Depuis 2014, WhatsApp est la propriété de Facebook. Si jusqu’à présent la messagerie chiffrée de bout en bout parvient à tenir sa promesse, Facebook cherche depuis quelques mois à en savoir plus sur les utilisateurs de sa messagerie. Si le groupe dirigé par Mark Zuckerberg a affiché des résultats records au dernier trimestre, WhatsApp et ses millions d’utilisateurs ne génèrent pas assez d’argent selon le géant américain.
Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
WhatsApp répond aux déclarations du média américain
Cette semaine, The Information révèle que le F de GAFA aurait embauché de nouveaux spécialistes afin de développer un outil capable de décrypter les messages sans vraiment les décrypter selon les dires de Facebook. Android Authority nous livre un résumé très explicite : “Théoriquement, cela permettrait à Facebook de glaner des données à partir de chats sans violer la vie privée d’un utilisateur”. Facebook parle alors de chiffrement homomorphe.
Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
We’re not pursuing homomorphic encryption for @WhatsApp. I’ve been asked this before (link below). We should be skeptical of technical claims that apps like ours could see messages in “good” cases only. That’s just not how technology works. https://t.co/Y55p25QmR8 https://t.co/mZgNYyorkm
— Will Cathcart (@wcathcart) August 3, 2021

Depuis 2014, WhatsApp est la propriété de Facebook. Si jusqu’à présent la messagerie chiffrée de bout en bout parvient à tenir sa promesse, Facebook cherche depuis quelques mois à en savoir plus sur les utilisateurs de sa messagerie. Si le groupe dirigé par Mark Zuckerberg a affiché des résultats records au dernier trimestre, WhatsApp et ses millions d’utilisateurs ne génèrent pas assez d’argent selon le géant américain.
Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
WhatsApp répond aux déclarations du média américain
Cette semaine, The Information révèle que le F de GAFA aurait embauché de nouveaux spécialistes afin de développer un outil capable de décrypter les messages sans vraiment les décrypter selon les dires de Facebook. Android Authority nous livre un résumé très explicite : “Théoriquement, cela permettrait à Facebook de glaner des données à partir de chats sans violer la vie privée d’un utilisateur”. Facebook parle alors de chiffrement homomorphe.
Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
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Depuis 2014, WhatsApp est la propriété de Facebook. Si jusqu’à présent la messagerie chiffrée de bout en bout parvient à tenir sa promesse, Facebook cherche depuis quelques mois à en savoir plus sur les utilisateurs de sa messagerie. Si le groupe dirigé par Mark Zuckerberg a affiché des résultats records au dernier trimestre, WhatsApp et ses millions d’utilisateurs ne génèrent pas assez d’argent selon le géant américain.
Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
WhatsApp répond aux déclarations du média américain
Cette semaine, The Information révèle que le F de GAFA aurait embauché de nouveaux spécialistes afin de développer un outil capable de décrypter les messages sans vraiment les décrypter selon les dires de Facebook. Android Authority nous livre un résumé très explicite : “Théoriquement, cela permettrait à Facebook de glaner des données à partir de chats sans violer la vie privée d’un utilisateur”. Facebook parle alors de chiffrement homomorphe.
Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
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Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
WhatsApp répond aux déclarations du média américain
Cette semaine, The Information révèle que le F de GAFA aurait embauché de nouveaux spécialistes afin de développer un outil capable de décrypter les messages sans vraiment les décrypter selon les dires de Facebook. Android Authority nous livre un résumé très explicite : “Théoriquement, cela permettrait à Facebook de glaner des données à partir de chats sans violer la vie privée d’un utilisateur”. Facebook parle alors de chiffrement homomorphe.
Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
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Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
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Cette semaine, The Information révèle que le F de GAFA aurait embauché de nouveaux spécialistes afin de développer un outil capable de décrypter les messages sans vraiment les décrypter selon les dires de Facebook. Android Authority nous livre un résumé très explicite : “Théoriquement, cela permettrait à Facebook de glaner des données à partir de chats sans violer la vie privée d’un utilisateur”. Facebook parle alors de chiffrement homomorphe.
Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
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Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
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Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
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Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
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Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
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Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
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Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
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Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
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Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
WhatsApp répond aux déclarations du média américain
Cette semaine, The Information révèle que le F de GAFA aurait embauché de nouveaux spécialistes afin de développer un outil capable de décrypter les messages sans vraiment les décrypter selon les dires de Facebook. Android Authority nous livre un résumé très explicite : “Théoriquement, cela permettrait à Facebook de glaner des données à partir de chats sans violer la vie privée d’un utilisateur”. Facebook parle alors de chiffrement homomorphe.
Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
We’re not pursuing homomorphic encryption for @WhatsApp. I’ve been asked this before (link below). We should be skeptical of technical claims that apps like ours could see messages in “good” cases only. That’s just not how technology works. https://t.co/Y55p25QmR8 https://t.co/mZgNYyorkm
— Will Cathcart (@wcathcart) August 3, 2021

Depuis 2014, WhatsApp est la propriété de Facebook. Si jusqu’à présent la messagerie chiffrée de bout en bout parvient à tenir sa promesse, Facebook cherche depuis quelques mois à en savoir plus sur les utilisateurs de sa messagerie. Si le groupe dirigé par Mark Zuckerberg a affiché des résultats records au dernier trimestre, WhatsApp et ses millions d’utilisateurs ne génèrent pas assez d’argent selon le géant américain.
Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
WhatsApp répond aux déclarations du média américain
Cette semaine, The Information révèle que le F de GAFA aurait embauché de nouveaux spécialistes afin de développer un outil capable de décrypter les messages sans vraiment les décrypter selon les dires de Facebook. Android Authority nous livre un résumé très explicite : “Théoriquement, cela permettrait à Facebook de glaner des données à partir de chats sans violer la vie privée d’un utilisateur”. Facebook parle alors de chiffrement homomorphe.
Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
We’re not pursuing homomorphic encryption for @WhatsApp. I’ve been asked this before (link below). We should be skeptical of technical claims that apps like ours could see messages in “good” cases only. That’s just not how technology works. https://t.co/Y55p25QmR8 https://t.co/mZgNYyorkm
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Depuis 2014, WhatsApp est la propriété de Facebook. Si jusqu’à présent la messagerie chiffrée de bout en bout parvient à tenir sa promesse, Facebook cherche depuis quelques mois à en savoir plus sur les utilisateurs de sa messagerie. Si le groupe dirigé par Mark Zuckerberg a affiché des résultats records au dernier trimestre, WhatsApp et ses millions d’utilisateurs ne génèrent pas assez d’argent selon le géant américain.
Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
WhatsApp répond aux déclarations du média américain
Cette semaine, The Information révèle que le F de GAFA aurait embauché de nouveaux spécialistes afin de développer un outil capable de décrypter les messages sans vraiment les décrypter selon les dires de Facebook. Android Authority nous livre un résumé très explicite : “Théoriquement, cela permettrait à Facebook de glaner des données à partir de chats sans violer la vie privée d’un utilisateur”. Facebook parle alors de chiffrement homomorphe.
Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
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Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
WhatsApp répond aux déclarations du média américain
Cette semaine, The Information révèle que le F de GAFA aurait embauché de nouveaux spécialistes afin de développer un outil capable de décrypter les messages sans vraiment les décrypter selon les dires de Facebook. Android Authority nous livre un résumé très explicite : “Théoriquement, cela permettrait à Facebook de glaner des données à partir de chats sans violer la vie privée d’un utilisateur”. Facebook parle alors de chiffrement homomorphe.
Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
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Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
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Cette semaine, The Information révèle que le F de GAFA aurait embauché de nouveaux spécialistes afin de développer un outil capable de décrypter les messages sans vraiment les décrypter selon les dires de Facebook. Android Authority nous livre un résumé très explicite : “Théoriquement, cela permettrait à Facebook de glaner des données à partir de chats sans violer la vie privée d’un utilisateur”. Facebook parle alors de chiffrement homomorphe.
Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
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Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
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Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
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Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
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Cette semaine, The Information révèle que le F de GAFA aurait embauché de nouveaux spécialistes afin de développer un outil capable de décrypter les messages sans vraiment les décrypter selon les dires de Facebook. Android Authority nous livre un résumé très explicite : “Théoriquement, cela permettrait à Facebook de glaner des données à partir de chats sans violer la vie privée d’un utilisateur”. Facebook parle alors de chiffrement homomorphe.
Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
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Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
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Cette semaine, The Information révèle que le F de GAFA aurait embauché de nouveaux spécialistes afin de développer un outil capable de décrypter les messages sans vraiment les décrypter selon les dires de Facebook. Android Authority nous livre un résumé très explicite : “Théoriquement, cela permettrait à Facebook de glaner des données à partir de chats sans violer la vie privée d’un utilisateur”. Facebook parle alors de chiffrement homomorphe.
Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
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Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
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Cette semaine, The Information révèle que le F de GAFA aurait embauché de nouveaux spécialistes afin de développer un outil capable de décrypter les messages sans vraiment les décrypter selon les dires de Facebook. Android Authority nous livre un résumé très explicite : “Théoriquement, cela permettrait à Facebook de glaner des données à partir de chats sans violer la vie privée d’un utilisateur”. Facebook parle alors de chiffrement homomorphe.
Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
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Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
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Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
WhatsApp répond aux déclarations du média américain
Cette semaine, The Information révèle que le F de GAFA aurait embauché de nouveaux spécialistes afin de développer un outil capable de décrypter les messages sans vraiment les décrypter selon les dires de Facebook. Android Authority nous livre un résumé très explicite : “Théoriquement, cela permettrait à Facebook de glaner des données à partir de chats sans violer la vie privée d’un utilisateur”. Facebook parle alors de chiffrement homomorphe.
Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
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Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
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Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
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WhatsApp répond aux déclarations du média américain
Cette semaine, The Information révèle que le F de GAFA aurait embauché de nouveaux spécialistes afin de développer un outil capable de décrypter les messages sans vraiment les décrypter selon les dires de Facebook. Android Authority nous livre un résumé très explicite : “Théoriquement, cela permettrait à Facebook de glaner des données à partir de chats sans violer la vie privée d’un utilisateur”. Facebook parle alors de chiffrement homomorphe.
Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
We’re not pursuing homomorphic encryption for @WhatsApp. I’ve been asked this before (link below). We should be skeptical of technical claims that apps like ours could see messages in “good” cases only. That’s just not how technology works. https://t.co/Y55p25QmR8 https://t.co/mZgNYyorkm
— Will Cathcart (@wcathcart) August 3, 2021

Depuis 2014, WhatsApp est la propriété de Facebook. Si jusqu’à présent la messagerie chiffrée de bout en bout parvient à tenir sa promesse, Facebook cherche depuis quelques mois à en savoir plus sur les utilisateurs de sa messagerie. Si le groupe dirigé par Mark Zuckerberg a affiché des résultats records au dernier trimestre, WhatsApp et ses millions d’utilisateurs ne génèrent pas assez d’argent selon le géant américain.
Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
WhatsApp répond aux déclarations du média américain
Cette semaine, The Information révèle que le F de GAFA aurait embauché de nouveaux spécialistes afin de développer un outil capable de décrypter les messages sans vraiment les décrypter selon les dires de Facebook. Android Authority nous livre un résumé très explicite : “Théoriquement, cela permettrait à Facebook de glaner des données à partir de chats sans violer la vie privée d’un utilisateur”. Facebook parle alors de chiffrement homomorphe.
Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
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Depuis 2014, WhatsApp est la propriété de Facebook. Si jusqu’à présent la messagerie chiffrée de bout en bout parvient à tenir sa promesse, Facebook cherche depuis quelques mois à en savoir plus sur les utilisateurs de sa messagerie. Si le groupe dirigé par Mark Zuckerberg a affiché des résultats records au dernier trimestre, WhatsApp et ses millions d’utilisateurs ne génèrent pas assez d’argent selon le géant américain.
Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
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Cette semaine, The Information révèle que le F de GAFA aurait embauché de nouveaux spécialistes afin de développer un outil capable de décrypter les messages sans vraiment les décrypter selon les dires de Facebook. Android Authority nous livre un résumé très explicite : “Théoriquement, cela permettrait à Facebook de glaner des données à partir de chats sans violer la vie privée d’un utilisateur”. Facebook parle alors de chiffrement homomorphe.
Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
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Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
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Cette semaine, The Information révèle que le F de GAFA aurait embauché de nouveaux spécialistes afin de développer un outil capable de décrypter les messages sans vraiment les décrypter selon les dires de Facebook. Android Authority nous livre un résumé très explicite : “Théoriquement, cela permettrait à Facebook de glaner des données à partir de chats sans violer la vie privée d’un utilisateur”. Facebook parle alors de chiffrement homomorphe.
Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
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Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
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Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
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Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
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Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
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Cette semaine, The Information révèle que le F de GAFA aurait embauché de nouveaux spécialistes afin de développer un outil capable de décrypter les messages sans vraiment les décrypter selon les dires de Facebook. Android Authority nous livre un résumé très explicite : “Théoriquement, cela permettrait à Facebook de glaner des données à partir de chats sans violer la vie privée d’un utilisateur”. Facebook parle alors de chiffrement homomorphe.
Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
We’re not pursuing homomorphic encryption for @WhatsApp. I’ve been asked this before (link below). We should be skeptical of technical claims that apps like ours could see messages in “good” cases only. That’s just not how technology works. https://t.co/Y55p25QmR8 https://t.co/mZgNYyorkm
— Will Cathcart (@wcathcart) August 3, 2021

Depuis 2014, WhatsApp est la propriété de Facebook. Si jusqu’à présent la messagerie chiffrée de bout en bout parvient à tenir sa promesse, Facebook cherche depuis quelques mois à en savoir plus sur les utilisateurs de sa messagerie. Si le groupe dirigé par Mark Zuckerberg a affiché des résultats records au dernier trimestre, WhatsApp et ses millions d’utilisateurs ne génèrent pas assez d’argent selon le géant américain.
Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
WhatsApp répond aux déclarations du média américain
Cette semaine, The Information révèle que le F de GAFA aurait embauché de nouveaux spécialistes afin de développer un outil capable de décrypter les messages sans vraiment les décrypter selon les dires de Facebook. Android Authority nous livre un résumé très explicite : “Théoriquement, cela permettrait à Facebook de glaner des données à partir de chats sans violer la vie privée d’un utilisateur”. Facebook parle alors de chiffrement homomorphe.
Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
We’re not pursuing homomorphic encryption for @WhatsApp. I’ve been asked this before (link below). We should be skeptical of technical claims that apps like ours could see messages in “good” cases only. That’s just not how technology works. https://t.co/Y55p25QmR8 https://t.co/mZgNYyorkm
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Depuis 2014, WhatsApp est la propriété de Facebook. Si jusqu’à présent la messagerie chiffrée de bout en bout parvient à tenir sa promesse, Facebook cherche depuis quelques mois à en savoir plus sur les utilisateurs de sa messagerie. Si le groupe dirigé par Mark Zuckerberg a affiché des résultats records au dernier trimestre, WhatsApp et ses millions d’utilisateurs ne génèrent pas assez d’argent selon le géant américain.
Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
WhatsApp répond aux déclarations du média américain
Cette semaine, The Information révèle que le F de GAFA aurait embauché de nouveaux spécialistes afin de développer un outil capable de décrypter les messages sans vraiment les décrypter selon les dires de Facebook. Android Authority nous livre un résumé très explicite : “Théoriquement, cela permettrait à Facebook de glaner des données à partir de chats sans violer la vie privée d’un utilisateur”. Facebook parle alors de chiffrement homomorphe.
Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
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Depuis 2014, WhatsApp est la propriété de Facebook. Si jusqu’à présent la messagerie chiffrée de bout en bout parvient à tenir sa promesse, Facebook cherche depuis quelques mois à en savoir plus sur les utilisateurs de sa messagerie. Si le groupe dirigé par Mark Zuckerberg a affiché des résultats records au dernier trimestre, WhatsApp et ses millions d’utilisateurs ne génèrent pas assez d’argent selon le géant américain.
Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
WhatsApp répond aux déclarations du média américain
Cette semaine, The Information révèle que le F de GAFA aurait embauché de nouveaux spécialistes afin de développer un outil capable de décrypter les messages sans vraiment les décrypter selon les dires de Facebook. Android Authority nous livre un résumé très explicite : “Théoriquement, cela permettrait à Facebook de glaner des données à partir de chats sans violer la vie privée d’un utilisateur”. Facebook parle alors de chiffrement homomorphe.
Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
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Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
WhatsApp répond aux déclarations du média américain
Cette semaine, The Information révèle que le F de GAFA aurait embauché de nouveaux spécialistes afin de développer un outil capable de décrypter les messages sans vraiment les décrypter selon les dires de Facebook. Android Authority nous livre un résumé très explicite : “Théoriquement, cela permettrait à Facebook de glaner des données à partir de chats sans violer la vie privée d’un utilisateur”. Facebook parle alors de chiffrement homomorphe.
Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
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Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
WhatsApp répond aux déclarations du média américain
Cette semaine, The Information révèle que le F de GAFA aurait embauché de nouveaux spécialistes afin de développer un outil capable de décrypter les messages sans vraiment les décrypter selon les dires de Facebook. Android Authority nous livre un résumé très explicite : “Théoriquement, cela permettrait à Facebook de glaner des données à partir de chats sans violer la vie privée d’un utilisateur”. Facebook parle alors de chiffrement homomorphe.
Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
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Depuis 2014, WhatsApp est la propriété de Facebook. Si jusqu’à présent la messagerie chiffrée de bout en bout parvient à tenir sa promesse, Facebook cherche depuis quelques mois à en savoir plus sur les utilisateurs de sa messagerie. Si le groupe dirigé par Mark Zuckerberg a affiché des résultats records au dernier trimestre, WhatsApp et ses millions d’utilisateurs ne génèrent pas assez d’argent selon le géant américain.
Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
WhatsApp répond aux déclarations du média américain
Cette semaine, The Information révèle que le F de GAFA aurait embauché de nouveaux spécialistes afin de développer un outil capable de décrypter les messages sans vraiment les décrypter selon les dires de Facebook. Android Authority nous livre un résumé très explicite : “Théoriquement, cela permettrait à Facebook de glaner des données à partir de chats sans violer la vie privée d’un utilisateur”. Facebook parle alors de chiffrement homomorphe.
Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
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Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
WhatsApp répond aux déclarations du média américain
Cette semaine, The Information révèle que le F de GAFA aurait embauché de nouveaux spécialistes afin de développer un outil capable de décrypter les messages sans vraiment les décrypter selon les dires de Facebook. Android Authority nous livre un résumé très explicite : “Théoriquement, cela permettrait à Facebook de glaner des données à partir de chats sans violer la vie privée d’un utilisateur”. Facebook parle alors de chiffrement homomorphe.
Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
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Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
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Cette semaine, The Information révèle que le F de GAFA aurait embauché de nouveaux spécialistes afin de développer un outil capable de décrypter les messages sans vraiment les décrypter selon les dires de Facebook. Android Authority nous livre un résumé très explicite : “Théoriquement, cela permettrait à Facebook de glaner des données à partir de chats sans violer la vie privée d’un utilisateur”. Facebook parle alors de chiffrement homomorphe.
Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
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Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
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Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
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Pour rappel, Facebook tire la plupart de ses revenus de la publicité personnalisée en récupérant un maximum d’informations sur ses utilisateurs. Toutefois la “confidentialité” de WhatsApp empêche la société de générer d’importants revenus publicitaires sur la messagerie. En début d’année, Facebook a tenté de soumettre une nouvelle politique de confidentialité très contestée qui a poussé un grand nombre d’utilisateurs à fuir WhatsApp pour diverses alternatives comme Signal ou encore Telegram.
WhatsApp répond aux déclarations du média américain
Cette semaine, The Information révèle que le F de GAFA aurait embauché de nouveaux spécialistes afin de développer un outil capable de décrypter les messages sans vraiment les décrypter selon les dires de Facebook. Android Authority nous livre un résumé très explicite : “Théoriquement, cela permettrait à Facebook de glaner des données à partir de chats sans violer la vie privée d’un utilisateur”. Facebook parle alors de chiffrement homomorphe.
Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
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Cette semaine, The Information révèle que le F de GAFA aurait embauché de nouveaux spécialistes afin de développer un outil capable de décrypter les messages sans vraiment les décrypter selon les dires de Facebook. Android Authority nous livre un résumé très explicite : “Théoriquement, cela permettrait à Facebook de glaner des données à partir de chats sans violer la vie privée d’un utilisateur”. Facebook parle alors de chiffrement homomorphe.
Cependant, même si Facebook a déboursé 22 milliards de dollars pour racheter WhatsApp, il semblerait que l’application de messagerie ait encore son mot à dire. Sur Twitter, Will Cathcart le responsable de WhatsApp répond à The Information en affirmant que le chiffrement homomorphe ne sera pas mis en place pour l’application.
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