
Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
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Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
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Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
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Des stratégies marketing très efficaces
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Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
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Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
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Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
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Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
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Des stratégies marketing très efficaces
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Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
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Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
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Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
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Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
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Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
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Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
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Des stratégies marketing très efficaces
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Des stratégies marketing très efficaces
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Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
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Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
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Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
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Des stratégies marketing très efficaces
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Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
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Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
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Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
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Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
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Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.

Dans une publicité Winamax diffusée à de nombreuses reprises lors du dernier Euro de foot, on pouvait voir un jeune homme qui voulait « mettre sa daronne à l’abri ». Tout le monde l’a bien compris, les plateformes de paris en ligne tentent de moderniser leurs stratégies de communication et ciblent notamment un public très jeune résidant souvent dans les quartiers populaires.
Cette pratique a été beaucoup critiquée et notamment du côté du gouvernement français. Ainsi, la secrétaire d’État chargé de la Jeunesse, Sarah El Haïry, a demandé à ce que des sanctions soient prises contre les entreprises qui ciblent des jeunes « les plus fragiles et défavorisés » dans leurs annonces. Selon elle, la pub leur fait croire que « jouer contribue à la réussite sociale » et contient « des déclarations infondées sur les chances qu’ont les joueurs de gagner ou les gains qu’ils peuvent espérer ».
Des stratégies marketing très efficaces
Alors que l’attention du grand public se focalise sur ces publicités destinées à des médias généralistes, un autre phénomène inquiétant a été mis en lumière par le chercheur britannique, Jamie Torrance, sur le site The Conversation. Il revient sur le cas des publicités ciblées postées sur les réseaux sociaux visant à promouvoir des jeux d’argent.
Contrairement aux pubs que l’on peut voir à la télévision, ou entendre à la radio, ces dernières sont personnalisées, interactives, et parfois difficiles à distinguer du reste du contenu, explique-t-il. On peut par exemple être confronté à certains sondages visant à inciter les internautes à donner le gagnant du prochain match.
Avec son équipe, le scientifique a collecté et analysé 25 études consacrées à ce sujet publiées entre 2015 et 2020. Plus de 300 publicités en ligne différentes ont été observées et 10 000 messages postés sur les réseaux sociaux étaient concernés.
Concrètement, les annonceurs s’appuient sur les données de navigation, d’achat, et le profil des utilisateurs. Ces stratégies se révéleraient bien plus efficaces que les pubs généralistes pour convertir les internautes en clients.
Cela n’est bien sûr pas sans poser question, car une surexposition à ces campagnes peut potentiellement entraîner les personnes concernées à des produits addictifs. Nul n’est d’ailleurs à l’abri et les auteurs précisent que plus l’on visualise ces contenus, plus l’on est susceptible de se laisser convaincre.
Les chercheurs ont aussi constaté le recours de plus en plus important aux influenceurs pour promouvoir les paris en ligne. En France, le cas de Mohamed Henni, suivi par des millions de personnes, est à cet égard emblématique. Peu de recherches ont été menées à leur sujet, mais leur intervention doit probablement être efficace pour les annonceurs qui réitèrent leur engagement.
Forts de ces constats, Jamie Torrance suggère une révision des lois encadrant la publicité pour les jeux d’argent au Royaume-Uni. Elle doit selon lui tenir compte des nouveaux stratégies de marketing pour protéger les publics les plus jeunes et vulnérables. En France, Sarah El Haïry a demandé à l’Autorité nationale des jeux (ANJ) de se saisir du dossier pour envisager, après enquête, des sanctions contre les plateformes.