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Home » Sur Twitter, les publications d’indignation génèrent davantage d’engagement

Sur Twitter, les publications d’indignation génèrent davantage d’engagement

Rédacteur Digital RoundUp Par Rédacteur Digital RoundUp
14/10/2021
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Au terme d’une étude passionnante, des chercheurs de l’Université de Yale sont arrivés à une conclusion qui ne surprendra pas les habitués de Twitter et des réseaux sociaux en général. Ces derniers ont selon eux tendance à amplifier les publications d’indignation. Ainsi, les utilisateurs prennent peu à peu conscience que ces dernières génèrent plus d’engagement et modifient la teneur de leurs prochains messages vers des positions plus radicales.

Cela signifie que la nature des conversations politiques en ligne s’en trouve affectée. Dans le détail, les scientifiques ont utilisé un algorithme d’apprentissage automatique capable de déceler les messages d’indignation dans une publication. Leurs recherches ont ensuite porté sur un panel de 12,7 millions de tweets publiés par 7331 utilisateurs. L’idée était de savoir si les utilisateurs s’indignaient d’avantage au fil du temps.

Une radicalisation des personnes modérées ?

La réponse est oui et cela serait lié aux incitations reçues par les internautes. Alors que le nombre de likes et de retweets sur les publications enflammées est plus important, ces derniers ont tendance à s’engager d’avantage lorsqu’ils rédigent un nouveau message. Cette hypothèse a ensuite été validée dans le cadre d’expériences comportementales où les utilisateurs étaient scrutés de près.

Autre enseignement intéressant de cette étude : les personnes plutôt modérées politiquement peuvent parfois se radicaliser au fil du temps, attirés par les systèmes de récompenses mis en place et la valorisation plus importante de leurs messages.

Bien sûr, les auteurs ne rejettent pas les publications d’indignation en tant que telles et soulignent qu’elles ont parfois été le moteur de changements sociétaux importants. Ils veulent toutefois informer les dirigeants qui s’apprêtent à réguler les réseaux sociaux.

Molly Crockett, une des auteures, explique ainsi :

L’amplification de l’indignation morale est une conséquence évidente du modèle économique des réseaux sociaux, qui optimise l’engagement des utilisateurs. Étant donné que l’indignation morale joue un rôle crucial dans le changement social et politique, nous devons être conscients que les entreprises technologiques, par la conception de leurs plateformes, ont la capacité d’influencer le succès ou l’échec des mouvements collectifs. Nos données montrent que les plateformes ne reflètent pas simplement ce qui se passe dans la société. Elles créent des incitations qui modifient la façon dont les utilisateurs réagissent aux événements politiques au fil du temps.

Ces résultats viennent confirmer des recherches antérieures qui montraient que sur Twitter, attaquer ses adversaires politiques se révélait payant en termes d’engagement.

Twitter

4 / 5

19,0 M avis

Au terme d’une étude passionnante, des chercheurs de l’Université de Yale sont arrivés à une conclusion qui ne surprendra pas les habitués de Twitter et des réseaux sociaux en général. Ces derniers ont selon eux tendance à amplifier les publications d’indignation. Ainsi, les utilisateurs prennent peu à peu conscience que ces dernières génèrent plus d’engagement et modifient la teneur de leurs prochains messages vers des positions plus radicales.

Cela signifie que la nature des conversations politiques en ligne s’en trouve affectée. Dans le détail, les scientifiques ont utilisé un algorithme d’apprentissage automatique capable de déceler les messages d’indignation dans une publication. Leurs recherches ont ensuite porté sur un panel de 12,7 millions de tweets publiés par 7331 utilisateurs. L’idée était de savoir si les utilisateurs s’indignaient d’avantage au fil du temps.

Une radicalisation des personnes modérées ?

La réponse est oui et cela serait lié aux incitations reçues par les internautes. Alors que le nombre de likes et de retweets sur les publications enflammées est plus important, ces derniers ont tendance à s’engager d’avantage lorsqu’ils rédigent un nouveau message. Cette hypothèse a ensuite été validée dans le cadre d’expériences comportementales où les utilisateurs étaient scrutés de près.

Autre enseignement intéressant de cette étude : les personnes plutôt modérées politiquement peuvent parfois se radicaliser au fil du temps, attirés par les systèmes de récompenses mis en place et la valorisation plus importante de leurs messages.

Bien sûr, les auteurs ne rejettent pas les publications d’indignation en tant que telles et soulignent qu’elles ont parfois été le moteur de changements sociétaux importants. Ils veulent toutefois informer les dirigeants qui s’apprêtent à réguler les réseaux sociaux.

Molly Crockett, une des auteures, explique ainsi :

L’amplification de l’indignation morale est une conséquence évidente du modèle économique des réseaux sociaux, qui optimise l’engagement des utilisateurs. Étant donné que l’indignation morale joue un rôle crucial dans le changement social et politique, nous devons être conscients que les entreprises technologiques, par la conception de leurs plateformes, ont la capacité d’influencer le succès ou l’échec des mouvements collectifs. Nos données montrent que les plateformes ne reflètent pas simplement ce qui se passe dans la société. Elles créent des incitations qui modifient la façon dont les utilisateurs réagissent aux événements politiques au fil du temps.

Ces résultats viennent confirmer des recherches antérieures qui montraient que sur Twitter, attaquer ses adversaires politiques se révélait payant en termes d’engagement.

Twitter

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Au terme d’une étude passionnante, des chercheurs de l’Université de Yale sont arrivés à une conclusion qui ne surprendra pas les habitués de Twitter et des réseaux sociaux en général. Ces derniers ont selon eux tendance à amplifier les publications d’indignation. Ainsi, les utilisateurs prennent peu à peu conscience que ces dernières génèrent plus d’engagement et modifient la teneur de leurs prochains messages vers des positions plus radicales.

Cela signifie que la nature des conversations politiques en ligne s’en trouve affectée. Dans le détail, les scientifiques ont utilisé un algorithme d’apprentissage automatique capable de déceler les messages d’indignation dans une publication. Leurs recherches ont ensuite porté sur un panel de 12,7 millions de tweets publiés par 7331 utilisateurs. L’idée était de savoir si les utilisateurs s’indignaient d’avantage au fil du temps.

Une radicalisation des personnes modérées ?

La réponse est oui et cela serait lié aux incitations reçues par les internautes. Alors que le nombre de likes et de retweets sur les publications enflammées est plus important, ces derniers ont tendance à s’engager d’avantage lorsqu’ils rédigent un nouveau message. Cette hypothèse a ensuite été validée dans le cadre d’expériences comportementales où les utilisateurs étaient scrutés de près.

Autre enseignement intéressant de cette étude : les personnes plutôt modérées politiquement peuvent parfois se radicaliser au fil du temps, attirés par les systèmes de récompenses mis en place et la valorisation plus importante de leurs messages.

Bien sûr, les auteurs ne rejettent pas les publications d’indignation en tant que telles et soulignent qu’elles ont parfois été le moteur de changements sociétaux importants. Ils veulent toutefois informer les dirigeants qui s’apprêtent à réguler les réseaux sociaux.

Molly Crockett, une des auteures, explique ainsi :

L’amplification de l’indignation morale est une conséquence évidente du modèle économique des réseaux sociaux, qui optimise l’engagement des utilisateurs. Étant donné que l’indignation morale joue un rôle crucial dans le changement social et politique, nous devons être conscients que les entreprises technologiques, par la conception de leurs plateformes, ont la capacité d’influencer le succès ou l’échec des mouvements collectifs. Nos données montrent que les plateformes ne reflètent pas simplement ce qui se passe dans la société. Elles créent des incitations qui modifient la façon dont les utilisateurs réagissent aux événements politiques au fil du temps.

Ces résultats viennent confirmer des recherches antérieures qui montraient que sur Twitter, attaquer ses adversaires politiques se révélait payant en termes d’engagement.

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Cela signifie que la nature des conversations politiques en ligne s’en trouve affectée. Dans le détail, les scientifiques ont utilisé un algorithme d’apprentissage automatique capable de déceler les messages d’indignation dans une publication. Leurs recherches ont ensuite porté sur un panel de 12,7 millions de tweets publiés par 7331 utilisateurs. L’idée était de savoir si les utilisateurs s’indignaient d’avantage au fil du temps.

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Bien sûr, les auteurs ne rejettent pas les publications d’indignation en tant que telles et soulignent qu’elles ont parfois été le moteur de changements sociétaux importants. Ils veulent toutefois informer les dirigeants qui s’apprêtent à réguler les réseaux sociaux.

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Cela signifie que la nature des conversations politiques en ligne s’en trouve affectée. Dans le détail, les scientifiques ont utilisé un algorithme d’apprentissage automatique capable de déceler les messages d’indignation dans une publication. Leurs recherches ont ensuite porté sur un panel de 12,7 millions de tweets publiés par 7331 utilisateurs. L’idée était de savoir si les utilisateurs s’indignaient d’avantage au fil du temps.

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La réponse est oui et cela serait lié aux incitations reçues par les internautes. Alors que le nombre de likes et de retweets sur les publications enflammées est plus important, ces derniers ont tendance à s’engager d’avantage lorsqu’ils rédigent un nouveau message. Cette hypothèse a ensuite été validée dans le cadre d’expériences comportementales où les utilisateurs étaient scrutés de près.

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Bien sûr, les auteurs ne rejettent pas les publications d’indignation en tant que telles et soulignent qu’elles ont parfois été le moteur de changements sociétaux importants. Ils veulent toutefois informer les dirigeants qui s’apprêtent à réguler les réseaux sociaux.

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L’amplification de l’indignation morale est une conséquence évidente du modèle économique des réseaux sociaux, qui optimise l’engagement des utilisateurs. Étant donné que l’indignation morale joue un rôle crucial dans le changement social et politique, nous devons être conscients que les entreprises technologiques, par la conception de leurs plateformes, ont la capacité d’influencer le succès ou l’échec des mouvements collectifs. Nos données montrent que les plateformes ne reflètent pas simplement ce qui se passe dans la société. Elles créent des incitations qui modifient la façon dont les utilisateurs réagissent aux événements politiques au fil du temps.

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Cela signifie que la nature des conversations politiques en ligne s’en trouve affectée. Dans le détail, les scientifiques ont utilisé un algorithme d’apprentissage automatique capable de déceler les messages d’indignation dans une publication. Leurs recherches ont ensuite porté sur un panel de 12,7 millions de tweets publiés par 7331 utilisateurs. L’idée était de savoir si les utilisateurs s’indignaient d’avantage au fil du temps.

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La réponse est oui et cela serait lié aux incitations reçues par les internautes. Alors que le nombre de likes et de retweets sur les publications enflammées est plus important, ces derniers ont tendance à s’engager d’avantage lorsqu’ils rédigent un nouveau message. Cette hypothèse a ensuite été validée dans le cadre d’expériences comportementales où les utilisateurs étaient scrutés de près.

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Bien sûr, les auteurs ne rejettent pas les publications d’indignation en tant que telles et soulignent qu’elles ont parfois été le moteur de changements sociétaux importants. Ils veulent toutefois informer les dirigeants qui s’apprêtent à réguler les réseaux sociaux.

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Cela signifie que la nature des conversations politiques en ligne s’en trouve affectée. Dans le détail, les scientifiques ont utilisé un algorithme d’apprentissage automatique capable de déceler les messages d’indignation dans une publication. Leurs recherches ont ensuite porté sur un panel de 12,7 millions de tweets publiés par 7331 utilisateurs. L’idée était de savoir si les utilisateurs s’indignaient d’avantage au fil du temps.

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L’amplification de l’indignation morale est une conséquence évidente du modèle économique des réseaux sociaux, qui optimise l’engagement des utilisateurs. Étant donné que l’indignation morale joue un rôle crucial dans le changement social et politique, nous devons être conscients que les entreprises technologiques, par la conception de leurs plateformes, ont la capacité d’influencer le succès ou l’échec des mouvements collectifs. Nos données montrent que les plateformes ne reflètent pas simplement ce qui se passe dans la société. Elles créent des incitations qui modifient la façon dont les utilisateurs réagissent aux événements politiques au fil du temps.

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Cela signifie que la nature des conversations politiques en ligne s’en trouve affectée. Dans le détail, les scientifiques ont utilisé un algorithme d’apprentissage automatique capable de déceler les messages d’indignation dans une publication. Leurs recherches ont ensuite porté sur un panel de 12,7 millions de tweets publiés par 7331 utilisateurs. L’idée était de savoir si les utilisateurs s’indignaient d’avantage au fil du temps.

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La réponse est oui et cela serait lié aux incitations reçues par les internautes. Alors que le nombre de likes et de retweets sur les publications enflammées est plus important, ces derniers ont tendance à s’engager d’avantage lorsqu’ils rédigent un nouveau message. Cette hypothèse a ensuite été validée dans le cadre d’expériences comportementales où les utilisateurs étaient scrutés de près.

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Bien sûr, les auteurs ne rejettent pas les publications d’indignation en tant que telles et soulignent qu’elles ont parfois été le moteur de changements sociétaux importants. Ils veulent toutefois informer les dirigeants qui s’apprêtent à réguler les réseaux sociaux.

Molly Crockett, une des auteures, explique ainsi :

L’amplification de l’indignation morale est une conséquence évidente du modèle économique des réseaux sociaux, qui optimise l’engagement des utilisateurs. Étant donné que l’indignation morale joue un rôle crucial dans le changement social et politique, nous devons être conscients que les entreprises technologiques, par la conception de leurs plateformes, ont la capacité d’influencer le succès ou l’échec des mouvements collectifs. Nos données montrent que les plateformes ne reflètent pas simplement ce qui se passe dans la société. Elles créent des incitations qui modifient la façon dont les utilisateurs réagissent aux événements politiques au fil du temps.

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Cela signifie que la nature des conversations politiques en ligne s’en trouve affectée. Dans le détail, les scientifiques ont utilisé un algorithme d’apprentissage automatique capable de déceler les messages d’indignation dans une publication. Leurs recherches ont ensuite porté sur un panel de 12,7 millions de tweets publiés par 7331 utilisateurs. L’idée était de savoir si les utilisateurs s’indignaient d’avantage au fil du temps.

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La réponse est oui et cela serait lié aux incitations reçues par les internautes. Alors que le nombre de likes et de retweets sur les publications enflammées est plus important, ces derniers ont tendance à s’engager d’avantage lorsqu’ils rédigent un nouveau message. Cette hypothèse a ensuite été validée dans le cadre d’expériences comportementales où les utilisateurs étaient scrutés de près.

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Cela signifie que la nature des conversations politiques en ligne s’en trouve affectée. Dans le détail, les scientifiques ont utilisé un algorithme d’apprentissage automatique capable de déceler les messages d’indignation dans une publication. Leurs recherches ont ensuite porté sur un panel de 12,7 millions de tweets publiés par 7331 utilisateurs. L’idée était de savoir si les utilisateurs s’indignaient d’avantage au fil du temps.

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Au terme d’une étude passionnante, des chercheurs de l’Université de Yale sont arrivés à une conclusion qui ne surprendra pas les habitués de Twitter et des réseaux sociaux en général. Ces derniers ont selon eux tendance à amplifier les publications d’indignation. Ainsi, les utilisateurs prennent peu à peu conscience que ces dernières génèrent plus d’engagement et modifient la teneur de leurs prochains messages vers des positions plus radicales.

Cela signifie que la nature des conversations politiques en ligne s’en trouve affectée. Dans le détail, les scientifiques ont utilisé un algorithme d’apprentissage automatique capable de déceler les messages d’indignation dans une publication. Leurs recherches ont ensuite porté sur un panel de 12,7 millions de tweets publiés par 7331 utilisateurs. L’idée était de savoir si les utilisateurs s’indignaient d’avantage au fil du temps.

Une radicalisation des personnes modérées ?

La réponse est oui et cela serait lié aux incitations reçues par les internautes. Alors que le nombre de likes et de retweets sur les publications enflammées est plus important, ces derniers ont tendance à s’engager d’avantage lorsqu’ils rédigent un nouveau message. Cette hypothèse a ensuite été validée dans le cadre d’expériences comportementales où les utilisateurs étaient scrutés de près.

Autre enseignement intéressant de cette étude : les personnes plutôt modérées politiquement peuvent parfois se radicaliser au fil du temps, attirés par les systèmes de récompenses mis en place et la valorisation plus importante de leurs messages.

Bien sûr, les auteurs ne rejettent pas les publications d’indignation en tant que telles et soulignent qu’elles ont parfois été le moteur de changements sociétaux importants. Ils veulent toutefois informer les dirigeants qui s’apprêtent à réguler les réseaux sociaux.

Molly Crockett, une des auteures, explique ainsi :

L’amplification de l’indignation morale est une conséquence évidente du modèle économique des réseaux sociaux, qui optimise l’engagement des utilisateurs. Étant donné que l’indignation morale joue un rôle crucial dans le changement social et politique, nous devons être conscients que les entreprises technologiques, par la conception de leurs plateformes, ont la capacité d’influencer le succès ou l’échec des mouvements collectifs. Nos données montrent que les plateformes ne reflètent pas simplement ce qui se passe dans la société. Elles créent des incitations qui modifient la façon dont les utilisateurs réagissent aux événements politiques au fil du temps.

Ces résultats viennent confirmer des recherches antérieures qui montraient que sur Twitter, attaquer ses adversaires politiques se révélait payant en termes d’engagement.

Twitter

4 / 5

19,0 M avis

Au terme d’une étude passionnante, des chercheurs de l’Université de Yale sont arrivés à une conclusion qui ne surprendra pas les habitués de Twitter et des réseaux sociaux en général. Ces derniers ont selon eux tendance à amplifier les publications d’indignation. Ainsi, les utilisateurs prennent peu à peu conscience que ces dernières génèrent plus d’engagement et modifient la teneur de leurs prochains messages vers des positions plus radicales.

Cela signifie que la nature des conversations politiques en ligne s’en trouve affectée. Dans le détail, les scientifiques ont utilisé un algorithme d’apprentissage automatique capable de déceler les messages d’indignation dans une publication. Leurs recherches ont ensuite porté sur un panel de 12,7 millions de tweets publiés par 7331 utilisateurs. L’idée était de savoir si les utilisateurs s’indignaient d’avantage au fil du temps.

Une radicalisation des personnes modérées ?

La réponse est oui et cela serait lié aux incitations reçues par les internautes. Alors que le nombre de likes et de retweets sur les publications enflammées est plus important, ces derniers ont tendance à s’engager d’avantage lorsqu’ils rédigent un nouveau message. Cette hypothèse a ensuite été validée dans le cadre d’expériences comportementales où les utilisateurs étaient scrutés de près.

Autre enseignement intéressant de cette étude : les personnes plutôt modérées politiquement peuvent parfois se radicaliser au fil du temps, attirés par les systèmes de récompenses mis en place et la valorisation plus importante de leurs messages.

Bien sûr, les auteurs ne rejettent pas les publications d’indignation en tant que telles et soulignent qu’elles ont parfois été le moteur de changements sociétaux importants. Ils veulent toutefois informer les dirigeants qui s’apprêtent à réguler les réseaux sociaux.

Molly Crockett, une des auteures, explique ainsi :

L’amplification de l’indignation morale est une conséquence évidente du modèle économique des réseaux sociaux, qui optimise l’engagement des utilisateurs. Étant donné que l’indignation morale joue un rôle crucial dans le changement social et politique, nous devons être conscients que les entreprises technologiques, par la conception de leurs plateformes, ont la capacité d’influencer le succès ou l’échec des mouvements collectifs. Nos données montrent que les plateformes ne reflètent pas simplement ce qui se passe dans la société. Elles créent des incitations qui modifient la façon dont les utilisateurs réagissent aux événements politiques au fil du temps.

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Cela signifie que la nature des conversations politiques en ligne s’en trouve affectée. Dans le détail, les scientifiques ont utilisé un algorithme d’apprentissage automatique capable de déceler les messages d’indignation dans une publication. Leurs recherches ont ensuite porté sur un panel de 12,7 millions de tweets publiés par 7331 utilisateurs. L’idée était de savoir si les utilisateurs s’indignaient d’avantage au fil du temps.

Une radicalisation des personnes modérées ?

La réponse est oui et cela serait lié aux incitations reçues par les internautes. Alors que le nombre de likes et de retweets sur les publications enflammées est plus important, ces derniers ont tendance à s’engager d’avantage lorsqu’ils rédigent un nouveau message. Cette hypothèse a ensuite été validée dans le cadre d’expériences comportementales où les utilisateurs étaient scrutés de près.

Autre enseignement intéressant de cette étude : les personnes plutôt modérées politiquement peuvent parfois se radicaliser au fil du temps, attirés par les systèmes de récompenses mis en place et la valorisation plus importante de leurs messages.

Bien sûr, les auteurs ne rejettent pas les publications d’indignation en tant que telles et soulignent qu’elles ont parfois été le moteur de changements sociétaux importants. Ils veulent toutefois informer les dirigeants qui s’apprêtent à réguler les réseaux sociaux.

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Cela signifie que la nature des conversations politiques en ligne s’en trouve affectée. Dans le détail, les scientifiques ont utilisé un algorithme d’apprentissage automatique capable de déceler les messages d’indignation dans une publication. Leurs recherches ont ensuite porté sur un panel de 12,7 millions de tweets publiés par 7331 utilisateurs. L’idée était de savoir si les utilisateurs s’indignaient d’avantage au fil du temps.

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Une radicalisation des personnes modérées ?

La réponse est oui et cela serait lié aux incitations reçues par les internautes. Alors que le nombre de likes et de retweets sur les publications enflammées est plus important, ces derniers ont tendance à s’engager d’avantage lorsqu’ils rédigent un nouveau message. Cette hypothèse a ensuite été validée dans le cadre d’expériences comportementales où les utilisateurs étaient scrutés de près.

Autre enseignement intéressant de cette étude : les personnes plutôt modérées politiquement peuvent parfois se radicaliser au fil du temps, attirés par les systèmes de récompenses mis en place et la valorisation plus importante de leurs messages.

Bien sûr, les auteurs ne rejettent pas les publications d’indignation en tant que telles et soulignent qu’elles ont parfois été le moteur de changements sociétaux importants. Ils veulent toutefois informer les dirigeants qui s’apprêtent à réguler les réseaux sociaux.

Molly Crockett, une des auteures, explique ainsi :

L’amplification de l’indignation morale est une conséquence évidente du modèle économique des réseaux sociaux, qui optimise l’engagement des utilisateurs. Étant donné que l’indignation morale joue un rôle crucial dans le changement social et politique, nous devons être conscients que les entreprises technologiques, par la conception de leurs plateformes, ont la capacité d’influencer le succès ou l’échec des mouvements collectifs. Nos données montrent que les plateformes ne reflètent pas simplement ce qui se passe dans la société. Elles créent des incitations qui modifient la façon dont les utilisateurs réagissent aux événements politiques au fil du temps.

Ces résultats viennent confirmer des recherches antérieures qui montraient que sur Twitter, attaquer ses adversaires politiques se révélait payant en termes d’engagement.

Twitter

4 / 5

19,0 M avis

Au terme d’une étude passionnante, des chercheurs de l’Université de Yale sont arrivés à une conclusion qui ne surprendra pas les habitués de Twitter et des réseaux sociaux en général. Ces derniers ont selon eux tendance à amplifier les publications d’indignation. Ainsi, les utilisateurs prennent peu à peu conscience que ces dernières génèrent plus d’engagement et modifient la teneur de leurs prochains messages vers des positions plus radicales.

Cela signifie que la nature des conversations politiques en ligne s’en trouve affectée. Dans le détail, les scientifiques ont utilisé un algorithme d’apprentissage automatique capable de déceler les messages d’indignation dans une publication. Leurs recherches ont ensuite porté sur un panel de 12,7 millions de tweets publiés par 7331 utilisateurs. L’idée était de savoir si les utilisateurs s’indignaient d’avantage au fil du temps.

Une radicalisation des personnes modérées ?

La réponse est oui et cela serait lié aux incitations reçues par les internautes. Alors que le nombre de likes et de retweets sur les publications enflammées est plus important, ces derniers ont tendance à s’engager d’avantage lorsqu’ils rédigent un nouveau message. Cette hypothèse a ensuite été validée dans le cadre d’expériences comportementales où les utilisateurs étaient scrutés de près.

Autre enseignement intéressant de cette étude : les personnes plutôt modérées politiquement peuvent parfois se radicaliser au fil du temps, attirés par les systèmes de récompenses mis en place et la valorisation plus importante de leurs messages.

Bien sûr, les auteurs ne rejettent pas les publications d’indignation en tant que telles et soulignent qu’elles ont parfois été le moteur de changements sociétaux importants. Ils veulent toutefois informer les dirigeants qui s’apprêtent à réguler les réseaux sociaux.

Molly Crockett, une des auteures, explique ainsi :

L’amplification de l’indignation morale est une conséquence évidente du modèle économique des réseaux sociaux, qui optimise l’engagement des utilisateurs. Étant donné que l’indignation morale joue un rôle crucial dans le changement social et politique, nous devons être conscients que les entreprises technologiques, par la conception de leurs plateformes, ont la capacité d’influencer le succès ou l’échec des mouvements collectifs. Nos données montrent que les plateformes ne reflètent pas simplement ce qui se passe dans la société. Elles créent des incitations qui modifient la façon dont les utilisateurs réagissent aux événements politiques au fil du temps.

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Cela signifie que la nature des conversations politiques en ligne s’en trouve affectée. Dans le détail, les scientifiques ont utilisé un algorithme d’apprentissage automatique capable de déceler les messages d’indignation dans une publication. Leurs recherches ont ensuite porté sur un panel de 12,7 millions de tweets publiés par 7331 utilisateurs. L’idée était de savoir si les utilisateurs s’indignaient d’avantage au fil du temps.

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La réponse est oui et cela serait lié aux incitations reçues par les internautes. Alors que le nombre de likes et de retweets sur les publications enflammées est plus important, ces derniers ont tendance à s’engager d’avantage lorsqu’ils rédigent un nouveau message. Cette hypothèse a ensuite été validée dans le cadre d’expériences comportementales où les utilisateurs étaient scrutés de près.

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Bien sûr, les auteurs ne rejettent pas les publications d’indignation en tant que telles et soulignent qu’elles ont parfois été le moteur de changements sociétaux importants. Ils veulent toutefois informer les dirigeants qui s’apprêtent à réguler les réseaux sociaux.

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Cela signifie que la nature des conversations politiques en ligne s’en trouve affectée. Dans le détail, les scientifiques ont utilisé un algorithme d’apprentissage automatique capable de déceler les messages d’indignation dans une publication. Leurs recherches ont ensuite porté sur un panel de 12,7 millions de tweets publiés par 7331 utilisateurs. L’idée était de savoir si les utilisateurs s’indignaient d’avantage au fil du temps.

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Cela signifie que la nature des conversations politiques en ligne s’en trouve affectée. Dans le détail, les scientifiques ont utilisé un algorithme d’apprentissage automatique capable de déceler les messages d’indignation dans une publication. Leurs recherches ont ensuite porté sur un panel de 12,7 millions de tweets publiés par 7331 utilisateurs. L’idée était de savoir si les utilisateurs s’indignaient d’avantage au fil du temps.

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Bien sûr, les auteurs ne rejettent pas les publications d’indignation en tant que telles et soulignent qu’elles ont parfois été le moteur de changements sociétaux importants. Ils veulent toutefois informer les dirigeants qui s’apprêtent à réguler les réseaux sociaux.

Molly Crockett, une des auteures, explique ainsi :

L’amplification de l’indignation morale est une conséquence évidente du modèle économique des réseaux sociaux, qui optimise l’engagement des utilisateurs. Étant donné que l’indignation morale joue un rôle crucial dans le changement social et politique, nous devons être conscients que les entreprises technologiques, par la conception de leurs plateformes, ont la capacité d’influencer le succès ou l’échec des mouvements collectifs. Nos données montrent que les plateformes ne reflètent pas simplement ce qui se passe dans la société. Elles créent des incitations qui modifient la façon dont les utilisateurs réagissent aux événements politiques au fil du temps.

Ces résultats viennent confirmer des recherches antérieures qui montraient que sur Twitter, attaquer ses adversaires politiques se révélait payant en termes d’engagement.

Twitter

4 / 5

19,0 M avis

Au terme d’une étude passionnante, des chercheurs de l’Université de Yale sont arrivés à une conclusion qui ne surprendra pas les habitués de Twitter et des réseaux sociaux en général. Ces derniers ont selon eux tendance à amplifier les publications d’indignation. Ainsi, les utilisateurs prennent peu à peu conscience que ces dernières génèrent plus d’engagement et modifient la teneur de leurs prochains messages vers des positions plus radicales.

Cela signifie que la nature des conversations politiques en ligne s’en trouve affectée. Dans le détail, les scientifiques ont utilisé un algorithme d’apprentissage automatique capable de déceler les messages d’indignation dans une publication. Leurs recherches ont ensuite porté sur un panel de 12,7 millions de tweets publiés par 7331 utilisateurs. L’idée était de savoir si les utilisateurs s’indignaient d’avantage au fil du temps.

Une radicalisation des personnes modérées ?

La réponse est oui et cela serait lié aux incitations reçues par les internautes. Alors que le nombre de likes et de retweets sur les publications enflammées est plus important, ces derniers ont tendance à s’engager d’avantage lorsqu’ils rédigent un nouveau message. Cette hypothèse a ensuite été validée dans le cadre d’expériences comportementales où les utilisateurs étaient scrutés de près.

Autre enseignement intéressant de cette étude : les personnes plutôt modérées politiquement peuvent parfois se radicaliser au fil du temps, attirés par les systèmes de récompenses mis en place et la valorisation plus importante de leurs messages.

Bien sûr, les auteurs ne rejettent pas les publications d’indignation en tant que telles et soulignent qu’elles ont parfois été le moteur de changements sociétaux importants. Ils veulent toutefois informer les dirigeants qui s’apprêtent à réguler les réseaux sociaux.

Molly Crockett, une des auteures, explique ainsi :

L’amplification de l’indignation morale est une conséquence évidente du modèle économique des réseaux sociaux, qui optimise l’engagement des utilisateurs. Étant donné que l’indignation morale joue un rôle crucial dans le changement social et politique, nous devons être conscients que les entreprises technologiques, par la conception de leurs plateformes, ont la capacité d’influencer le succès ou l’échec des mouvements collectifs. Nos données montrent que les plateformes ne reflètent pas simplement ce qui se passe dans la société. Elles créent des incitations qui modifient la façon dont les utilisateurs réagissent aux événements politiques au fil du temps.

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Cela signifie que la nature des conversations politiques en ligne s’en trouve affectée. Dans le détail, les scientifiques ont utilisé un algorithme d’apprentissage automatique capable de déceler les messages d’indignation dans une publication. Leurs recherches ont ensuite porté sur un panel de 12,7 millions de tweets publiés par 7331 utilisateurs. L’idée était de savoir si les utilisateurs s’indignaient d’avantage au fil du temps.

Une radicalisation des personnes modérées ?

La réponse est oui et cela serait lié aux incitations reçues par les internautes. Alors que le nombre de likes et de retweets sur les publications enflammées est plus important, ces derniers ont tendance à s’engager d’avantage lorsqu’ils rédigent un nouveau message. Cette hypothèse a ensuite été validée dans le cadre d’expériences comportementales où les utilisateurs étaient scrutés de près.

Autre enseignement intéressant de cette étude : les personnes plutôt modérées politiquement peuvent parfois se radicaliser au fil du temps, attirés par les systèmes de récompenses mis en place et la valorisation plus importante de leurs messages.

Bien sûr, les auteurs ne rejettent pas les publications d’indignation en tant que telles et soulignent qu’elles ont parfois été le moteur de changements sociétaux importants. Ils veulent toutefois informer les dirigeants qui s’apprêtent à réguler les réseaux sociaux.

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Cela signifie que la nature des conversations politiques en ligne s’en trouve affectée. Dans le détail, les scientifiques ont utilisé un algorithme d’apprentissage automatique capable de déceler les messages d’indignation dans une publication. Leurs recherches ont ensuite porté sur un panel de 12,7 millions de tweets publiés par 7331 utilisateurs. L’idée était de savoir si les utilisateurs s’indignaient d’avantage au fil du temps.

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La réponse est oui et cela serait lié aux incitations reçues par les internautes. Alors que le nombre de likes et de retweets sur les publications enflammées est plus important, ces derniers ont tendance à s’engager d’avantage lorsqu’ils rédigent un nouveau message. Cette hypothèse a ensuite été validée dans le cadre d’expériences comportementales où les utilisateurs étaient scrutés de près.

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Cela signifie que la nature des conversations politiques en ligne s’en trouve affectée. Dans le détail, les scientifiques ont utilisé un algorithme d’apprentissage automatique capable de déceler les messages d’indignation dans une publication. Leurs recherches ont ensuite porté sur un panel de 12,7 millions de tweets publiés par 7331 utilisateurs. L’idée était de savoir si les utilisateurs s’indignaient d’avantage au fil du temps.

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Au terme d’une étude passionnante, des chercheurs de l’Université de Yale sont arrivés à une conclusion qui ne surprendra pas les habitués de Twitter et des réseaux sociaux en général. Ces derniers ont selon eux tendance à amplifier les publications d’indignation. Ainsi, les utilisateurs prennent peu à peu conscience que ces dernières génèrent plus d’engagement et modifient la teneur de leurs prochains messages vers des positions plus radicales.

Cela signifie que la nature des conversations politiques en ligne s’en trouve affectée. Dans le détail, les scientifiques ont utilisé un algorithme d’apprentissage automatique capable de déceler les messages d’indignation dans une publication. Leurs recherches ont ensuite porté sur un panel de 12,7 millions de tweets publiés par 7331 utilisateurs. L’idée était de savoir si les utilisateurs s’indignaient d’avantage au fil du temps.

Une radicalisation des personnes modérées ?

La réponse est oui et cela serait lié aux incitations reçues par les internautes. Alors que le nombre de likes et de retweets sur les publications enflammées est plus important, ces derniers ont tendance à s’engager d’avantage lorsqu’ils rédigent un nouveau message. Cette hypothèse a ensuite été validée dans le cadre d’expériences comportementales où les utilisateurs étaient scrutés de près.

Autre enseignement intéressant de cette étude : les personnes plutôt modérées politiquement peuvent parfois se radicaliser au fil du temps, attirés par les systèmes de récompenses mis en place et la valorisation plus importante de leurs messages.

Bien sûr, les auteurs ne rejettent pas les publications d’indignation en tant que telles et soulignent qu’elles ont parfois été le moteur de changements sociétaux importants. Ils veulent toutefois informer les dirigeants qui s’apprêtent à réguler les réseaux sociaux.

Molly Crockett, une des auteures, explique ainsi :

L’amplification de l’indignation morale est une conséquence évidente du modèle économique des réseaux sociaux, qui optimise l’engagement des utilisateurs. Étant donné que l’indignation morale joue un rôle crucial dans le changement social et politique, nous devons être conscients que les entreprises technologiques, par la conception de leurs plateformes, ont la capacité d’influencer le succès ou l’échec des mouvements collectifs. Nos données montrent que les plateformes ne reflètent pas simplement ce qui se passe dans la société. Elles créent des incitations qui modifient la façon dont les utilisateurs réagissent aux événements politiques au fil du temps.

Ces résultats viennent confirmer des recherches antérieures qui montraient que sur Twitter, attaquer ses adversaires politiques se révélait payant en termes d’engagement.

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