Bonne ambiance chez Amazon. Plusieurs fois épinglée pour le traitement calamiteux de ses salariées, l’entreprise doit encore gérer un bad buzz dont elle se serait bien passée.
Dans une longue interview parue dans le New York Times, David Niekerk, ancien vice-président de l’entreprise, se fend de quelques révélations croustillantes au sujet de Jeff Bezos.
Jeff Bezos croit que les gens sont intrinsèquement paresseux.
David Niekerk, c’est le “Monsieur Entrepôt” d’Amazon. Il a aidé à concevoir le système de gestion des entrepôts en se basant sur une forte conviction de Jeff Bezos : les gens sont intrinsèquement paresseux.
“Ce qu’il disait, c’est que notre nature d’humain est de dépenser le moins d’énergie possible pour obtenir ce que nous voulons ou ce dont nous avons besoin” explique David Niekerk au New York Times. Ainsi, les entrepôts ont été imaginés pour éviter que les employés d’Amazon ne puissent se laisser aller à leur fainéantise naturelle.
Chez Amazon, c’est marche ou crève
“Amazon est capable de licencier un employé pour une seule journée de faible productivité” explique l’ancien vice-président. Il souligne également que l’entreprise ne garantit pas d’augmentation de salaire après les trois premières années d’emploi et que les employés à court terme n’ont aucune perspective d’évolution.
Ces déclarations vont dans le sens de précédentes enquêtes menées auprès des employés d’Amazon. L’une d’entre elles révélait que les employés ne pouvaient même pas prendre de “pause-pipi”, certains se retrouvant à uriner dans une bouteille pour maintenir la cadence.
Le Washington Post publiait un rapport de l’administration américaine de la santé et de la sécurité au travail. Ce dernier concluait que les employés d’Amazon étaient deux fois plus susceptibles de se blesser gravement que les employés d’autres entreprises.
Un ticket pour l’espace
Face aux critiques, Jeff Bezos a promis d’investir 300 millions de dollars en 2021 pour “faire des efforts pour ses employés”. Rappelons que sa fortune s’élève à 213 milliards de dollars à l’heure où nous écrivons ces lignes.
Une fortune qui lui a permis de s’envoler dans l’espace. A son retour, le PDG d’Amazon remerciait les clients et les employés de l’entreprise sans qui financer ce voyage n’aurait pas été possible. Y’a pas de quoi Jeff, vraiment.

Bonne ambiance chez Amazon. Plusieurs fois épinglée pour le traitement calamiteux de ses salariées, l’entreprise doit encore gérer un bad buzz dont elle se serait bien passée.
Dans une longue interview parue dans le New York Times, David Niekerk, ancien vice-président de l’entreprise, se fend de quelques révélations croustillantes au sujet de Jeff Bezos.
Jeff Bezos croit que les gens sont intrinsèquement paresseux.
David Niekerk, c’est le “Monsieur Entrepôt” d’Amazon. Il a aidé à concevoir le système de gestion des entrepôts en se basant sur une forte conviction de Jeff Bezos : les gens sont intrinsèquement paresseux.
“Ce qu’il disait, c’est que notre nature d’humain est de dépenser le moins d’énergie possible pour obtenir ce que nous voulons ou ce dont nous avons besoin” explique David Niekerk au New York Times. Ainsi, les entrepôts ont été imaginés pour éviter que les employés d’Amazon ne puissent se laisser aller à leur fainéantise naturelle.
Chez Amazon, c’est marche ou crève
“Amazon est capable de licencier un employé pour une seule journée de faible productivité” explique l’ancien vice-président. Il souligne également que l’entreprise ne garantit pas d’augmentation de salaire après les trois premières années d’emploi et que les employés à court terme n’ont aucune perspective d’évolution.
Ces déclarations vont dans le sens de précédentes enquêtes menées auprès des employés d’Amazon. L’une d’entre elles révélait que les employés ne pouvaient même pas prendre de “pause-pipi”, certains se retrouvant à uriner dans une bouteille pour maintenir la cadence.
Le Washington Post publiait un rapport de l’administration américaine de la santé et de la sécurité au travail. Ce dernier concluait que les employés d’Amazon étaient deux fois plus susceptibles de se blesser gravement que les employés d’autres entreprises.
Un ticket pour l’espace
Face aux critiques, Jeff Bezos a promis d’investir 300 millions de dollars en 2021 pour “faire des efforts pour ses employés”. Rappelons que sa fortune s’élève à 213 milliards de dollars à l’heure où nous écrivons ces lignes.
Une fortune qui lui a permis de s’envoler dans l’espace. A son retour, le PDG d’Amazon remerciait les clients et les employés de l’entreprise sans qui financer ce voyage n’aurait pas été possible. Y’a pas de quoi Jeff, vraiment.

Bonne ambiance chez Amazon. Plusieurs fois épinglée pour le traitement calamiteux de ses salariées, l’entreprise doit encore gérer un bad buzz dont elle se serait bien passée.
Dans une longue interview parue dans le New York Times, David Niekerk, ancien vice-président de l’entreprise, se fend de quelques révélations croustillantes au sujet de Jeff Bezos.
Jeff Bezos croit que les gens sont intrinsèquement paresseux.
David Niekerk, c’est le “Monsieur Entrepôt” d’Amazon. Il a aidé à concevoir le système de gestion des entrepôts en se basant sur une forte conviction de Jeff Bezos : les gens sont intrinsèquement paresseux.
“Ce qu’il disait, c’est que notre nature d’humain est de dépenser le moins d’énergie possible pour obtenir ce que nous voulons ou ce dont nous avons besoin” explique David Niekerk au New York Times. Ainsi, les entrepôts ont été imaginés pour éviter que les employés d’Amazon ne puissent se laisser aller à leur fainéantise naturelle.
Chez Amazon, c’est marche ou crève
“Amazon est capable de licencier un employé pour une seule journée de faible productivité” explique l’ancien vice-président. Il souligne également que l’entreprise ne garantit pas d’augmentation de salaire après les trois premières années d’emploi et que les employés à court terme n’ont aucune perspective d’évolution.
Ces déclarations vont dans le sens de précédentes enquêtes menées auprès des employés d’Amazon. L’une d’entre elles révélait que les employés ne pouvaient même pas prendre de “pause-pipi”, certains se retrouvant à uriner dans une bouteille pour maintenir la cadence.
Le Washington Post publiait un rapport de l’administration américaine de la santé et de la sécurité au travail. Ce dernier concluait que les employés d’Amazon étaient deux fois plus susceptibles de se blesser gravement que les employés d’autres entreprises.
Un ticket pour l’espace
Face aux critiques, Jeff Bezos a promis d’investir 300 millions de dollars en 2021 pour “faire des efforts pour ses employés”. Rappelons que sa fortune s’élève à 213 milliards de dollars à l’heure où nous écrivons ces lignes.
Une fortune qui lui a permis de s’envoler dans l’espace. A son retour, le PDG d’Amazon remerciait les clients et les employés de l’entreprise sans qui financer ce voyage n’aurait pas été possible. Y’a pas de quoi Jeff, vraiment.

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Dans une longue interview parue dans le New York Times, David Niekerk, ancien vice-président de l’entreprise, se fend de quelques révélations croustillantes au sujet de Jeff Bezos.
Jeff Bezos croit que les gens sont intrinsèquement paresseux.
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“Ce qu’il disait, c’est que notre nature d’humain est de dépenser le moins d’énergie possible pour obtenir ce que nous voulons ou ce dont nous avons besoin” explique David Niekerk au New York Times. Ainsi, les entrepôts ont été imaginés pour éviter que les employés d’Amazon ne puissent se laisser aller à leur fainéantise naturelle.
Chez Amazon, c’est marche ou crève
“Amazon est capable de licencier un employé pour une seule journée de faible productivité” explique l’ancien vice-président. Il souligne également que l’entreprise ne garantit pas d’augmentation de salaire après les trois premières années d’emploi et que les employés à court terme n’ont aucune perspective d’évolution.
Ces déclarations vont dans le sens de précédentes enquêtes menées auprès des employés d’Amazon. L’une d’entre elles révélait que les employés ne pouvaient même pas prendre de “pause-pipi”, certains se retrouvant à uriner dans une bouteille pour maintenir la cadence.
Le Washington Post publiait un rapport de l’administration américaine de la santé et de la sécurité au travail. Ce dernier concluait que les employés d’Amazon étaient deux fois plus susceptibles de se blesser gravement que les employés d’autres entreprises.
Un ticket pour l’espace
Face aux critiques, Jeff Bezos a promis d’investir 300 millions de dollars en 2021 pour “faire des efforts pour ses employés”. Rappelons que sa fortune s’élève à 213 milliards de dollars à l’heure où nous écrivons ces lignes.
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Jeff Bezos croit que les gens sont intrinsèquement paresseux.
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“Amazon est capable de licencier un employé pour une seule journée de faible productivité” explique l’ancien vice-président. Il souligne également que l’entreprise ne garantit pas d’augmentation de salaire après les trois premières années d’emploi et que les employés à court terme n’ont aucune perspective d’évolution.
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Face aux critiques, Jeff Bezos a promis d’investir 300 millions de dollars en 2021 pour “faire des efforts pour ses employés”. Rappelons que sa fortune s’élève à 213 milliards de dollars à l’heure où nous écrivons ces lignes.
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“Amazon est capable de licencier un employé pour une seule journée de faible productivité” explique l’ancien vice-président. Il souligne également que l’entreprise ne garantit pas d’augmentation de salaire après les trois premières années d’emploi et que les employés à court terme n’ont aucune perspective d’évolution.
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“Ce qu’il disait, c’est que notre nature d’humain est de dépenser le moins d’énergie possible pour obtenir ce que nous voulons ou ce dont nous avons besoin” explique David Niekerk au New York Times. Ainsi, les entrepôts ont été imaginés pour éviter que les employés d’Amazon ne puissent se laisser aller à leur fainéantise naturelle.
Chez Amazon, c’est marche ou crève
“Amazon est capable de licencier un employé pour une seule journée de faible productivité” explique l’ancien vice-président. Il souligne également que l’entreprise ne garantit pas d’augmentation de salaire après les trois premières années d’emploi et que les employés à court terme n’ont aucune perspective d’évolution.
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Face aux critiques, Jeff Bezos a promis d’investir 300 millions de dollars en 2021 pour “faire des efforts pour ses employés”. Rappelons que sa fortune s’élève à 213 milliards de dollars à l’heure où nous écrivons ces lignes.
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Chez Amazon, c’est marche ou crève
“Amazon est capable de licencier un employé pour une seule journée de faible productivité” explique l’ancien vice-président. Il souligne également que l’entreprise ne garantit pas d’augmentation de salaire après les trois premières années d’emploi et que les employés à court terme n’ont aucune perspective d’évolution.
Ces déclarations vont dans le sens de précédentes enquêtes menées auprès des employés d’Amazon. L’une d’entre elles révélait que les employés ne pouvaient même pas prendre de “pause-pipi”, certains se retrouvant à uriner dans une bouteille pour maintenir la cadence.
Le Washington Post publiait un rapport de l’administration américaine de la santé et de la sécurité au travail. Ce dernier concluait que les employés d’Amazon étaient deux fois plus susceptibles de se blesser gravement que les employés d’autres entreprises.
Un ticket pour l’espace
Face aux critiques, Jeff Bezos a promis d’investir 300 millions de dollars en 2021 pour “faire des efforts pour ses employés”. Rappelons que sa fortune s’élève à 213 milliards de dollars à l’heure où nous écrivons ces lignes.
Une fortune qui lui a permis de s’envoler dans l’espace. A son retour, le PDG d’Amazon remerciait les clients et les employés de l’entreprise sans qui financer ce voyage n’aurait pas été possible. Y’a pas de quoi Jeff, vraiment.

Bonne ambiance chez Amazon. Plusieurs fois épinglée pour le traitement calamiteux de ses salariées, l’entreprise doit encore gérer un bad buzz dont elle se serait bien passée.
Dans une longue interview parue dans le New York Times, David Niekerk, ancien vice-président de l’entreprise, se fend de quelques révélations croustillantes au sujet de Jeff Bezos.
Jeff Bezos croit que les gens sont intrinsèquement paresseux.
David Niekerk, c’est le “Monsieur Entrepôt” d’Amazon. Il a aidé à concevoir le système de gestion des entrepôts en se basant sur une forte conviction de Jeff Bezos : les gens sont intrinsèquement paresseux.
“Ce qu’il disait, c’est que notre nature d’humain est de dépenser le moins d’énergie possible pour obtenir ce que nous voulons ou ce dont nous avons besoin” explique David Niekerk au New York Times. Ainsi, les entrepôts ont été imaginés pour éviter que les employés d’Amazon ne puissent se laisser aller à leur fainéantise naturelle.
Chez Amazon, c’est marche ou crève
“Amazon est capable de licencier un employé pour une seule journée de faible productivité” explique l’ancien vice-président. Il souligne également que l’entreprise ne garantit pas d’augmentation de salaire après les trois premières années d’emploi et que les employés à court terme n’ont aucune perspective d’évolution.
Ces déclarations vont dans le sens de précédentes enquêtes menées auprès des employés d’Amazon. L’une d’entre elles révélait que les employés ne pouvaient même pas prendre de “pause-pipi”, certains se retrouvant à uriner dans une bouteille pour maintenir la cadence.
Le Washington Post publiait un rapport de l’administration américaine de la santé et de la sécurité au travail. Ce dernier concluait que les employés d’Amazon étaient deux fois plus susceptibles de se blesser gravement que les employés d’autres entreprises.
Un ticket pour l’espace
Face aux critiques, Jeff Bezos a promis d’investir 300 millions de dollars en 2021 pour “faire des efforts pour ses employés”. Rappelons que sa fortune s’élève à 213 milliards de dollars à l’heure où nous écrivons ces lignes.
Une fortune qui lui a permis de s’envoler dans l’espace. A son retour, le PDG d’Amazon remerciait les clients et les employés de l’entreprise sans qui financer ce voyage n’aurait pas été possible. Y’a pas de quoi Jeff, vraiment.

Bonne ambiance chez Amazon. Plusieurs fois épinglée pour le traitement calamiteux de ses salariées, l’entreprise doit encore gérer un bad buzz dont elle se serait bien passée.
Dans une longue interview parue dans le New York Times, David Niekerk, ancien vice-président de l’entreprise, se fend de quelques révélations croustillantes au sujet de Jeff Bezos.
Jeff Bezos croit que les gens sont intrinsèquement paresseux.
David Niekerk, c’est le “Monsieur Entrepôt” d’Amazon. Il a aidé à concevoir le système de gestion des entrepôts en se basant sur une forte conviction de Jeff Bezos : les gens sont intrinsèquement paresseux.
“Ce qu’il disait, c’est que notre nature d’humain est de dépenser le moins d’énergie possible pour obtenir ce que nous voulons ou ce dont nous avons besoin” explique David Niekerk au New York Times. Ainsi, les entrepôts ont été imaginés pour éviter que les employés d’Amazon ne puissent se laisser aller à leur fainéantise naturelle.
Chez Amazon, c’est marche ou crève
“Amazon est capable de licencier un employé pour une seule journée de faible productivité” explique l’ancien vice-président. Il souligne également que l’entreprise ne garantit pas d’augmentation de salaire après les trois premières années d’emploi et que les employés à court terme n’ont aucune perspective d’évolution.
Ces déclarations vont dans le sens de précédentes enquêtes menées auprès des employés d’Amazon. L’une d’entre elles révélait que les employés ne pouvaient même pas prendre de “pause-pipi”, certains se retrouvant à uriner dans une bouteille pour maintenir la cadence.
Le Washington Post publiait un rapport de l’administration américaine de la santé et de la sécurité au travail. Ce dernier concluait que les employés d’Amazon étaient deux fois plus susceptibles de se blesser gravement que les employés d’autres entreprises.
Un ticket pour l’espace
Face aux critiques, Jeff Bezos a promis d’investir 300 millions de dollars en 2021 pour “faire des efforts pour ses employés”. Rappelons que sa fortune s’élève à 213 milliards de dollars à l’heure où nous écrivons ces lignes.
Une fortune qui lui a permis de s’envoler dans l’espace. A son retour, le PDG d’Amazon remerciait les clients et les employés de l’entreprise sans qui financer ce voyage n’aurait pas été possible. Y’a pas de quoi Jeff, vraiment.

Bonne ambiance chez Amazon. Plusieurs fois épinglée pour le traitement calamiteux de ses salariées, l’entreprise doit encore gérer un bad buzz dont elle se serait bien passée.
Dans une longue interview parue dans le New York Times, David Niekerk, ancien vice-président de l’entreprise, se fend de quelques révélations croustillantes au sujet de Jeff Bezos.
Jeff Bezos croit que les gens sont intrinsèquement paresseux.
David Niekerk, c’est le “Monsieur Entrepôt” d’Amazon. Il a aidé à concevoir le système de gestion des entrepôts en se basant sur une forte conviction de Jeff Bezos : les gens sont intrinsèquement paresseux.
“Ce qu’il disait, c’est que notre nature d’humain est de dépenser le moins d’énergie possible pour obtenir ce que nous voulons ou ce dont nous avons besoin” explique David Niekerk au New York Times. Ainsi, les entrepôts ont été imaginés pour éviter que les employés d’Amazon ne puissent se laisser aller à leur fainéantise naturelle.
Chez Amazon, c’est marche ou crève
“Amazon est capable de licencier un employé pour une seule journée de faible productivité” explique l’ancien vice-président. Il souligne également que l’entreprise ne garantit pas d’augmentation de salaire après les trois premières années d’emploi et que les employés à court terme n’ont aucune perspective d’évolution.
Ces déclarations vont dans le sens de précédentes enquêtes menées auprès des employés d’Amazon. L’une d’entre elles révélait que les employés ne pouvaient même pas prendre de “pause-pipi”, certains se retrouvant à uriner dans une bouteille pour maintenir la cadence.
Le Washington Post publiait un rapport de l’administration américaine de la santé et de la sécurité au travail. Ce dernier concluait que les employés d’Amazon étaient deux fois plus susceptibles de se blesser gravement que les employés d’autres entreprises.
Un ticket pour l’espace
Face aux critiques, Jeff Bezos a promis d’investir 300 millions de dollars en 2021 pour “faire des efforts pour ses employés”. Rappelons que sa fortune s’élève à 213 milliards de dollars à l’heure où nous écrivons ces lignes.
Une fortune qui lui a permis de s’envoler dans l’espace. A son retour, le PDG d’Amazon remerciait les clients et les employés de l’entreprise sans qui financer ce voyage n’aurait pas été possible. Y’a pas de quoi Jeff, vraiment.

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Dans une longue interview parue dans le New York Times, David Niekerk, ancien vice-président de l’entreprise, se fend de quelques révélations croustillantes au sujet de Jeff Bezos.
Jeff Bezos croit que les gens sont intrinsèquement paresseux.
David Niekerk, c’est le “Monsieur Entrepôt” d’Amazon. Il a aidé à concevoir le système de gestion des entrepôts en se basant sur une forte conviction de Jeff Bezos : les gens sont intrinsèquement paresseux.
“Ce qu’il disait, c’est que notre nature d’humain est de dépenser le moins d’énergie possible pour obtenir ce que nous voulons ou ce dont nous avons besoin” explique David Niekerk au New York Times. Ainsi, les entrepôts ont été imaginés pour éviter que les employés d’Amazon ne puissent se laisser aller à leur fainéantise naturelle.
Chez Amazon, c’est marche ou crève
“Amazon est capable de licencier un employé pour une seule journée de faible productivité” explique l’ancien vice-président. Il souligne également que l’entreprise ne garantit pas d’augmentation de salaire après les trois premières années d’emploi et que les employés à court terme n’ont aucune perspective d’évolution.
Ces déclarations vont dans le sens de précédentes enquêtes menées auprès des employés d’Amazon. L’une d’entre elles révélait que les employés ne pouvaient même pas prendre de “pause-pipi”, certains se retrouvant à uriner dans une bouteille pour maintenir la cadence.
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Jeff Bezos croit que les gens sont intrinsèquement paresseux.
David Niekerk, c’est le “Monsieur Entrepôt” d’Amazon. Il a aidé à concevoir le système de gestion des entrepôts en se basant sur une forte conviction de Jeff Bezos : les gens sont intrinsèquement paresseux.
“Ce qu’il disait, c’est que notre nature d’humain est de dépenser le moins d’énergie possible pour obtenir ce que nous voulons ou ce dont nous avons besoin” explique David Niekerk au New York Times. Ainsi, les entrepôts ont été imaginés pour éviter que les employés d’Amazon ne puissent se laisser aller à leur fainéantise naturelle.
Chez Amazon, c’est marche ou crève
“Amazon est capable de licencier un employé pour une seule journée de faible productivité” explique l’ancien vice-président. Il souligne également que l’entreprise ne garantit pas d’augmentation de salaire après les trois premières années d’emploi et que les employés à court terme n’ont aucune perspective d’évolution.
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Le Washington Post publiait un rapport de l’administration américaine de la santé et de la sécurité au travail. Ce dernier concluait que les employés d’Amazon étaient deux fois plus susceptibles de se blesser gravement que les employés d’autres entreprises.
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Face aux critiques, Jeff Bezos a promis d’investir 300 millions de dollars en 2021 pour “faire des efforts pour ses employés”. Rappelons que sa fortune s’élève à 213 milliards de dollars à l’heure où nous écrivons ces lignes.
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Jeff Bezos croit que les gens sont intrinsèquement paresseux.
David Niekerk, c’est le “Monsieur Entrepôt” d’Amazon. Il a aidé à concevoir le système de gestion des entrepôts en se basant sur une forte conviction de Jeff Bezos : les gens sont intrinsèquement paresseux.
“Ce qu’il disait, c’est que notre nature d’humain est de dépenser le moins d’énergie possible pour obtenir ce que nous voulons ou ce dont nous avons besoin” explique David Niekerk au New York Times. Ainsi, les entrepôts ont été imaginés pour éviter que les employés d’Amazon ne puissent se laisser aller à leur fainéantise naturelle.
Chez Amazon, c’est marche ou crève
“Amazon est capable de licencier un employé pour une seule journée de faible productivité” explique l’ancien vice-président. Il souligne également que l’entreprise ne garantit pas d’augmentation de salaire après les trois premières années d’emploi et que les employés à court terme n’ont aucune perspective d’évolution.
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Face aux critiques, Jeff Bezos a promis d’investir 300 millions de dollars en 2021 pour “faire des efforts pour ses employés”. Rappelons que sa fortune s’élève à 213 milliards de dollars à l’heure où nous écrivons ces lignes.
Une fortune qui lui a permis de s’envoler dans l’espace. A son retour, le PDG d’Amazon remerciait les clients et les employés de l’entreprise sans qui financer ce voyage n’aurait pas été possible. Y’a pas de quoi Jeff, vraiment.

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Dans une longue interview parue dans le New York Times, David Niekerk, ancien vice-président de l’entreprise, se fend de quelques révélations croustillantes au sujet de Jeff Bezos.
Jeff Bezos croit que les gens sont intrinsèquement paresseux.
David Niekerk, c’est le “Monsieur Entrepôt” d’Amazon. Il a aidé à concevoir le système de gestion des entrepôts en se basant sur une forte conviction de Jeff Bezos : les gens sont intrinsèquement paresseux.
“Ce qu’il disait, c’est que notre nature d’humain est de dépenser le moins d’énergie possible pour obtenir ce que nous voulons ou ce dont nous avons besoin” explique David Niekerk au New York Times. Ainsi, les entrepôts ont été imaginés pour éviter que les employés d’Amazon ne puissent se laisser aller à leur fainéantise naturelle.
Chez Amazon, c’est marche ou crève
“Amazon est capable de licencier un employé pour une seule journée de faible productivité” explique l’ancien vice-président. Il souligne également que l’entreprise ne garantit pas d’augmentation de salaire après les trois premières années d’emploi et que les employés à court terme n’ont aucune perspective d’évolution.
Ces déclarations vont dans le sens de précédentes enquêtes menées auprès des employés d’Amazon. L’une d’entre elles révélait que les employés ne pouvaient même pas prendre de “pause-pipi”, certains se retrouvant à uriner dans une bouteille pour maintenir la cadence.
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Face aux critiques, Jeff Bezos a promis d’investir 300 millions de dollars en 2021 pour “faire des efforts pour ses employés”. Rappelons que sa fortune s’élève à 213 milliards de dollars à l’heure où nous écrivons ces lignes.
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“Amazon est capable de licencier un employé pour une seule journée de faible productivité” explique l’ancien vice-président. Il souligne également que l’entreprise ne garantit pas d’augmentation de salaire après les trois premières années d’emploi et que les employés à court terme n’ont aucune perspective d’évolution.
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Jeff Bezos croit que les gens sont intrinsèquement paresseux.
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“Ce qu’il disait, c’est que notre nature d’humain est de dépenser le moins d’énergie possible pour obtenir ce que nous voulons ou ce dont nous avons besoin” explique David Niekerk au New York Times. Ainsi, les entrepôts ont été imaginés pour éviter que les employés d’Amazon ne puissent se laisser aller à leur fainéantise naturelle.
Chez Amazon, c’est marche ou crève
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Un ticket pour l’espace
Face aux critiques, Jeff Bezos a promis d’investir 300 millions de dollars en 2021 pour “faire des efforts pour ses employés”. Rappelons que sa fortune s’élève à 213 milliards de dollars à l’heure où nous écrivons ces lignes.
Une fortune qui lui a permis de s’envoler dans l’espace. A son retour, le PDG d’Amazon remerciait les clients et les employés de l’entreprise sans qui financer ce voyage n’aurait pas été possible. Y’a pas de quoi Jeff, vraiment.

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Jeff Bezos croit que les gens sont intrinsèquement paresseux.
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Face aux critiques, Jeff Bezos a promis d’investir 300 millions de dollars en 2021 pour “faire des efforts pour ses employés”. Rappelons que sa fortune s’élève à 213 milliards de dollars à l’heure où nous écrivons ces lignes.
Une fortune qui lui a permis de s’envoler dans l’espace. A son retour, le PDG d’Amazon remerciait les clients et les employés de l’entreprise sans qui financer ce voyage n’aurait pas été possible. Y’a pas de quoi Jeff, vraiment.

Bonne ambiance chez Amazon. Plusieurs fois épinglée pour le traitement calamiteux de ses salariées, l’entreprise doit encore gérer un bad buzz dont elle se serait bien passée.
Dans une longue interview parue dans le New York Times, David Niekerk, ancien vice-président de l’entreprise, se fend de quelques révélations croustillantes au sujet de Jeff Bezos.
Jeff Bezos croit que les gens sont intrinsèquement paresseux.
David Niekerk, c’est le “Monsieur Entrepôt” d’Amazon. Il a aidé à concevoir le système de gestion des entrepôts en se basant sur une forte conviction de Jeff Bezos : les gens sont intrinsèquement paresseux.
“Ce qu’il disait, c’est que notre nature d’humain est de dépenser le moins d’énergie possible pour obtenir ce que nous voulons ou ce dont nous avons besoin” explique David Niekerk au New York Times. Ainsi, les entrepôts ont été imaginés pour éviter que les employés d’Amazon ne puissent se laisser aller à leur fainéantise naturelle.
Chez Amazon, c’est marche ou crève
“Amazon est capable de licencier un employé pour une seule journée de faible productivité” explique l’ancien vice-président. Il souligne également que l’entreprise ne garantit pas d’augmentation de salaire après les trois premières années d’emploi et que les employés à court terme n’ont aucune perspective d’évolution.
Ces déclarations vont dans le sens de précédentes enquêtes menées auprès des employés d’Amazon. L’une d’entre elles révélait que les employés ne pouvaient même pas prendre de “pause-pipi”, certains se retrouvant à uriner dans une bouteille pour maintenir la cadence.
Le Washington Post publiait un rapport de l’administration américaine de la santé et de la sécurité au travail. Ce dernier concluait que les employés d’Amazon étaient deux fois plus susceptibles de se blesser gravement que les employés d’autres entreprises.
Un ticket pour l’espace
Face aux critiques, Jeff Bezos a promis d’investir 300 millions de dollars en 2021 pour “faire des efforts pour ses employés”. Rappelons que sa fortune s’élève à 213 milliards de dollars à l’heure où nous écrivons ces lignes.
Une fortune qui lui a permis de s’envoler dans l’espace. A son retour, le PDG d’Amazon remerciait les clients et les employés de l’entreprise sans qui financer ce voyage n’aurait pas été possible. Y’a pas de quoi Jeff, vraiment.

Bonne ambiance chez Amazon. Plusieurs fois épinglée pour le traitement calamiteux de ses salariées, l’entreprise doit encore gérer un bad buzz dont elle se serait bien passée.
Dans une longue interview parue dans le New York Times, David Niekerk, ancien vice-président de l’entreprise, se fend de quelques révélations croustillantes au sujet de Jeff Bezos.
Jeff Bezos croit que les gens sont intrinsèquement paresseux.
David Niekerk, c’est le “Monsieur Entrepôt” d’Amazon. Il a aidé à concevoir le système de gestion des entrepôts en se basant sur une forte conviction de Jeff Bezos : les gens sont intrinsèquement paresseux.
“Ce qu’il disait, c’est que notre nature d’humain est de dépenser le moins d’énergie possible pour obtenir ce que nous voulons ou ce dont nous avons besoin” explique David Niekerk au New York Times. Ainsi, les entrepôts ont été imaginés pour éviter que les employés d’Amazon ne puissent se laisser aller à leur fainéantise naturelle.
Chez Amazon, c’est marche ou crève
“Amazon est capable de licencier un employé pour une seule journée de faible productivité” explique l’ancien vice-président. Il souligne également que l’entreprise ne garantit pas d’augmentation de salaire après les trois premières années d’emploi et que les employés à court terme n’ont aucune perspective d’évolution.
Ces déclarations vont dans le sens de précédentes enquêtes menées auprès des employés d’Amazon. L’une d’entre elles révélait que les employés ne pouvaient même pas prendre de “pause-pipi”, certains se retrouvant à uriner dans une bouteille pour maintenir la cadence.
Le Washington Post publiait un rapport de l’administration américaine de la santé et de la sécurité au travail. Ce dernier concluait que les employés d’Amazon étaient deux fois plus susceptibles de se blesser gravement que les employés d’autres entreprises.
Un ticket pour l’espace
Face aux critiques, Jeff Bezos a promis d’investir 300 millions de dollars en 2021 pour “faire des efforts pour ses employés”. Rappelons que sa fortune s’élève à 213 milliards de dollars à l’heure où nous écrivons ces lignes.
Une fortune qui lui a permis de s’envoler dans l’espace. A son retour, le PDG d’Amazon remerciait les clients et les employés de l’entreprise sans qui financer ce voyage n’aurait pas été possible. Y’a pas de quoi Jeff, vraiment.

Bonne ambiance chez Amazon. Plusieurs fois épinglée pour le traitement calamiteux de ses salariées, l’entreprise doit encore gérer un bad buzz dont elle se serait bien passée.
Dans une longue interview parue dans le New York Times, David Niekerk, ancien vice-président de l’entreprise, se fend de quelques révélations croustillantes au sujet de Jeff Bezos.
Jeff Bezos croit que les gens sont intrinsèquement paresseux.
David Niekerk, c’est le “Monsieur Entrepôt” d’Amazon. Il a aidé à concevoir le système de gestion des entrepôts en se basant sur une forte conviction de Jeff Bezos : les gens sont intrinsèquement paresseux.
“Ce qu’il disait, c’est que notre nature d’humain est de dépenser le moins d’énergie possible pour obtenir ce que nous voulons ou ce dont nous avons besoin” explique David Niekerk au New York Times. Ainsi, les entrepôts ont été imaginés pour éviter que les employés d’Amazon ne puissent se laisser aller à leur fainéantise naturelle.
Chez Amazon, c’est marche ou crève
“Amazon est capable de licencier un employé pour une seule journée de faible productivité” explique l’ancien vice-président. Il souligne également que l’entreprise ne garantit pas d’augmentation de salaire après les trois premières années d’emploi et que les employés à court terme n’ont aucune perspective d’évolution.
Ces déclarations vont dans le sens de précédentes enquêtes menées auprès des employés d’Amazon. L’une d’entre elles révélait que les employés ne pouvaient même pas prendre de “pause-pipi”, certains se retrouvant à uriner dans une bouteille pour maintenir la cadence.
Le Washington Post publiait un rapport de l’administration américaine de la santé et de la sécurité au travail. Ce dernier concluait que les employés d’Amazon étaient deux fois plus susceptibles de se blesser gravement que les employés d’autres entreprises.
Un ticket pour l’espace
Face aux critiques, Jeff Bezos a promis d’investir 300 millions de dollars en 2021 pour “faire des efforts pour ses employés”. Rappelons que sa fortune s’élève à 213 milliards de dollars à l’heure où nous écrivons ces lignes.
Une fortune qui lui a permis de s’envoler dans l’espace. A son retour, le PDG d’Amazon remerciait les clients et les employés de l’entreprise sans qui financer ce voyage n’aurait pas été possible. Y’a pas de quoi Jeff, vraiment.
