des personnes qui étaient payées entre 10 et 15 dollars par jour pour tweeter. Les internautes agissaient sans savoir d’où venait véritablement cet argent. Il faut dire que dans un pays où bon nombre d’habitants vivent avec un dollar par jour, cette rémunération était une aubaine.

Des réseaux sociaux pas assez armés pour lutter contre la désinformation ?

Outre cette masse de petits comptes, un certain nombre de profils vérifiés ont pris part à cette opération. Cela a permis de renforcer la viralité de ces contenus. Parmi les hashtags les plus partagés, la plupart ne faisaient pas mystère de leur aversion pour la justice : « Jugesanarchistes » ou « Justiceàvendre ».

Les experts pointent aussi du doigt le rôle involontaire de Twitter qui a diffusé de la publicité pour ces hashtags. Cité par Restoftheworld, Odanga Madung, un des auteurs explique ainsi : « Cela signifie que Twitter est capable de monétiser la désinformation ».

Le réseau social s’est quant à lui défendu en expliquant avoir supprimé ou pénalisé certains comptes pointés du doigt par Mozilla. Pour cela, la plateforme explique combiner la technologie et l’examen humain des messages. Pour autant, la fondation explique dans son rapport que certains restaient en activité au moment de la publication.

Selon les analystes, il s’agit d’un des nombreux cas de campagne de désinformation menée en ligne. Des personnes reçoivent de l’argent pour participer mais elles ignorent assez souvent qui est le commanditaire tant de nombreux intermédiaires entrent en jeu.

Les chercheurs estiment que les géants du web ne sont pas forcément armés pour y répondre car une grande partie de leurs outils sont automatisés et construits « à partir de notions occidentales de langue anglaise sur ce qu’est un mauvais contenu, comment il sonne et comment il est formulé ».

De plus, si leur attention est grande en période électorale, elle tend à se relâcher le reste du temps, alors que les tentatives de désinformation peuvent survenir à tout instant.

Si ce sujet vous intéresse, vous pouvez justement retrouver notre article dédié à une ferme de trolls. L’occasion de mieux comprendre le fonctionnement de ces lieux dédiés à la manipulation en ligne.

En début d’année, le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, a proposé une réforme constitutionnelle. Une décision de la Haute cour de justice est cependant venu contrarier ses plans et a invalidé la première version du texte. Il reste depuis en suspens en attendant que la Cour suprême du pays ne se prononce.

Dans la foulée de cette décision, des hashtags sont apparus sur les réseaux sociaux et tous visaient la Haute cour de justice et soutenaient la proposition du dirigeant. Des milliers de comptes ont ensuite embrayé pour venir appuyer cette lame de fond. Cela a intrigué des chercheurs de la fondation Mozilla qui ont décidé de se pencher sur ce dossier.

Selon ces derniers, il s’agit en fait d’une véritable campagne de désinformation. Ils sont ainsi rentrés en contact avec des personnes qui étaient payées entre 10 et 15 dollars par jour pour tweeter. Les internautes agissaient sans savoir d’où venait véritablement cet argent. Il faut dire que dans un pays où bon nombre d’habitants vivent avec un dollar par jour, cette rémunération était une aubaine.

Des réseaux sociaux pas assez armés pour lutter contre la désinformation ?

Outre cette masse de petits comptes, un certain nombre de profils vérifiés ont pris part à cette opération. Cela a permis de renforcer la viralité de ces contenus. Parmi les hashtags les plus partagés, la plupart ne faisaient pas mystère de leur aversion pour la justice : « Jugesanarchistes » ou « Justiceàvendre ».

Les experts pointent aussi du doigt le rôle involontaire de Twitter qui a diffusé de la publicité pour ces hashtags. Cité par Restoftheworld, Odanga Madung, un des auteurs explique ainsi : « Cela signifie que Twitter est capable de monétiser la désinformation ».

Le réseau social s’est quant à lui défendu en expliquant avoir supprimé ou pénalisé certains comptes pointés du doigt par Mozilla. Pour cela, la plateforme explique combiner la technologie et l’examen humain des messages. Pour autant, la fondation explique dans son rapport que certains restaient en activité au moment de la publication.

Selon les analystes, il s’agit d’un des nombreux cas de campagne de désinformation menée en ligne. Des personnes reçoivent de l’argent pour participer mais elles ignorent assez souvent qui est le commanditaire tant de nombreux intermédiaires entrent en jeu.

Les chercheurs estiment que les géants du web ne sont pas forcément armés pour y répondre car une grande partie de leurs outils sont automatisés et construits « à partir de notions occidentales de langue anglaise sur ce qu’est un mauvais contenu, comment il sonne et comment il est formulé ».

De plus, si leur attention est grande en période électorale, elle tend à se relâcher le reste du temps, alors que les tentatives de désinformation peuvent survenir à tout instant.

Si ce sujet vous intéresse, vous pouvez justement retrouver notre article dédié à une ferme de trolls. L’occasion de mieux comprendre le fonctionnement de ces lieux dédiés à la manipulation en ligne.

En début d’année, le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, a proposé une réforme constitutionnelle. Une décision de la Haute cour de justice est cependant venu contrarier ses plans et a invalidé la première version du texte. Il reste depuis en suspens en attendant que la Cour suprême du pays ne se prononce.

Dans la foulée de cette décision, des hashtags sont apparus sur les réseaux sociaux et tous visaient la Haute cour de justice et soutenaient la proposition du dirigeant. Des milliers de comptes ont ensuite embrayé pour venir appuyer cette lame de fond. Cela a intrigué des chercheurs de la fondation Mozilla qui ont décidé de se pencher sur ce dossier.

Selon ces derniers, il s’agit en fait d’une véritable campagne de désinformation. Ils sont ainsi rentrés en contact avec des personnes qui étaient payées entre 10 et 15 dollars par jour pour tweeter. Les internautes agissaient sans savoir d’où venait véritablement cet argent. Il faut dire que dans un pays où bon nombre d’habitants vivent avec un dollar par jour, cette rémunération était une aubaine.

Des réseaux sociaux pas assez armés pour lutter contre la désinformation ?

Outre cette masse de petits comptes, un certain nombre de profils vérifiés ont pris part à cette opération. Cela a permis de renforcer la viralité de ces contenus. Parmi les hashtags les plus partagés, la plupart ne faisaient pas mystère de leur aversion pour la justice : « Jugesanarchistes » ou « Justiceàvendre ».

Les experts pointent aussi du doigt le rôle involontaire de Twitter qui a diffusé de la publicité pour ces hashtags. Cité par Restoftheworld, Odanga Madung, un des auteurs explique ainsi : « Cela signifie que Twitter est capable de monétiser la désinformation ».

Le réseau social s’est quant à lui défendu en expliquant avoir supprimé ou pénalisé certains comptes pointés du doigt par Mozilla. Pour cela, la plateforme explique combiner la technologie et l’examen humain des messages. Pour autant, la fondation explique dans son rapport que certains restaient en activité au moment de la publication.

Selon les analystes, il s’agit d’un des nombreux cas de campagne de désinformation menée en ligne. Des personnes reçoivent de l’argent pour participer mais elles ignorent assez souvent qui est le commanditaire tant de nombreux intermédiaires entrent en jeu.

Les chercheurs estiment que les géants du web ne sont pas forcément armés pour y répondre car une grande partie de leurs outils sont automatisés et construits « à partir de notions occidentales de langue anglaise sur ce qu’est un mauvais contenu, comment il sonne et comment il est formulé ».

De plus, si leur attention est grande en période électorale, elle tend à se relâcher le reste du temps, alors que les tentatives de désinformation peuvent survenir à tout instant.

Si ce sujet vous intéresse, vous pouvez justement retrouver notre article dédié à une ferme de trolls. L’occasion de mieux comprendre le fonctionnement de ces lieux dédiés à la manipulation en ligne.

En début d’année, le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, a proposé une réforme constitutionnelle. Une décision de la Haute cour de justice est cependant venu contrarier ses plans et a invalidé la première version du texte. Il reste depuis en suspens en attendant que la Cour suprême du pays ne se prononce.

Dans la foulée de cette décision, des hashtags sont apparus sur les réseaux sociaux et tous visaient la Haute cour de justice et soutenaient la proposition du dirigeant. Des milliers de comptes ont ensuite embrayé pour venir appuyer cette lame de fond. Cela a intrigué des chercheurs de la fondation Mozilla qui ont décidé de se pencher sur ce dossier.

Selon ces derniers, il s’agit en fait d’une véritable campagne de désinformation. Ils sont ainsi rentrés en contact avec des personnes qui étaient payées entre 10 et 15 dollars par jour pour tweeter. Les internautes agissaient sans savoir d’où venait véritablement cet argent. Il faut dire que dans un pays où bon nombre d’habitants vivent avec un dollar par jour, cette rémunération était une aubaine.

Des réseaux sociaux pas assez armés pour lutter contre la désinformation ?

Outre cette masse de petits comptes, un certain nombre de profils vérifiés ont pris part à cette opération. Cela a permis de renforcer la viralité de ces contenus. Parmi les hashtags les plus partagés, la plupart ne faisaient pas mystère de leur aversion pour la justice : « Jugesanarchistes » ou « Justiceàvendre ».

Les experts pointent aussi du doigt le rôle involontaire de Twitter qui a diffusé de la publicité pour ces hashtags. Cité par Restoftheworld, Odanga Madung, un des auteurs explique ainsi : « Cela signifie que Twitter est capable de monétiser la désinformation ».

Le réseau social s’est quant à lui défendu en expliquant avoir supprimé ou pénalisé certains comptes pointés du doigt par Mozilla. Pour cela, la plateforme explique combiner la technologie et l’examen humain des messages. Pour autant, la fondation explique dans son rapport que certains restaient en activité au moment de la publication.

Selon les analystes, il s’agit d’un des nombreux cas de campagne de désinformation menée en ligne. Des personnes reçoivent de l’argent pour participer mais elles ignorent assez souvent qui est le commanditaire tant de nombreux intermédiaires entrent en jeu.

Les chercheurs estiment que les géants du web ne sont pas forcément armés pour y répondre car une grande partie de leurs outils sont automatisés et construits « à partir de notions occidentales de langue anglaise sur ce qu’est un mauvais contenu, comment il sonne et comment il est formulé ».

De plus, si leur attention est grande en période électorale, elle tend à se relâcher le reste du temps, alors que les tentatives de désinformation peuvent survenir à tout instant.

Si ce sujet vous intéresse, vous pouvez justement retrouver notre article dédié à une ferme de trolls. L’occasion de mieux comprendre le fonctionnement de ces lieux dédiés à la manipulation en ligne.

En début d’année, le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, a proposé une réforme constitutionnelle. Une décision de la Haute cour de justice est cependant venu contrarier ses plans et a invalidé la première version du texte. Il reste depuis en suspens en attendant que la Cour suprême du pays ne se prononce.

Dans la foulée de cette décision, des hashtags sont apparus sur les réseaux sociaux et tous visaient la Haute cour de justice et soutenaient la proposition du dirigeant. Des milliers de comptes ont ensuite embrayé pour venir appuyer cette lame de fond. Cela a intrigué des chercheurs de la fondation Mozilla qui ont décidé de se pencher sur ce dossier.

Selon ces derniers, il s’agit en fait d’une véritable campagne de désinformation. Ils sont ainsi rentrés en contact avec des personnes qui étaient payées entre 10 et 15 dollars par jour pour tweeter. Les internautes agissaient sans savoir d’où venait véritablement cet argent. Il faut dire que dans un pays où bon nombre d’habitants vivent avec un dollar par jour, cette rémunération était une aubaine.

Des réseaux sociaux pas assez armés pour lutter contre la désinformation ?

Outre cette masse de petits comptes, un certain nombre de profils vérifiés ont pris part à cette opération. Cela a permis de renforcer la viralité de ces contenus. Parmi les hashtags les plus partagés, la plupart ne faisaient pas mystère de leur aversion pour la justice : « Jugesanarchistes » ou « Justiceàvendre ».

Les experts pointent aussi du doigt le rôle involontaire de Twitter qui a diffusé de la publicité pour ces hashtags. Cité par Restoftheworld, Odanga Madung, un des auteurs explique ainsi : « Cela signifie que Twitter est capable de monétiser la désinformation ».

Le réseau social s’est quant à lui défendu en expliquant avoir supprimé ou pénalisé certains comptes pointés du doigt par Mozilla. Pour cela, la plateforme explique combiner la technologie et l’examen humain des messages. Pour autant, la fondation explique dans son rapport que certains restaient en activité au moment de la publication.

Selon les analystes, il s’agit d’un des nombreux cas de campagne de désinformation menée en ligne. Des personnes reçoivent de l’argent pour participer mais elles ignorent assez souvent qui est le commanditaire tant de nombreux intermédiaires entrent en jeu.

Les chercheurs estiment que les géants du web ne sont pas forcément armés pour y répondre car une grande partie de leurs outils sont automatisés et construits « à partir de notions occidentales de langue anglaise sur ce qu’est un mauvais contenu, comment il sonne et comment il est formulé ».

De plus, si leur attention est grande en période électorale, elle tend à se relâcher le reste du temps, alors que les tentatives de désinformation peuvent survenir à tout instant.

Si ce sujet vous intéresse, vous pouvez justement retrouver notre article dédié à une ferme de trolls. L’occasion de mieux comprendre le fonctionnement de ces lieux dédiés à la manipulation en ligne.

En début d’année, le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, a proposé une réforme constitutionnelle. Une décision de la Haute cour de justice est cependant venu contrarier ses plans et a invalidé la première version du texte. Il reste depuis en suspens en attendant que la Cour suprême du pays ne se prononce.

Dans la foulée de cette décision, des hashtags sont apparus sur les réseaux sociaux et tous visaient la Haute cour de justice et soutenaient la proposition du dirigeant. Des milliers de comptes ont ensuite embrayé pour venir appuyer cette lame de fond. Cela a intrigué des chercheurs de la fondation Mozilla qui ont décidé de se pencher sur ce dossier.

Selon ces derniers, il s’agit en fait d’une véritable campagne de désinformation. Ils sont ainsi rentrés en contact avec des personnes qui étaient payées entre 10 et 15 dollars par jour pour tweeter. Les internautes agissaient sans savoir d’où venait véritablement cet argent. Il faut dire que dans un pays où bon nombre d’habitants vivent avec un dollar par jour, cette rémunération était une aubaine.

Des réseaux sociaux pas assez armés pour lutter contre la désinformation ?

Outre cette masse de petits comptes, un certain nombre de profils vérifiés ont pris part à cette opération. Cela a permis de renforcer la viralité de ces contenus. Parmi les hashtags les plus partagés, la plupart ne faisaient pas mystère de leur aversion pour la justice : « Jugesanarchistes » ou « Justiceàvendre ».

Les experts pointent aussi du doigt le rôle involontaire de Twitter qui a diffusé de la publicité pour ces hashtags. Cité par Restoftheworld, Odanga Madung, un des auteurs explique ainsi : « Cela signifie que Twitter est capable de monétiser la désinformation ».

Le réseau social s’est quant à lui défendu en expliquant avoir supprimé ou pénalisé certains comptes pointés du doigt par Mozilla. Pour cela, la plateforme explique combiner la technologie et l’examen humain des messages. Pour autant, la fondation explique dans son rapport que certains restaient en activité au moment de la publication.

Selon les analystes, il s’agit d’un des nombreux cas de campagne de désinformation menée en ligne. Des personnes reçoivent de l’argent pour participer mais elles ignorent assez souvent qui est le commanditaire tant de nombreux intermédiaires entrent en jeu.

Les chercheurs estiment que les géants du web ne sont pas forcément armés pour y répondre car une grande partie de leurs outils sont automatisés et construits « à partir de notions occidentales de langue anglaise sur ce qu’est un mauvais contenu, comment il sonne et comment il est formulé ».

De plus, si leur attention est grande en période électorale, elle tend à se relâcher le reste du temps, alors que les tentatives de désinformation peuvent survenir à tout instant.

Si ce sujet vous intéresse, vous pouvez justement retrouver notre article dédié à une ferme de trolls. L’occasion de mieux comprendre le fonctionnement de ces lieux dédiés à la manipulation en ligne.

En début d’année, le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, a proposé une réforme constitutionnelle. Une décision de la Haute cour de justice est cependant venu contrarier ses plans et a invalidé la première version du texte. Il reste depuis en suspens en attendant que la Cour suprême du pays ne se prononce.

Dans la foulée de cette décision, des hashtags sont apparus sur les réseaux sociaux et tous visaient la Haute cour de justice et soutenaient la proposition du dirigeant. Des milliers de comptes ont ensuite embrayé pour venir appuyer cette lame de fond. Cela a intrigué des chercheurs de la fondation Mozilla qui ont décidé de se pencher sur ce dossier.

Selon ces derniers, il s’agit en fait d’une véritable campagne de désinformation. Ils sont ainsi rentrés en contact avec des personnes qui étaient payées entre 10 et 15 dollars par jour pour tweeter. Les internautes agissaient sans savoir d’où venait véritablement cet argent. Il faut dire que dans un pays où bon nombre d’habitants vivent avec un dollar par jour, cette rémunération était une aubaine.

Des réseaux sociaux pas assez armés pour lutter contre la désinformation ?

Outre cette masse de petits comptes, un certain nombre de profils vérifiés ont pris part à cette opération. Cela a permis de renforcer la viralité de ces contenus. Parmi les hashtags les plus partagés, la plupart ne faisaient pas mystère de leur aversion pour la justice : « Jugesanarchistes » ou « Justiceàvendre ».

Les experts pointent aussi du doigt le rôle involontaire de Twitter qui a diffusé de la publicité pour ces hashtags. Cité par Restoftheworld, Odanga Madung, un des auteurs explique ainsi : « Cela signifie que Twitter est capable de monétiser la désinformation ».

Le réseau social s’est quant à lui défendu en expliquant avoir supprimé ou pénalisé certains comptes pointés du doigt par Mozilla. Pour cela, la plateforme explique combiner la technologie et l’examen humain des messages. Pour autant, la fondation explique dans son rapport que certains restaient en activité au moment de la publication.

Selon les analystes, il s’agit d’un des nombreux cas de campagne de désinformation menée en ligne. Des personnes reçoivent de l’argent pour participer mais elles ignorent assez souvent qui est le commanditaire tant de nombreux intermédiaires entrent en jeu.

Les chercheurs estiment que les géants du web ne sont pas forcément armés pour y répondre car une grande partie de leurs outils sont automatisés et construits « à partir de notions occidentales de langue anglaise sur ce qu’est un mauvais contenu, comment il sonne et comment il est formulé ».

De plus, si leur attention est grande en période électorale, elle tend à se relâcher le reste du temps, alors que les tentatives de désinformation peuvent survenir à tout instant.

Si ce sujet vous intéresse, vous pouvez justement retrouver notre article dédié à une ferme de trolls. L’occasion de mieux comprendre le fonctionnement de ces lieux dédiés à la manipulation en ligne.

En début d’année, le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, a proposé une réforme constitutionnelle. Une décision de la Haute cour de justice est cependant venu contrarier ses plans et a invalidé la première version du texte. Il reste depuis en suspens en attendant que la Cour suprême du pays ne se prononce.

Dans la foulée de cette décision, des hashtags sont apparus sur les réseaux sociaux et tous visaient la Haute cour de justice et soutenaient la proposition du dirigeant. Des milliers de comptes ont ensuite embrayé pour venir appuyer cette lame de fond. Cela a intrigué des chercheurs de la fondation Mozilla qui ont décidé de se pencher sur ce dossier.

Selon ces derniers, il s’agit en fait d’une véritable campagne de désinformation. Ils sont ainsi rentrés en contact avec des personnes qui étaient payées entre 10 et 15 dollars par jour pour tweeter. Les internautes agissaient sans savoir d’où venait véritablement cet argent. Il faut dire que dans un pays où bon nombre d’habitants vivent avec un dollar par jour, cette rémunération était une aubaine.

Des réseaux sociaux pas assez armés pour lutter contre la désinformation ?

Outre cette masse de petits comptes, un certain nombre de profils vérifiés ont pris part à cette opération. Cela a permis de renforcer la viralité de ces contenus. Parmi les hashtags les plus partagés, la plupart ne faisaient pas mystère de leur aversion pour la justice : « Jugesanarchistes » ou « Justiceàvendre ».

Les experts pointent aussi du doigt le rôle involontaire de Twitter qui a diffusé de la publicité pour ces hashtags. Cité par Restoftheworld, Odanga Madung, un des auteurs explique ainsi : « Cela signifie que Twitter est capable de monétiser la désinformation ».

Le réseau social s’est quant à lui défendu en expliquant avoir supprimé ou pénalisé certains comptes pointés du doigt par Mozilla. Pour cela, la plateforme explique combiner la technologie et l’examen humain des messages. Pour autant, la fondation explique dans son rapport que certains restaient en activité au moment de la publication.

Selon les analystes, il s’agit d’un des nombreux cas de campagne de désinformation menée en ligne. Des personnes reçoivent de l’argent pour participer mais elles ignorent assez souvent qui est le commanditaire tant de nombreux intermédiaires entrent en jeu.

Les chercheurs estiment que les géants du web ne sont pas forcément armés pour y répondre car une grande partie de leurs outils sont automatisés et construits « à partir de notions occidentales de langue anglaise sur ce qu’est un mauvais contenu, comment il sonne et comment il est formulé ».

De plus, si leur attention est grande en période électorale, elle tend à se relâcher le reste du temps, alors que les tentatives de désinformation peuvent survenir à tout instant.

Si ce sujet vous intéresse, vous pouvez justement retrouver notre article dédié à une ferme de trolls. L’occasion de mieux comprendre le fonctionnement de ces lieux dédiés à la manipulation en ligne.

En début d’année, le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, a proposé une réforme constitutionnelle. Une décision de la Haute cour de justice est cependant venu contrarier ses plans et a invalidé la première version du texte. Il reste depuis en suspens en attendant que la Cour suprême du pays ne se prononce.

Dans la foulée de cette décision, des hashtags sont apparus sur les réseaux sociaux et tous visaient la Haute cour de justice et soutenaient la proposition du dirigeant. Des milliers de comptes ont ensuite embrayé pour venir appuyer cette lame de fond. Cela a intrigué des chercheurs de la fondation Mozilla qui ont décidé de se pencher sur ce dossier.

Selon ces derniers, il s’agit en fait d’une véritable campagne de désinformation. Ils sont ainsi rentrés en contact avec des personnes qui étaient payées entre 10 et 15 dollars par jour pour tweeter. Les internautes agissaient sans savoir d’où venait véritablement cet argent. Il faut dire que dans un pays où bon nombre d’habitants vivent avec un dollar par jour, cette rémunération était une aubaine.

Des réseaux sociaux pas assez armés pour lutter contre la désinformation ?

Outre cette masse de petits comptes, un certain nombre de profils vérifiés ont pris part à cette opération. Cela a permis de renforcer la viralité de ces contenus. Parmi les hashtags les plus partagés, la plupart ne faisaient pas mystère de leur aversion pour la justice : « Jugesanarchistes » ou « Justiceàvendre ».

Les experts pointent aussi du doigt le rôle involontaire de Twitter qui a diffusé de la publicité pour ces hashtags. Cité par Restoftheworld, Odanga Madung, un des auteurs explique ainsi : « Cela signifie que Twitter est capable de monétiser la désinformation ».

Le réseau social s’est quant à lui défendu en expliquant avoir supprimé ou pénalisé certains comptes pointés du doigt par Mozilla. Pour cela, la plateforme explique combiner la technologie et l’examen humain des messages. Pour autant, la fondation explique dans son rapport que certains restaient en activité au moment de la publication.

Selon les analystes, il s’agit d’un des nombreux cas de campagne de désinformation menée en ligne. Des personnes reçoivent de l’argent pour participer mais elles ignorent assez souvent qui est le commanditaire tant de nombreux intermédiaires entrent en jeu.

Les chercheurs estiment que les géants du web ne sont pas forcément armés pour y répondre car une grande partie de leurs outils sont automatisés et construits « à partir de notions occidentales de langue anglaise sur ce qu’est un mauvais contenu, comment il sonne et comment il est formulé ».

De plus, si leur attention est grande en période électorale, elle tend à se relâcher le reste du temps, alors que les tentatives de désinformation peuvent survenir à tout instant.

Si ce sujet vous intéresse, vous pouvez justement retrouver notre article dédié à une ferme de trolls. L’occasion de mieux comprendre le fonctionnement de ces lieux dédiés à la manipulation en ligne.

En début d’année, le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, a proposé une réforme constitutionnelle. Une décision de la Haute cour de justice est cependant venu contrarier ses plans et a invalidé la première version du texte. Il reste depuis en suspens en attendant que la Cour suprême du pays ne se prononce.

Dans la foulée de cette décision, des hashtags sont apparus sur les réseaux sociaux et tous visaient la Haute cour de justice et soutenaient la proposition du dirigeant. Des milliers de comptes ont ensuite embrayé pour venir appuyer cette lame de fond. Cela a intrigué des chercheurs de la fondation Mozilla qui ont décidé de se pencher sur ce dossier.

Selon ces derniers, il s’agit en fait d’une véritable campagne de désinformation. Ils sont ainsi rentrés en contact avec des personnes qui étaient payées entre 10 et 15 dollars par jour pour tweeter. Les internautes agissaient sans savoir d’où venait véritablement cet argent. Il faut dire que dans un pays où bon nombre d’habitants vivent avec un dollar par jour, cette rémunération était une aubaine.

Des réseaux sociaux pas assez armés pour lutter contre la désinformation ?

Outre cette masse de petits comptes, un certain nombre de profils vérifiés ont pris part à cette opération. Cela a permis de renforcer la viralité de ces contenus. Parmi les hashtags les plus partagés, la plupart ne faisaient pas mystère de leur aversion pour la justice : « Jugesanarchistes » ou « Justiceàvendre ».

Les experts pointent aussi du doigt le rôle involontaire de Twitter qui a diffusé de la publicité pour ces hashtags. Cité par Restoftheworld, Odanga Madung, un des auteurs explique ainsi : « Cela signifie que Twitter est capable de monétiser la désinformation ».

Le réseau social s’est quant à lui défendu en expliquant avoir supprimé ou pénalisé certains comptes pointés du doigt par Mozilla. Pour cela, la plateforme explique combiner la technologie et l’examen humain des messages. Pour autant, la fondation explique dans son rapport que certains restaient en activité au moment de la publication.

Selon les analystes, il s’agit d’un des nombreux cas de campagne de désinformation menée en ligne. Des personnes reçoivent de l’argent pour participer mais elles ignorent assez souvent qui est le commanditaire tant de nombreux intermédiaires entrent en jeu.

Les chercheurs estiment que les géants du web ne sont pas forcément armés pour y répondre car une grande partie de leurs outils sont automatisés et construits « à partir de notions occidentales de langue anglaise sur ce qu’est un mauvais contenu, comment il sonne et comment il est formulé ».

De plus, si leur attention est grande en période électorale, elle tend à se relâcher le reste du temps, alors que les tentatives de désinformation peuvent survenir à tout instant.

Si ce sujet vous intéresse, vous pouvez justement retrouver notre article dédié à une ferme de trolls. L’occasion de mieux comprendre le fonctionnement de ces lieux dédiés à la manipulation en ligne.

En début d’année, le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, a proposé une réforme constitutionnelle. Une décision de la Haute cour de justice est cependant venu contrarier ses plans et a invalidé la première version du texte. Il reste depuis en suspens en attendant que la Cour suprême du pays ne se prononce.

Dans la foulée de cette décision, des hashtags sont apparus sur les réseaux sociaux et tous visaient la Haute cour de justice et soutenaient la proposition du dirigeant. Des milliers de comptes ont ensuite embrayé pour venir appuyer cette lame de fond. Cela a intrigué des chercheurs de la fondation Mozilla qui ont décidé de se pencher sur ce dossier.

Selon ces derniers, il s’agit en fait d’une véritable campagne de désinformation. Ils sont ainsi rentrés en contact avec des personnes qui étaient payées entre 10 et 15 dollars par jour pour tweeter. Les internautes agissaient sans savoir d’où venait véritablement cet argent. Il faut dire que dans un pays où bon nombre d’habitants vivent avec un dollar par jour, cette rémunération était une aubaine.

Des réseaux sociaux pas assez armés pour lutter contre la désinformation ?

Outre cette masse de petits comptes, un certain nombre de profils vérifiés ont pris part à cette opération. Cela a permis de renforcer la viralité de ces contenus. Parmi les hashtags les plus partagés, la plupart ne faisaient pas mystère de leur aversion pour la justice : « Jugesanarchistes » ou « Justiceàvendre ».

Les experts pointent aussi du doigt le rôle involontaire de Twitter qui a diffusé de la publicité pour ces hashtags. Cité par Restoftheworld, Odanga Madung, un des auteurs explique ainsi : « Cela signifie que Twitter est capable de monétiser la désinformation ».

Le réseau social s’est quant à lui défendu en expliquant avoir supprimé ou pénalisé certains comptes pointés du doigt par Mozilla. Pour cela, la plateforme explique combiner la technologie et l’examen humain des messages. Pour autant, la fondation explique dans son rapport que certains restaient en activité au moment de la publication.

Selon les analystes, il s’agit d’un des nombreux cas de campagne de désinformation menée en ligne. Des personnes reçoivent de l’argent pour participer mais elles ignorent assez souvent qui est le commanditaire tant de nombreux intermédiaires entrent en jeu.

Les chercheurs estiment que les géants du web ne sont pas forcément armés pour y répondre car une grande partie de leurs outils sont automatisés et construits « à partir de notions occidentales de langue anglaise sur ce qu’est un mauvais contenu, comment il sonne et comment il est formulé ».

De plus, si leur attention est grande en période électorale, elle tend à se relâcher le reste du temps, alors que les tentatives de désinformation peuvent survenir à tout instant.

Si ce sujet vous intéresse, vous pouvez justement retrouver notre article dédié à une ferme de trolls. L’occasion de mieux comprendre le fonctionnement de ces lieux dédiés à la manipulation en ligne.

En début d’année, le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, a proposé une réforme constitutionnelle. Une décision de la Haute cour de justice est cependant venu contrarier ses plans et a invalidé la première version du texte. Il reste depuis en suspens en attendant que la Cour suprême du pays ne se prononce.

Dans la foulée de cette décision, des hashtags sont apparus sur les réseaux sociaux et tous visaient la Haute cour de justice et soutenaient la proposition du dirigeant. Des milliers de comptes ont ensuite embrayé pour venir appuyer cette lame de fond. Cela a intrigué des chercheurs de la fondation Mozilla qui ont décidé de se pencher sur ce dossier.

Selon ces derniers, il s’agit en fait d’une véritable campagne de désinformation. Ils sont ainsi rentrés en contact avec des personnes qui étaient payées entre 10 et 15 dollars par jour pour tweeter. Les internautes agissaient sans savoir d’où venait véritablement cet argent. Il faut dire que dans un pays où bon nombre d’habitants vivent avec un dollar par jour, cette rémunération était une aubaine.

Des réseaux sociaux pas assez armés pour lutter contre la désinformation ?

Outre cette masse de petits comptes, un certain nombre de profils vérifiés ont pris part à cette opération. Cela a permis de renforcer la viralité de ces contenus. Parmi les hashtags les plus partagés, la plupart ne faisaient pas mystère de leur aversion pour la justice : « Jugesanarchistes » ou « Justiceàvendre ».

Les experts pointent aussi du doigt le rôle involontaire de Twitter qui a diffusé de la publicité pour ces hashtags. Cité par Restoftheworld, Odanga Madung, un des auteurs explique ainsi : « Cela signifie que Twitter est capable de monétiser la désinformation ».

Le réseau social s’est quant à lui défendu en expliquant avoir supprimé ou pénalisé certains comptes pointés du doigt par Mozilla. Pour cela, la plateforme explique combiner la technologie et l’examen humain des messages. Pour autant, la fondation explique dans son rapport que certains restaient en activité au moment de la publication.

Selon les analystes, il s’agit d’un des nombreux cas de campagne de désinformation menée en ligne. Des personnes reçoivent de l’argent pour participer mais elles ignorent assez souvent qui est le commanditaire tant de nombreux intermédiaires entrent en jeu.

Les chercheurs estiment que les géants du web ne sont pas forcément armés pour y répondre car une grande partie de leurs outils sont automatisés et construits « à partir de notions occidentales de langue anglaise sur ce qu’est un mauvais contenu, comment il sonne et comment il est formulé ».

De plus, si leur attention est grande en période électorale, elle tend à se relâcher le reste du temps, alors que les tentatives de désinformation peuvent survenir à tout instant.

Si ce sujet vous intéresse, vous pouvez justement retrouver notre article dédié à une ferme de trolls. L’occasion de mieux comprendre le fonctionnement de ces lieux dédiés à la manipulation en ligne.

En début d’année, le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, a proposé une réforme constitutionnelle. Une décision de la Haute cour de justice est cependant venu contrarier ses plans et a invalidé la première version du texte. Il reste depuis en suspens en attendant que la Cour suprême du pays ne se prononce.

Dans la foulée de cette décision, des hashtags sont apparus sur les réseaux sociaux et tous visaient la Haute cour de justice et soutenaient la proposition du dirigeant. Des milliers de comptes ont ensuite embrayé pour venir appuyer cette lame de fond. Cela a intrigué des chercheurs de la fondation Mozilla qui ont décidé de se pencher sur ce dossier.

Selon ces derniers, il s’agit en fait d’une véritable campagne de désinformation. Ils sont ainsi rentrés en contact avec des personnes qui étaient payées entre 10 et 15 dollars par jour pour tweeter. Les internautes agissaient sans savoir d’où venait véritablement cet argent. Il faut dire que dans un pays où bon nombre d’habitants vivent avec un dollar par jour, cette rémunération était une aubaine.

Des réseaux sociaux pas assez armés pour lutter contre la désinformation ?

Outre cette masse de petits comptes, un certain nombre de profils vérifiés ont pris part à cette opération. Cela a permis de renforcer la viralité de ces contenus. Parmi les hashtags les plus partagés, la plupart ne faisaient pas mystère de leur aversion pour la justice : « Jugesanarchistes » ou « Justiceàvendre ».

Les experts pointent aussi du doigt le rôle involontaire de Twitter qui a diffusé de la publicité pour ces hashtags. Cité par Restoftheworld, Odanga Madung, un des auteurs explique ainsi : « Cela signifie que Twitter est capable de monétiser la désinformation ».

Le réseau social s’est quant à lui défendu en expliquant avoir supprimé ou pénalisé certains comptes pointés du doigt par Mozilla. Pour cela, la plateforme explique combiner la technologie et l’examen humain des messages. Pour autant, la fondation explique dans son rapport que certains restaient en activité au moment de la publication.

Selon les analystes, il s’agit d’un des nombreux cas de campagne de désinformation menée en ligne. Des personnes reçoivent de l’argent pour participer mais elles ignorent assez souvent qui est le commanditaire tant de nombreux intermédiaires entrent en jeu.

Les chercheurs estiment que les géants du web ne sont pas forcément armés pour y répondre car une grande partie de leurs outils sont automatisés et construits « à partir de notions occidentales de langue anglaise sur ce qu’est un mauvais contenu, comment il sonne et comment il est formulé ».

De plus, si leur attention est grande en période électorale, elle tend à se relâcher le reste du temps, alors que les tentatives de désinformation peuvent survenir à tout instant.

Si ce sujet vous intéresse, vous pouvez justement retrouver notre article dédié à une ferme de trolls. L’occasion de mieux comprendre le fonctionnement de ces lieux dédiés à la manipulation en ligne.

En début d’année, le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, a proposé une réforme constitutionnelle. Une décision de la Haute cour de justice est cependant venu contrarier ses plans et a invalidé la première version du texte. Il reste depuis en suspens en attendant que la Cour suprême du pays ne se prononce.

Dans la foulée de cette décision, des hashtags sont apparus sur les réseaux sociaux et tous visaient la Haute cour de justice et soutenaient la proposition du dirigeant. Des milliers de comptes ont ensuite embrayé pour venir appuyer cette lame de fond. Cela a intrigué des chercheurs de la fondation Mozilla qui ont décidé de se pencher sur ce dossier.

Selon ces derniers, il s’agit en fait d’une véritable campagne de désinformation. Ils sont ainsi rentrés en contact avec des personnes qui étaient payées entre 10 et 15 dollars par jour pour tweeter. Les internautes agissaient sans savoir d’où venait véritablement cet argent. Il faut dire que dans un pays où bon nombre d’habitants vivent avec un dollar par jour, cette rémunération était une aubaine.

Des réseaux sociaux pas assez armés pour lutter contre la désinformation ?

Outre cette masse de petits comptes, un certain nombre de profils vérifiés ont pris part à cette opération. Cela a permis de renforcer la viralité de ces contenus. Parmi les hashtags les plus partagés, la plupart ne faisaient pas mystère de leur aversion pour la justice : « Jugesanarchistes » ou « Justiceàvendre ».

Les experts pointent aussi du doigt le rôle involontaire de Twitter qui a diffusé de la publicité pour ces hashtags. Cité par Restoftheworld, Odanga Madung, un des auteurs explique ainsi : « Cela signifie que Twitter est capable de monétiser la désinformation ».

Le réseau social s’est quant à lui défendu en expliquant avoir supprimé ou pénalisé certains comptes pointés du doigt par Mozilla. Pour cela, la plateforme explique combiner la technologie et l’examen humain des messages. Pour autant, la fondation explique dans son rapport que certains restaient en activité au moment de la publication.

Selon les analystes, il s’agit d’un des nombreux cas de campagne de désinformation menée en ligne. Des personnes reçoivent de l’argent pour participer mais elles ignorent assez souvent qui est le commanditaire tant de nombreux intermédiaires entrent en jeu.

Les chercheurs estiment que les géants du web ne sont pas forcément armés pour y répondre car une grande partie de leurs outils sont automatisés et construits « à partir de notions occidentales de langue anglaise sur ce qu’est un mauvais contenu, comment il sonne et comment il est formulé ».

De plus, si leur attention est grande en période électorale, elle tend à se relâcher le reste du temps, alors que les tentatives de désinformation peuvent survenir à tout instant.

Si ce sujet vous intéresse, vous pouvez justement retrouver notre article dédié à une ferme de trolls. L’occasion de mieux comprendre le fonctionnement de ces lieux dédiés à la manipulation en ligne.

En début d’année, le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, a proposé une réforme constitutionnelle. Une décision de la Haute cour de justice est cependant venu contrarier ses plans et a invalidé la première version du texte. Il reste depuis en suspens en attendant que la Cour suprême du pays ne se prononce.

Dans la foulée de cette décision, des hashtags sont apparus sur les réseaux sociaux et tous visaient la Haute cour de justice et soutenaient la proposition du dirigeant. Des milliers de comptes ont ensuite embrayé pour venir appuyer cette lame de fond. Cela a intrigué des chercheurs de la fondation Mozilla qui ont décidé de se pencher sur ce dossier.

Selon ces derniers, il s’agit en fait d’une véritable campagne de désinformation. Ils sont ainsi rentrés en contact avec des personnes qui étaient payées entre 10 et 15 dollars par jour pour tweeter. Les internautes agissaient sans savoir d’où venait véritablement cet argent. Il faut dire que dans un pays où bon nombre d’habitants vivent avec un dollar par jour, cette rémunération était une aubaine.

Des réseaux sociaux pas assez armés pour lutter contre la désinformation ?

Outre cette masse de petits comptes, un certain nombre de profils vérifiés ont pris part à cette opération. Cela a permis de renforcer la viralité de ces contenus. Parmi les hashtags les plus partagés, la plupart ne faisaient pas mystère de leur aversion pour la justice : « Jugesanarchistes » ou « Justiceàvendre ».

Les experts pointent aussi du doigt le rôle involontaire de Twitter qui a diffusé de la publicité pour ces hashtags. Cité par Restoftheworld, Odanga Madung, un des auteurs explique ainsi : « Cela signifie que Twitter est capable de monétiser la désinformation ».

Le réseau social s’est quant à lui défendu en expliquant avoir supprimé ou pénalisé certains comptes pointés du doigt par Mozilla. Pour cela, la plateforme explique combiner la technologie et l’examen humain des messages. Pour autant, la fondation explique dans son rapport que certains restaient en activité au moment de la publication.

Selon les analystes, il s’agit d’un des nombreux cas de campagne de désinformation menée en ligne. Des personnes reçoivent de l’argent pour participer mais elles ignorent assez souvent qui est le commanditaire tant de nombreux intermédiaires entrent en jeu.

Les chercheurs estiment que les géants du web ne sont pas forcément armés pour y répondre car une grande partie de leurs outils sont automatisés et construits « à partir de notions occidentales de langue anglaise sur ce qu’est un mauvais contenu, comment il sonne et comment il est formulé ».

De plus, si leur attention est grande en période électorale, elle tend à se relâcher le reste du temps, alors que les tentatives de désinformation peuvent survenir à tout instant.

Si ce sujet vous intéresse, vous pouvez justement retrouver notre article dédié à une ferme de trolls. L’occasion de mieux comprendre le fonctionnement de ces lieux dédiés à la manipulation en ligne.

En début d’année, le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, a proposé une réforme constitutionnelle. Une décision de la Haute cour de justice est cependant venu contrarier ses plans et a invalidé la première version du texte. Il reste depuis en suspens en attendant que la Cour suprême du pays ne se prononce.

Dans la foulée de cette décision, des hashtags sont apparus sur les réseaux sociaux et tous visaient la Haute cour de justice et soutenaient la proposition du dirigeant. Des milliers de comptes ont ensuite embrayé pour venir appuyer cette lame de fond. Cela a intrigué des chercheurs de la fondation Mozilla qui ont décidé de se pencher sur ce dossier.

Selon ces derniers, il s’agit en fait d’une véritable campagne de désinformation. Ils sont ainsi rentrés en contact avec des personnes qui étaient payées entre 10 et 15 dollars par jour pour tweeter. Les internautes agissaient sans savoir d’où venait véritablement cet argent. Il faut dire que dans un pays où bon nombre d’habitants vivent avec un dollar par jour, cette rémunération était une aubaine.

Des réseaux sociaux pas assez armés pour lutter contre la désinformation ?

Outre cette masse de petits comptes, un certain nombre de profils vérifiés ont pris part à cette opération. Cela a permis de renforcer la viralité de ces contenus. Parmi les hashtags les plus partagés, la plupart ne faisaient pas mystère de leur aversion pour la justice : « Jugesanarchistes » ou « Justiceàvendre ».

Les experts pointent aussi du doigt le rôle involontaire de Twitter qui a diffusé de la publicité pour ces hashtags. Cité par Restoftheworld, Odanga Madung, un des auteurs explique ainsi : « Cela signifie que Twitter est capable de monétiser la désinformation ».

Le réseau social s’est quant à lui défendu en expliquant avoir supprimé ou pénalisé certains comptes pointés du doigt par Mozilla. Pour cela, la plateforme explique combiner la technologie et l’examen humain des messages. Pour autant, la fondation explique dans son rapport que certains restaient en activité au moment de la publication.

Selon les analystes, il s’agit d’un des nombreux cas de campagne de désinformation menée en ligne. Des personnes reçoivent de l’argent pour participer mais elles ignorent assez souvent qui est le commanditaire tant de nombreux intermédiaires entrent en jeu.

Les chercheurs estiment que les géants du web ne sont pas forcément armés pour y répondre car une grande partie de leurs outils sont automatisés et construits « à partir de notions occidentales de langue anglaise sur ce qu’est un mauvais contenu, comment il sonne et comment il est formulé ».

De plus, si leur attention est grande en période électorale, elle tend à se relâcher le reste du temps, alors que les tentatives de désinformation peuvent survenir à tout instant.

Si ce sujet vous intéresse, vous pouvez justement retrouver notre article dédié à une ferme de trolls. L’occasion de mieux comprendre le fonctionnement de ces lieux dédiés à la manipulation en ligne.

En début d’année, le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, a proposé une réforme constitutionnelle. Une décision de la Haute cour de justice est cependant venu contrarier ses plans et a invalidé la première version du texte. Il reste depuis en suspens en attendant que la Cour suprême du pays ne se prononce.

Dans la foulée de cette décision, des hashtags sont apparus sur les réseaux sociaux et tous visaient la Haute cour de justice et soutenaient la proposition du dirigeant. Des milliers de comptes ont ensuite embrayé pour venir appuyer cette lame de fond. Cela a intrigué des chercheurs de la fondation Mozilla qui ont décidé de se pencher sur ce dossier.

Selon ces derniers, il s’agit en fait d’une véritable campagne de désinformation. Ils sont ainsi rentrés en contact avec des personnes qui étaient payées entre 10 et 15 dollars par jour pour tweeter. Les internautes agissaient sans savoir d’où venait véritablement cet argent. Il faut dire que dans un pays où bon nombre d’habitants vivent avec un dollar par jour, cette rémunération était une aubaine.

Des réseaux sociaux pas assez armés pour lutter contre la désinformation ?

Outre cette masse de petits comptes, un certain nombre de profils vérifiés ont pris part à cette opération. Cela a permis de renforcer la viralité de ces contenus. Parmi les hashtags les plus partagés, la plupart ne faisaient pas mystère de leur aversion pour la justice : « Jugesanarchistes » ou « Justiceàvendre ».

Les experts pointent aussi du doigt le rôle involontaire de Twitter qui a diffusé de la publicité pour ces hashtags. Cité par Restoftheworld, Odanga Madung, un des auteurs explique ainsi : « Cela signifie que Twitter est capable de monétiser la désinformation ».

Le réseau social s’est quant à lui défendu en expliquant avoir supprimé ou pénalisé certains comptes pointés du doigt par Mozilla. Pour cela, la plateforme explique combiner la technologie et l’examen humain des messages. Pour autant, la fondation explique dans son rapport que certains restaient en activité au moment de la publication.

Selon les analystes, il s’agit d’un des nombreux cas de campagne de désinformation menée en ligne. Des personnes reçoivent de l’argent pour participer mais elles ignorent assez souvent qui est le commanditaire tant de nombreux intermédiaires entrent en jeu.

Les chercheurs estiment que les géants du web ne sont pas forcément armés pour y répondre car une grande partie de leurs outils sont automatisés et construits « à partir de notions occidentales de langue anglaise sur ce qu’est un mauvais contenu, comment il sonne et comment il est formulé ».

De plus, si leur attention est grande en période électorale, elle tend à se relâcher le reste du temps, alors que les tentatives de désinformation peuvent survenir à tout instant.

Si ce sujet vous intéresse, vous pouvez justement retrouver notre article dédié à une ferme de trolls. L’occasion de mieux comprendre le fonctionnement de ces lieux dédiés à la manipulation en ligne.

En début d’année, le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, a proposé une réforme constitutionnelle. Une décision de la Haute cour de justice est cependant venu contrarier ses plans et a invalidé la première version du texte. Il reste depuis en suspens en attendant que la Cour suprême du pays ne se prononce.

Dans la foulée de cette décision, des hashtags sont apparus sur les réseaux sociaux et tous visaient la Haute cour de justice et soutenaient la proposition du dirigeant. Des milliers de comptes ont ensuite embrayé pour venir appuyer cette lame de fond. Cela a intrigué des chercheurs de la fondation Mozilla qui ont décidé de se pencher sur ce dossier.

Selon ces derniers, il s’agit en fait d’une véritable campagne de désinformation. Ils sont ainsi rentrés en contact avec des personnes qui étaient payées entre 10 et 15 dollars par jour pour tweeter. Les internautes agissaient sans savoir d’où venait véritablement cet argent. Il faut dire que dans un pays où bon nombre d’habitants vivent avec un dollar par jour, cette rémunération était une aubaine.

Des réseaux sociaux pas assez armés pour lutter contre la désinformation ?

Outre cette masse de petits comptes, un certain nombre de profils vérifiés ont pris part à cette opération. Cela a permis de renforcer la viralité de ces contenus. Parmi les hashtags les plus partagés, la plupart ne faisaient pas mystère de leur aversion pour la justice : « Jugesanarchistes » ou « Justiceàvendre ».

Les experts pointent aussi du doigt le rôle involontaire de Twitter qui a diffusé de la publicité pour ces hashtags. Cité par Restoftheworld, Odanga Madung, un des auteurs explique ainsi : « Cela signifie que Twitter est capable de monétiser la désinformation ».

Le réseau social s’est quant à lui défendu en expliquant avoir supprimé ou pénalisé certains comptes pointés du doigt par Mozilla. Pour cela, la plateforme explique combiner la technologie et l’examen humain des messages. Pour autant, la fondation explique dans son rapport que certains restaient en activité au moment de la publication.

Selon les analystes, il s’agit d’un des nombreux cas de campagne de désinformation menée en ligne. Des personnes reçoivent de l’argent pour participer mais elles ignorent assez souvent qui est le commanditaire tant de nombreux intermédiaires entrent en jeu.

Les chercheurs estiment que les géants du web ne sont pas forcément armés pour y répondre car une grande partie de leurs outils sont automatisés et construits « à partir de notions occidentales de langue anglaise sur ce qu’est un mauvais contenu, comment il sonne et comment il est formulé ».

De plus, si leur attention est grande en période électorale, elle tend à se relâcher le reste du temps, alors que les tentatives de désinformation peuvent survenir à tout instant.

Si ce sujet vous intéresse, vous pouvez justement retrouver notre article dédié à une ferme de trolls. L’occasion de mieux comprendre le fonctionnement de ces lieux dédiés à la manipulation en ligne.

En début d’année, le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, a proposé une réforme constitutionnelle. Une décision de la Haute cour de justice est cependant venu contrarier ses plans et a invalidé la première version du texte. Il reste depuis en suspens en attendant que la Cour suprême du pays ne se prononce.

Dans la foulée de cette décision, des hashtags sont apparus sur les réseaux sociaux et tous visaient la Haute cour de justice et soutenaient la proposition du dirigeant. Des milliers de comptes ont ensuite embrayé pour venir appuyer cette lame de fond. Cela a intrigué des chercheurs de la fondation Mozilla qui ont décidé de se pencher sur ce dossier.

Selon ces derniers, il s’agit en fait d’une véritable campagne de désinformation. Ils sont ainsi rentrés en contact avec des personnes qui étaient payées entre 10 et 15 dollars par jour pour tweeter. Les internautes agissaient sans savoir d’où venait véritablement cet argent. Il faut dire que dans un pays où bon nombre d’habitants vivent avec un dollar par jour, cette rémunération était une aubaine.

Des réseaux sociaux pas assez armés pour lutter contre la désinformation ?

Outre cette masse de petits comptes, un certain nombre de profils vérifiés ont pris part à cette opération. Cela a permis de renforcer la viralité de ces contenus. Parmi les hashtags les plus partagés, la plupart ne faisaient pas mystère de leur aversion pour la justice : « Jugesanarchistes » ou « Justiceàvendre ».

Les experts pointent aussi du doigt le rôle involontaire de Twitter qui a diffusé de la publicité pour ces hashtags. Cité par Restoftheworld, Odanga Madung, un des auteurs explique ainsi : « Cela signifie que Twitter est capable de monétiser la désinformation ».

Le réseau social s’est quant à lui défendu en expliquant avoir supprimé ou pénalisé certains comptes pointés du doigt par Mozilla. Pour cela, la plateforme explique combiner la technologie et l’examen humain des messages. Pour autant, la fondation explique dans son rapport que certains restaient en activité au moment de la publication.

Selon les analystes, il s’agit d’un des nombreux cas de campagne de désinformation menée en ligne. Des personnes reçoivent de l’argent pour participer mais elles ignorent assez souvent qui est le commanditaire tant de nombreux intermédiaires entrent en jeu.

Les chercheurs estiment que les géants du web ne sont pas forcément armés pour y répondre car une grande partie de leurs outils sont automatisés et construits « à partir de notions occidentales de langue anglaise sur ce qu’est un mauvais contenu, comment il sonne et comment il est formulé ».

De plus, si leur attention est grande en période électorale, elle tend à se relâcher le reste du temps, alors que les tentatives de désinformation peuvent survenir à tout instant.

Si ce sujet vous intéresse, vous pouvez justement retrouver notre article dédié à une ferme de trolls. L’occasion de mieux comprendre le fonctionnement de ces lieux dédiés à la manipulation en ligne.

En début d’année, le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, a proposé une réforme constitutionnelle. Une décision de la Haute cour de justice est cependant venu contrarier ses plans et a invalidé la première version du texte. Il reste depuis en suspens en attendant que la Cour suprême du pays ne se prononce.

Dans la foulée de cette décision, des hashtags sont apparus sur les réseaux sociaux et tous visaient la Haute cour de justice et soutenaient la proposition du dirigeant. Des milliers de comptes ont ensuite embrayé pour venir appuyer cette lame de fond. Cela a intrigué des chercheurs de la fondation Mozilla qui ont décidé de se pencher sur ce dossier.

Selon ces derniers, il s’agit en fait d’une véritable campagne de désinformation. Ils sont ainsi rentrés en contact avec des personnes qui étaient payées entre 10 et 15 dollars par jour pour tweeter. Les internautes agissaient sans savoir d’où venait véritablement cet argent. Il faut dire que dans un pays où bon nombre d’habitants vivent avec un dollar par jour, cette rémunération était une aubaine.

Des réseaux sociaux pas assez armés pour lutter contre la désinformation ?

Outre cette masse de petits comptes, un certain nombre de profils vérifiés ont pris part à cette opération. Cela a permis de renforcer la viralité de ces contenus. Parmi les hashtags les plus partagés, la plupart ne faisaient pas mystère de leur aversion pour la justice : « Jugesanarchistes » ou « Justiceàvendre ».

Les experts pointent aussi du doigt le rôle involontaire de Twitter qui a diffusé de la publicité pour ces hashtags. Cité par Restoftheworld, Odanga Madung, un des auteurs explique ainsi : « Cela signifie que Twitter est capable de monétiser la désinformation ».

Le réseau social s’est quant à lui défendu en expliquant avoir supprimé ou pénalisé certains comptes pointés du doigt par Mozilla. Pour cela, la plateforme explique combiner la technologie et l’examen humain des messages. Pour autant, la fondation explique dans son rapport que certains restaient en activité au moment de la publication.

Selon les analystes, il s’agit d’un des nombreux cas de campagne de désinformation menée en ligne. Des personnes reçoivent de l’argent pour participer mais elles ignorent assez souvent qui est le commanditaire tant de nombreux intermédiaires entrent en jeu.

Les chercheurs estiment que les géants du web ne sont pas forcément armés pour y répondre car une grande partie de leurs outils sont automatisés et construits « à partir de notions occidentales de langue anglaise sur ce qu’est un mauvais contenu, comment il sonne et comment il est formulé ».

De plus, si leur attention est grande en période électorale, elle tend à se relâcher le reste du temps, alors que les tentatives de désinformation peuvent survenir à tout instant.

Si ce sujet vous intéresse, vous pouvez justement retrouver notre article dédié à une ferme de trolls. L’occasion de mieux comprendre le fonctionnement de ces lieux dédiés à la manipulation en ligne.

En début d’année, le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, a proposé une réforme constitutionnelle. Une décision de la Haute cour de justice est cependant venu contrarier ses plans et a invalidé la première version du texte. Il reste depuis en suspens en attendant que la Cour suprême du pays ne se prononce.

Dans la foulée de cette décision, des hashtags sont apparus sur les réseaux sociaux et tous visaient la Haute cour de justice et soutenaient la proposition du dirigeant. Des milliers de comptes ont ensuite embrayé pour venir appuyer cette lame de fond. Cela a intrigué des chercheurs de la fondation Mozilla qui ont décidé de se pencher sur ce dossier.

Selon ces derniers, il s’agit en fait d’une véritable campagne de désinformation. Ils sont ainsi rentrés en contact avec des personnes qui étaient payées entre 10 et 15 dollars par jour pour tweeter. Les internautes agissaient sans savoir d’où venait véritablement cet argent. Il faut dire que dans un pays où bon nombre d’habitants vivent avec un dollar par jour, cette rémunération était une aubaine.

Des réseaux sociaux pas assez armés pour lutter contre la désinformation ?

Outre cette masse de petits comptes, un certain nombre de profils vérifiés ont pris part à cette opération. Cela a permis de renforcer la viralité de ces contenus. Parmi les hashtags les plus partagés, la plupart ne faisaient pas mystère de leur aversion pour la justice : « Jugesanarchistes » ou « Justiceàvendre ».

Les experts pointent aussi du doigt le rôle involontaire de Twitter qui a diffusé de la publicité pour ces hashtags. Cité par Restoftheworld, Odanga Madung, un des auteurs explique ainsi : « Cela signifie que Twitter est capable de monétiser la désinformation ».

Le réseau social s’est quant à lui défendu en expliquant avoir supprimé ou pénalisé certains comptes pointés du doigt par Mozilla. Pour cela, la plateforme explique combiner la technologie et l’examen humain des messages. Pour autant, la fondation explique dans son rapport que certains restaient en activité au moment de la publication.

Selon les analystes, il s’agit d’un des nombreux cas de campagne de désinformation menée en ligne. Des personnes reçoivent de l’argent pour participer mais elles ignorent assez souvent qui est le commanditaire tant de nombreux intermédiaires entrent en jeu.

Les chercheurs estiment que les géants du web ne sont pas forcément armés pour y répondre car une grande partie de leurs outils sont automatisés et construits « à partir de notions occidentales de langue anglaise sur ce qu’est un mauvais contenu, comment il sonne et comment il est formulé ».

De plus, si leur attention est grande en période électorale, elle tend à se relâcher le reste du temps, alors que les tentatives de désinformation peuvent survenir à tout instant.

Si ce sujet vous intéresse, vous pouvez justement retrouver notre article dédié à une ferme de trolls. L’occasion de mieux comprendre le fonctionnement de ces lieux dédiés à la manipulation en ligne.

En début d’année, le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, a proposé une réforme constitutionnelle. Une décision de la Haute cour de justice est cependant venu contrarier ses plans et a invalidé la première version du texte. Il reste depuis en suspens en attendant que la Cour suprême du pays ne se prononce.

Dans la foulée de cette décision, des hashtags sont apparus sur les réseaux sociaux et tous visaient la Haute cour de justice et soutenaient la proposition du dirigeant. Des milliers de comptes ont ensuite embrayé pour venir appuyer cette lame de fond. Cela a intrigué des chercheurs de la fondation Mozilla qui ont décidé de se pencher sur ce dossier.

Selon ces derniers, il s’agit en fait d’une véritable campagne de désinformation. Ils sont ainsi rentrés en contact avec des personnes qui étaient payées entre 10 et 15 dollars par jour pour tweeter. Les internautes agissaient sans savoir d’où venait véritablement cet argent. Il faut dire que dans un pays où bon nombre d’habitants vivent avec un dollar par jour, cette rémunération était une aubaine.

Des réseaux sociaux pas assez armés pour lutter contre la désinformation ?

Outre cette masse de petits comptes, un certain nombre de profils vérifiés ont pris part à cette opération. Cela a permis de renforcer la viralité de ces contenus. Parmi les hashtags les plus partagés, la plupart ne faisaient pas mystère de leur aversion pour la justice : « Jugesanarchistes » ou « Justiceàvendre ».

Les experts pointent aussi du doigt le rôle involontaire de Twitter qui a diffusé de la publicité pour ces hashtags. Cité par Restoftheworld, Odanga Madung, un des auteurs explique ainsi : « Cela signifie que Twitter est capable de monétiser la désinformation ».

Le réseau social s’est quant à lui défendu en expliquant avoir supprimé ou pénalisé certains comptes pointés du doigt par Mozilla. Pour cela, la plateforme explique combiner la technologie et l’examen humain des messages. Pour autant, la fondation explique dans son rapport que certains restaient en activité au moment de la publication.

Selon les analystes, il s’agit d’un des nombreux cas de campagne de désinformation menée en ligne. Des personnes reçoivent de l’argent pour participer mais elles ignorent assez souvent qui est le commanditaire tant de nombreux intermédiaires entrent en jeu.

Les chercheurs estiment que les géants du web ne sont pas forcément armés pour y répondre car une grande partie de leurs outils sont automatisés et construits « à partir de notions occidentales de langue anglaise sur ce qu’est un mauvais contenu, comment il sonne et comment il est formulé ».

De plus, si leur attention est grande en période électorale, elle tend à se relâcher le reste du temps, alors que les tentatives de désinformation peuvent survenir à tout instant.

Si ce sujet vous intéresse, vous pouvez justement retrouver notre article dédié à une ferme de trolls. L’occasion de mieux comprendre le fonctionnement de ces lieux dédiés à la manipulation en ligne.

Rédacteur Digital RoundUp

Rédacteur Digital RoundUp

Post suivant
Biometrie

La biométrie va-t-elle bientôt remplacer nos mots de passe ?

Recommended.

Galaxy S22 : la boutique Samsung dégaine une offre archi FOLLE 🔥

Galaxy S22 : la boutique Samsung dégaine une offre archi FOLLE 🔥

12/03/2022
1.5k

Des problèmes avec Messenger ce vendredi ? L’application connaîtrait une panne conséquente

10/12/2021
1.5k

Trending.

Les entraînements de sport débarquent sur Netflix, comment s’y mettre ?

Les entraînements de sport débarquent sur Netflix, comment s’y mettre ?

22/12/2022
1.5k
Google dépose un nouveau recours contre une amende de plus de 4 milliards d’euros infligée par l’UE

Google dépose un nouveau recours contre une amende de plus de 4 milliards d’euros infligée par l’UE

01/12/2022
1.5k

La fusée qui bloquait le secteur aérien s’est bien écrasée sur Terre

10/11/2022
1.5k
Si vous avez ce bug sur iPhone 14, ne paniquez pas !

Si vous avez ce bug sur iPhone 14, ne paniquez pas !

23/12/2022
1.5k
Waze va inclure les bornes de recharge sur ses cartes

Waze va inclure les bornes de recharge sur ses cartes

26/07/2022
1.5k
Digital RoundUp

Nous vous proposons les dernières infos Tech dans le monde. Abonnez-vous à notre Newletter pour ne rien manquer.

Suivez-nous

Catégories

  • Auto-moto
  • Autres
  • Cryptomonnaies
  • Digital
  • High Tech
  • Intelligence Artificielle
  • Internet
  • Jeux vidéo
  • Logiciel
  • Macbook
  • Musique
  • Ordinateurs
  • PC Windows
  • Sécurité
  • Smartphones, Tablettes, Mobile
  • Social Media
  • Sport

Derniers Articles

Voici comment ChatGPT va tuer les mots-clés

Voici comment ChatGPT va tuer les mots-clés

06/02/2023
Ces avions ont évité un horrible crash au décollage (à 20 m près !)

Ces avions ont évité un horrible crash au décollage (à 20 m près !)

06/02/2023
  • A Propos
  • Politique de confidentialité
  • Contact

© 2021 Digital Round Up - Actualités et revues high-tech | Tous Droits Réservés | Site propulsé par Kipalangutu.

Pas de résultats
View All Result
  • Accueil
  • Les infos
    • Digital
    • Internet
      • Social Media
      • Sécurité
    • Auto-moto
    • Jeux vidéo
    • Smartphones, Tablettes, Mobile
    • Ordinateurs
    • Cryptomonnaies
  • Contact

© 2021 Digital Round Up - Actualités et revues high-tech | Tous Droits Réservés | Site propulsé par Kipalangutu.

We use cookies on our website to give you the most relevant experience by remembering your preferences and repeat visits. By clicking “Accept”, you consent to the use of ALL the cookies.
Do not sell my personal information.
Cookie SettingsAccept
Manage consent

Privacy Overview

This website uses cookies to improve your experience while you navigate through the website. Out of these, the cookies that are categorized as necessary are stored on your browser as they are essential for the working of basic functionalities of the website. We also use third-party cookies that help us analyze and understand how you use this website. These cookies will be stored in your browser only with your consent. You also have the option to opt-out of these cookies. But opting out of some of these cookies may affect your browsing experience.
Necessary
Toujours activé
Necessary cookies are absolutely essential for the website to function properly. These cookies ensure basic functionalities and security features of the website, anonymously.
CookieDuréeDescription
cookielawinfo-checkbox-analytics11 monthsThis cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookie is used to store the user consent for the cookies in the category "Analytics".
cookielawinfo-checkbox-functional11 monthsThe cookie is set by GDPR cookie consent to record the user consent for the cookies in the category "Functional".
cookielawinfo-checkbox-necessary11 monthsThis cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookies is used to store the user consent for the cookies in the category "Necessary".
cookielawinfo-checkbox-others11 monthsThis cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookie is used to store the user consent for the cookies in the category "Other.
cookielawinfo-checkbox-performance11 monthsThis cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookie is used to store the user consent for the cookies in the category "Performance".
viewed_cookie_policy11 monthsThe cookie is set by the GDPR Cookie Consent plugin and is used to store whether or not user has consented to the use of cookies. It does not store any personal data.
Functional
Functional cookies help to perform certain functionalities like sharing the content of the website on social media platforms, collect feedbacks, and other third-party features.
Performance
Performance cookies are used to understand and analyze the key performance indexes of the website which helps in delivering a better user experience for the visitors.
Analytics
Analytical cookies are used to understand how visitors interact with the website. These cookies help provide information on metrics the number of visitors, bounce rate, traffic source, etc.
Advertisement
Advertisement cookies are used to provide visitors with relevant ads and marketing campaigns. These cookies track visitors across websites and collect information to provide customized ads.
Others
Other uncategorized cookies are those that are being analyzed and have not been classified into a category as yet.
Enregistrer & appliquer