
C’est une première mondiale, en Afrique du Sud, une intelligence artificielle vient de signer son premier brevet. Cette IA est donc considérée comme l’inventeur de ce brevet. Baptisée Dabus, cette intelligence artificielle a été développée par le chercheur américain Stephen Thaler. Ce brevet en question est un récipient alimentaire que permet de mieux conserver la chaleur, conçue intégralement par Dabus en août 2020.
Le statut de l’intelligence artificielle à revoir ?
Évidemment, le concept n’a rien de très novateur, Tupperware propose cela depuis 1946, toutefois, la reconnaissance de paternité est historique. Depuis deux, l’équipe derrière The Artificial Inventor Project tente par tous les moyens de faire reconnaître Dabus comme le détenteur de ce brevet. The Artificial Inventor Project a déposé des dizaines de demandes partout dans le monde, que ce soit aux États-Unis, dans l’Union européenne, ou encore au Royaume-Uni, sans succès. Il aura fallu attendre le 29 juillet 2021 pour que l’office des brevets sud-africain devienne la première à reconnaître Dabus comme propriétaire de ce brevet.
Interrogée par Le Figaro, Alexandra Mendoza-Caminade, professeur à l’université Toulouse Capitole, explique : “Si jusqu’à présent aucun autre office n’a admis de brevet avec mention d’une IA, c’est parce que l’on considère que l’inventeur doit nécessairement être une personne physique”. Cette dernière ajoute : “Aujourd’hui l’IA n’est pas un sujet de droit, et n’a pas de droit. On ne peut donc pas reconnaître et protéger ses créations. Ce sera le cas tant qu’elle sera reconnue comme une machine et un outil”.
Au sein de l’Union européenne, les débats autour de l’intelligence artificielle deviennent de plus en plus courants. Très souvent les problématiques sont en rapport avec la conduite autonome, ou encore la collecte de données. Les dépôts de brevet sont donc encore bien loin dans la liste des priorités. L’évolution du statut de l’intelligence artificielle tant à évoluer de partout dans le monde, non seulement en Europe.

C’est une première mondiale, en Afrique du Sud, une intelligence artificielle vient de signer son premier brevet. Cette IA est donc considérée comme l’inventeur de ce brevet. Baptisée Dabus, cette intelligence artificielle a été développée par le chercheur américain Stephen Thaler. Ce brevet en question est un récipient alimentaire que permet de mieux conserver la chaleur, conçue intégralement par Dabus en août 2020.
Le statut de l’intelligence artificielle à revoir ?
Évidemment, le concept n’a rien de très novateur, Tupperware propose cela depuis 1946, toutefois, la reconnaissance de paternité est historique. Depuis deux, l’équipe derrière The Artificial Inventor Project tente par tous les moyens de faire reconnaître Dabus comme le détenteur de ce brevet. The Artificial Inventor Project a déposé des dizaines de demandes partout dans le monde, que ce soit aux États-Unis, dans l’Union européenne, ou encore au Royaume-Uni, sans succès. Il aura fallu attendre le 29 juillet 2021 pour que l’office des brevets sud-africain devienne la première à reconnaître Dabus comme propriétaire de ce brevet.
Interrogée par Le Figaro, Alexandra Mendoza-Caminade, professeur à l’université Toulouse Capitole, explique : “Si jusqu’à présent aucun autre office n’a admis de brevet avec mention d’une IA, c’est parce que l’on considère que l’inventeur doit nécessairement être une personne physique”. Cette dernière ajoute : “Aujourd’hui l’IA n’est pas un sujet de droit, et n’a pas de droit. On ne peut donc pas reconnaître et protéger ses créations. Ce sera le cas tant qu’elle sera reconnue comme une machine et un outil”.
Au sein de l’Union européenne, les débats autour de l’intelligence artificielle deviennent de plus en plus courants. Très souvent les problématiques sont en rapport avec la conduite autonome, ou encore la collecte de données. Les dépôts de brevet sont donc encore bien loin dans la liste des priorités. L’évolution du statut de l’intelligence artificielle tant à évoluer de partout dans le monde, non seulement en Europe.

C’est une première mondiale, en Afrique du Sud, une intelligence artificielle vient de signer son premier brevet. Cette IA est donc considérée comme l’inventeur de ce brevet. Baptisée Dabus, cette intelligence artificielle a été développée par le chercheur américain Stephen Thaler. Ce brevet en question est un récipient alimentaire que permet de mieux conserver la chaleur, conçue intégralement par Dabus en août 2020.
Le statut de l’intelligence artificielle à revoir ?
Évidemment, le concept n’a rien de très novateur, Tupperware propose cela depuis 1946, toutefois, la reconnaissance de paternité est historique. Depuis deux, l’équipe derrière The Artificial Inventor Project tente par tous les moyens de faire reconnaître Dabus comme le détenteur de ce brevet. The Artificial Inventor Project a déposé des dizaines de demandes partout dans le monde, que ce soit aux États-Unis, dans l’Union européenne, ou encore au Royaume-Uni, sans succès. Il aura fallu attendre le 29 juillet 2021 pour que l’office des brevets sud-africain devienne la première à reconnaître Dabus comme propriétaire de ce brevet.
Interrogée par Le Figaro, Alexandra Mendoza-Caminade, professeur à l’université Toulouse Capitole, explique : “Si jusqu’à présent aucun autre office n’a admis de brevet avec mention d’une IA, c’est parce que l’on considère que l’inventeur doit nécessairement être une personne physique”. Cette dernière ajoute : “Aujourd’hui l’IA n’est pas un sujet de droit, et n’a pas de droit. On ne peut donc pas reconnaître et protéger ses créations. Ce sera le cas tant qu’elle sera reconnue comme une machine et un outil”.
Au sein de l’Union européenne, les débats autour de l’intelligence artificielle deviennent de plus en plus courants. Très souvent les problématiques sont en rapport avec la conduite autonome, ou encore la collecte de données. Les dépôts de brevet sont donc encore bien loin dans la liste des priorités. L’évolution du statut de l’intelligence artificielle tant à évoluer de partout dans le monde, non seulement en Europe.

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Évidemment, le concept n’a rien de très novateur, Tupperware propose cela depuis 1946, toutefois, la reconnaissance de paternité est historique. Depuis deux, l’équipe derrière The Artificial Inventor Project tente par tous les moyens de faire reconnaître Dabus comme le détenteur de ce brevet. The Artificial Inventor Project a déposé des dizaines de demandes partout dans le monde, que ce soit aux États-Unis, dans l’Union européenne, ou encore au Royaume-Uni, sans succès. Il aura fallu attendre le 29 juillet 2021 pour que l’office des brevets sud-africain devienne la première à reconnaître Dabus comme propriétaire de ce brevet.
Interrogée par Le Figaro, Alexandra Mendoza-Caminade, professeur à l’université Toulouse Capitole, explique : “Si jusqu’à présent aucun autre office n’a admis de brevet avec mention d’une IA, c’est parce que l’on considère que l’inventeur doit nécessairement être une personne physique”. Cette dernière ajoute : “Aujourd’hui l’IA n’est pas un sujet de droit, et n’a pas de droit. On ne peut donc pas reconnaître et protéger ses créations. Ce sera le cas tant qu’elle sera reconnue comme une machine et un outil”.
Au sein de l’Union européenne, les débats autour de l’intelligence artificielle deviennent de plus en plus courants. Très souvent les problématiques sont en rapport avec la conduite autonome, ou encore la collecte de données. Les dépôts de brevet sont donc encore bien loin dans la liste des priorités. L’évolution du statut de l’intelligence artificielle tant à évoluer de partout dans le monde, non seulement en Europe.

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Au sein de l’Union européenne, les débats autour de l’intelligence artificielle deviennent de plus en plus courants. Très souvent les problématiques sont en rapport avec la conduite autonome, ou encore la collecte de données. Les dépôts de brevet sont donc encore bien loin dans la liste des priorités. L’évolution du statut de l’intelligence artificielle tant à évoluer de partout dans le monde, non seulement en Europe.

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C’est une première mondiale, en Afrique du Sud, une intelligence artificielle vient de signer son premier brevet. Cette IA est donc considérée comme l’inventeur de ce brevet. Baptisée Dabus, cette intelligence artificielle a été développée par le chercheur américain Stephen Thaler. Ce brevet en question est un récipient alimentaire que permet de mieux conserver la chaleur, conçue intégralement par Dabus en août 2020.
Le statut de l’intelligence artificielle à revoir ?
Évidemment, le concept n’a rien de très novateur, Tupperware propose cela depuis 1946, toutefois, la reconnaissance de paternité est historique. Depuis deux, l’équipe derrière The Artificial Inventor Project tente par tous les moyens de faire reconnaître Dabus comme le détenteur de ce brevet. The Artificial Inventor Project a déposé des dizaines de demandes partout dans le monde, que ce soit aux États-Unis, dans l’Union européenne, ou encore au Royaume-Uni, sans succès. Il aura fallu attendre le 29 juillet 2021 pour que l’office des brevets sud-africain devienne la première à reconnaître Dabus comme propriétaire de ce brevet.
Interrogée par Le Figaro, Alexandra Mendoza-Caminade, professeur à l’université Toulouse Capitole, explique : “Si jusqu’à présent aucun autre office n’a admis de brevet avec mention d’une IA, c’est parce que l’on considère que l’inventeur doit nécessairement être une personne physique”. Cette dernière ajoute : “Aujourd’hui l’IA n’est pas un sujet de droit, et n’a pas de droit. On ne peut donc pas reconnaître et protéger ses créations. Ce sera le cas tant qu’elle sera reconnue comme une machine et un outil”.
Au sein de l’Union européenne, les débats autour de l’intelligence artificielle deviennent de plus en plus courants. Très souvent les problématiques sont en rapport avec la conduite autonome, ou encore la collecte de données. Les dépôts de brevet sont donc encore bien loin dans la liste des priorités. L’évolution du statut de l’intelligence artificielle tant à évoluer de partout dans le monde, non seulement en Europe.

C’est une première mondiale, en Afrique du Sud, une intelligence artificielle vient de signer son premier brevet. Cette IA est donc considérée comme l’inventeur de ce brevet. Baptisée Dabus, cette intelligence artificielle a été développée par le chercheur américain Stephen Thaler. Ce brevet en question est un récipient alimentaire que permet de mieux conserver la chaleur, conçue intégralement par Dabus en août 2020.
Le statut de l’intelligence artificielle à revoir ?
Évidemment, le concept n’a rien de très novateur, Tupperware propose cela depuis 1946, toutefois, la reconnaissance de paternité est historique. Depuis deux, l’équipe derrière The Artificial Inventor Project tente par tous les moyens de faire reconnaître Dabus comme le détenteur de ce brevet. The Artificial Inventor Project a déposé des dizaines de demandes partout dans le monde, que ce soit aux États-Unis, dans l’Union européenne, ou encore au Royaume-Uni, sans succès. Il aura fallu attendre le 29 juillet 2021 pour que l’office des brevets sud-africain devienne la première à reconnaître Dabus comme propriétaire de ce brevet.
Interrogée par Le Figaro, Alexandra Mendoza-Caminade, professeur à l’université Toulouse Capitole, explique : “Si jusqu’à présent aucun autre office n’a admis de brevet avec mention d’une IA, c’est parce que l’on considère que l’inventeur doit nécessairement être une personne physique”. Cette dernière ajoute : “Aujourd’hui l’IA n’est pas un sujet de droit, et n’a pas de droit. On ne peut donc pas reconnaître et protéger ses créations. Ce sera le cas tant qu’elle sera reconnue comme une machine et un outil”.
Au sein de l’Union européenne, les débats autour de l’intelligence artificielle deviennent de plus en plus courants. Très souvent les problématiques sont en rapport avec la conduite autonome, ou encore la collecte de données. Les dépôts de brevet sont donc encore bien loin dans la liste des priorités. L’évolution du statut de l’intelligence artificielle tant à évoluer de partout dans le monde, non seulement en Europe.

C’est une première mondiale, en Afrique du Sud, une intelligence artificielle vient de signer son premier brevet. Cette IA est donc considérée comme l’inventeur de ce brevet. Baptisée Dabus, cette intelligence artificielle a été développée par le chercheur américain Stephen Thaler. Ce brevet en question est un récipient alimentaire que permet de mieux conserver la chaleur, conçue intégralement par Dabus en août 2020.
Le statut de l’intelligence artificielle à revoir ?
Évidemment, le concept n’a rien de très novateur, Tupperware propose cela depuis 1946, toutefois, la reconnaissance de paternité est historique. Depuis deux, l’équipe derrière The Artificial Inventor Project tente par tous les moyens de faire reconnaître Dabus comme le détenteur de ce brevet. The Artificial Inventor Project a déposé des dizaines de demandes partout dans le monde, que ce soit aux États-Unis, dans l’Union européenne, ou encore au Royaume-Uni, sans succès. Il aura fallu attendre le 29 juillet 2021 pour que l’office des brevets sud-africain devienne la première à reconnaître Dabus comme propriétaire de ce brevet.
Interrogée par Le Figaro, Alexandra Mendoza-Caminade, professeur à l’université Toulouse Capitole, explique : “Si jusqu’à présent aucun autre office n’a admis de brevet avec mention d’une IA, c’est parce que l’on considère que l’inventeur doit nécessairement être une personne physique”. Cette dernière ajoute : “Aujourd’hui l’IA n’est pas un sujet de droit, et n’a pas de droit. On ne peut donc pas reconnaître et protéger ses créations. Ce sera le cas tant qu’elle sera reconnue comme une machine et un outil”.
Au sein de l’Union européenne, les débats autour de l’intelligence artificielle deviennent de plus en plus courants. Très souvent les problématiques sont en rapport avec la conduite autonome, ou encore la collecte de données. Les dépôts de brevet sont donc encore bien loin dans la liste des priorités. L’évolution du statut de l’intelligence artificielle tant à évoluer de partout dans le monde, non seulement en Europe.

C’est une première mondiale, en Afrique du Sud, une intelligence artificielle vient de signer son premier brevet. Cette IA est donc considérée comme l’inventeur de ce brevet. Baptisée Dabus, cette intelligence artificielle a été développée par le chercheur américain Stephen Thaler. Ce brevet en question est un récipient alimentaire que permet de mieux conserver la chaleur, conçue intégralement par Dabus en août 2020.
Le statut de l’intelligence artificielle à revoir ?
Évidemment, le concept n’a rien de très novateur, Tupperware propose cela depuis 1946, toutefois, la reconnaissance de paternité est historique. Depuis deux, l’équipe derrière The Artificial Inventor Project tente par tous les moyens de faire reconnaître Dabus comme le détenteur de ce brevet. The Artificial Inventor Project a déposé des dizaines de demandes partout dans le monde, que ce soit aux États-Unis, dans l’Union européenne, ou encore au Royaume-Uni, sans succès. Il aura fallu attendre le 29 juillet 2021 pour que l’office des brevets sud-africain devienne la première à reconnaître Dabus comme propriétaire de ce brevet.
Interrogée par Le Figaro, Alexandra Mendoza-Caminade, professeur à l’université Toulouse Capitole, explique : “Si jusqu’à présent aucun autre office n’a admis de brevet avec mention d’une IA, c’est parce que l’on considère que l’inventeur doit nécessairement être une personne physique”. Cette dernière ajoute : “Aujourd’hui l’IA n’est pas un sujet de droit, et n’a pas de droit. On ne peut donc pas reconnaître et protéger ses créations. Ce sera le cas tant qu’elle sera reconnue comme une machine et un outil”.
Au sein de l’Union européenne, les débats autour de l’intelligence artificielle deviennent de plus en plus courants. Très souvent les problématiques sont en rapport avec la conduite autonome, ou encore la collecte de données. Les dépôts de brevet sont donc encore bien loin dans la liste des priorités. L’évolution du statut de l’intelligence artificielle tant à évoluer de partout dans le monde, non seulement en Europe.

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Évidemment, le concept n’a rien de très novateur, Tupperware propose cela depuis 1946, toutefois, la reconnaissance de paternité est historique. Depuis deux, l’équipe derrière The Artificial Inventor Project tente par tous les moyens de faire reconnaître Dabus comme le détenteur de ce brevet. The Artificial Inventor Project a déposé des dizaines de demandes partout dans le monde, que ce soit aux États-Unis, dans l’Union européenne, ou encore au Royaume-Uni, sans succès. Il aura fallu attendre le 29 juillet 2021 pour que l’office des brevets sud-africain devienne la première à reconnaître Dabus comme propriétaire de ce brevet.
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Au sein de l’Union européenne, les débats autour de l’intelligence artificielle deviennent de plus en plus courants. Très souvent les problématiques sont en rapport avec la conduite autonome, ou encore la collecte de données. Les dépôts de brevet sont donc encore bien loin dans la liste des priorités. L’évolution du statut de l’intelligence artificielle tant à évoluer de partout dans le monde, non seulement en Europe.

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Au sein de l’Union européenne, les débats autour de l’intelligence artificielle deviennent de plus en plus courants. Très souvent les problématiques sont en rapport avec la conduite autonome, ou encore la collecte de données. Les dépôts de brevet sont donc encore bien loin dans la liste des priorités. L’évolution du statut de l’intelligence artificielle tant à évoluer de partout dans le monde, non seulement en Europe.

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C’est une première mondiale, en Afrique du Sud, une intelligence artificielle vient de signer son premier brevet. Cette IA est donc considérée comme l’inventeur de ce brevet. Baptisée Dabus, cette intelligence artificielle a été développée par le chercheur américain Stephen Thaler. Ce brevet en question est un récipient alimentaire que permet de mieux conserver la chaleur, conçue intégralement par Dabus en août 2020.
Le statut de l’intelligence artificielle à revoir ?
Évidemment, le concept n’a rien de très novateur, Tupperware propose cela depuis 1946, toutefois, la reconnaissance de paternité est historique. Depuis deux, l’équipe derrière The Artificial Inventor Project tente par tous les moyens de faire reconnaître Dabus comme le détenteur de ce brevet. The Artificial Inventor Project a déposé des dizaines de demandes partout dans le monde, que ce soit aux États-Unis, dans l’Union européenne, ou encore au Royaume-Uni, sans succès. Il aura fallu attendre le 29 juillet 2021 pour que l’office des brevets sud-africain devienne la première à reconnaître Dabus comme propriétaire de ce brevet.
Interrogée par Le Figaro, Alexandra Mendoza-Caminade, professeur à l’université Toulouse Capitole, explique : “Si jusqu’à présent aucun autre office n’a admis de brevet avec mention d’une IA, c’est parce que l’on considère que l’inventeur doit nécessairement être une personne physique”. Cette dernière ajoute : “Aujourd’hui l’IA n’est pas un sujet de droit, et n’a pas de droit. On ne peut donc pas reconnaître et protéger ses créations. Ce sera le cas tant qu’elle sera reconnue comme une machine et un outil”.
Au sein de l’Union européenne, les débats autour de l’intelligence artificielle deviennent de plus en plus courants. Très souvent les problématiques sont en rapport avec la conduite autonome, ou encore la collecte de données. Les dépôts de brevet sont donc encore bien loin dans la liste des priorités. L’évolution du statut de l’intelligence artificielle tant à évoluer de partout dans le monde, non seulement en Europe.

C’est une première mondiale, en Afrique du Sud, une intelligence artificielle vient de signer son premier brevet. Cette IA est donc considérée comme l’inventeur de ce brevet. Baptisée Dabus, cette intelligence artificielle a été développée par le chercheur américain Stephen Thaler. Ce brevet en question est un récipient alimentaire que permet de mieux conserver la chaleur, conçue intégralement par Dabus en août 2020.
Le statut de l’intelligence artificielle à revoir ?
Évidemment, le concept n’a rien de très novateur, Tupperware propose cela depuis 1946, toutefois, la reconnaissance de paternité est historique. Depuis deux, l’équipe derrière The Artificial Inventor Project tente par tous les moyens de faire reconnaître Dabus comme le détenteur de ce brevet. The Artificial Inventor Project a déposé des dizaines de demandes partout dans le monde, que ce soit aux États-Unis, dans l’Union européenne, ou encore au Royaume-Uni, sans succès. Il aura fallu attendre le 29 juillet 2021 pour que l’office des brevets sud-africain devienne la première à reconnaître Dabus comme propriétaire de ce brevet.
Interrogée par Le Figaro, Alexandra Mendoza-Caminade, professeur à l’université Toulouse Capitole, explique : “Si jusqu’à présent aucun autre office n’a admis de brevet avec mention d’une IA, c’est parce que l’on considère que l’inventeur doit nécessairement être une personne physique”. Cette dernière ajoute : “Aujourd’hui l’IA n’est pas un sujet de droit, et n’a pas de droit. On ne peut donc pas reconnaître et protéger ses créations. Ce sera le cas tant qu’elle sera reconnue comme une machine et un outil”.
Au sein de l’Union européenne, les débats autour de l’intelligence artificielle deviennent de plus en plus courants. Très souvent les problématiques sont en rapport avec la conduite autonome, ou encore la collecte de données. Les dépôts de brevet sont donc encore bien loin dans la liste des priorités. L’évolution du statut de l’intelligence artificielle tant à évoluer de partout dans le monde, non seulement en Europe.

C’est une première mondiale, en Afrique du Sud, une intelligence artificielle vient de signer son premier brevet. Cette IA est donc considérée comme l’inventeur de ce brevet. Baptisée Dabus, cette intelligence artificielle a été développée par le chercheur américain Stephen Thaler. Ce brevet en question est un récipient alimentaire que permet de mieux conserver la chaleur, conçue intégralement par Dabus en août 2020.
Le statut de l’intelligence artificielle à revoir ?
Évidemment, le concept n’a rien de très novateur, Tupperware propose cela depuis 1946, toutefois, la reconnaissance de paternité est historique. Depuis deux, l’équipe derrière The Artificial Inventor Project tente par tous les moyens de faire reconnaître Dabus comme le détenteur de ce brevet. The Artificial Inventor Project a déposé des dizaines de demandes partout dans le monde, que ce soit aux États-Unis, dans l’Union européenne, ou encore au Royaume-Uni, sans succès. Il aura fallu attendre le 29 juillet 2021 pour que l’office des brevets sud-africain devienne la première à reconnaître Dabus comme propriétaire de ce brevet.
Interrogée par Le Figaro, Alexandra Mendoza-Caminade, professeur à l’université Toulouse Capitole, explique : “Si jusqu’à présent aucun autre office n’a admis de brevet avec mention d’une IA, c’est parce que l’on considère que l’inventeur doit nécessairement être une personne physique”. Cette dernière ajoute : “Aujourd’hui l’IA n’est pas un sujet de droit, et n’a pas de droit. On ne peut donc pas reconnaître et protéger ses créations. Ce sera le cas tant qu’elle sera reconnue comme une machine et un outil”.
Au sein de l’Union européenne, les débats autour de l’intelligence artificielle deviennent de plus en plus courants. Très souvent les problématiques sont en rapport avec la conduite autonome, ou encore la collecte de données. Les dépôts de brevet sont donc encore bien loin dans la liste des priorités. L’évolution du statut de l’intelligence artificielle tant à évoluer de partout dans le monde, non seulement en Europe.

C’est une première mondiale, en Afrique du Sud, une intelligence artificielle vient de signer son premier brevet. Cette IA est donc considérée comme l’inventeur de ce brevet. Baptisée Dabus, cette intelligence artificielle a été développée par le chercheur américain Stephen Thaler. Ce brevet en question est un récipient alimentaire que permet de mieux conserver la chaleur, conçue intégralement par Dabus en août 2020.
Le statut de l’intelligence artificielle à revoir ?
Évidemment, le concept n’a rien de très novateur, Tupperware propose cela depuis 1946, toutefois, la reconnaissance de paternité est historique. Depuis deux, l’équipe derrière The Artificial Inventor Project tente par tous les moyens de faire reconnaître Dabus comme le détenteur de ce brevet. The Artificial Inventor Project a déposé des dizaines de demandes partout dans le monde, que ce soit aux États-Unis, dans l’Union européenne, ou encore au Royaume-Uni, sans succès. Il aura fallu attendre le 29 juillet 2021 pour que l’office des brevets sud-africain devienne la première à reconnaître Dabus comme propriétaire de ce brevet.
Interrogée par Le Figaro, Alexandra Mendoza-Caminade, professeur à l’université Toulouse Capitole, explique : “Si jusqu’à présent aucun autre office n’a admis de brevet avec mention d’une IA, c’est parce que l’on considère que l’inventeur doit nécessairement être une personne physique”. Cette dernière ajoute : “Aujourd’hui l’IA n’est pas un sujet de droit, et n’a pas de droit. On ne peut donc pas reconnaître et protéger ses créations. Ce sera le cas tant qu’elle sera reconnue comme une machine et un outil”.
Au sein de l’Union européenne, les débats autour de l’intelligence artificielle deviennent de plus en plus courants. Très souvent les problématiques sont en rapport avec la conduite autonome, ou encore la collecte de données. Les dépôts de brevet sont donc encore bien loin dans la liste des priorités. L’évolution du statut de l’intelligence artificielle tant à évoluer de partout dans le monde, non seulement en Europe.

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Évidemment, le concept n’a rien de très novateur, Tupperware propose cela depuis 1946, toutefois, la reconnaissance de paternité est historique. Depuis deux, l’équipe derrière The Artificial Inventor Project tente par tous les moyens de faire reconnaître Dabus comme le détenteur de ce brevet. The Artificial Inventor Project a déposé des dizaines de demandes partout dans le monde, que ce soit aux États-Unis, dans l’Union européenne, ou encore au Royaume-Uni, sans succès. Il aura fallu attendre le 29 juillet 2021 pour que l’office des brevets sud-africain devienne la première à reconnaître Dabus comme propriétaire de ce brevet.
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Au sein de l’Union européenne, les débats autour de l’intelligence artificielle deviennent de plus en plus courants. Très souvent les problématiques sont en rapport avec la conduite autonome, ou encore la collecte de données. Les dépôts de brevet sont donc encore bien loin dans la liste des priorités. L’évolution du statut de l’intelligence artificielle tant à évoluer de partout dans le monde, non seulement en Europe.

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Au sein de l’Union européenne, les débats autour de l’intelligence artificielle deviennent de plus en plus courants. Très souvent les problématiques sont en rapport avec la conduite autonome, ou encore la collecte de données. Les dépôts de brevet sont donc encore bien loin dans la liste des priorités. L’évolution du statut de l’intelligence artificielle tant à évoluer de partout dans le monde, non seulement en Europe.

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C’est une première mondiale, en Afrique du Sud, une intelligence artificielle vient de signer son premier brevet. Cette IA est donc considérée comme l’inventeur de ce brevet. Baptisée Dabus, cette intelligence artificielle a été développée par le chercheur américain Stephen Thaler. Ce brevet en question est un récipient alimentaire que permet de mieux conserver la chaleur, conçue intégralement par Dabus en août 2020.
Le statut de l’intelligence artificielle à revoir ?
Évidemment, le concept n’a rien de très novateur, Tupperware propose cela depuis 1946, toutefois, la reconnaissance de paternité est historique. Depuis deux, l’équipe derrière The Artificial Inventor Project tente par tous les moyens de faire reconnaître Dabus comme le détenteur de ce brevet. The Artificial Inventor Project a déposé des dizaines de demandes partout dans le monde, que ce soit aux États-Unis, dans l’Union européenne, ou encore au Royaume-Uni, sans succès. Il aura fallu attendre le 29 juillet 2021 pour que l’office des brevets sud-africain devienne la première à reconnaître Dabus comme propriétaire de ce brevet.
Interrogée par Le Figaro, Alexandra Mendoza-Caminade, professeur à l’université Toulouse Capitole, explique : “Si jusqu’à présent aucun autre office n’a admis de brevet avec mention d’une IA, c’est parce que l’on considère que l’inventeur doit nécessairement être une personne physique”. Cette dernière ajoute : “Aujourd’hui l’IA n’est pas un sujet de droit, et n’a pas de droit. On ne peut donc pas reconnaître et protéger ses créations. Ce sera le cas tant qu’elle sera reconnue comme une machine et un outil”.
Au sein de l’Union européenne, les débats autour de l’intelligence artificielle deviennent de plus en plus courants. Très souvent les problématiques sont en rapport avec la conduite autonome, ou encore la collecte de données. Les dépôts de brevet sont donc encore bien loin dans la liste des priorités. L’évolution du statut de l’intelligence artificielle tant à évoluer de partout dans le monde, non seulement en Europe.

C’est une première mondiale, en Afrique du Sud, une intelligence artificielle vient de signer son premier brevet. Cette IA est donc considérée comme l’inventeur de ce brevet. Baptisée Dabus, cette intelligence artificielle a été développée par le chercheur américain Stephen Thaler. Ce brevet en question est un récipient alimentaire que permet de mieux conserver la chaleur, conçue intégralement par Dabus en août 2020.
Le statut de l’intelligence artificielle à revoir ?
Évidemment, le concept n’a rien de très novateur, Tupperware propose cela depuis 1946, toutefois, la reconnaissance de paternité est historique. Depuis deux, l’équipe derrière The Artificial Inventor Project tente par tous les moyens de faire reconnaître Dabus comme le détenteur de ce brevet. The Artificial Inventor Project a déposé des dizaines de demandes partout dans le monde, que ce soit aux États-Unis, dans l’Union européenne, ou encore au Royaume-Uni, sans succès. Il aura fallu attendre le 29 juillet 2021 pour que l’office des brevets sud-africain devienne la première à reconnaître Dabus comme propriétaire de ce brevet.
Interrogée par Le Figaro, Alexandra Mendoza-Caminade, professeur à l’université Toulouse Capitole, explique : “Si jusqu’à présent aucun autre office n’a admis de brevet avec mention d’une IA, c’est parce que l’on considère que l’inventeur doit nécessairement être une personne physique”. Cette dernière ajoute : “Aujourd’hui l’IA n’est pas un sujet de droit, et n’a pas de droit. On ne peut donc pas reconnaître et protéger ses créations. Ce sera le cas tant qu’elle sera reconnue comme une machine et un outil”.
Au sein de l’Union européenne, les débats autour de l’intelligence artificielle deviennent de plus en plus courants. Très souvent les problématiques sont en rapport avec la conduite autonome, ou encore la collecte de données. Les dépôts de brevet sont donc encore bien loin dans la liste des priorités. L’évolution du statut de l’intelligence artificielle tant à évoluer de partout dans le monde, non seulement en Europe.

C’est une première mondiale, en Afrique du Sud, une intelligence artificielle vient de signer son premier brevet. Cette IA est donc considérée comme l’inventeur de ce brevet. Baptisée Dabus, cette intelligence artificielle a été développée par le chercheur américain Stephen Thaler. Ce brevet en question est un récipient alimentaire que permet de mieux conserver la chaleur, conçue intégralement par Dabus en août 2020.
Le statut de l’intelligence artificielle à revoir ?
Évidemment, le concept n’a rien de très novateur, Tupperware propose cela depuis 1946, toutefois, la reconnaissance de paternité est historique. Depuis deux, l’équipe derrière The Artificial Inventor Project tente par tous les moyens de faire reconnaître Dabus comme le détenteur de ce brevet. The Artificial Inventor Project a déposé des dizaines de demandes partout dans le monde, que ce soit aux États-Unis, dans l’Union européenne, ou encore au Royaume-Uni, sans succès. Il aura fallu attendre le 29 juillet 2021 pour que l’office des brevets sud-africain devienne la première à reconnaître Dabus comme propriétaire de ce brevet.
Interrogée par Le Figaro, Alexandra Mendoza-Caminade, professeur à l’université Toulouse Capitole, explique : “Si jusqu’à présent aucun autre office n’a admis de brevet avec mention d’une IA, c’est parce que l’on considère que l’inventeur doit nécessairement être une personne physique”. Cette dernière ajoute : “Aujourd’hui l’IA n’est pas un sujet de droit, et n’a pas de droit. On ne peut donc pas reconnaître et protéger ses créations. Ce sera le cas tant qu’elle sera reconnue comme une machine et un outil”.
Au sein de l’Union européenne, les débats autour de l’intelligence artificielle deviennent de plus en plus courants. Très souvent les problématiques sont en rapport avec la conduite autonome, ou encore la collecte de données. Les dépôts de brevet sont donc encore bien loin dans la liste des priorités. L’évolution du statut de l’intelligence artificielle tant à évoluer de partout dans le monde, non seulement en Europe.

C’est une première mondiale, en Afrique du Sud, une intelligence artificielle vient de signer son premier brevet. Cette IA est donc considérée comme l’inventeur de ce brevet. Baptisée Dabus, cette intelligence artificielle a été développée par le chercheur américain Stephen Thaler. Ce brevet en question est un récipient alimentaire que permet de mieux conserver la chaleur, conçue intégralement par Dabus en août 2020.
Le statut de l’intelligence artificielle à revoir ?
Évidemment, le concept n’a rien de très novateur, Tupperware propose cela depuis 1946, toutefois, la reconnaissance de paternité est historique. Depuis deux, l’équipe derrière The Artificial Inventor Project tente par tous les moyens de faire reconnaître Dabus comme le détenteur de ce brevet. The Artificial Inventor Project a déposé des dizaines de demandes partout dans le monde, que ce soit aux États-Unis, dans l’Union européenne, ou encore au Royaume-Uni, sans succès. Il aura fallu attendre le 29 juillet 2021 pour que l’office des brevets sud-africain devienne la première à reconnaître Dabus comme propriétaire de ce brevet.
Interrogée par Le Figaro, Alexandra Mendoza-Caminade, professeur à l’université Toulouse Capitole, explique : “Si jusqu’à présent aucun autre office n’a admis de brevet avec mention d’une IA, c’est parce que l’on considère que l’inventeur doit nécessairement être une personne physique”. Cette dernière ajoute : “Aujourd’hui l’IA n’est pas un sujet de droit, et n’a pas de droit. On ne peut donc pas reconnaître et protéger ses créations. Ce sera le cas tant qu’elle sera reconnue comme une machine et un outil”.
Au sein de l’Union européenne, les débats autour de l’intelligence artificielle deviennent de plus en plus courants. Très souvent les problématiques sont en rapport avec la conduite autonome, ou encore la collecte de données. Les dépôts de brevet sont donc encore bien loin dans la liste des priorités. L’évolution du statut de l’intelligence artificielle tant à évoluer de partout dans le monde, non seulement en Europe.

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Évidemment, le concept n’a rien de très novateur, Tupperware propose cela depuis 1946, toutefois, la reconnaissance de paternité est historique. Depuis deux, l’équipe derrière The Artificial Inventor Project tente par tous les moyens de faire reconnaître Dabus comme le détenteur de ce brevet. The Artificial Inventor Project a déposé des dizaines de demandes partout dans le monde, que ce soit aux États-Unis, dans l’Union européenne, ou encore au Royaume-Uni, sans succès. Il aura fallu attendre le 29 juillet 2021 pour que l’office des brevets sud-africain devienne la première à reconnaître Dabus comme propriétaire de ce brevet.
Interrogée par Le Figaro, Alexandra Mendoza-Caminade, professeur à l’université Toulouse Capitole, explique : “Si jusqu’à présent aucun autre office n’a admis de brevet avec mention d’une IA, c’est parce que l’on considère que l’inventeur doit nécessairement être une personne physique”. Cette dernière ajoute : “Aujourd’hui l’IA n’est pas un sujet de droit, et n’a pas de droit. On ne peut donc pas reconnaître et protéger ses créations. Ce sera le cas tant qu’elle sera reconnue comme une machine et un outil”.
Au sein de l’Union européenne, les débats autour de l’intelligence artificielle deviennent de plus en plus courants. Très souvent les problématiques sont en rapport avec la conduite autonome, ou encore la collecte de données. Les dépôts de brevet sont donc encore bien loin dans la liste des priorités. L’évolution du statut de l’intelligence artificielle tant à évoluer de partout dans le monde, non seulement en Europe.

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Évidemment, le concept n’a rien de très novateur, Tupperware propose cela depuis 1946, toutefois, la reconnaissance de paternité est historique. Depuis deux, l’équipe derrière The Artificial Inventor Project tente par tous les moyens de faire reconnaître Dabus comme le détenteur de ce brevet. The Artificial Inventor Project a déposé des dizaines de demandes partout dans le monde, que ce soit aux États-Unis, dans l’Union européenne, ou encore au Royaume-Uni, sans succès. Il aura fallu attendre le 29 juillet 2021 pour que l’office des brevets sud-africain devienne la première à reconnaître Dabus comme propriétaire de ce brevet.
Interrogée par Le Figaro, Alexandra Mendoza-Caminade, professeur à l’université Toulouse Capitole, explique : “Si jusqu’à présent aucun autre office n’a admis de brevet avec mention d’une IA, c’est parce que l’on considère que l’inventeur doit nécessairement être une personne physique”. Cette dernière ajoute : “Aujourd’hui l’IA n’est pas un sujet de droit, et n’a pas de droit. On ne peut donc pas reconnaître et protéger ses créations. Ce sera le cas tant qu’elle sera reconnue comme une machine et un outil”.
Au sein de l’Union européenne, les débats autour de l’intelligence artificielle deviennent de plus en plus courants. Très souvent les problématiques sont en rapport avec la conduite autonome, ou encore la collecte de données. Les dépôts de brevet sont donc encore bien loin dans la liste des priorités. L’évolution du statut de l’intelligence artificielle tant à évoluer de partout dans le monde, non seulement en Europe.

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Au sein de l’Union européenne, les débats autour de l’intelligence artificielle deviennent de plus en plus courants. Très souvent les problématiques sont en rapport avec la conduite autonome, ou encore la collecte de données. Les dépôts de brevet sont donc encore bien loin dans la liste des priorités. L’évolution du statut de l’intelligence artificielle tant à évoluer de partout dans le monde, non seulement en Europe.

C’est une première mondiale, en Afrique du Sud, une intelligence artificielle vient de signer son premier brevet. Cette IA est donc considérée comme l’inventeur de ce brevet. Baptisée Dabus, cette intelligence artificielle a été développée par le chercheur américain Stephen Thaler. Ce brevet en question est un récipient alimentaire que permet de mieux conserver la chaleur, conçue intégralement par Dabus en août 2020.
Le statut de l’intelligence artificielle à revoir ?
Évidemment, le concept n’a rien de très novateur, Tupperware propose cela depuis 1946, toutefois, la reconnaissance de paternité est historique. Depuis deux, l’équipe derrière The Artificial Inventor Project tente par tous les moyens de faire reconnaître Dabus comme le détenteur de ce brevet. The Artificial Inventor Project a déposé des dizaines de demandes partout dans le monde, que ce soit aux États-Unis, dans l’Union européenne, ou encore au Royaume-Uni, sans succès. Il aura fallu attendre le 29 juillet 2021 pour que l’office des brevets sud-africain devienne la première à reconnaître Dabus comme propriétaire de ce brevet.
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