Le piratage ne connaît pas la crise. Dans un rapport publiée en mai dernier, la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) mettait en lumière la montée en puissance des sites de streaming illégaux en France en 2020. En moyenne 12,7 millions de personnes ont visité ces portails, soit 24 % de la population.
La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

Le piratage ne connaît pas la crise. Dans un rapport publiée en mai dernier, la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) mettait en lumière la montée en puissance des sites de streaming illégaux en France en 2020. En moyenne 12,7 millions de personnes ont visité ces portails, soit 24 % de la population.
La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

Le piratage ne connaît pas la crise. Dans un rapport publiée en mai dernier, la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) mettait en lumière la montée en puissance des sites de streaming illégaux en France en 2020. En moyenne 12,7 millions de personnes ont visité ces portails, soit 24 % de la population.
La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

Le piratage ne connaît pas la crise. Dans un rapport publiée en mai dernier, la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) mettait en lumière la montée en puissance des sites de streaming illégaux en France en 2020. En moyenne 12,7 millions de personnes ont visité ces portails, soit 24 % de la population.
La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

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La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

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La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

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La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
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La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

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La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

Le piratage ne connaît pas la crise. Dans un rapport publiée en mai dernier, la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) mettait en lumière la montée en puissance des sites de streaming illégaux en France en 2020. En moyenne 12,7 millions de personnes ont visité ces portails, soit 24 % de la population.
La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
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La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

Le piratage ne connaît pas la crise. Dans un rapport publiée en mai dernier, la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) mettait en lumière la montée en puissance des sites de streaming illégaux en France en 2020. En moyenne 12,7 millions de personnes ont visité ces portails, soit 24 % de la population.
La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
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La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

Le piratage ne connaît pas la crise. Dans un rapport publiée en mai dernier, la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) mettait en lumière la montée en puissance des sites de streaming illégaux en France en 2020. En moyenne 12,7 millions de personnes ont visité ces portails, soit 24 % de la population.
La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

Le piratage ne connaît pas la crise. Dans un rapport publiée en mai dernier, la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) mettait en lumière la montée en puissance des sites de streaming illégaux en France en 2020. En moyenne 12,7 millions de personnes ont visité ces portails, soit 24 % de la population.
La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
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La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
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L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
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Le piratage ne connaît pas la crise. Dans un rapport publiée en mai dernier, la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) mettait en lumière la montée en puissance des sites de streaming illégaux en France en 2020. En moyenne 12,7 millions de personnes ont visité ces portails, soit 24 % de la population.
La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

Le piratage ne connaît pas la crise. Dans un rapport publiée en mai dernier, la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) mettait en lumière la montée en puissance des sites de streaming illégaux en France en 2020. En moyenne 12,7 millions de personnes ont visité ces portails, soit 24 % de la population.
La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

Le piratage ne connaît pas la crise. Dans un rapport publiée en mai dernier, la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) mettait en lumière la montée en puissance des sites de streaming illégaux en France en 2020. En moyenne 12,7 millions de personnes ont visité ces portails, soit 24 % de la population.
La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

Le piratage ne connaît pas la crise. Dans un rapport publiée en mai dernier, la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) mettait en lumière la montée en puissance des sites de streaming illégaux en France en 2020. En moyenne 12,7 millions de personnes ont visité ces portails, soit 24 % de la population.
La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

Le piratage ne connaît pas la crise. Dans un rapport publiée en mai dernier, la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) mettait en lumière la montée en puissance des sites de streaming illégaux en France en 2020. En moyenne 12,7 millions de personnes ont visité ces portails, soit 24 % de la population.
La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

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La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

Le piratage ne connaît pas la crise. Dans un rapport publiée en mai dernier, la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) mettait en lumière la montée en puissance des sites de streaming illégaux en France en 2020. En moyenne 12,7 millions de personnes ont visité ces portails, soit 24 % de la population.
La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

Le piratage ne connaît pas la crise. Dans un rapport publiée en mai dernier, la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) mettait en lumière la montée en puissance des sites de streaming illégaux en France en 2020. En moyenne 12,7 millions de personnes ont visité ces portails, soit 24 % de la population.
La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

Le piratage ne connaît pas la crise. Dans un rapport publiée en mai dernier, la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) mettait en lumière la montée en puissance des sites de streaming illégaux en France en 2020. En moyenne 12,7 millions de personnes ont visité ces portails, soit 24 % de la population.
La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
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Le piratage ne connaît pas la crise. Dans un rapport publiée en mai dernier, la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) mettait en lumière la montée en puissance des sites de streaming illégaux en France en 2020. En moyenne 12,7 millions de personnes ont visité ces portails, soit 24 % de la population.
La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

Le piratage ne connaît pas la crise. Dans un rapport publiée en mai dernier, la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) mettait en lumière la montée en puissance des sites de streaming illégaux en France en 2020. En moyenne 12,7 millions de personnes ont visité ces portails, soit 24 % de la population.
La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

Le piratage ne connaît pas la crise. Dans un rapport publiée en mai dernier, la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) mettait en lumière la montée en puissance des sites de streaming illégaux en France en 2020. En moyenne 12,7 millions de personnes ont visité ces portails, soit 24 % de la population.
La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
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La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
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Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
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La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
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Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
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Le piratage ne connaît pas la crise. Dans un rapport publiée en mai dernier, la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) mettait en lumière la montée en puissance des sites de streaming illégaux en France en 2020. En moyenne 12,7 millions de personnes ont visité ces portails, soit 24 % de la population.
La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
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Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

Le piratage ne connaît pas la crise. Dans un rapport publiée en mai dernier, la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) mettait en lumière la montée en puissance des sites de streaming illégaux en France en 2020. En moyenne 12,7 millions de personnes ont visité ces portails, soit 24 % de la population.
La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

Le piratage ne connaît pas la crise. Dans un rapport publiée en mai dernier, la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) mettait en lumière la montée en puissance des sites de streaming illégaux en France en 2020. En moyenne 12,7 millions de personnes ont visité ces portails, soit 24 % de la population.
La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

Le piratage ne connaît pas la crise. Dans un rapport publiée en mai dernier, la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) mettait en lumière la montée en puissance des sites de streaming illégaux en France en 2020. En moyenne 12,7 millions de personnes ont visité ces portails, soit 24 % de la population.
La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

Le piratage ne connaît pas la crise. Dans un rapport publiée en mai dernier, la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) mettait en lumière la montée en puissance des sites de streaming illégaux en France en 2020. En moyenne 12,7 millions de personnes ont visité ces portails, soit 24 % de la population.
La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

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La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
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La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

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La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

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La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

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La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
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Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

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La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
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La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
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La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

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La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
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La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
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Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

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La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

Le piratage ne connaît pas la crise. Dans un rapport publiée en mai dernier, la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) mettait en lumière la montée en puissance des sites de streaming illégaux en France en 2020. En moyenne 12,7 millions de personnes ont visité ces portails, soit 24 % de la population.
La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

Le piratage ne connaît pas la crise. Dans un rapport publiée en mai dernier, la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) mettait en lumière la montée en puissance des sites de streaming illégaux en France en 2020. En moyenne 12,7 millions de personnes ont visité ces portails, soit 24 % de la population.
La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

Le piratage ne connaît pas la crise. Dans un rapport publiée en mai dernier, la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) mettait en lumière la montée en puissance des sites de streaming illégaux en France en 2020. En moyenne 12,7 millions de personnes ont visité ces portails, soit 24 % de la population.
La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

Le piratage ne connaît pas la crise. Dans un rapport publiée en mai dernier, la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) mettait en lumière la montée en puissance des sites de streaming illégaux en France en 2020. En moyenne 12,7 millions de personnes ont visité ces portails, soit 24 % de la population.
La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

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La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

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La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

Le piratage ne connaît pas la crise. Dans un rapport publiée en mai dernier, la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) mettait en lumière la montée en puissance des sites de streaming illégaux en France en 2020. En moyenne 12,7 millions de personnes ont visité ces portails, soit 24 % de la population.
La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

Le piratage ne connaît pas la crise. Dans un rapport publiée en mai dernier, la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) mettait en lumière la montée en puissance des sites de streaming illégaux en France en 2020. En moyenne 12,7 millions de personnes ont visité ces portails, soit 24 % de la population.
La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
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Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

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La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

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Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

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La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
Un outil pour repérer et bloquer automatiquement les contrefaçons
La firme de Mark Zuckerberg vient justement de rejoindre le dispositif de protection des œuvres sur les plateformes communautaires initié par l’Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle (ALPA), sous l’égide du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Les portées de ce partenariat sont clairement affichées par les intéressés. Ainsi, l’ALPA va utiliser l’outil d’identification et de gestion des droits de vidéos du géant du web baptisé « Right Manager » afin de « repérer et bloquer automatiquement les vidéos faisant l’objet d’une contrefaçon sur les plateformes Facebook et Instagram. »
L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

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Du côté de Facebook, on se réjouit aussi de ce partenariat qui devrait « permettre aux artistes de promouvoir leurs œuvres tout en garantissant la protection du droit d’auteur à laquelle nous sommes tant attachés. » Edouard Braud, directeur des Partenariats Médias de Facebook pour la France et l’Europe du Sud, précise justement que « ce partenariat témoigne de notre engagement fort aux côtés des acteurs de la culture et des ayants droit en France pour protéger et soutenir la création culturelle. »

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La diffusion de contenus piratés peut aussi parfois se faire sur des plateformes ayant pignon sur rue, à l’image de YouTube, Twitter, et Facebook, mais c’est bien plus difficile car ces dernières recourent à des technologies permettant de repérer les contenus partagés illégalement.
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L’ALPA ajoute : « Alors que la filière de la création doit aujourd’hui se relever et répondre à des enjeux forts de transformation des modes de consommation que la crise sanitaire a accentuée, il est plus que jamais indispensable de renforcer la lutte contre le piratage, estimée à 1,3 milliards d’euros, au service des artistes, des talents et de la culture. »
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