
À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
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Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
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De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
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À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
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Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
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À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
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Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
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À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
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Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
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À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
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Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
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À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
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Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
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Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
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À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.

À l’occasion de l’IMID 2021 (International Meeting for Information Displays), le spécialiste du smartphone pliant Samsung a dévoilé un prototype de smartphone pour le moins étonnant.
Toujours en réflexion pour trouver le meilleur format possible, le coréen a présenté un modèle capable de se replier deux fois sur lui-même, un peu à la manière d’un parchemin.
Baptisé Samsung Flex In & Out, ce prototype s’étend sur l’équivalent de trois écrans de smartphones. Le coréen n’indique ni la diagonale d’écran ni la technologie utilisée, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’une dalle flexible AMOLED.
À la manière d’un Fold, le Flex In & Out prend la forme d’un smartphone lorsqu’il est replié. Un smartphone épais et lourd puisque trois écrans s’empilent. Déplié, il s’étire dans un format (apparemment) 16:9 (Samsung ne l’indique pas non plus) particulièrement intéressant pour la productivité et (surtout) le multimédia.
De nombreux défis techniques
Sur le papier, le Flex In & Out n’est rien de plus qu’un Fold avec un écran plus grand et une seconde charnière. Pourtant, les défis techniques restent nombreux. Les charnières, justement, représentent un enjeu important pour les ingénieurs. Avant de commercialiser le Z Fold 3, Samsung est passé par des moments plus difficiles (souvenez-vous du premier Fold).
La robustesse des mécanismes figure parmi les points clés du développement du produit. Samsung doit à la fois solidifier ses charnières tout en livrant un smartphone qui ne pèse pas une tonne.
Autre défi : l’écran. Plus il y a de surface d’écran plus il y a risque de cassure. Sur son Z Fold 3, Samsung a par exemple intégré un écran 80% plus résistant que sur la génération précédente. Quid d’une dalle aussi imposante ?
Les ingénieurs vont aussi devoir relever toutes les contraintes d’espace, problème que rencontrent tous les constructeurs tous modèles confondus. Un écran d’une telle taille va nécessiter des batteries généreuses. On l’a vu, les Z Fold 3 et Z Flip 3 ne brillent pas par leur autonomie. Il s’agit même de leur seul vrai point noir.
Et c’est sans parler de l’espace nécessaire à l’intégration des différents capteurs photo, des puces, du stockage, le tout en laissant suffisamment d’espace vide pour laisser circuler l’air et éviter la surchauffe.
Ce Samsung Flex In & Out donne donc un aperçu très séduisant des futurs plans de Samsung. Mais la commercialisation d’un tel produit n’interviendra pas avant plusieurs années. D’ailleurs, le coréen n’est pas le seul à réfléchir à un tel produit. L’année dernière, Xiaomi présentait une vidéo mettant en scène un smartphone doté des mêmes talents de contorsion.