
Il nous est bien difficile de décrire QAnon en quelques mots tant cette théorie conspirationniste est multiforme. On peut tout de même rappeler qu’elle est partie du forum 4Chan en 2017 et qu’elle reprend l’idée qu’une vaste organisation criminelle pédophile sataniste est sur le point d’être arrêtée. Les grandes élites politiques, souvent de la gauche américaine ou européenne, mais aussi les stars du cinéma et des médias seraient dans le coup.
L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
Gab et Parler servent d’alternative à Facebook, Instagram et Twitter
Plusieurs mois plus tard, cet effort semble bien avoir porté ses fruits. Dans une étude réalisée au printemps dernier, les chercheurs du DFRLab, un centre rattaché à l’OTAN, ont pu constater que la présence des QAnon avait considérablement diminué ces derniers mois alors que les références au mouvement étaient très nombreuses l’été dernier et jusqu’au 6 janvier.
Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
Enfin, d’autres n’ont pas eu cette patience et ont quitté ces grands sites pour des plateformes réputées moins sourcilleuses en matière de modération à l’image de Parler et Gab. Si le sujet vous intéresse, vous pouvez d’ailleurs retrouver l’enquête que nous avions consacré sur le sujet ici.

Il nous est bien difficile de décrire QAnon en quelques mots tant cette théorie conspirationniste est multiforme. On peut tout de même rappeler qu’elle est partie du forum 4Chan en 2017 et qu’elle reprend l’idée qu’une vaste organisation criminelle pédophile sataniste est sur le point d’être arrêtée. Les grandes élites politiques, souvent de la gauche américaine ou européenne, mais aussi les stars du cinéma et des médias seraient dans le coup.
L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
Gab et Parler servent d’alternative à Facebook, Instagram et Twitter
Plusieurs mois plus tard, cet effort semble bien avoir porté ses fruits. Dans une étude réalisée au printemps dernier, les chercheurs du DFRLab, un centre rattaché à l’OTAN, ont pu constater que la présence des QAnon avait considérablement diminué ces derniers mois alors que les références au mouvement étaient très nombreuses l’été dernier et jusqu’au 6 janvier.
Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
Enfin, d’autres n’ont pas eu cette patience et ont quitté ces grands sites pour des plateformes réputées moins sourcilleuses en matière de modération à l’image de Parler et Gab. Si le sujet vous intéresse, vous pouvez d’ailleurs retrouver l’enquête que nous avions consacré sur le sujet ici.

Il nous est bien difficile de décrire QAnon en quelques mots tant cette théorie conspirationniste est multiforme. On peut tout de même rappeler qu’elle est partie du forum 4Chan en 2017 et qu’elle reprend l’idée qu’une vaste organisation criminelle pédophile sataniste est sur le point d’être arrêtée. Les grandes élites politiques, souvent de la gauche américaine ou européenne, mais aussi les stars du cinéma et des médias seraient dans le coup.
L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
Gab et Parler servent d’alternative à Facebook, Instagram et Twitter
Plusieurs mois plus tard, cet effort semble bien avoir porté ses fruits. Dans une étude réalisée au printemps dernier, les chercheurs du DFRLab, un centre rattaché à l’OTAN, ont pu constater que la présence des QAnon avait considérablement diminué ces derniers mois alors que les références au mouvement étaient très nombreuses l’été dernier et jusqu’au 6 janvier.
Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
Enfin, d’autres n’ont pas eu cette patience et ont quitté ces grands sites pour des plateformes réputées moins sourcilleuses en matière de modération à l’image de Parler et Gab. Si le sujet vous intéresse, vous pouvez d’ailleurs retrouver l’enquête que nous avions consacré sur le sujet ici.

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Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
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Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
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Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
Enfin, d’autres n’ont pas eu cette patience et ont quitté ces grands sites pour des plateformes réputées moins sourcilleuses en matière de modération à l’image de Parler et Gab. Si le sujet vous intéresse, vous pouvez d’ailleurs retrouver l’enquête que nous avions consacré sur le sujet ici.

Il nous est bien difficile de décrire QAnon en quelques mots tant cette théorie conspirationniste est multiforme. On peut tout de même rappeler qu’elle est partie du forum 4Chan en 2017 et qu’elle reprend l’idée qu’une vaste organisation criminelle pédophile sataniste est sur le point d’être arrêtée. Les grandes élites politiques, souvent de la gauche américaine ou européenne, mais aussi les stars du cinéma et des médias seraient dans le coup.
L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
Gab et Parler servent d’alternative à Facebook, Instagram et Twitter
Plusieurs mois plus tard, cet effort semble bien avoir porté ses fruits. Dans une étude réalisée au printemps dernier, les chercheurs du DFRLab, un centre rattaché à l’OTAN, ont pu constater que la présence des QAnon avait considérablement diminué ces derniers mois alors que les références au mouvement étaient très nombreuses l’été dernier et jusqu’au 6 janvier.
Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
Enfin, d’autres n’ont pas eu cette patience et ont quitté ces grands sites pour des plateformes réputées moins sourcilleuses en matière de modération à l’image de Parler et Gab. Si le sujet vous intéresse, vous pouvez d’ailleurs retrouver l’enquête que nous avions consacré sur le sujet ici.

Il nous est bien difficile de décrire QAnon en quelques mots tant cette théorie conspirationniste est multiforme. On peut tout de même rappeler qu’elle est partie du forum 4Chan en 2017 et qu’elle reprend l’idée qu’une vaste organisation criminelle pédophile sataniste est sur le point d’être arrêtée. Les grandes élites politiques, souvent de la gauche américaine ou européenne, mais aussi les stars du cinéma et des médias seraient dans le coup.
L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
Gab et Parler servent d’alternative à Facebook, Instagram et Twitter
Plusieurs mois plus tard, cet effort semble bien avoir porté ses fruits. Dans une étude réalisée au printemps dernier, les chercheurs du DFRLab, un centre rattaché à l’OTAN, ont pu constater que la présence des QAnon avait considérablement diminué ces derniers mois alors que les références au mouvement étaient très nombreuses l’été dernier et jusqu’au 6 janvier.
Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
Enfin, d’autres n’ont pas eu cette patience et ont quitté ces grands sites pour des plateformes réputées moins sourcilleuses en matière de modération à l’image de Parler et Gab. Si le sujet vous intéresse, vous pouvez d’ailleurs retrouver l’enquête que nous avions consacré sur le sujet ici.

Il nous est bien difficile de décrire QAnon en quelques mots tant cette théorie conspirationniste est multiforme. On peut tout de même rappeler qu’elle est partie du forum 4Chan en 2017 et qu’elle reprend l’idée qu’une vaste organisation criminelle pédophile sataniste est sur le point d’être arrêtée. Les grandes élites politiques, souvent de la gauche américaine ou européenne, mais aussi les stars du cinéma et des médias seraient dans le coup.
L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
Gab et Parler servent d’alternative à Facebook, Instagram et Twitter
Plusieurs mois plus tard, cet effort semble bien avoir porté ses fruits. Dans une étude réalisée au printemps dernier, les chercheurs du DFRLab, un centre rattaché à l’OTAN, ont pu constater que la présence des QAnon avait considérablement diminué ces derniers mois alors que les références au mouvement étaient très nombreuses l’été dernier et jusqu’au 6 janvier.
Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
Enfin, d’autres n’ont pas eu cette patience et ont quitté ces grands sites pour des plateformes réputées moins sourcilleuses en matière de modération à l’image de Parler et Gab. Si le sujet vous intéresse, vous pouvez d’ailleurs retrouver l’enquête que nous avions consacré sur le sujet ici.

Il nous est bien difficile de décrire QAnon en quelques mots tant cette théorie conspirationniste est multiforme. On peut tout de même rappeler qu’elle est partie du forum 4Chan en 2017 et qu’elle reprend l’idée qu’une vaste organisation criminelle pédophile sataniste est sur le point d’être arrêtée. Les grandes élites politiques, souvent de la gauche américaine ou européenne, mais aussi les stars du cinéma et des médias seraient dans le coup.
L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
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Plusieurs mois plus tard, cet effort semble bien avoir porté ses fruits. Dans une étude réalisée au printemps dernier, les chercheurs du DFRLab, un centre rattaché à l’OTAN, ont pu constater que la présence des QAnon avait considérablement diminué ces derniers mois alors que les références au mouvement étaient très nombreuses l’été dernier et jusqu’au 6 janvier.
Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
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L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
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Plusieurs mois plus tard, cet effort semble bien avoir porté ses fruits. Dans une étude réalisée au printemps dernier, les chercheurs du DFRLab, un centre rattaché à l’OTAN, ont pu constater que la présence des QAnon avait considérablement diminué ces derniers mois alors que les références au mouvement étaient très nombreuses l’été dernier et jusqu’au 6 janvier.
Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
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L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
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Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
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L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
Gab et Parler servent d’alternative à Facebook, Instagram et Twitter
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Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
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Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
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L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
Gab et Parler servent d’alternative à Facebook, Instagram et Twitter
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Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
Enfin, d’autres n’ont pas eu cette patience et ont quitté ces grands sites pour des plateformes réputées moins sourcilleuses en matière de modération à l’image de Parler et Gab. Si le sujet vous intéresse, vous pouvez d’ailleurs retrouver l’enquête que nous avions consacré sur le sujet ici.

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L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
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L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
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Plusieurs mois plus tard, cet effort semble bien avoir porté ses fruits. Dans une étude réalisée au printemps dernier, les chercheurs du DFRLab, un centre rattaché à l’OTAN, ont pu constater que la présence des QAnon avait considérablement diminué ces derniers mois alors que les références au mouvement étaient très nombreuses l’été dernier et jusqu’au 6 janvier.
Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
Enfin, d’autres n’ont pas eu cette patience et ont quitté ces grands sites pour des plateformes réputées moins sourcilleuses en matière de modération à l’image de Parler et Gab. Si le sujet vous intéresse, vous pouvez d’ailleurs retrouver l’enquête que nous avions consacré sur le sujet ici.

Il nous est bien difficile de décrire QAnon en quelques mots tant cette théorie conspirationniste est multiforme. On peut tout de même rappeler qu’elle est partie du forum 4Chan en 2017 et qu’elle reprend l’idée qu’une vaste organisation criminelle pédophile sataniste est sur le point d’être arrêtée. Les grandes élites politiques, souvent de la gauche américaine ou européenne, mais aussi les stars du cinéma et des médias seraient dans le coup.
L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
Gab et Parler servent d’alternative à Facebook, Instagram et Twitter
Plusieurs mois plus tard, cet effort semble bien avoir porté ses fruits. Dans une étude réalisée au printemps dernier, les chercheurs du DFRLab, un centre rattaché à l’OTAN, ont pu constater que la présence des QAnon avait considérablement diminué ces derniers mois alors que les références au mouvement étaient très nombreuses l’été dernier et jusqu’au 6 janvier.
Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
Enfin, d’autres n’ont pas eu cette patience et ont quitté ces grands sites pour des plateformes réputées moins sourcilleuses en matière de modération à l’image de Parler et Gab. Si le sujet vous intéresse, vous pouvez d’ailleurs retrouver l’enquête que nous avions consacré sur le sujet ici.

Il nous est bien difficile de décrire QAnon en quelques mots tant cette théorie conspirationniste est multiforme. On peut tout de même rappeler qu’elle est partie du forum 4Chan en 2017 et qu’elle reprend l’idée qu’une vaste organisation criminelle pédophile sataniste est sur le point d’être arrêtée. Les grandes élites politiques, souvent de la gauche américaine ou européenne, mais aussi les stars du cinéma et des médias seraient dans le coup.
L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
Gab et Parler servent d’alternative à Facebook, Instagram et Twitter
Plusieurs mois plus tard, cet effort semble bien avoir porté ses fruits. Dans une étude réalisée au printemps dernier, les chercheurs du DFRLab, un centre rattaché à l’OTAN, ont pu constater que la présence des QAnon avait considérablement diminué ces derniers mois alors que les références au mouvement étaient très nombreuses l’été dernier et jusqu’au 6 janvier.
Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
Enfin, d’autres n’ont pas eu cette patience et ont quitté ces grands sites pour des plateformes réputées moins sourcilleuses en matière de modération à l’image de Parler et Gab. Si le sujet vous intéresse, vous pouvez d’ailleurs retrouver l’enquête que nous avions consacré sur le sujet ici.

Il nous est bien difficile de décrire QAnon en quelques mots tant cette théorie conspirationniste est multiforme. On peut tout de même rappeler qu’elle est partie du forum 4Chan en 2017 et qu’elle reprend l’idée qu’une vaste organisation criminelle pédophile sataniste est sur le point d’être arrêtée. Les grandes élites politiques, souvent de la gauche américaine ou européenne, mais aussi les stars du cinéma et des médias seraient dans le coup.
L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
Gab et Parler servent d’alternative à Facebook, Instagram et Twitter
Plusieurs mois plus tard, cet effort semble bien avoir porté ses fruits. Dans une étude réalisée au printemps dernier, les chercheurs du DFRLab, un centre rattaché à l’OTAN, ont pu constater que la présence des QAnon avait considérablement diminué ces derniers mois alors que les références au mouvement étaient très nombreuses l’été dernier et jusqu’au 6 janvier.
Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
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L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
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Plusieurs mois plus tard, cet effort semble bien avoir porté ses fruits. Dans une étude réalisée au printemps dernier, les chercheurs du DFRLab, un centre rattaché à l’OTAN, ont pu constater que la présence des QAnon avait considérablement diminué ces derniers mois alors que les références au mouvement étaient très nombreuses l’été dernier et jusqu’au 6 janvier.
Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
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Il nous est bien difficile de décrire QAnon en quelques mots tant cette théorie conspirationniste est multiforme. On peut tout de même rappeler qu’elle est partie du forum 4Chan en 2017 et qu’elle reprend l’idée qu’une vaste organisation criminelle pédophile sataniste est sur le point d’être arrêtée. Les grandes élites politiques, souvent de la gauche américaine ou européenne, mais aussi les stars du cinéma et des médias seraient dans le coup.
L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
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Plusieurs mois plus tard, cet effort semble bien avoir porté ses fruits. Dans une étude réalisée au printemps dernier, les chercheurs du DFRLab, un centre rattaché à l’OTAN, ont pu constater que la présence des QAnon avait considérablement diminué ces derniers mois alors que les références au mouvement étaient très nombreuses l’été dernier et jusqu’au 6 janvier.
Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
Enfin, d’autres n’ont pas eu cette patience et ont quitté ces grands sites pour des plateformes réputées moins sourcilleuses en matière de modération à l’image de Parler et Gab. Si le sujet vous intéresse, vous pouvez d’ailleurs retrouver l’enquête que nous avions consacré sur le sujet ici.

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L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
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Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
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L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
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Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
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L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
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Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
Enfin, d’autres n’ont pas eu cette patience et ont quitté ces grands sites pour des plateformes réputées moins sourcilleuses en matière de modération à l’image de Parler et Gab. Si le sujet vous intéresse, vous pouvez d’ailleurs retrouver l’enquête que nous avions consacré sur le sujet ici.

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L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
Gab et Parler servent d’alternative à Facebook, Instagram et Twitter
Plusieurs mois plus tard, cet effort semble bien avoir porté ses fruits. Dans une étude réalisée au printemps dernier, les chercheurs du DFRLab, un centre rattaché à l’OTAN, ont pu constater que la présence des QAnon avait considérablement diminué ces derniers mois alors que les références au mouvement étaient très nombreuses l’été dernier et jusqu’au 6 janvier.
Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
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Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
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L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
Gab et Parler servent d’alternative à Facebook, Instagram et Twitter
Plusieurs mois plus tard, cet effort semble bien avoir porté ses fruits. Dans une étude réalisée au printemps dernier, les chercheurs du DFRLab, un centre rattaché à l’OTAN, ont pu constater que la présence des QAnon avait considérablement diminué ces derniers mois alors que les références au mouvement étaient très nombreuses l’été dernier et jusqu’au 6 janvier.
Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
Enfin, d’autres n’ont pas eu cette patience et ont quitté ces grands sites pour des plateformes réputées moins sourcilleuses en matière de modération à l’image de Parler et Gab. Si le sujet vous intéresse, vous pouvez d’ailleurs retrouver l’enquête que nous avions consacré sur le sujet ici.

Il nous est bien difficile de décrire QAnon en quelques mots tant cette théorie conspirationniste est multiforme. On peut tout de même rappeler qu’elle est partie du forum 4Chan en 2017 et qu’elle reprend l’idée qu’une vaste organisation criminelle pédophile sataniste est sur le point d’être arrêtée. Les grandes élites politiques, souvent de la gauche américaine ou européenne, mais aussi les stars du cinéma et des médias seraient dans le coup.
L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
Gab et Parler servent d’alternative à Facebook, Instagram et Twitter
Plusieurs mois plus tard, cet effort semble bien avoir porté ses fruits. Dans une étude réalisée au printemps dernier, les chercheurs du DFRLab, un centre rattaché à l’OTAN, ont pu constater que la présence des QAnon avait considérablement diminué ces derniers mois alors que les références au mouvement étaient très nombreuses l’été dernier et jusqu’au 6 janvier.
Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
Enfin, d’autres n’ont pas eu cette patience et ont quitté ces grands sites pour des plateformes réputées moins sourcilleuses en matière de modération à l’image de Parler et Gab. Si le sujet vous intéresse, vous pouvez d’ailleurs retrouver l’enquête que nous avions consacré sur le sujet ici.

Il nous est bien difficile de décrire QAnon en quelques mots tant cette théorie conspirationniste est multiforme. On peut tout de même rappeler qu’elle est partie du forum 4Chan en 2017 et qu’elle reprend l’idée qu’une vaste organisation criminelle pédophile sataniste est sur le point d’être arrêtée. Les grandes élites politiques, souvent de la gauche américaine ou européenne, mais aussi les stars du cinéma et des médias seraient dans le coup.
L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
Gab et Parler servent d’alternative à Facebook, Instagram et Twitter
Plusieurs mois plus tard, cet effort semble bien avoir porté ses fruits. Dans une étude réalisée au printemps dernier, les chercheurs du DFRLab, un centre rattaché à l’OTAN, ont pu constater que la présence des QAnon avait considérablement diminué ces derniers mois alors que les références au mouvement étaient très nombreuses l’été dernier et jusqu’au 6 janvier.
Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
Enfin, d’autres n’ont pas eu cette patience et ont quitté ces grands sites pour des plateformes réputées moins sourcilleuses en matière de modération à l’image de Parler et Gab. Si le sujet vous intéresse, vous pouvez d’ailleurs retrouver l’enquête que nous avions consacré sur le sujet ici.

Il nous est bien difficile de décrire QAnon en quelques mots tant cette théorie conspirationniste est multiforme. On peut tout de même rappeler qu’elle est partie du forum 4Chan en 2017 et qu’elle reprend l’idée qu’une vaste organisation criminelle pédophile sataniste est sur le point d’être arrêtée. Les grandes élites politiques, souvent de la gauche américaine ou européenne, mais aussi les stars du cinéma et des médias seraient dans le coup.
L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
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Plusieurs mois plus tard, cet effort semble bien avoir porté ses fruits. Dans une étude réalisée au printemps dernier, les chercheurs du DFRLab, un centre rattaché à l’OTAN, ont pu constater que la présence des QAnon avait considérablement diminué ces derniers mois alors que les références au mouvement étaient très nombreuses l’été dernier et jusqu’au 6 janvier.
Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
Enfin, d’autres n’ont pas eu cette patience et ont quitté ces grands sites pour des plateformes réputées moins sourcilleuses en matière de modération à l’image de Parler et Gab. Si le sujet vous intéresse, vous pouvez d’ailleurs retrouver l’enquête que nous avions consacré sur le sujet ici.

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Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
Enfin, d’autres n’ont pas eu cette patience et ont quitté ces grands sites pour des plateformes réputées moins sourcilleuses en matière de modération à l’image de Parler et Gab. Si le sujet vous intéresse, vous pouvez d’ailleurs retrouver l’enquête que nous avions consacré sur le sujet ici.

Il nous est bien difficile de décrire QAnon en quelques mots tant cette théorie conspirationniste est multiforme. On peut tout de même rappeler qu’elle est partie du forum 4Chan en 2017 et qu’elle reprend l’idée qu’une vaste organisation criminelle pédophile sataniste est sur le point d’être arrêtée. Les grandes élites politiques, souvent de la gauche américaine ou européenne, mais aussi les stars du cinéma et des médias seraient dans le coup.
L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
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Plusieurs mois plus tard, cet effort semble bien avoir porté ses fruits. Dans une étude réalisée au printemps dernier, les chercheurs du DFRLab, un centre rattaché à l’OTAN, ont pu constater que la présence des QAnon avait considérablement diminué ces derniers mois alors que les références au mouvement étaient très nombreuses l’été dernier et jusqu’au 6 janvier.
Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
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Il nous est bien difficile de décrire QAnon en quelques mots tant cette théorie conspirationniste est multiforme. On peut tout de même rappeler qu’elle est partie du forum 4Chan en 2017 et qu’elle reprend l’idée qu’une vaste organisation criminelle pédophile sataniste est sur le point d’être arrêtée. Les grandes élites politiques, souvent de la gauche américaine ou européenne, mais aussi les stars du cinéma et des médias seraient dans le coup.
L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
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Plusieurs mois plus tard, cet effort semble bien avoir porté ses fruits. Dans une étude réalisée au printemps dernier, les chercheurs du DFRLab, un centre rattaché à l’OTAN, ont pu constater que la présence des QAnon avait considérablement diminué ces derniers mois alors que les références au mouvement étaient très nombreuses l’été dernier et jusqu’au 6 janvier.
Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
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Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
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Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
Enfin, d’autres n’ont pas eu cette patience et ont quitté ces grands sites pour des plateformes réputées moins sourcilleuses en matière de modération à l’image de Parler et Gab. Si le sujet vous intéresse, vous pouvez d’ailleurs retrouver l’enquête que nous avions consacré sur le sujet ici.

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L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
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Plusieurs mois plus tard, cet effort semble bien avoir porté ses fruits. Dans une étude réalisée au printemps dernier, les chercheurs du DFRLab, un centre rattaché à l’OTAN, ont pu constater que la présence des QAnon avait considérablement diminué ces derniers mois alors que les références au mouvement étaient très nombreuses l’été dernier et jusqu’au 6 janvier.
Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
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Enfin, d’autres n’ont pas eu cette patience et ont quitté ces grands sites pour des plateformes réputées moins sourcilleuses en matière de modération à l’image de Parler et Gab. Si le sujet vous intéresse, vous pouvez d’ailleurs retrouver l’enquête que nous avions consacré sur le sujet ici.

Il nous est bien difficile de décrire QAnon en quelques mots tant cette théorie conspirationniste est multiforme. On peut tout de même rappeler qu’elle est partie du forum 4Chan en 2017 et qu’elle reprend l’idée qu’une vaste organisation criminelle pédophile sataniste est sur le point d’être arrêtée. Les grandes élites politiques, souvent de la gauche américaine ou européenne, mais aussi les stars du cinéma et des médias seraient dans le coup.
L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
Gab et Parler servent d’alternative à Facebook, Instagram et Twitter
Plusieurs mois plus tard, cet effort semble bien avoir porté ses fruits. Dans une étude réalisée au printemps dernier, les chercheurs du DFRLab, un centre rattaché à l’OTAN, ont pu constater que la présence des QAnon avait considérablement diminué ces derniers mois alors que les références au mouvement étaient très nombreuses l’été dernier et jusqu’au 6 janvier.
Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
Enfin, d’autres n’ont pas eu cette patience et ont quitté ces grands sites pour des plateformes réputées moins sourcilleuses en matière de modération à l’image de Parler et Gab. Si le sujet vous intéresse, vous pouvez d’ailleurs retrouver l’enquête que nous avions consacré sur le sujet ici.

Il nous est bien difficile de décrire QAnon en quelques mots tant cette théorie conspirationniste est multiforme. On peut tout de même rappeler qu’elle est partie du forum 4Chan en 2017 et qu’elle reprend l’idée qu’une vaste organisation criminelle pédophile sataniste est sur le point d’être arrêtée. Les grandes élites politiques, souvent de la gauche américaine ou européenne, mais aussi les stars du cinéma et des médias seraient dans le coup.
L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
Gab et Parler servent d’alternative à Facebook, Instagram et Twitter
Plusieurs mois plus tard, cet effort semble bien avoir porté ses fruits. Dans une étude réalisée au printemps dernier, les chercheurs du DFRLab, un centre rattaché à l’OTAN, ont pu constater que la présence des QAnon avait considérablement diminué ces derniers mois alors que les références au mouvement étaient très nombreuses l’été dernier et jusqu’au 6 janvier.
Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
Enfin, d’autres n’ont pas eu cette patience et ont quitté ces grands sites pour des plateformes réputées moins sourcilleuses en matière de modération à l’image de Parler et Gab. Si le sujet vous intéresse, vous pouvez d’ailleurs retrouver l’enquête que nous avions consacré sur le sujet ici.

Il nous est bien difficile de décrire QAnon en quelques mots tant cette théorie conspirationniste est multiforme. On peut tout de même rappeler qu’elle est partie du forum 4Chan en 2017 et qu’elle reprend l’idée qu’une vaste organisation criminelle pédophile sataniste est sur le point d’être arrêtée. Les grandes élites politiques, souvent de la gauche américaine ou européenne, mais aussi les stars du cinéma et des médias seraient dans le coup.
L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
Gab et Parler servent d’alternative à Facebook, Instagram et Twitter
Plusieurs mois plus tard, cet effort semble bien avoir porté ses fruits. Dans une étude réalisée au printemps dernier, les chercheurs du DFRLab, un centre rattaché à l’OTAN, ont pu constater que la présence des QAnon avait considérablement diminué ces derniers mois alors que les références au mouvement étaient très nombreuses l’été dernier et jusqu’au 6 janvier.
Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
Enfin, d’autres n’ont pas eu cette patience et ont quitté ces grands sites pour des plateformes réputées moins sourcilleuses en matière de modération à l’image de Parler et Gab. Si le sujet vous intéresse, vous pouvez d’ailleurs retrouver l’enquête que nous avions consacré sur le sujet ici.

Il nous est bien difficile de décrire QAnon en quelques mots tant cette théorie conspirationniste est multiforme. On peut tout de même rappeler qu’elle est partie du forum 4Chan en 2017 et qu’elle reprend l’idée qu’une vaste organisation criminelle pédophile sataniste est sur le point d’être arrêtée. Les grandes élites politiques, souvent de la gauche américaine ou européenne, mais aussi les stars du cinéma et des médias seraient dans le coup.
L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
Gab et Parler servent d’alternative à Facebook, Instagram et Twitter
Plusieurs mois plus tard, cet effort semble bien avoir porté ses fruits. Dans une étude réalisée au printemps dernier, les chercheurs du DFRLab, un centre rattaché à l’OTAN, ont pu constater que la présence des QAnon avait considérablement diminué ces derniers mois alors que les références au mouvement étaient très nombreuses l’été dernier et jusqu’au 6 janvier.
Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
Enfin, d’autres n’ont pas eu cette patience et ont quitté ces grands sites pour des plateformes réputées moins sourcilleuses en matière de modération à l’image de Parler et Gab. Si le sujet vous intéresse, vous pouvez d’ailleurs retrouver l’enquête que nous avions consacré sur le sujet ici.

Il nous est bien difficile de décrire QAnon en quelques mots tant cette théorie conspirationniste est multiforme. On peut tout de même rappeler qu’elle est partie du forum 4Chan en 2017 et qu’elle reprend l’idée qu’une vaste organisation criminelle pédophile sataniste est sur le point d’être arrêtée. Les grandes élites politiques, souvent de la gauche américaine ou européenne, mais aussi les stars du cinéma et des médias seraient dans le coup.
L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
Gab et Parler servent d’alternative à Facebook, Instagram et Twitter
Plusieurs mois plus tard, cet effort semble bien avoir porté ses fruits. Dans une étude réalisée au printemps dernier, les chercheurs du DFRLab, un centre rattaché à l’OTAN, ont pu constater que la présence des QAnon avait considérablement diminué ces derniers mois alors que les références au mouvement étaient très nombreuses l’été dernier et jusqu’au 6 janvier.
Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
Enfin, d’autres n’ont pas eu cette patience et ont quitté ces grands sites pour des plateformes réputées moins sourcilleuses en matière de modération à l’image de Parler et Gab. Si le sujet vous intéresse, vous pouvez d’ailleurs retrouver l’enquête que nous avions consacré sur le sujet ici.

Il nous est bien difficile de décrire QAnon en quelques mots tant cette théorie conspirationniste est multiforme. On peut tout de même rappeler qu’elle est partie du forum 4Chan en 2017 et qu’elle reprend l’idée qu’une vaste organisation criminelle pédophile sataniste est sur le point d’être arrêtée. Les grandes élites politiques, souvent de la gauche américaine ou européenne, mais aussi les stars du cinéma et des médias seraient dans le coup.
L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
Gab et Parler servent d’alternative à Facebook, Instagram et Twitter
Plusieurs mois plus tard, cet effort semble bien avoir porté ses fruits. Dans une étude réalisée au printemps dernier, les chercheurs du DFRLab, un centre rattaché à l’OTAN, ont pu constater que la présence des QAnon avait considérablement diminué ces derniers mois alors que les références au mouvement étaient très nombreuses l’été dernier et jusqu’au 6 janvier.
Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
Enfin, d’autres n’ont pas eu cette patience et ont quitté ces grands sites pour des plateformes réputées moins sourcilleuses en matière de modération à l’image de Parler et Gab. Si le sujet vous intéresse, vous pouvez d’ailleurs retrouver l’enquête que nous avions consacré sur le sujet ici.

Il nous est bien difficile de décrire QAnon en quelques mots tant cette théorie conspirationniste est multiforme. On peut tout de même rappeler qu’elle est partie du forum 4Chan en 2017 et qu’elle reprend l’idée qu’une vaste organisation criminelle pédophile sataniste est sur le point d’être arrêtée. Les grandes élites politiques, souvent de la gauche américaine ou européenne, mais aussi les stars du cinéma et des médias seraient dans le coup.
L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
Gab et Parler servent d’alternative à Facebook, Instagram et Twitter
Plusieurs mois plus tard, cet effort semble bien avoir porté ses fruits. Dans une étude réalisée au printemps dernier, les chercheurs du DFRLab, un centre rattaché à l’OTAN, ont pu constater que la présence des QAnon avait considérablement diminué ces derniers mois alors que les références au mouvement étaient très nombreuses l’été dernier et jusqu’au 6 janvier.
Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
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Gab et Parler servent d’alternative à Facebook, Instagram et Twitter
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Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
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L’histoire a depuis englobé des thèmes d’actualité liés au covid-19 et aux vaccins, ou encore au port du masque, et le mouvement a essaimé un peu partout dans le monde. D ‘abord cantonné à Internet, ce phénomène s’est ensuite manifesté par certains faits divers tragiques et l’invasion du Congrès américain avec certains sympathisants de QAnon le 6 janvier dernier. Alertés, les géants du web ont décidés de sévir en bannissant ses membres à tour de bras et en fermant un à un leurs groupes d’expressions.
Gab et Parler servent d’alternative à Facebook, Instagram et Twitter
Plusieurs mois plus tard, cet effort semble bien avoir porté ses fruits. Dans une étude réalisée au printemps dernier, les chercheurs du DFRLab, un centre rattaché à l’OTAN, ont pu constater que la présence des QAnon avait considérablement diminué ces derniers mois alors que les références au mouvement étaient très nombreuses l’été dernier et jusqu’au 6 janvier.
Pour expliquer ce déclin, le New York Post cite la défaite de Donald Trump qui a porté un coup au moral de ses partisans, que l’on trouve en nombre chez les QAnon, ou encore l’absence de messages de Q, l’homme par qui le mouvement s’est déclenché. Mais c’est surtout la modération bien plus serrée des grandes plateformes qui a très bien fonctionné.
Il ne faudrait pas pour autant croire que les QAnon ont disparu. Ces derniers se sont au contraire adaptés à la situation et ils sont encore nombreux à être restés sur les grands réseaux sociaux. Pour tromper leur vigilance, ils ont tendance à édulcorer leurs messages et ne font plus référence aux grands slogans du mouvement. Dans l’idée de se reconnaître entre eux, certains tapent trois astérisques à côté de leur nom pour marquer leur soutien à la mouvance.
Enfin, d’autres n’ont pas eu cette patience et ont quitté ces grands sites pour des plateformes réputées moins sourcilleuses en matière de modération à l’image de Parler et Gab. Si le sujet vous intéresse, vous pouvez d’ailleurs retrouver l’enquête que nous avions consacré sur le sujet ici.