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Home » Une IA d’IBM réussit à prédire l’évolution de la maladie de Parkinson

Une IA d’IBM réussit à prédire l’évolution de la maladie de Parkinson

14/10/2021
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Des chercheurs IBM et la Fondation Michael J. Fox (MJFF) annoncent avoir développé une intelligence artificielle capable de prédire comment les symptômes de la maladie de Parkinson évolueront chez un patient. L’idée est d’avoir une idée plus précise de la vitesse de progression de la maladie ainsi que sa gravité. Une aide précieuse pour les médecins qui pourront mieux ajuster leur prise en charge – une petite révolution dans le traitement de la maladie.

“Notre objectif est d’utiliser l’IA pour informer la gestion des patients et la conception des essais cliniques. Ces objectifs sont importants car, malgré la prévalence de la maladie de Parkinson, les patients font l’expérience d’une gamme unique de symptômes moteurs et non moteurs”, explique IBM dans un papier scientifique publié dans The Lancet Digital Health journal. La MJFF a eu un rôle crucial. Cette fondation, créé par l’acteur qui joue Marty McFly dans Retour vers le Futur a financé une étude massive portant sur 1400 individus atteints de la maladie.

Les résultats de l’enquête ont permis de constituer un set de données décrit comme “le plus vaste et robuste” à ce jour. Grâce à ces données, IBM a permis à son modèle d’IA de cartographier les symptômes les plus complexes et ambigus et les motifs qui se cachent dans les différents profils de progression de la maladie. L’utilisation de cette technologie n’a rien d’inédit. On a en effet déjà vu pas mal d’exemples de ce type pour détecter, par exemple, des tumeurs au cerveau, des cas d’insuffisance rénale et divers cancers.

Le travail des chercheurs n’est néanmoins pas terminé. IBM et la fondation MJFF expliquent qu’ils leur reste encore beaucoup de travail pour affiner leur modèle d’intelligence artificielle avant que ce dernier ne puisse réellement aider les médecins. Les chercheurs espèrent notamment rendre leur modèle capable de délivrer des pronostics plus précis des différents stades de la maladie. Autour de 10 millions de personnes dans le monde sont atteints de la maladie de Parkinson.

Cette maladie en grande partie liée à l’âge touche environ 1% des plus de 60 ans. Mais il arrive également qu’elle se déclare plus tôt. Quelques 41 personnes sur 100 000 développent des symptômes de la maladie dès 40 ans – dit autrement, 4% des personnes atteintes ont moins de 50 ans. Les hommes ont 1,5 fois plus de chances de développer la maladie que les femmes. Il n’existe à ce jour aucun traitement permettant de réellement soigner la maladie de Parkinson.

Des chercheurs IBM et la Fondation Michael J. Fox (MJFF) annoncent avoir développé une intelligence artificielle capable de prédire comment les symptômes de la maladie de Parkinson évolueront chez un patient. L’idée est d’avoir une idée plus précise de la vitesse de progression de la maladie ainsi que sa gravité. Une aide précieuse pour les médecins qui pourront mieux ajuster leur prise en charge – une petite révolution dans le traitement de la maladie.

“Notre objectif est d’utiliser l’IA pour informer la gestion des patients et la conception des essais cliniques. Ces objectifs sont importants car, malgré la prévalence de la maladie de Parkinson, les patients font l’expérience d’une gamme unique de symptômes moteurs et non moteurs”, explique IBM dans un papier scientifique publié dans The Lancet Digital Health journal. La MJFF a eu un rôle crucial. Cette fondation, créé par l’acteur qui joue Marty McFly dans Retour vers le Futur a financé une étude massive portant sur 1400 individus atteints de la maladie.

Les résultats de l’enquête ont permis de constituer un set de données décrit comme “le plus vaste et robuste” à ce jour. Grâce à ces données, IBM a permis à son modèle d’IA de cartographier les symptômes les plus complexes et ambigus et les motifs qui se cachent dans les différents profils de progression de la maladie. L’utilisation de cette technologie n’a rien d’inédit. On a en effet déjà vu pas mal d’exemples de ce type pour détecter, par exemple, des tumeurs au cerveau, des cas d’insuffisance rénale et divers cancers.

Le travail des chercheurs n’est néanmoins pas terminé. IBM et la fondation MJFF expliquent qu’ils leur reste encore beaucoup de travail pour affiner leur modèle d’intelligence artificielle avant que ce dernier ne puisse réellement aider les médecins. Les chercheurs espèrent notamment rendre leur modèle capable de délivrer des pronostics plus précis des différents stades de la maladie. Autour de 10 millions de personnes dans le monde sont atteints de la maladie de Parkinson.

Cette maladie en grande partie liée à l’âge touche environ 1% des plus de 60 ans. Mais il arrive également qu’elle se déclare plus tôt. Quelques 41 personnes sur 100 000 développent des symptômes de la maladie dès 40 ans – dit autrement, 4% des personnes atteintes ont moins de 50 ans. Les hommes ont 1,5 fois plus de chances de développer la maladie que les femmes. Il n’existe à ce jour aucun traitement permettant de réellement soigner la maladie de Parkinson.

Des chercheurs IBM et la Fondation Michael J. Fox (MJFF) annoncent avoir développé une intelligence artificielle capable de prédire comment les symptômes de la maladie de Parkinson évolueront chez un patient. L’idée est d’avoir une idée plus précise de la vitesse de progression de la maladie ainsi que sa gravité. Une aide précieuse pour les médecins qui pourront mieux ajuster leur prise en charge – une petite révolution dans le traitement de la maladie.

“Notre objectif est d’utiliser l’IA pour informer la gestion des patients et la conception des essais cliniques. Ces objectifs sont importants car, malgré la prévalence de la maladie de Parkinson, les patients font l’expérience d’une gamme unique de symptômes moteurs et non moteurs”, explique IBM dans un papier scientifique publié dans The Lancet Digital Health journal. La MJFF a eu un rôle crucial. Cette fondation, créé par l’acteur qui joue Marty McFly dans Retour vers le Futur a financé une étude massive portant sur 1400 individus atteints de la maladie.

Les résultats de l’enquête ont permis de constituer un set de données décrit comme “le plus vaste et robuste” à ce jour. Grâce à ces données, IBM a permis à son modèle d’IA de cartographier les symptômes les plus complexes et ambigus et les motifs qui se cachent dans les différents profils de progression de la maladie. L’utilisation de cette technologie n’a rien d’inédit. On a en effet déjà vu pas mal d’exemples de ce type pour détecter, par exemple, des tumeurs au cerveau, des cas d’insuffisance rénale et divers cancers.

Le travail des chercheurs n’est néanmoins pas terminé. IBM et la fondation MJFF expliquent qu’ils leur reste encore beaucoup de travail pour affiner leur modèle d’intelligence artificielle avant que ce dernier ne puisse réellement aider les médecins. Les chercheurs espèrent notamment rendre leur modèle capable de délivrer des pronostics plus précis des différents stades de la maladie. Autour de 10 millions de personnes dans le monde sont atteints de la maladie de Parkinson.

Cette maladie en grande partie liée à l’âge touche environ 1% des plus de 60 ans. Mais il arrive également qu’elle se déclare plus tôt. Quelques 41 personnes sur 100 000 développent des symptômes de la maladie dès 40 ans – dit autrement, 4% des personnes atteintes ont moins de 50 ans. Les hommes ont 1,5 fois plus de chances de développer la maladie que les femmes. Il n’existe à ce jour aucun traitement permettant de réellement soigner la maladie de Parkinson.

Des chercheurs IBM et la Fondation Michael J. Fox (MJFF) annoncent avoir développé une intelligence artificielle capable de prédire comment les symptômes de la maladie de Parkinson évolueront chez un patient. L’idée est d’avoir une idée plus précise de la vitesse de progression de la maladie ainsi que sa gravité. Une aide précieuse pour les médecins qui pourront mieux ajuster leur prise en charge – une petite révolution dans le traitement de la maladie.

“Notre objectif est d’utiliser l’IA pour informer la gestion des patients et la conception des essais cliniques. Ces objectifs sont importants car, malgré la prévalence de la maladie de Parkinson, les patients font l’expérience d’une gamme unique de symptômes moteurs et non moteurs”, explique IBM dans un papier scientifique publié dans The Lancet Digital Health journal. La MJFF a eu un rôle crucial. Cette fondation, créé par l’acteur qui joue Marty McFly dans Retour vers le Futur a financé une étude massive portant sur 1400 individus atteints de la maladie.

Les résultats de l’enquête ont permis de constituer un set de données décrit comme “le plus vaste et robuste” à ce jour. Grâce à ces données, IBM a permis à son modèle d’IA de cartographier les symptômes les plus complexes et ambigus et les motifs qui se cachent dans les différents profils de progression de la maladie. L’utilisation de cette technologie n’a rien d’inédit. On a en effet déjà vu pas mal d’exemples de ce type pour détecter, par exemple, des tumeurs au cerveau, des cas d’insuffisance rénale et divers cancers.

Le travail des chercheurs n’est néanmoins pas terminé. IBM et la fondation MJFF expliquent qu’ils leur reste encore beaucoup de travail pour affiner leur modèle d’intelligence artificielle avant que ce dernier ne puisse réellement aider les médecins. Les chercheurs espèrent notamment rendre leur modèle capable de délivrer des pronostics plus précis des différents stades de la maladie. Autour de 10 millions de personnes dans le monde sont atteints de la maladie de Parkinson.

Cette maladie en grande partie liée à l’âge touche environ 1% des plus de 60 ans. Mais il arrive également qu’elle se déclare plus tôt. Quelques 41 personnes sur 100 000 développent des symptômes de la maladie dès 40 ans – dit autrement, 4% des personnes atteintes ont moins de 50 ans. Les hommes ont 1,5 fois plus de chances de développer la maladie que les femmes. Il n’existe à ce jour aucun traitement permettant de réellement soigner la maladie de Parkinson.

Des chercheurs IBM et la Fondation Michael J. Fox (MJFF) annoncent avoir développé une intelligence artificielle capable de prédire comment les symptômes de la maladie de Parkinson évolueront chez un patient. L’idée est d’avoir une idée plus précise de la vitesse de progression de la maladie ainsi que sa gravité. Une aide précieuse pour les médecins qui pourront mieux ajuster leur prise en charge – une petite révolution dans le traitement de la maladie.

“Notre objectif est d’utiliser l’IA pour informer la gestion des patients et la conception des essais cliniques. Ces objectifs sont importants car, malgré la prévalence de la maladie de Parkinson, les patients font l’expérience d’une gamme unique de symptômes moteurs et non moteurs”, explique IBM dans un papier scientifique publié dans The Lancet Digital Health journal. La MJFF a eu un rôle crucial. Cette fondation, créé par l’acteur qui joue Marty McFly dans Retour vers le Futur a financé une étude massive portant sur 1400 individus atteints de la maladie.

Les résultats de l’enquête ont permis de constituer un set de données décrit comme “le plus vaste et robuste” à ce jour. Grâce à ces données, IBM a permis à son modèle d’IA de cartographier les symptômes les plus complexes et ambigus et les motifs qui se cachent dans les différents profils de progression de la maladie. L’utilisation de cette technologie n’a rien d’inédit. On a en effet déjà vu pas mal d’exemples de ce type pour détecter, par exemple, des tumeurs au cerveau, des cas d’insuffisance rénale et divers cancers.

Le travail des chercheurs n’est néanmoins pas terminé. IBM et la fondation MJFF expliquent qu’ils leur reste encore beaucoup de travail pour affiner leur modèle d’intelligence artificielle avant que ce dernier ne puisse réellement aider les médecins. Les chercheurs espèrent notamment rendre leur modèle capable de délivrer des pronostics plus précis des différents stades de la maladie. Autour de 10 millions de personnes dans le monde sont atteints de la maladie de Parkinson.

Cette maladie en grande partie liée à l’âge touche environ 1% des plus de 60 ans. Mais il arrive également qu’elle se déclare plus tôt. Quelques 41 personnes sur 100 000 développent des symptômes de la maladie dès 40 ans – dit autrement, 4% des personnes atteintes ont moins de 50 ans. Les hommes ont 1,5 fois plus de chances de développer la maladie que les femmes. Il n’existe à ce jour aucun traitement permettant de réellement soigner la maladie de Parkinson.

Des chercheurs IBM et la Fondation Michael J. Fox (MJFF) annoncent avoir développé une intelligence artificielle capable de prédire comment les symptômes de la maladie de Parkinson évolueront chez un patient. L’idée est d’avoir une idée plus précise de la vitesse de progression de la maladie ainsi que sa gravité. Une aide précieuse pour les médecins qui pourront mieux ajuster leur prise en charge – une petite révolution dans le traitement de la maladie.

“Notre objectif est d’utiliser l’IA pour informer la gestion des patients et la conception des essais cliniques. Ces objectifs sont importants car, malgré la prévalence de la maladie de Parkinson, les patients font l’expérience d’une gamme unique de symptômes moteurs et non moteurs”, explique IBM dans un papier scientifique publié dans The Lancet Digital Health journal. La MJFF a eu un rôle crucial. Cette fondation, créé par l’acteur qui joue Marty McFly dans Retour vers le Futur a financé une étude massive portant sur 1400 individus atteints de la maladie.

Les résultats de l’enquête ont permis de constituer un set de données décrit comme “le plus vaste et robuste” à ce jour. Grâce à ces données, IBM a permis à son modèle d’IA de cartographier les symptômes les plus complexes et ambigus et les motifs qui se cachent dans les différents profils de progression de la maladie. L’utilisation de cette technologie n’a rien d’inédit. On a en effet déjà vu pas mal d’exemples de ce type pour détecter, par exemple, des tumeurs au cerveau, des cas d’insuffisance rénale et divers cancers.

Le travail des chercheurs n’est néanmoins pas terminé. IBM et la fondation MJFF expliquent qu’ils leur reste encore beaucoup de travail pour affiner leur modèle d’intelligence artificielle avant que ce dernier ne puisse réellement aider les médecins. Les chercheurs espèrent notamment rendre leur modèle capable de délivrer des pronostics plus précis des différents stades de la maladie. Autour de 10 millions de personnes dans le monde sont atteints de la maladie de Parkinson.

Cette maladie en grande partie liée à l’âge touche environ 1% des plus de 60 ans. Mais il arrive également qu’elle se déclare plus tôt. Quelques 41 personnes sur 100 000 développent des symptômes de la maladie dès 40 ans – dit autrement, 4% des personnes atteintes ont moins de 50 ans. Les hommes ont 1,5 fois plus de chances de développer la maladie que les femmes. Il n’existe à ce jour aucun traitement permettant de réellement soigner la maladie de Parkinson.

Des chercheurs IBM et la Fondation Michael J. Fox (MJFF) annoncent avoir développé une intelligence artificielle capable de prédire comment les symptômes de la maladie de Parkinson évolueront chez un patient. L’idée est d’avoir une idée plus précise de la vitesse de progression de la maladie ainsi que sa gravité. Une aide précieuse pour les médecins qui pourront mieux ajuster leur prise en charge – une petite révolution dans le traitement de la maladie.

“Notre objectif est d’utiliser l’IA pour informer la gestion des patients et la conception des essais cliniques. Ces objectifs sont importants car, malgré la prévalence de la maladie de Parkinson, les patients font l’expérience d’une gamme unique de symptômes moteurs et non moteurs”, explique IBM dans un papier scientifique publié dans The Lancet Digital Health journal. La MJFF a eu un rôle crucial. Cette fondation, créé par l’acteur qui joue Marty McFly dans Retour vers le Futur a financé une étude massive portant sur 1400 individus atteints de la maladie.

Les résultats de l’enquête ont permis de constituer un set de données décrit comme “le plus vaste et robuste” à ce jour. Grâce à ces données, IBM a permis à son modèle d’IA de cartographier les symptômes les plus complexes et ambigus et les motifs qui se cachent dans les différents profils de progression de la maladie. L’utilisation de cette technologie n’a rien d’inédit. On a en effet déjà vu pas mal d’exemples de ce type pour détecter, par exemple, des tumeurs au cerveau, des cas d’insuffisance rénale et divers cancers.

Le travail des chercheurs n’est néanmoins pas terminé. IBM et la fondation MJFF expliquent qu’ils leur reste encore beaucoup de travail pour affiner leur modèle d’intelligence artificielle avant que ce dernier ne puisse réellement aider les médecins. Les chercheurs espèrent notamment rendre leur modèle capable de délivrer des pronostics plus précis des différents stades de la maladie. Autour de 10 millions de personnes dans le monde sont atteints de la maladie de Parkinson.

Cette maladie en grande partie liée à l’âge touche environ 1% des plus de 60 ans. Mais il arrive également qu’elle se déclare plus tôt. Quelques 41 personnes sur 100 000 développent des symptômes de la maladie dès 40 ans – dit autrement, 4% des personnes atteintes ont moins de 50 ans. Les hommes ont 1,5 fois plus de chances de développer la maladie que les femmes. Il n’existe à ce jour aucun traitement permettant de réellement soigner la maladie de Parkinson.

Des chercheurs IBM et la Fondation Michael J. Fox (MJFF) annoncent avoir développé une intelligence artificielle capable de prédire comment les symptômes de la maladie de Parkinson évolueront chez un patient. L’idée est d’avoir une idée plus précise de la vitesse de progression de la maladie ainsi que sa gravité. Une aide précieuse pour les médecins qui pourront mieux ajuster leur prise en charge – une petite révolution dans le traitement de la maladie.

“Notre objectif est d’utiliser l’IA pour informer la gestion des patients et la conception des essais cliniques. Ces objectifs sont importants car, malgré la prévalence de la maladie de Parkinson, les patients font l’expérience d’une gamme unique de symptômes moteurs et non moteurs”, explique IBM dans un papier scientifique publié dans The Lancet Digital Health journal. La MJFF a eu un rôle crucial. Cette fondation, créé par l’acteur qui joue Marty McFly dans Retour vers le Futur a financé une étude massive portant sur 1400 individus atteints de la maladie.

Les résultats de l’enquête ont permis de constituer un set de données décrit comme “le plus vaste et robuste” à ce jour. Grâce à ces données, IBM a permis à son modèle d’IA de cartographier les symptômes les plus complexes et ambigus et les motifs qui se cachent dans les différents profils de progression de la maladie. L’utilisation de cette technologie n’a rien d’inédit. On a en effet déjà vu pas mal d’exemples de ce type pour détecter, par exemple, des tumeurs au cerveau, des cas d’insuffisance rénale et divers cancers.

Le travail des chercheurs n’est néanmoins pas terminé. IBM et la fondation MJFF expliquent qu’ils leur reste encore beaucoup de travail pour affiner leur modèle d’intelligence artificielle avant que ce dernier ne puisse réellement aider les médecins. Les chercheurs espèrent notamment rendre leur modèle capable de délivrer des pronostics plus précis des différents stades de la maladie. Autour de 10 millions de personnes dans le monde sont atteints de la maladie de Parkinson.

Cette maladie en grande partie liée à l’âge touche environ 1% des plus de 60 ans. Mais il arrive également qu’elle se déclare plus tôt. Quelques 41 personnes sur 100 000 développent des symptômes de la maladie dès 40 ans – dit autrement, 4% des personnes atteintes ont moins de 50 ans. Les hommes ont 1,5 fois plus de chances de développer la maladie que les femmes. Il n’existe à ce jour aucun traitement permettant de réellement soigner la maladie de Parkinson.

Des chercheurs IBM et la Fondation Michael J. Fox (MJFF) annoncent avoir développé une intelligence artificielle capable de prédire comment les symptômes de la maladie de Parkinson évolueront chez un patient. L’idée est d’avoir une idée plus précise de la vitesse de progression de la maladie ainsi que sa gravité. Une aide précieuse pour les médecins qui pourront mieux ajuster leur prise en charge – une petite révolution dans le traitement de la maladie.

“Notre objectif est d’utiliser l’IA pour informer la gestion des patients et la conception des essais cliniques. Ces objectifs sont importants car, malgré la prévalence de la maladie de Parkinson, les patients font l’expérience d’une gamme unique de symptômes moteurs et non moteurs”, explique IBM dans un papier scientifique publié dans The Lancet Digital Health journal. La MJFF a eu un rôle crucial. Cette fondation, créé par l’acteur qui joue Marty McFly dans Retour vers le Futur a financé une étude massive portant sur 1400 individus atteints de la maladie.

Les résultats de l’enquête ont permis de constituer un set de données décrit comme “le plus vaste et robuste” à ce jour. Grâce à ces données, IBM a permis à son modèle d’IA de cartographier les symptômes les plus complexes et ambigus et les motifs qui se cachent dans les différents profils de progression de la maladie. L’utilisation de cette technologie n’a rien d’inédit. On a en effet déjà vu pas mal d’exemples de ce type pour détecter, par exemple, des tumeurs au cerveau, des cas d’insuffisance rénale et divers cancers.

Le travail des chercheurs n’est néanmoins pas terminé. IBM et la fondation MJFF expliquent qu’ils leur reste encore beaucoup de travail pour affiner leur modèle d’intelligence artificielle avant que ce dernier ne puisse réellement aider les médecins. Les chercheurs espèrent notamment rendre leur modèle capable de délivrer des pronostics plus précis des différents stades de la maladie. Autour de 10 millions de personnes dans le monde sont atteints de la maladie de Parkinson.

Cette maladie en grande partie liée à l’âge touche environ 1% des plus de 60 ans. Mais il arrive également qu’elle se déclare plus tôt. Quelques 41 personnes sur 100 000 développent des symptômes de la maladie dès 40 ans – dit autrement, 4% des personnes atteintes ont moins de 50 ans. Les hommes ont 1,5 fois plus de chances de développer la maladie que les femmes. Il n’existe à ce jour aucun traitement permettant de réellement soigner la maladie de Parkinson.

Des chercheurs IBM et la Fondation Michael J. Fox (MJFF) annoncent avoir développé une intelligence artificielle capable de prédire comment les symptômes de la maladie de Parkinson évolueront chez un patient. L’idée est d’avoir une idée plus précise de la vitesse de progression de la maladie ainsi que sa gravité. Une aide précieuse pour les médecins qui pourront mieux ajuster leur prise en charge – une petite révolution dans le traitement de la maladie.

“Notre objectif est d’utiliser l’IA pour informer la gestion des patients et la conception des essais cliniques. Ces objectifs sont importants car, malgré la prévalence de la maladie de Parkinson, les patients font l’expérience d’une gamme unique de symptômes moteurs et non moteurs”, explique IBM dans un papier scientifique publié dans The Lancet Digital Health journal. La MJFF a eu un rôle crucial. Cette fondation, créé par l’acteur qui joue Marty McFly dans Retour vers le Futur a financé une étude massive portant sur 1400 individus atteints de la maladie.

Les résultats de l’enquête ont permis de constituer un set de données décrit comme “le plus vaste et robuste” à ce jour. Grâce à ces données, IBM a permis à son modèle d’IA de cartographier les symptômes les plus complexes et ambigus et les motifs qui se cachent dans les différents profils de progression de la maladie. L’utilisation de cette technologie n’a rien d’inédit. On a en effet déjà vu pas mal d’exemples de ce type pour détecter, par exemple, des tumeurs au cerveau, des cas d’insuffisance rénale et divers cancers.

Le travail des chercheurs n’est néanmoins pas terminé. IBM et la fondation MJFF expliquent qu’ils leur reste encore beaucoup de travail pour affiner leur modèle d’intelligence artificielle avant que ce dernier ne puisse réellement aider les médecins. Les chercheurs espèrent notamment rendre leur modèle capable de délivrer des pronostics plus précis des différents stades de la maladie. Autour de 10 millions de personnes dans le monde sont atteints de la maladie de Parkinson.

Cette maladie en grande partie liée à l’âge touche environ 1% des plus de 60 ans. Mais il arrive également qu’elle se déclare plus tôt. Quelques 41 personnes sur 100 000 développent des symptômes de la maladie dès 40 ans – dit autrement, 4% des personnes atteintes ont moins de 50 ans. Les hommes ont 1,5 fois plus de chances de développer la maladie que les femmes. Il n’existe à ce jour aucun traitement permettant de réellement soigner la maladie de Parkinson.

Des chercheurs IBM et la Fondation Michael J. Fox (MJFF) annoncent avoir développé une intelligence artificielle capable de prédire comment les symptômes de la maladie de Parkinson évolueront chez un patient. L’idée est d’avoir une idée plus précise de la vitesse de progression de la maladie ainsi que sa gravité. Une aide précieuse pour les médecins qui pourront mieux ajuster leur prise en charge – une petite révolution dans le traitement de la maladie.

“Notre objectif est d’utiliser l’IA pour informer la gestion des patients et la conception des essais cliniques. Ces objectifs sont importants car, malgré la prévalence de la maladie de Parkinson, les patients font l’expérience d’une gamme unique de symptômes moteurs et non moteurs”, explique IBM dans un papier scientifique publié dans The Lancet Digital Health journal. La MJFF a eu un rôle crucial. Cette fondation, créé par l’acteur qui joue Marty McFly dans Retour vers le Futur a financé une étude massive portant sur 1400 individus atteints de la maladie.

Les résultats de l’enquête ont permis de constituer un set de données décrit comme “le plus vaste et robuste” à ce jour. Grâce à ces données, IBM a permis à son modèle d’IA de cartographier les symptômes les plus complexes et ambigus et les motifs qui se cachent dans les différents profils de progression de la maladie. L’utilisation de cette technologie n’a rien d’inédit. On a en effet déjà vu pas mal d’exemples de ce type pour détecter, par exemple, des tumeurs au cerveau, des cas d’insuffisance rénale et divers cancers.

Le travail des chercheurs n’est néanmoins pas terminé. IBM et la fondation MJFF expliquent qu’ils leur reste encore beaucoup de travail pour affiner leur modèle d’intelligence artificielle avant que ce dernier ne puisse réellement aider les médecins. Les chercheurs espèrent notamment rendre leur modèle capable de délivrer des pronostics plus précis des différents stades de la maladie. Autour de 10 millions de personnes dans le monde sont atteints de la maladie de Parkinson.

Cette maladie en grande partie liée à l’âge touche environ 1% des plus de 60 ans. Mais il arrive également qu’elle se déclare plus tôt. Quelques 41 personnes sur 100 000 développent des symptômes de la maladie dès 40 ans – dit autrement, 4% des personnes atteintes ont moins de 50 ans. Les hommes ont 1,5 fois plus de chances de développer la maladie que les femmes. Il n’existe à ce jour aucun traitement permettant de réellement soigner la maladie de Parkinson.

Des chercheurs IBM et la Fondation Michael J. Fox (MJFF) annoncent avoir développé une intelligence artificielle capable de prédire comment les symptômes de la maladie de Parkinson évolueront chez un patient. L’idée est d’avoir une idée plus précise de la vitesse de progression de la maladie ainsi que sa gravité. Une aide précieuse pour les médecins qui pourront mieux ajuster leur prise en charge – une petite révolution dans le traitement de la maladie.

“Notre objectif est d’utiliser l’IA pour informer la gestion des patients et la conception des essais cliniques. Ces objectifs sont importants car, malgré la prévalence de la maladie de Parkinson, les patients font l’expérience d’une gamme unique de symptômes moteurs et non moteurs”, explique IBM dans un papier scientifique publié dans The Lancet Digital Health journal. La MJFF a eu un rôle crucial. Cette fondation, créé par l’acteur qui joue Marty McFly dans Retour vers le Futur a financé une étude massive portant sur 1400 individus atteints de la maladie.

Les résultats de l’enquête ont permis de constituer un set de données décrit comme “le plus vaste et robuste” à ce jour. Grâce à ces données, IBM a permis à son modèle d’IA de cartographier les symptômes les plus complexes et ambigus et les motifs qui se cachent dans les différents profils de progression de la maladie. L’utilisation de cette technologie n’a rien d’inédit. On a en effet déjà vu pas mal d’exemples de ce type pour détecter, par exemple, des tumeurs au cerveau, des cas d’insuffisance rénale et divers cancers.

Le travail des chercheurs n’est néanmoins pas terminé. IBM et la fondation MJFF expliquent qu’ils leur reste encore beaucoup de travail pour affiner leur modèle d’intelligence artificielle avant que ce dernier ne puisse réellement aider les médecins. Les chercheurs espèrent notamment rendre leur modèle capable de délivrer des pronostics plus précis des différents stades de la maladie. Autour de 10 millions de personnes dans le monde sont atteints de la maladie de Parkinson.

Cette maladie en grande partie liée à l’âge touche environ 1% des plus de 60 ans. Mais il arrive également qu’elle se déclare plus tôt. Quelques 41 personnes sur 100 000 développent des symptômes de la maladie dès 40 ans – dit autrement, 4% des personnes atteintes ont moins de 50 ans. Les hommes ont 1,5 fois plus de chances de développer la maladie que les femmes. Il n’existe à ce jour aucun traitement permettant de réellement soigner la maladie de Parkinson.

Des chercheurs IBM et la Fondation Michael J. Fox (MJFF) annoncent avoir développé une intelligence artificielle capable de prédire comment les symptômes de la maladie de Parkinson évolueront chez un patient. L’idée est d’avoir une idée plus précise de la vitesse de progression de la maladie ainsi que sa gravité. Une aide précieuse pour les médecins qui pourront mieux ajuster leur prise en charge – une petite révolution dans le traitement de la maladie.

“Notre objectif est d’utiliser l’IA pour informer la gestion des patients et la conception des essais cliniques. Ces objectifs sont importants car, malgré la prévalence de la maladie de Parkinson, les patients font l’expérience d’une gamme unique de symptômes moteurs et non moteurs”, explique IBM dans un papier scientifique publié dans The Lancet Digital Health journal. La MJFF a eu un rôle crucial. Cette fondation, créé par l’acteur qui joue Marty McFly dans Retour vers le Futur a financé une étude massive portant sur 1400 individus atteints de la maladie.

Les résultats de l’enquête ont permis de constituer un set de données décrit comme “le plus vaste et robuste” à ce jour. Grâce à ces données, IBM a permis à son modèle d’IA de cartographier les symptômes les plus complexes et ambigus et les motifs qui se cachent dans les différents profils de progression de la maladie. L’utilisation de cette technologie n’a rien d’inédit. On a en effet déjà vu pas mal d’exemples de ce type pour détecter, par exemple, des tumeurs au cerveau, des cas d’insuffisance rénale et divers cancers.

Le travail des chercheurs n’est néanmoins pas terminé. IBM et la fondation MJFF expliquent qu’ils leur reste encore beaucoup de travail pour affiner leur modèle d’intelligence artificielle avant que ce dernier ne puisse réellement aider les médecins. Les chercheurs espèrent notamment rendre leur modèle capable de délivrer des pronostics plus précis des différents stades de la maladie. Autour de 10 millions de personnes dans le monde sont atteints de la maladie de Parkinson.

Cette maladie en grande partie liée à l’âge touche environ 1% des plus de 60 ans. Mais il arrive également qu’elle se déclare plus tôt. Quelques 41 personnes sur 100 000 développent des symptômes de la maladie dès 40 ans – dit autrement, 4% des personnes atteintes ont moins de 50 ans. Les hommes ont 1,5 fois plus de chances de développer la maladie que les femmes. Il n’existe à ce jour aucun traitement permettant de réellement soigner la maladie de Parkinson.

Des chercheurs IBM et la Fondation Michael J. Fox (MJFF) annoncent avoir développé une intelligence artificielle capable de prédire comment les symptômes de la maladie de Parkinson évolueront chez un patient. L’idée est d’avoir une idée plus précise de la vitesse de progression de la maladie ainsi que sa gravité. Une aide précieuse pour les médecins qui pourront mieux ajuster leur prise en charge – une petite révolution dans le traitement de la maladie.

“Notre objectif est d’utiliser l’IA pour informer la gestion des patients et la conception des essais cliniques. Ces objectifs sont importants car, malgré la prévalence de la maladie de Parkinson, les patients font l’expérience d’une gamme unique de symptômes moteurs et non moteurs”, explique IBM dans un papier scientifique publié dans The Lancet Digital Health journal. La MJFF a eu un rôle crucial. Cette fondation, créé par l’acteur qui joue Marty McFly dans Retour vers le Futur a financé une étude massive portant sur 1400 individus atteints de la maladie.

Les résultats de l’enquête ont permis de constituer un set de données décrit comme “le plus vaste et robuste” à ce jour. Grâce à ces données, IBM a permis à son modèle d’IA de cartographier les symptômes les plus complexes et ambigus et les motifs qui se cachent dans les différents profils de progression de la maladie. L’utilisation de cette technologie n’a rien d’inédit. On a en effet déjà vu pas mal d’exemples de ce type pour détecter, par exemple, des tumeurs au cerveau, des cas d’insuffisance rénale et divers cancers.

Le travail des chercheurs n’est néanmoins pas terminé. IBM et la fondation MJFF expliquent qu’ils leur reste encore beaucoup de travail pour affiner leur modèle d’intelligence artificielle avant que ce dernier ne puisse réellement aider les médecins. Les chercheurs espèrent notamment rendre leur modèle capable de délivrer des pronostics plus précis des différents stades de la maladie. Autour de 10 millions de personnes dans le monde sont atteints de la maladie de Parkinson.

Cette maladie en grande partie liée à l’âge touche environ 1% des plus de 60 ans. Mais il arrive également qu’elle se déclare plus tôt. Quelques 41 personnes sur 100 000 développent des symptômes de la maladie dès 40 ans – dit autrement, 4% des personnes atteintes ont moins de 50 ans. Les hommes ont 1,5 fois plus de chances de développer la maladie que les femmes. Il n’existe à ce jour aucun traitement permettant de réellement soigner la maladie de Parkinson.

Des chercheurs IBM et la Fondation Michael J. Fox (MJFF) annoncent avoir développé une intelligence artificielle capable de prédire comment les symptômes de la maladie de Parkinson évolueront chez un patient. L’idée est d’avoir une idée plus précise de la vitesse de progression de la maladie ainsi que sa gravité. Une aide précieuse pour les médecins qui pourront mieux ajuster leur prise en charge – une petite révolution dans le traitement de la maladie.

“Notre objectif est d’utiliser l’IA pour informer la gestion des patients et la conception des essais cliniques. Ces objectifs sont importants car, malgré la prévalence de la maladie de Parkinson, les patients font l’expérience d’une gamme unique de symptômes moteurs et non moteurs”, explique IBM dans un papier scientifique publié dans The Lancet Digital Health journal. La MJFF a eu un rôle crucial. Cette fondation, créé par l’acteur qui joue Marty McFly dans Retour vers le Futur a financé une étude massive portant sur 1400 individus atteints de la maladie.

Les résultats de l’enquête ont permis de constituer un set de données décrit comme “le plus vaste et robuste” à ce jour. Grâce à ces données, IBM a permis à son modèle d’IA de cartographier les symptômes les plus complexes et ambigus et les motifs qui se cachent dans les différents profils de progression de la maladie. L’utilisation de cette technologie n’a rien d’inédit. On a en effet déjà vu pas mal d’exemples de ce type pour détecter, par exemple, des tumeurs au cerveau, des cas d’insuffisance rénale et divers cancers.

Le travail des chercheurs n’est néanmoins pas terminé. IBM et la fondation MJFF expliquent qu’ils leur reste encore beaucoup de travail pour affiner leur modèle d’intelligence artificielle avant que ce dernier ne puisse réellement aider les médecins. Les chercheurs espèrent notamment rendre leur modèle capable de délivrer des pronostics plus précis des différents stades de la maladie. Autour de 10 millions de personnes dans le monde sont atteints de la maladie de Parkinson.

Cette maladie en grande partie liée à l’âge touche environ 1% des plus de 60 ans. Mais il arrive également qu’elle se déclare plus tôt. Quelques 41 personnes sur 100 000 développent des symptômes de la maladie dès 40 ans – dit autrement, 4% des personnes atteintes ont moins de 50 ans. Les hommes ont 1,5 fois plus de chances de développer la maladie que les femmes. Il n’existe à ce jour aucun traitement permettant de réellement soigner la maladie de Parkinson.

Des chercheurs IBM et la Fondation Michael J. Fox (MJFF) annoncent avoir développé une intelligence artificielle capable de prédire comment les symptômes de la maladie de Parkinson évolueront chez un patient. L’idée est d’avoir une idée plus précise de la vitesse de progression de la maladie ainsi que sa gravité. Une aide précieuse pour les médecins qui pourront mieux ajuster leur prise en charge – une petite révolution dans le traitement de la maladie.

“Notre objectif est d’utiliser l’IA pour informer la gestion des patients et la conception des essais cliniques. Ces objectifs sont importants car, malgré la prévalence de la maladie de Parkinson, les patients font l’expérience d’une gamme unique de symptômes moteurs et non moteurs”, explique IBM dans un papier scientifique publié dans The Lancet Digital Health journal. La MJFF a eu un rôle crucial. Cette fondation, créé par l’acteur qui joue Marty McFly dans Retour vers le Futur a financé une étude massive portant sur 1400 individus atteints de la maladie.

Les résultats de l’enquête ont permis de constituer un set de données décrit comme “le plus vaste et robuste” à ce jour. Grâce à ces données, IBM a permis à son modèle d’IA de cartographier les symptômes les plus complexes et ambigus et les motifs qui se cachent dans les différents profils de progression de la maladie. L’utilisation de cette technologie n’a rien d’inédit. On a en effet déjà vu pas mal d’exemples de ce type pour détecter, par exemple, des tumeurs au cerveau, des cas d’insuffisance rénale et divers cancers.

Le travail des chercheurs n’est néanmoins pas terminé. IBM et la fondation MJFF expliquent qu’ils leur reste encore beaucoup de travail pour affiner leur modèle d’intelligence artificielle avant que ce dernier ne puisse réellement aider les médecins. Les chercheurs espèrent notamment rendre leur modèle capable de délivrer des pronostics plus précis des différents stades de la maladie. Autour de 10 millions de personnes dans le monde sont atteints de la maladie de Parkinson.

Cette maladie en grande partie liée à l’âge touche environ 1% des plus de 60 ans. Mais il arrive également qu’elle se déclare plus tôt. Quelques 41 personnes sur 100 000 développent des symptômes de la maladie dès 40 ans – dit autrement, 4% des personnes atteintes ont moins de 50 ans. Les hommes ont 1,5 fois plus de chances de développer la maladie que les femmes. Il n’existe à ce jour aucun traitement permettant de réellement soigner la maladie de Parkinson.

Des chercheurs IBM et la Fondation Michael J. Fox (MJFF) annoncent avoir développé une intelligence artificielle capable de prédire comment les symptômes de la maladie de Parkinson évolueront chez un patient. L’idée est d’avoir une idée plus précise de la vitesse de progression de la maladie ainsi que sa gravité. Une aide précieuse pour les médecins qui pourront mieux ajuster leur prise en charge – une petite révolution dans le traitement de la maladie.

“Notre objectif est d’utiliser l’IA pour informer la gestion des patients et la conception des essais cliniques. Ces objectifs sont importants car, malgré la prévalence de la maladie de Parkinson, les patients font l’expérience d’une gamme unique de symptômes moteurs et non moteurs”, explique IBM dans un papier scientifique publié dans The Lancet Digital Health journal. La MJFF a eu un rôle crucial. Cette fondation, créé par l’acteur qui joue Marty McFly dans Retour vers le Futur a financé une étude massive portant sur 1400 individus atteints de la maladie.

Les résultats de l’enquête ont permis de constituer un set de données décrit comme “le plus vaste et robuste” à ce jour. Grâce à ces données, IBM a permis à son modèle d’IA de cartographier les symptômes les plus complexes et ambigus et les motifs qui se cachent dans les différents profils de progression de la maladie. L’utilisation de cette technologie n’a rien d’inédit. On a en effet déjà vu pas mal d’exemples de ce type pour détecter, par exemple, des tumeurs au cerveau, des cas d’insuffisance rénale et divers cancers.

Le travail des chercheurs n’est néanmoins pas terminé. IBM et la fondation MJFF expliquent qu’ils leur reste encore beaucoup de travail pour affiner leur modèle d’intelligence artificielle avant que ce dernier ne puisse réellement aider les médecins. Les chercheurs espèrent notamment rendre leur modèle capable de délivrer des pronostics plus précis des différents stades de la maladie. Autour de 10 millions de personnes dans le monde sont atteints de la maladie de Parkinson.

Cette maladie en grande partie liée à l’âge touche environ 1% des plus de 60 ans. Mais il arrive également qu’elle se déclare plus tôt. Quelques 41 personnes sur 100 000 développent des symptômes de la maladie dès 40 ans – dit autrement, 4% des personnes atteintes ont moins de 50 ans. Les hommes ont 1,5 fois plus de chances de développer la maladie que les femmes. Il n’existe à ce jour aucun traitement permettant de réellement soigner la maladie de Parkinson.

Des chercheurs IBM et la Fondation Michael J. Fox (MJFF) annoncent avoir développé une intelligence artificielle capable de prédire comment les symptômes de la maladie de Parkinson évolueront chez un patient. L’idée est d’avoir une idée plus précise de la vitesse de progression de la maladie ainsi que sa gravité. Une aide précieuse pour les médecins qui pourront mieux ajuster leur prise en charge – une petite révolution dans le traitement de la maladie.

“Notre objectif est d’utiliser l’IA pour informer la gestion des patients et la conception des essais cliniques. Ces objectifs sont importants car, malgré la prévalence de la maladie de Parkinson, les patients font l’expérience d’une gamme unique de symptômes moteurs et non moteurs”, explique IBM dans un papier scientifique publié dans The Lancet Digital Health journal. La MJFF a eu un rôle crucial. Cette fondation, créé par l’acteur qui joue Marty McFly dans Retour vers le Futur a financé une étude massive portant sur 1400 individus atteints de la maladie.

Les résultats de l’enquête ont permis de constituer un set de données décrit comme “le plus vaste et robuste” à ce jour. Grâce à ces données, IBM a permis à son modèle d’IA de cartographier les symptômes les plus complexes et ambigus et les motifs qui se cachent dans les différents profils de progression de la maladie. L’utilisation de cette technologie n’a rien d’inédit. On a en effet déjà vu pas mal d’exemples de ce type pour détecter, par exemple, des tumeurs au cerveau, des cas d’insuffisance rénale et divers cancers.

Le travail des chercheurs n’est néanmoins pas terminé. IBM et la fondation MJFF expliquent qu’ils leur reste encore beaucoup de travail pour affiner leur modèle d’intelligence artificielle avant que ce dernier ne puisse réellement aider les médecins. Les chercheurs espèrent notamment rendre leur modèle capable de délivrer des pronostics plus précis des différents stades de la maladie. Autour de 10 millions de personnes dans le monde sont atteints de la maladie de Parkinson.

Cette maladie en grande partie liée à l’âge touche environ 1% des plus de 60 ans. Mais il arrive également qu’elle se déclare plus tôt. Quelques 41 personnes sur 100 000 développent des symptômes de la maladie dès 40 ans – dit autrement, 4% des personnes atteintes ont moins de 50 ans. Les hommes ont 1,5 fois plus de chances de développer la maladie que les femmes. Il n’existe à ce jour aucun traitement permettant de réellement soigner la maladie de Parkinson.

Des chercheurs IBM et la Fondation Michael J. Fox (MJFF) annoncent avoir développé une intelligence artificielle capable de prédire comment les symptômes de la maladie de Parkinson évolueront chez un patient. L’idée est d’avoir une idée plus précise de la vitesse de progression de la maladie ainsi que sa gravité. Une aide précieuse pour les médecins qui pourront mieux ajuster leur prise en charge – une petite révolution dans le traitement de la maladie.

“Notre objectif est d’utiliser l’IA pour informer la gestion des patients et la conception des essais cliniques. Ces objectifs sont importants car, malgré la prévalence de la maladie de Parkinson, les patients font l’expérience d’une gamme unique de symptômes moteurs et non moteurs”, explique IBM dans un papier scientifique publié dans The Lancet Digital Health journal. La MJFF a eu un rôle crucial. Cette fondation, créé par l’acteur qui joue Marty McFly dans Retour vers le Futur a financé une étude massive portant sur 1400 individus atteints de la maladie.

Les résultats de l’enquête ont permis de constituer un set de données décrit comme “le plus vaste et robuste” à ce jour. Grâce à ces données, IBM a permis à son modèle d’IA de cartographier les symptômes les plus complexes et ambigus et les motifs qui se cachent dans les différents profils de progression de la maladie. L’utilisation de cette technologie n’a rien d’inédit. On a en effet déjà vu pas mal d’exemples de ce type pour détecter, par exemple, des tumeurs au cerveau, des cas d’insuffisance rénale et divers cancers.

Le travail des chercheurs n’est néanmoins pas terminé. IBM et la fondation MJFF expliquent qu’ils leur reste encore beaucoup de travail pour affiner leur modèle d’intelligence artificielle avant que ce dernier ne puisse réellement aider les médecins. Les chercheurs espèrent notamment rendre leur modèle capable de délivrer des pronostics plus précis des différents stades de la maladie. Autour de 10 millions de personnes dans le monde sont atteints de la maladie de Parkinson.

Cette maladie en grande partie liée à l’âge touche environ 1% des plus de 60 ans. Mais il arrive également qu’elle se déclare plus tôt. Quelques 41 personnes sur 100 000 développent des symptômes de la maladie dès 40 ans – dit autrement, 4% des personnes atteintes ont moins de 50 ans. Les hommes ont 1,5 fois plus de chances de développer la maladie que les femmes. Il n’existe à ce jour aucun traitement permettant de réellement soigner la maladie de Parkinson.

Des chercheurs IBM et la Fondation Michael J. Fox (MJFF) annoncent avoir développé une intelligence artificielle capable de prédire comment les symptômes de la maladie de Parkinson évolueront chez un patient. L’idée est d’avoir une idée plus précise de la vitesse de progression de la maladie ainsi que sa gravité. Une aide précieuse pour les médecins qui pourront mieux ajuster leur prise en charge – une petite révolution dans le traitement de la maladie.

“Notre objectif est d’utiliser l’IA pour informer la gestion des patients et la conception des essais cliniques. Ces objectifs sont importants car, malgré la prévalence de la maladie de Parkinson, les patients font l’expérience d’une gamme unique de symptômes moteurs et non moteurs”, explique IBM dans un papier scientifique publié dans The Lancet Digital Health journal. La MJFF a eu un rôle crucial. Cette fondation, créé par l’acteur qui joue Marty McFly dans Retour vers le Futur a financé une étude massive portant sur 1400 individus atteints de la maladie.

Les résultats de l’enquête ont permis de constituer un set de données décrit comme “le plus vaste et robuste” à ce jour. Grâce à ces données, IBM a permis à son modèle d’IA de cartographier les symptômes les plus complexes et ambigus et les motifs qui se cachent dans les différents profils de progression de la maladie. L’utilisation de cette technologie n’a rien d’inédit. On a en effet déjà vu pas mal d’exemples de ce type pour détecter, par exemple, des tumeurs au cerveau, des cas d’insuffisance rénale et divers cancers.

Le travail des chercheurs n’est néanmoins pas terminé. IBM et la fondation MJFF expliquent qu’ils leur reste encore beaucoup de travail pour affiner leur modèle d’intelligence artificielle avant que ce dernier ne puisse réellement aider les médecins. Les chercheurs espèrent notamment rendre leur modèle capable de délivrer des pronostics plus précis des différents stades de la maladie. Autour de 10 millions de personnes dans le monde sont atteints de la maladie de Parkinson.

Cette maladie en grande partie liée à l’âge touche environ 1% des plus de 60 ans. Mais il arrive également qu’elle se déclare plus tôt. Quelques 41 personnes sur 100 000 développent des symptômes de la maladie dès 40 ans – dit autrement, 4% des personnes atteintes ont moins de 50 ans. Les hommes ont 1,5 fois plus de chances de développer la maladie que les femmes. Il n’existe à ce jour aucun traitement permettant de réellement soigner la maladie de Parkinson.

Des chercheurs IBM et la Fondation Michael J. Fox (MJFF) annoncent avoir développé une intelligence artificielle capable de prédire comment les symptômes de la maladie de Parkinson évolueront chez un patient. L’idée est d’avoir une idée plus précise de la vitesse de progression de la maladie ainsi que sa gravité. Une aide précieuse pour les médecins qui pourront mieux ajuster leur prise en charge – une petite révolution dans le traitement de la maladie.

“Notre objectif est d’utiliser l’IA pour informer la gestion des patients et la conception des essais cliniques. Ces objectifs sont importants car, malgré la prévalence de la maladie de Parkinson, les patients font l’expérience d’une gamme unique de symptômes moteurs et non moteurs”, explique IBM dans un papier scientifique publié dans The Lancet Digital Health journal. La MJFF a eu un rôle crucial. Cette fondation, créé par l’acteur qui joue Marty McFly dans Retour vers le Futur a financé une étude massive portant sur 1400 individus atteints de la maladie.

Les résultats de l’enquête ont permis de constituer un set de données décrit comme “le plus vaste et robuste” à ce jour. Grâce à ces données, IBM a permis à son modèle d’IA de cartographier les symptômes les plus complexes et ambigus et les motifs qui se cachent dans les différents profils de progression de la maladie. L’utilisation de cette technologie n’a rien d’inédit. On a en effet déjà vu pas mal d’exemples de ce type pour détecter, par exemple, des tumeurs au cerveau, des cas d’insuffisance rénale et divers cancers.

Le travail des chercheurs n’est néanmoins pas terminé. IBM et la fondation MJFF expliquent qu’ils leur reste encore beaucoup de travail pour affiner leur modèle d’intelligence artificielle avant que ce dernier ne puisse réellement aider les médecins. Les chercheurs espèrent notamment rendre leur modèle capable de délivrer des pronostics plus précis des différents stades de la maladie. Autour de 10 millions de personnes dans le monde sont atteints de la maladie de Parkinson.

Cette maladie en grande partie liée à l’âge touche environ 1% des plus de 60 ans. Mais il arrive également qu’elle se déclare plus tôt. Quelques 41 personnes sur 100 000 développent des symptômes de la maladie dès 40 ans – dit autrement, 4% des personnes atteintes ont moins de 50 ans. Les hommes ont 1,5 fois plus de chances de développer la maladie que les femmes. Il n’existe à ce jour aucun traitement permettant de réellement soigner la maladie de Parkinson.

Des chercheurs IBM et la Fondation Michael J. Fox (MJFF) annoncent avoir développé une intelligence artificielle capable de prédire comment les symptômes de la maladie de Parkinson évolueront chez un patient. L’idée est d’avoir une idée plus précise de la vitesse de progression de la maladie ainsi que sa gravité. Une aide précieuse pour les médecins qui pourront mieux ajuster leur prise en charge – une petite révolution dans le traitement de la maladie.

“Notre objectif est d’utiliser l’IA pour informer la gestion des patients et la conception des essais cliniques. Ces objectifs sont importants car, malgré la prévalence de la maladie de Parkinson, les patients font l’expérience d’une gamme unique de symptômes moteurs et non moteurs”, explique IBM dans un papier scientifique publié dans The Lancet Digital Health journal. La MJFF a eu un rôle crucial. Cette fondation, créé par l’acteur qui joue Marty McFly dans Retour vers le Futur a financé une étude massive portant sur 1400 individus atteints de la maladie.

Les résultats de l’enquête ont permis de constituer un set de données décrit comme “le plus vaste et robuste” à ce jour. Grâce à ces données, IBM a permis à son modèle d’IA de cartographier les symptômes les plus complexes et ambigus et les motifs qui se cachent dans les différents profils de progression de la maladie. L’utilisation de cette technologie n’a rien d’inédit. On a en effet déjà vu pas mal d’exemples de ce type pour détecter, par exemple, des tumeurs au cerveau, des cas d’insuffisance rénale et divers cancers.

Le travail des chercheurs n’est néanmoins pas terminé. IBM et la fondation MJFF expliquent qu’ils leur reste encore beaucoup de travail pour affiner leur modèle d’intelligence artificielle avant que ce dernier ne puisse réellement aider les médecins. Les chercheurs espèrent notamment rendre leur modèle capable de délivrer des pronostics plus précis des différents stades de la maladie. Autour de 10 millions de personnes dans le monde sont atteints de la maladie de Parkinson.

Cette maladie en grande partie liée à l’âge touche environ 1% des plus de 60 ans. Mais il arrive également qu’elle se déclare plus tôt. Quelques 41 personnes sur 100 000 développent des symptômes de la maladie dès 40 ans – dit autrement, 4% des personnes atteintes ont moins de 50 ans. Les hommes ont 1,5 fois plus de chances de développer la maladie que les femmes. Il n’existe à ce jour aucun traitement permettant de réellement soigner la maladie de Parkinson.

Des chercheurs IBM et la Fondation Michael J. Fox (MJFF) annoncent avoir développé une intelligence artificielle capable de prédire comment les symptômes de la maladie de Parkinson évolueront chez un patient. L’idée est d’avoir une idée plus précise de la vitesse de progression de la maladie ainsi que sa gravité. Une aide précieuse pour les médecins qui pourront mieux ajuster leur prise en charge – une petite révolution dans le traitement de la maladie.

“Notre objectif est d’utiliser l’IA pour informer la gestion des patients et la conception des essais cliniques. Ces objectifs sont importants car, malgré la prévalence de la maladie de Parkinson, les patients font l’expérience d’une gamme unique de symptômes moteurs et non moteurs”, explique IBM dans un papier scientifique publié dans The Lancet Digital Health journal. La MJFF a eu un rôle crucial. Cette fondation, créé par l’acteur qui joue Marty McFly dans Retour vers le Futur a financé une étude massive portant sur 1400 individus atteints de la maladie.

Les résultats de l’enquête ont permis de constituer un set de données décrit comme “le plus vaste et robuste” à ce jour. Grâce à ces données, IBM a permis à son modèle d’IA de cartographier les symptômes les plus complexes et ambigus et les motifs qui se cachent dans les différents profils de progression de la maladie. L’utilisation de cette technologie n’a rien d’inédit. On a en effet déjà vu pas mal d’exemples de ce type pour détecter, par exemple, des tumeurs au cerveau, des cas d’insuffisance rénale et divers cancers.

Le travail des chercheurs n’est néanmoins pas terminé. IBM et la fondation MJFF expliquent qu’ils leur reste encore beaucoup de travail pour affiner leur modèle d’intelligence artificielle avant que ce dernier ne puisse réellement aider les médecins. Les chercheurs espèrent notamment rendre leur modèle capable de délivrer des pronostics plus précis des différents stades de la maladie. Autour de 10 millions de personnes dans le monde sont atteints de la maladie de Parkinson.

Cette maladie en grande partie liée à l’âge touche environ 1% des plus de 60 ans. Mais il arrive également qu’elle se déclare plus tôt. Quelques 41 personnes sur 100 000 développent des symptômes de la maladie dès 40 ans – dit autrement, 4% des personnes atteintes ont moins de 50 ans. Les hommes ont 1,5 fois plus de chances de développer la maladie que les femmes. Il n’existe à ce jour aucun traitement permettant de réellement soigner la maladie de Parkinson.

Des chercheurs IBM et la Fondation Michael J. Fox (MJFF) annoncent avoir développé une intelligence artificielle capable de prédire comment les symptômes de la maladie de Parkinson évolueront chez un patient. L’idée est d’avoir une idée plus précise de la vitesse de progression de la maladie ainsi que sa gravité. Une aide précieuse pour les médecins qui pourront mieux ajuster leur prise en charge – une petite révolution dans le traitement de la maladie.

“Notre objectif est d’utiliser l’IA pour informer la gestion des patients et la conception des essais cliniques. Ces objectifs sont importants car, malgré la prévalence de la maladie de Parkinson, les patients font l’expérience d’une gamme unique de symptômes moteurs et non moteurs”, explique IBM dans un papier scientifique publié dans The Lancet Digital Health journal. La MJFF a eu un rôle crucial. Cette fondation, créé par l’acteur qui joue Marty McFly dans Retour vers le Futur a financé une étude massive portant sur 1400 individus atteints de la maladie.

Les résultats de l’enquête ont permis de constituer un set de données décrit comme “le plus vaste et robuste” à ce jour. Grâce à ces données, IBM a permis à son modèle d’IA de cartographier les symptômes les plus complexes et ambigus et les motifs qui se cachent dans les différents profils de progression de la maladie. L’utilisation de cette technologie n’a rien d’inédit. On a en effet déjà vu pas mal d’exemples de ce type pour détecter, par exemple, des tumeurs au cerveau, des cas d’insuffisance rénale et divers cancers.

Le travail des chercheurs n’est néanmoins pas terminé. IBM et la fondation MJFF expliquent qu’ils leur reste encore beaucoup de travail pour affiner leur modèle d’intelligence artificielle avant que ce dernier ne puisse réellement aider les médecins. Les chercheurs espèrent notamment rendre leur modèle capable de délivrer des pronostics plus précis des différents stades de la maladie. Autour de 10 millions de personnes dans le monde sont atteints de la maladie de Parkinson.

Cette maladie en grande partie liée à l’âge touche environ 1% des plus de 60 ans. Mais il arrive également qu’elle se déclare plus tôt. Quelques 41 personnes sur 100 000 développent des symptômes de la maladie dès 40 ans – dit autrement, 4% des personnes atteintes ont moins de 50 ans. Les hommes ont 1,5 fois plus de chances de développer la maladie que les femmes. Il n’existe à ce jour aucun traitement permettant de réellement soigner la maladie de Parkinson.

Des chercheurs IBM et la Fondation Michael J. Fox (MJFF) annoncent avoir développé une intelligence artificielle capable de prédire comment les symptômes de la maladie de Parkinson évolueront chez un patient. L’idée est d’avoir une idée plus précise de la vitesse de progression de la maladie ainsi que sa gravité. Une aide précieuse pour les médecins qui pourront mieux ajuster leur prise en charge – une petite révolution dans le traitement de la maladie.

“Notre objectif est d’utiliser l’IA pour informer la gestion des patients et la conception des essais cliniques. Ces objectifs sont importants car, malgré la prévalence de la maladie de Parkinson, les patients font l’expérience d’une gamme unique de symptômes moteurs et non moteurs”, explique IBM dans un papier scientifique publié dans The Lancet Digital Health journal. La MJFF a eu un rôle crucial. Cette fondation, créé par l’acteur qui joue Marty McFly dans Retour vers le Futur a financé une étude massive portant sur 1400 individus atteints de la maladie.

Les résultats de l’enquête ont permis de constituer un set de données décrit comme “le plus vaste et robuste” à ce jour. Grâce à ces données, IBM a permis à son modèle d’IA de cartographier les symptômes les plus complexes et ambigus et les motifs qui se cachent dans les différents profils de progression de la maladie. L’utilisation de cette technologie n’a rien d’inédit. On a en effet déjà vu pas mal d’exemples de ce type pour détecter, par exemple, des tumeurs au cerveau, des cas d’insuffisance rénale et divers cancers.

Le travail des chercheurs n’est néanmoins pas terminé. IBM et la fondation MJFF expliquent qu’ils leur reste encore beaucoup de travail pour affiner leur modèle d’intelligence artificielle avant que ce dernier ne puisse réellement aider les médecins. Les chercheurs espèrent notamment rendre leur modèle capable de délivrer des pronostics plus précis des différents stades de la maladie. Autour de 10 millions de personnes dans le monde sont atteints de la maladie de Parkinson.

Cette maladie en grande partie liée à l’âge touche environ 1% des plus de 60 ans. Mais il arrive également qu’elle se déclare plus tôt. Quelques 41 personnes sur 100 000 développent des symptômes de la maladie dès 40 ans – dit autrement, 4% des personnes atteintes ont moins de 50 ans. Les hommes ont 1,5 fois plus de chances de développer la maladie que les femmes. Il n’existe à ce jour aucun traitement permettant de réellement soigner la maladie de Parkinson.

Des chercheurs IBM et la Fondation Michael J. Fox (MJFF) annoncent avoir développé une intelligence artificielle capable de prédire comment les symptômes de la maladie de Parkinson évolueront chez un patient. L’idée est d’avoir une idée plus précise de la vitesse de progression de la maladie ainsi que sa gravité. Une aide précieuse pour les médecins qui pourront mieux ajuster leur prise en charge – une petite révolution dans le traitement de la maladie.

“Notre objectif est d’utiliser l’IA pour informer la gestion des patients et la conception des essais cliniques. Ces objectifs sont importants car, malgré la prévalence de la maladie de Parkinson, les patients font l’expérience d’une gamme unique de symptômes moteurs et non moteurs”, explique IBM dans un papier scientifique publié dans The Lancet Digital Health journal. La MJFF a eu un rôle crucial. Cette fondation, créé par l’acteur qui joue Marty McFly dans Retour vers le Futur a financé une étude massive portant sur 1400 individus atteints de la maladie.

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Le travail des chercheurs n’est néanmoins pas terminé. IBM et la fondation MJFF expliquent qu’ils leur reste encore beaucoup de travail pour affiner leur modèle d’intelligence artificielle avant que ce dernier ne puisse réellement aider les médecins. Les chercheurs espèrent notamment rendre leur modèle capable de délivrer des pronostics plus précis des différents stades de la maladie. Autour de 10 millions de personnes dans le monde sont atteints de la maladie de Parkinson.

Cette maladie en grande partie liée à l’âge touche environ 1% des plus de 60 ans. Mais il arrive également qu’elle se déclare plus tôt. Quelques 41 personnes sur 100 000 développent des symptômes de la maladie dès 40 ans – dit autrement, 4% des personnes atteintes ont moins de 50 ans. Les hommes ont 1,5 fois plus de chances de développer la maladie que les femmes. Il n’existe à ce jour aucun traitement permettant de réellement soigner la maladie de Parkinson.

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“Notre objectif est d’utiliser l’IA pour informer la gestion des patients et la conception des essais cliniques. Ces objectifs sont importants car, malgré la prévalence de la maladie de Parkinson, les patients font l’expérience d’une gamme unique de symptômes moteurs et non moteurs”, explique IBM dans un papier scientifique publié dans The Lancet Digital Health journal. La MJFF a eu un rôle crucial. Cette fondation, créé par l’acteur qui joue Marty McFly dans Retour vers le Futur a financé une étude massive portant sur 1400 individus atteints de la maladie.

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Le travail des chercheurs n’est néanmoins pas terminé. IBM et la fondation MJFF expliquent qu’ils leur reste encore beaucoup de travail pour affiner leur modèle d’intelligence artificielle avant que ce dernier ne puisse réellement aider les médecins. Les chercheurs espèrent notamment rendre leur modèle capable de délivrer des pronostics plus précis des différents stades de la maladie. Autour de 10 millions de personnes dans le monde sont atteints de la maladie de Parkinson.

Cette maladie en grande partie liée à l’âge touche environ 1% des plus de 60 ans. Mais il arrive également qu’elle se déclare plus tôt. Quelques 41 personnes sur 100 000 développent des symptômes de la maladie dès 40 ans – dit autrement, 4% des personnes atteintes ont moins de 50 ans. Les hommes ont 1,5 fois plus de chances de développer la maladie que les femmes. Il n’existe à ce jour aucun traitement permettant de réellement soigner la maladie de Parkinson.

Des chercheurs IBM et la Fondation Michael J. Fox (MJFF) annoncent avoir développé une intelligence artificielle capable de prédire comment les symptômes de la maladie de Parkinson évolueront chez un patient. L’idée est d’avoir une idée plus précise de la vitesse de progression de la maladie ainsi que sa gravité. Une aide précieuse pour les médecins qui pourront mieux ajuster leur prise en charge – une petite révolution dans le traitement de la maladie.

“Notre objectif est d’utiliser l’IA pour informer la gestion des patients et la conception des essais cliniques. Ces objectifs sont importants car, malgré la prévalence de la maladie de Parkinson, les patients font l’expérience d’une gamme unique de symptômes moteurs et non moteurs”, explique IBM dans un papier scientifique publié dans The Lancet Digital Health journal. La MJFF a eu un rôle crucial. Cette fondation, créé par l’acteur qui joue Marty McFly dans Retour vers le Futur a financé une étude massive portant sur 1400 individus atteints de la maladie.

Les résultats de l’enquête ont permis de constituer un set de données décrit comme “le plus vaste et robuste” à ce jour. Grâce à ces données, IBM a permis à son modèle d’IA de cartographier les symptômes les plus complexes et ambigus et les motifs qui se cachent dans les différents profils de progression de la maladie. L’utilisation de cette technologie n’a rien d’inédit. On a en effet déjà vu pas mal d’exemples de ce type pour détecter, par exemple, des tumeurs au cerveau, des cas d’insuffisance rénale et divers cancers.

Le travail des chercheurs n’est néanmoins pas terminé. IBM et la fondation MJFF expliquent qu’ils leur reste encore beaucoup de travail pour affiner leur modèle d’intelligence artificielle avant que ce dernier ne puisse réellement aider les médecins. Les chercheurs espèrent notamment rendre leur modèle capable de délivrer des pronostics plus précis des différents stades de la maladie. Autour de 10 millions de personnes dans le monde sont atteints de la maladie de Parkinson.

Cette maladie en grande partie liée à l’âge touche environ 1% des plus de 60 ans. Mais il arrive également qu’elle se déclare plus tôt. Quelques 41 personnes sur 100 000 développent des symptômes de la maladie dès 40 ans – dit autrement, 4% des personnes atteintes ont moins de 50 ans. Les hommes ont 1,5 fois plus de chances de développer la maladie que les femmes. Il n’existe à ce jour aucun traitement permettant de réellement soigner la maladie de Parkinson.

Des chercheurs IBM et la Fondation Michael J. Fox (MJFF) annoncent avoir développé une intelligence artificielle capable de prédire comment les symptômes de la maladie de Parkinson évolueront chez un patient. L’idée est d’avoir une idée plus précise de la vitesse de progression de la maladie ainsi que sa gravité. Une aide précieuse pour les médecins qui pourront mieux ajuster leur prise en charge – une petite révolution dans le traitement de la maladie.

“Notre objectif est d’utiliser l’IA pour informer la gestion des patients et la conception des essais cliniques. Ces objectifs sont importants car, malgré la prévalence de la maladie de Parkinson, les patients font l’expérience d’une gamme unique de symptômes moteurs et non moteurs”, explique IBM dans un papier scientifique publié dans The Lancet Digital Health journal. La MJFF a eu un rôle crucial. Cette fondation, créé par l’acteur qui joue Marty McFly dans Retour vers le Futur a financé une étude massive portant sur 1400 individus atteints de la maladie.

Les résultats de l’enquête ont permis de constituer un set de données décrit comme “le plus vaste et robuste” à ce jour. Grâce à ces données, IBM a permis à son modèle d’IA de cartographier les symptômes les plus complexes et ambigus et les motifs qui se cachent dans les différents profils de progression de la maladie. L’utilisation de cette technologie n’a rien d’inédit. On a en effet déjà vu pas mal d’exemples de ce type pour détecter, par exemple, des tumeurs au cerveau, des cas d’insuffisance rénale et divers cancers.

Le travail des chercheurs n’est néanmoins pas terminé. IBM et la fondation MJFF expliquent qu’ils leur reste encore beaucoup de travail pour affiner leur modèle d’intelligence artificielle avant que ce dernier ne puisse réellement aider les médecins. Les chercheurs espèrent notamment rendre leur modèle capable de délivrer des pronostics plus précis des différents stades de la maladie. Autour de 10 millions de personnes dans le monde sont atteints de la maladie de Parkinson.

Cette maladie en grande partie liée à l’âge touche environ 1% des plus de 60 ans. Mais il arrive également qu’elle se déclare plus tôt. Quelques 41 personnes sur 100 000 développent des symptômes de la maladie dès 40 ans – dit autrement, 4% des personnes atteintes ont moins de 50 ans. Les hommes ont 1,5 fois plus de chances de développer la maladie que les femmes. Il n’existe à ce jour aucun traitement permettant de réellement soigner la maladie de Parkinson.

Des chercheurs IBM et la Fondation Michael J. Fox (MJFF) annoncent avoir développé une intelligence artificielle capable de prédire comment les symptômes de la maladie de Parkinson évolueront chez un patient. L’idée est d’avoir une idée plus précise de la vitesse de progression de la maladie ainsi que sa gravité. Une aide précieuse pour les médecins qui pourront mieux ajuster leur prise en charge – une petite révolution dans le traitement de la maladie.

“Notre objectif est d’utiliser l’IA pour informer la gestion des patients et la conception des essais cliniques. Ces objectifs sont importants car, malgré la prévalence de la maladie de Parkinson, les patients font l’expérience d’une gamme unique de symptômes moteurs et non moteurs”, explique IBM dans un papier scientifique publié dans The Lancet Digital Health journal. La MJFF a eu un rôle crucial. Cette fondation, créé par l’acteur qui joue Marty McFly dans Retour vers le Futur a financé une étude massive portant sur 1400 individus atteints de la maladie.

Les résultats de l’enquête ont permis de constituer un set de données décrit comme “le plus vaste et robuste” à ce jour. Grâce à ces données, IBM a permis à son modèle d’IA de cartographier les symptômes les plus complexes et ambigus et les motifs qui se cachent dans les différents profils de progression de la maladie. L’utilisation de cette technologie n’a rien d’inédit. On a en effet déjà vu pas mal d’exemples de ce type pour détecter, par exemple, des tumeurs au cerveau, des cas d’insuffisance rénale et divers cancers.

Le travail des chercheurs n’est néanmoins pas terminé. IBM et la fondation MJFF expliquent qu’ils leur reste encore beaucoup de travail pour affiner leur modèle d’intelligence artificielle avant que ce dernier ne puisse réellement aider les médecins. Les chercheurs espèrent notamment rendre leur modèle capable de délivrer des pronostics plus précis des différents stades de la maladie. Autour de 10 millions de personnes dans le monde sont atteints de la maladie de Parkinson.

Cette maladie en grande partie liée à l’âge touche environ 1% des plus de 60 ans. Mais il arrive également qu’elle se déclare plus tôt. Quelques 41 personnes sur 100 000 développent des symptômes de la maladie dès 40 ans – dit autrement, 4% des personnes atteintes ont moins de 50 ans. Les hommes ont 1,5 fois plus de chances de développer la maladie que les femmes. Il n’existe à ce jour aucun traitement permettant de réellement soigner la maladie de Parkinson.

Des chercheurs IBM et la Fondation Michael J. Fox (MJFF) annoncent avoir développé une intelligence artificielle capable de prédire comment les symptômes de la maladie de Parkinson évolueront chez un patient. L’idée est d’avoir une idée plus précise de la vitesse de progression de la maladie ainsi que sa gravité. Une aide précieuse pour les médecins qui pourront mieux ajuster leur prise en charge – une petite révolution dans le traitement de la maladie.

“Notre objectif est d’utiliser l’IA pour informer la gestion des patients et la conception des essais cliniques. Ces objectifs sont importants car, malgré la prévalence de la maladie de Parkinson, les patients font l’expérience d’une gamme unique de symptômes moteurs et non moteurs”, explique IBM dans un papier scientifique publié dans The Lancet Digital Health journal. La MJFF a eu un rôle crucial. Cette fondation, créé par l’acteur qui joue Marty McFly dans Retour vers le Futur a financé une étude massive portant sur 1400 individus atteints de la maladie.

Les résultats de l’enquête ont permis de constituer un set de données décrit comme “le plus vaste et robuste” à ce jour. Grâce à ces données, IBM a permis à son modèle d’IA de cartographier les symptômes les plus complexes et ambigus et les motifs qui se cachent dans les différents profils de progression de la maladie. L’utilisation de cette technologie n’a rien d’inédit. On a en effet déjà vu pas mal d’exemples de ce type pour détecter, par exemple, des tumeurs au cerveau, des cas d’insuffisance rénale et divers cancers.

Le travail des chercheurs n’est néanmoins pas terminé. IBM et la fondation MJFF expliquent qu’ils leur reste encore beaucoup de travail pour affiner leur modèle d’intelligence artificielle avant que ce dernier ne puisse réellement aider les médecins. Les chercheurs espèrent notamment rendre leur modèle capable de délivrer des pronostics plus précis des différents stades de la maladie. Autour de 10 millions de personnes dans le monde sont atteints de la maladie de Parkinson.

Cette maladie en grande partie liée à l’âge touche environ 1% des plus de 60 ans. Mais il arrive également qu’elle se déclare plus tôt. Quelques 41 personnes sur 100 000 développent des symptômes de la maladie dès 40 ans – dit autrement, 4% des personnes atteintes ont moins de 50 ans. Les hommes ont 1,5 fois plus de chances de développer la maladie que les femmes. Il n’existe à ce jour aucun traitement permettant de réellement soigner la maladie de Parkinson.

Des chercheurs IBM et la Fondation Michael J. Fox (MJFF) annoncent avoir développé une intelligence artificielle capable de prédire comment les symptômes de la maladie de Parkinson évolueront chez un patient. L’idée est d’avoir une idée plus précise de la vitesse de progression de la maladie ainsi que sa gravité. Une aide précieuse pour les médecins qui pourront mieux ajuster leur prise en charge – une petite révolution dans le traitement de la maladie.

“Notre objectif est d’utiliser l’IA pour informer la gestion des patients et la conception des essais cliniques. Ces objectifs sont importants car, malgré la prévalence de la maladie de Parkinson, les patients font l’expérience d’une gamme unique de symptômes moteurs et non moteurs”, explique IBM dans un papier scientifique publié dans The Lancet Digital Health journal. La MJFF a eu un rôle crucial. Cette fondation, créé par l’acteur qui joue Marty McFly dans Retour vers le Futur a financé une étude massive portant sur 1400 individus atteints de la maladie.

Les résultats de l’enquête ont permis de constituer un set de données décrit comme “le plus vaste et robuste” à ce jour. Grâce à ces données, IBM a permis à son modèle d’IA de cartographier les symptômes les plus complexes et ambigus et les motifs qui se cachent dans les différents profils de progression de la maladie. L’utilisation de cette technologie n’a rien d’inédit. On a en effet déjà vu pas mal d’exemples de ce type pour détecter, par exemple, des tumeurs au cerveau, des cas d’insuffisance rénale et divers cancers.

Le travail des chercheurs n’est néanmoins pas terminé. IBM et la fondation MJFF expliquent qu’ils leur reste encore beaucoup de travail pour affiner leur modèle d’intelligence artificielle avant que ce dernier ne puisse réellement aider les médecins. Les chercheurs espèrent notamment rendre leur modèle capable de délivrer des pronostics plus précis des différents stades de la maladie. Autour de 10 millions de personnes dans le monde sont atteints de la maladie de Parkinson.

Cette maladie en grande partie liée à l’âge touche environ 1% des plus de 60 ans. Mais il arrive également qu’elle se déclare plus tôt. Quelques 41 personnes sur 100 000 développent des symptômes de la maladie dès 40 ans – dit autrement, 4% des personnes atteintes ont moins de 50 ans. Les hommes ont 1,5 fois plus de chances de développer la maladie que les femmes. Il n’existe à ce jour aucun traitement permettant de réellement soigner la maladie de Parkinson.

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