En septembre 2020, YouTube lançait en grande pompe Shorts son nouveau concurrent de TikTok. Comme pour le réseau social chinois, l’idée est donc de promouvoir des formats courts. La plateforme précisait alors au sujet de cet outil qui est intégré à son application : « Shorts est une nouvelle expérience vidéo courte pour les créateurs et les artistes qui souhaitent tourner des vidéos courtes et accrocheuses en utilisant uniquement leurs téléphones portables ».
Un fonds de 100 millions de dollars pour fidéliser les créateurs
Comme chez son concurrent, YouTube donne aux vidéastes la possibilité d’ajouter une musique de fond ou encore de passer à la vidéo suivante via un glissement vertical. Pour l’heure, Shorts n’était disponible qu’en Inde, aux États-Unis, au Royaume Uni et dans certains pays d’Amérique latine.
Les choses changent cette semaine avec un lancement prévu de la version bêta dans cent nouveaux pays dont la France. Dans un communiqué, YouTube fait part de sa satisfaction quant aux débuts de Shorts qui dépasse les 6,5 milliards de vues quotidiennes dans le monde. Il dispose déjà de vidéastes populaires et notamment en France :
L’audience des sketches de Stephfou F autour de l’univers scolaire des ados a décollé très rapidement tandis que la chaîne mode et beauté de Gabrielle enregistre des scores impressionnants.
Shorts veut aussi mettre les petits plats dans les grands pour son lancement à l’international. L’option Remix est ainsi proposée afin « de reprendre des extraits audio de vidéos YouTube ou d’ajouter du texte, des filtres et des sous-titres automatiques. » La plateforme vante également son catalogue musical très fourni qui inclut « plus de 250 labels et éditeurs du monde entier, comme Universal Music Group, Sony Music Entertainment et Sony Music Publishing, Warner Music Group ou Warner Chappell Music. »
On sait que les géants du Web rivalisent de concurrence pour attirer des créateurs populaires et ainsi fidéliser un large public. YouTube n’est pas en reste et a récemment annoncé un fonds de 100 millions de dollars pour payer certains vidéastes. Le site contactera directement les profils dont les contenus ont dépassé certains niveaux afin de les récompenser pour leurs contributions.

En septembre 2020, YouTube lançait en grande pompe Shorts son nouveau concurrent de TikTok. Comme pour le réseau social chinois, l’idée est donc de promouvoir des formats courts. La plateforme précisait alors au sujet de cet outil qui est intégré à son application : « Shorts est une nouvelle expérience vidéo courte pour les créateurs et les artistes qui souhaitent tourner des vidéos courtes et accrocheuses en utilisant uniquement leurs téléphones portables ».
Un fonds de 100 millions de dollars pour fidéliser les créateurs
Comme chez son concurrent, YouTube donne aux vidéastes la possibilité d’ajouter une musique de fond ou encore de passer à la vidéo suivante via un glissement vertical. Pour l’heure, Shorts n’était disponible qu’en Inde, aux États-Unis, au Royaume Uni et dans certains pays d’Amérique latine.
Les choses changent cette semaine avec un lancement prévu de la version bêta dans cent nouveaux pays dont la France. Dans un communiqué, YouTube fait part de sa satisfaction quant aux débuts de Shorts qui dépasse les 6,5 milliards de vues quotidiennes dans le monde. Il dispose déjà de vidéastes populaires et notamment en France :
L’audience des sketches de Stephfou F autour de l’univers scolaire des ados a décollé très rapidement tandis que la chaîne mode et beauté de Gabrielle enregistre des scores impressionnants.
Shorts veut aussi mettre les petits plats dans les grands pour son lancement à l’international. L’option Remix est ainsi proposée afin « de reprendre des extraits audio de vidéos YouTube ou d’ajouter du texte, des filtres et des sous-titres automatiques. » La plateforme vante également son catalogue musical très fourni qui inclut « plus de 250 labels et éditeurs du monde entier, comme Universal Music Group, Sony Music Entertainment et Sony Music Publishing, Warner Music Group ou Warner Chappell Music. »
On sait que les géants du Web rivalisent de concurrence pour attirer des créateurs populaires et ainsi fidéliser un large public. YouTube n’est pas en reste et a récemment annoncé un fonds de 100 millions de dollars pour payer certains vidéastes. Le site contactera directement les profils dont les contenus ont dépassé certains niveaux afin de les récompenser pour leurs contributions.

En septembre 2020, YouTube lançait en grande pompe Shorts son nouveau concurrent de TikTok. Comme pour le réseau social chinois, l’idée est donc de promouvoir des formats courts. La plateforme précisait alors au sujet de cet outil qui est intégré à son application : « Shorts est une nouvelle expérience vidéo courte pour les créateurs et les artistes qui souhaitent tourner des vidéos courtes et accrocheuses en utilisant uniquement leurs téléphones portables ».
Un fonds de 100 millions de dollars pour fidéliser les créateurs
Comme chez son concurrent, YouTube donne aux vidéastes la possibilité d’ajouter une musique de fond ou encore de passer à la vidéo suivante via un glissement vertical. Pour l’heure, Shorts n’était disponible qu’en Inde, aux États-Unis, au Royaume Uni et dans certains pays d’Amérique latine.
Les choses changent cette semaine avec un lancement prévu de la version bêta dans cent nouveaux pays dont la France. Dans un communiqué, YouTube fait part de sa satisfaction quant aux débuts de Shorts qui dépasse les 6,5 milliards de vues quotidiennes dans le monde. Il dispose déjà de vidéastes populaires et notamment en France :
L’audience des sketches de Stephfou F autour de l’univers scolaire des ados a décollé très rapidement tandis que la chaîne mode et beauté de Gabrielle enregistre des scores impressionnants.
Shorts veut aussi mettre les petits plats dans les grands pour son lancement à l’international. L’option Remix est ainsi proposée afin « de reprendre des extraits audio de vidéos YouTube ou d’ajouter du texte, des filtres et des sous-titres automatiques. » La plateforme vante également son catalogue musical très fourni qui inclut « plus de 250 labels et éditeurs du monde entier, comme Universal Music Group, Sony Music Entertainment et Sony Music Publishing, Warner Music Group ou Warner Chappell Music. »
On sait que les géants du Web rivalisent de concurrence pour attirer des créateurs populaires et ainsi fidéliser un large public. YouTube n’est pas en reste et a récemment annoncé un fonds de 100 millions de dollars pour payer certains vidéastes. Le site contactera directement les profils dont les contenus ont dépassé certains niveaux afin de les récompenser pour leurs contributions.

En septembre 2020, YouTube lançait en grande pompe Shorts son nouveau concurrent de TikTok. Comme pour le réseau social chinois, l’idée est donc de promouvoir des formats courts. La plateforme précisait alors au sujet de cet outil qui est intégré à son application : « Shorts est une nouvelle expérience vidéo courte pour les créateurs et les artistes qui souhaitent tourner des vidéos courtes et accrocheuses en utilisant uniquement leurs téléphones portables ».
Un fonds de 100 millions de dollars pour fidéliser les créateurs
Comme chez son concurrent, YouTube donne aux vidéastes la possibilité d’ajouter une musique de fond ou encore de passer à la vidéo suivante via un glissement vertical. Pour l’heure, Shorts n’était disponible qu’en Inde, aux États-Unis, au Royaume Uni et dans certains pays d’Amérique latine.
Les choses changent cette semaine avec un lancement prévu de la version bêta dans cent nouveaux pays dont la France. Dans un communiqué, YouTube fait part de sa satisfaction quant aux débuts de Shorts qui dépasse les 6,5 milliards de vues quotidiennes dans le monde. Il dispose déjà de vidéastes populaires et notamment en France :
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Shorts veut aussi mettre les petits plats dans les grands pour son lancement à l’international. L’option Remix est ainsi proposée afin « de reprendre des extraits audio de vidéos YouTube ou d’ajouter du texte, des filtres et des sous-titres automatiques. » La plateforme vante également son catalogue musical très fourni qui inclut « plus de 250 labels et éditeurs du monde entier, comme Universal Music Group, Sony Music Entertainment et Sony Music Publishing, Warner Music Group ou Warner Chappell Music. »
On sait que les géants du Web rivalisent de concurrence pour attirer des créateurs populaires et ainsi fidéliser un large public. YouTube n’est pas en reste et a récemment annoncé un fonds de 100 millions de dollars pour payer certains vidéastes. Le site contactera directement les profils dont les contenus ont dépassé certains niveaux afin de les récompenser pour leurs contributions.

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Un fonds de 100 millions de dollars pour fidéliser les créateurs
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En septembre 2020, YouTube lançait en grande pompe Shorts son nouveau concurrent de TikTok. Comme pour le réseau social chinois, l’idée est donc de promouvoir des formats courts. La plateforme précisait alors au sujet de cet outil qui est intégré à son application : « Shorts est une nouvelle expérience vidéo courte pour les créateurs et les artistes qui souhaitent tourner des vidéos courtes et accrocheuses en utilisant uniquement leurs téléphones portables ».
Un fonds de 100 millions de dollars pour fidéliser les créateurs
Comme chez son concurrent, YouTube donne aux vidéastes la possibilité d’ajouter une musique de fond ou encore de passer à la vidéo suivante via un glissement vertical. Pour l’heure, Shorts n’était disponible qu’en Inde, aux États-Unis, au Royaume Uni et dans certains pays d’Amérique latine.
Les choses changent cette semaine avec un lancement prévu de la version bêta dans cent nouveaux pays dont la France. Dans un communiqué, YouTube fait part de sa satisfaction quant aux débuts de Shorts qui dépasse les 6,5 milliards de vues quotidiennes dans le monde. Il dispose déjà de vidéastes populaires et notamment en France :
L’audience des sketches de Stephfou F autour de l’univers scolaire des ados a décollé très rapidement tandis que la chaîne mode et beauté de Gabrielle enregistre des scores impressionnants.
Shorts veut aussi mettre les petits plats dans les grands pour son lancement à l’international. L’option Remix est ainsi proposée afin « de reprendre des extraits audio de vidéos YouTube ou d’ajouter du texte, des filtres et des sous-titres automatiques. » La plateforme vante également son catalogue musical très fourni qui inclut « plus de 250 labels et éditeurs du monde entier, comme Universal Music Group, Sony Music Entertainment et Sony Music Publishing, Warner Music Group ou Warner Chappell Music. »
On sait que les géants du Web rivalisent de concurrence pour attirer des créateurs populaires et ainsi fidéliser un large public. YouTube n’est pas en reste et a récemment annoncé un fonds de 100 millions de dollars pour payer certains vidéastes. Le site contactera directement les profils dont les contenus ont dépassé certains niveaux afin de les récompenser pour leurs contributions.

En septembre 2020, YouTube lançait en grande pompe Shorts son nouveau concurrent de TikTok. Comme pour le réseau social chinois, l’idée est donc de promouvoir des formats courts. La plateforme précisait alors au sujet de cet outil qui est intégré à son application : « Shorts est une nouvelle expérience vidéo courte pour les créateurs et les artistes qui souhaitent tourner des vidéos courtes et accrocheuses en utilisant uniquement leurs téléphones portables ».
Un fonds de 100 millions de dollars pour fidéliser les créateurs
Comme chez son concurrent, YouTube donne aux vidéastes la possibilité d’ajouter une musique de fond ou encore de passer à la vidéo suivante via un glissement vertical. Pour l’heure, Shorts n’était disponible qu’en Inde, aux États-Unis, au Royaume Uni et dans certains pays d’Amérique latine.
Les choses changent cette semaine avec un lancement prévu de la version bêta dans cent nouveaux pays dont la France. Dans un communiqué, YouTube fait part de sa satisfaction quant aux débuts de Shorts qui dépasse les 6,5 milliards de vues quotidiennes dans le monde. Il dispose déjà de vidéastes populaires et notamment en France :
L’audience des sketches de Stephfou F autour de l’univers scolaire des ados a décollé très rapidement tandis que la chaîne mode et beauté de Gabrielle enregistre des scores impressionnants.
Shorts veut aussi mettre les petits plats dans les grands pour son lancement à l’international. L’option Remix est ainsi proposée afin « de reprendre des extraits audio de vidéos YouTube ou d’ajouter du texte, des filtres et des sous-titres automatiques. » La plateforme vante également son catalogue musical très fourni qui inclut « plus de 250 labels et éditeurs du monde entier, comme Universal Music Group, Sony Music Entertainment et Sony Music Publishing, Warner Music Group ou Warner Chappell Music. »
On sait que les géants du Web rivalisent de concurrence pour attirer des créateurs populaires et ainsi fidéliser un large public. YouTube n’est pas en reste et a récemment annoncé un fonds de 100 millions de dollars pour payer certains vidéastes. Le site contactera directement les profils dont les contenus ont dépassé certains niveaux afin de les récompenser pour leurs contributions.

En septembre 2020, YouTube lançait en grande pompe Shorts son nouveau concurrent de TikTok. Comme pour le réseau social chinois, l’idée est donc de promouvoir des formats courts. La plateforme précisait alors au sujet de cet outil qui est intégré à son application : « Shorts est une nouvelle expérience vidéo courte pour les créateurs et les artistes qui souhaitent tourner des vidéos courtes et accrocheuses en utilisant uniquement leurs téléphones portables ».
Un fonds de 100 millions de dollars pour fidéliser les créateurs
Comme chez son concurrent, YouTube donne aux vidéastes la possibilité d’ajouter une musique de fond ou encore de passer à la vidéo suivante via un glissement vertical. Pour l’heure, Shorts n’était disponible qu’en Inde, aux États-Unis, au Royaume Uni et dans certains pays d’Amérique latine.
Les choses changent cette semaine avec un lancement prévu de la version bêta dans cent nouveaux pays dont la France. Dans un communiqué, YouTube fait part de sa satisfaction quant aux débuts de Shorts qui dépasse les 6,5 milliards de vues quotidiennes dans le monde. Il dispose déjà de vidéastes populaires et notamment en France :
L’audience des sketches de Stephfou F autour de l’univers scolaire des ados a décollé très rapidement tandis que la chaîne mode et beauté de Gabrielle enregistre des scores impressionnants.
Shorts veut aussi mettre les petits plats dans les grands pour son lancement à l’international. L’option Remix est ainsi proposée afin « de reprendre des extraits audio de vidéos YouTube ou d’ajouter du texte, des filtres et des sous-titres automatiques. » La plateforme vante également son catalogue musical très fourni qui inclut « plus de 250 labels et éditeurs du monde entier, comme Universal Music Group, Sony Music Entertainment et Sony Music Publishing, Warner Music Group ou Warner Chappell Music. »
On sait que les géants du Web rivalisent de concurrence pour attirer des créateurs populaires et ainsi fidéliser un large public. YouTube n’est pas en reste et a récemment annoncé un fonds de 100 millions de dollars pour payer certains vidéastes. Le site contactera directement les profils dont les contenus ont dépassé certains niveaux afin de les récompenser pour leurs contributions.

En septembre 2020, YouTube lançait en grande pompe Shorts son nouveau concurrent de TikTok. Comme pour le réseau social chinois, l’idée est donc de promouvoir des formats courts. La plateforme précisait alors au sujet de cet outil qui est intégré à son application : « Shorts est une nouvelle expérience vidéo courte pour les créateurs et les artistes qui souhaitent tourner des vidéos courtes et accrocheuses en utilisant uniquement leurs téléphones portables ».
Un fonds de 100 millions de dollars pour fidéliser les créateurs
Comme chez son concurrent, YouTube donne aux vidéastes la possibilité d’ajouter une musique de fond ou encore de passer à la vidéo suivante via un glissement vertical. Pour l’heure, Shorts n’était disponible qu’en Inde, aux États-Unis, au Royaume Uni et dans certains pays d’Amérique latine.
Les choses changent cette semaine avec un lancement prévu de la version bêta dans cent nouveaux pays dont la France. Dans un communiqué, YouTube fait part de sa satisfaction quant aux débuts de Shorts qui dépasse les 6,5 milliards de vues quotidiennes dans le monde. Il dispose déjà de vidéastes populaires et notamment en France :
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Shorts veut aussi mettre les petits plats dans les grands pour son lancement à l’international. L’option Remix est ainsi proposée afin « de reprendre des extraits audio de vidéos YouTube ou d’ajouter du texte, des filtres et des sous-titres automatiques. » La plateforme vante également son catalogue musical très fourni qui inclut « plus de 250 labels et éditeurs du monde entier, comme Universal Music Group, Sony Music Entertainment et Sony Music Publishing, Warner Music Group ou Warner Chappell Music. »
On sait que les géants du Web rivalisent de concurrence pour attirer des créateurs populaires et ainsi fidéliser un large public. YouTube n’est pas en reste et a récemment annoncé un fonds de 100 millions de dollars pour payer certains vidéastes. Le site contactera directement les profils dont les contenus ont dépassé certains niveaux afin de les récompenser pour leurs contributions.

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Un fonds de 100 millions de dollars pour fidéliser les créateurs
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En septembre 2020, YouTube lançait en grande pompe Shorts son nouveau concurrent de TikTok. Comme pour le réseau social chinois, l’idée est donc de promouvoir des formats courts. La plateforme précisait alors au sujet de cet outil qui est intégré à son application : « Shorts est une nouvelle expérience vidéo courte pour les créateurs et les artistes qui souhaitent tourner des vidéos courtes et accrocheuses en utilisant uniquement leurs téléphones portables ».
Un fonds de 100 millions de dollars pour fidéliser les créateurs
Comme chez son concurrent, YouTube donne aux vidéastes la possibilité d’ajouter une musique de fond ou encore de passer à la vidéo suivante via un glissement vertical. Pour l’heure, Shorts n’était disponible qu’en Inde, aux États-Unis, au Royaume Uni et dans certains pays d’Amérique latine.
Les choses changent cette semaine avec un lancement prévu de la version bêta dans cent nouveaux pays dont la France. Dans un communiqué, YouTube fait part de sa satisfaction quant aux débuts de Shorts qui dépasse les 6,5 milliards de vues quotidiennes dans le monde. Il dispose déjà de vidéastes populaires et notamment en France :
L’audience des sketches de Stephfou F autour de l’univers scolaire des ados a décollé très rapidement tandis que la chaîne mode et beauté de Gabrielle enregistre des scores impressionnants.
Shorts veut aussi mettre les petits plats dans les grands pour son lancement à l’international. L’option Remix est ainsi proposée afin « de reprendre des extraits audio de vidéos YouTube ou d’ajouter du texte, des filtres et des sous-titres automatiques. » La plateforme vante également son catalogue musical très fourni qui inclut « plus de 250 labels et éditeurs du monde entier, comme Universal Music Group, Sony Music Entertainment et Sony Music Publishing, Warner Music Group ou Warner Chappell Music. »
On sait que les géants du Web rivalisent de concurrence pour attirer des créateurs populaires et ainsi fidéliser un large public. YouTube n’est pas en reste et a récemment annoncé un fonds de 100 millions de dollars pour payer certains vidéastes. Le site contactera directement les profils dont les contenus ont dépassé certains niveaux afin de les récompenser pour leurs contributions.

En septembre 2020, YouTube lançait en grande pompe Shorts son nouveau concurrent de TikTok. Comme pour le réseau social chinois, l’idée est donc de promouvoir des formats courts. La plateforme précisait alors au sujet de cet outil qui est intégré à son application : « Shorts est une nouvelle expérience vidéo courte pour les créateurs et les artistes qui souhaitent tourner des vidéos courtes et accrocheuses en utilisant uniquement leurs téléphones portables ».
Un fonds de 100 millions de dollars pour fidéliser les créateurs
Comme chez son concurrent, YouTube donne aux vidéastes la possibilité d’ajouter une musique de fond ou encore de passer à la vidéo suivante via un glissement vertical. Pour l’heure, Shorts n’était disponible qu’en Inde, aux États-Unis, au Royaume Uni et dans certains pays d’Amérique latine.
Les choses changent cette semaine avec un lancement prévu de la version bêta dans cent nouveaux pays dont la France. Dans un communiqué, YouTube fait part de sa satisfaction quant aux débuts de Shorts qui dépasse les 6,5 milliards de vues quotidiennes dans le monde. Il dispose déjà de vidéastes populaires et notamment en France :
L’audience des sketches de Stephfou F autour de l’univers scolaire des ados a décollé très rapidement tandis que la chaîne mode et beauté de Gabrielle enregistre des scores impressionnants.
Shorts veut aussi mettre les petits plats dans les grands pour son lancement à l’international. L’option Remix est ainsi proposée afin « de reprendre des extraits audio de vidéos YouTube ou d’ajouter du texte, des filtres et des sous-titres automatiques. » La plateforme vante également son catalogue musical très fourni qui inclut « plus de 250 labels et éditeurs du monde entier, comme Universal Music Group, Sony Music Entertainment et Sony Music Publishing, Warner Music Group ou Warner Chappell Music. »
On sait que les géants du Web rivalisent de concurrence pour attirer des créateurs populaires et ainsi fidéliser un large public. YouTube n’est pas en reste et a récemment annoncé un fonds de 100 millions de dollars pour payer certains vidéastes. Le site contactera directement les profils dont les contenus ont dépassé certains niveaux afin de les récompenser pour leurs contributions.

En septembre 2020, YouTube lançait en grande pompe Shorts son nouveau concurrent de TikTok. Comme pour le réseau social chinois, l’idée est donc de promouvoir des formats courts. La plateforme précisait alors au sujet de cet outil qui est intégré à son application : « Shorts est une nouvelle expérience vidéo courte pour les créateurs et les artistes qui souhaitent tourner des vidéos courtes et accrocheuses en utilisant uniquement leurs téléphones portables ».
Un fonds de 100 millions de dollars pour fidéliser les créateurs
Comme chez son concurrent, YouTube donne aux vidéastes la possibilité d’ajouter une musique de fond ou encore de passer à la vidéo suivante via un glissement vertical. Pour l’heure, Shorts n’était disponible qu’en Inde, aux États-Unis, au Royaume Uni et dans certains pays d’Amérique latine.
Les choses changent cette semaine avec un lancement prévu de la version bêta dans cent nouveaux pays dont la France. Dans un communiqué, YouTube fait part de sa satisfaction quant aux débuts de Shorts qui dépasse les 6,5 milliards de vues quotidiennes dans le monde. Il dispose déjà de vidéastes populaires et notamment en France :
L’audience des sketches de Stephfou F autour de l’univers scolaire des ados a décollé très rapidement tandis que la chaîne mode et beauté de Gabrielle enregistre des scores impressionnants.
Shorts veut aussi mettre les petits plats dans les grands pour son lancement à l’international. L’option Remix est ainsi proposée afin « de reprendre des extraits audio de vidéos YouTube ou d’ajouter du texte, des filtres et des sous-titres automatiques. » La plateforme vante également son catalogue musical très fourni qui inclut « plus de 250 labels et éditeurs du monde entier, comme Universal Music Group, Sony Music Entertainment et Sony Music Publishing, Warner Music Group ou Warner Chappell Music. »
On sait que les géants du Web rivalisent de concurrence pour attirer des créateurs populaires et ainsi fidéliser un large public. YouTube n’est pas en reste et a récemment annoncé un fonds de 100 millions de dollars pour payer certains vidéastes. Le site contactera directement les profils dont les contenus ont dépassé certains niveaux afin de les récompenser pour leurs contributions.

En septembre 2020, YouTube lançait en grande pompe Shorts son nouveau concurrent de TikTok. Comme pour le réseau social chinois, l’idée est donc de promouvoir des formats courts. La plateforme précisait alors au sujet de cet outil qui est intégré à son application : « Shorts est une nouvelle expérience vidéo courte pour les créateurs et les artistes qui souhaitent tourner des vidéos courtes et accrocheuses en utilisant uniquement leurs téléphones portables ».
Un fonds de 100 millions de dollars pour fidéliser les créateurs
Comme chez son concurrent, YouTube donne aux vidéastes la possibilité d’ajouter une musique de fond ou encore de passer à la vidéo suivante via un glissement vertical. Pour l’heure, Shorts n’était disponible qu’en Inde, aux États-Unis, au Royaume Uni et dans certains pays d’Amérique latine.
Les choses changent cette semaine avec un lancement prévu de la version bêta dans cent nouveaux pays dont la France. Dans un communiqué, YouTube fait part de sa satisfaction quant aux débuts de Shorts qui dépasse les 6,5 milliards de vues quotidiennes dans le monde. Il dispose déjà de vidéastes populaires et notamment en France :
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Shorts veut aussi mettre les petits plats dans les grands pour son lancement à l’international. L’option Remix est ainsi proposée afin « de reprendre des extraits audio de vidéos YouTube ou d’ajouter du texte, des filtres et des sous-titres automatiques. » La plateforme vante également son catalogue musical très fourni qui inclut « plus de 250 labels et éditeurs du monde entier, comme Universal Music Group, Sony Music Entertainment et Sony Music Publishing, Warner Music Group ou Warner Chappell Music. »
On sait que les géants du Web rivalisent de concurrence pour attirer des créateurs populaires et ainsi fidéliser un large public. YouTube n’est pas en reste et a récemment annoncé un fonds de 100 millions de dollars pour payer certains vidéastes. Le site contactera directement les profils dont les contenus ont dépassé certains niveaux afin de les récompenser pour leurs contributions.

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Un fonds de 100 millions de dollars pour fidéliser les créateurs
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En septembre 2020, YouTube lançait en grande pompe Shorts son nouveau concurrent de TikTok. Comme pour le réseau social chinois, l’idée est donc de promouvoir des formats courts. La plateforme précisait alors au sujet de cet outil qui est intégré à son application : « Shorts est une nouvelle expérience vidéo courte pour les créateurs et les artistes qui souhaitent tourner des vidéos courtes et accrocheuses en utilisant uniquement leurs téléphones portables ».
Un fonds de 100 millions de dollars pour fidéliser les créateurs
Comme chez son concurrent, YouTube donne aux vidéastes la possibilité d’ajouter une musique de fond ou encore de passer à la vidéo suivante via un glissement vertical. Pour l’heure, Shorts n’était disponible qu’en Inde, aux États-Unis, au Royaume Uni et dans certains pays d’Amérique latine.
Les choses changent cette semaine avec un lancement prévu de la version bêta dans cent nouveaux pays dont la France. Dans un communiqué, YouTube fait part de sa satisfaction quant aux débuts de Shorts qui dépasse les 6,5 milliards de vues quotidiennes dans le monde. Il dispose déjà de vidéastes populaires et notamment en France :
L’audience des sketches de Stephfou F autour de l’univers scolaire des ados a décollé très rapidement tandis que la chaîne mode et beauté de Gabrielle enregistre des scores impressionnants.
Shorts veut aussi mettre les petits plats dans les grands pour son lancement à l’international. L’option Remix est ainsi proposée afin « de reprendre des extraits audio de vidéos YouTube ou d’ajouter du texte, des filtres et des sous-titres automatiques. » La plateforme vante également son catalogue musical très fourni qui inclut « plus de 250 labels et éditeurs du monde entier, comme Universal Music Group, Sony Music Entertainment et Sony Music Publishing, Warner Music Group ou Warner Chappell Music. »
On sait que les géants du Web rivalisent de concurrence pour attirer des créateurs populaires et ainsi fidéliser un large public. YouTube n’est pas en reste et a récemment annoncé un fonds de 100 millions de dollars pour payer certains vidéastes. Le site contactera directement les profils dont les contenus ont dépassé certains niveaux afin de les récompenser pour leurs contributions.

En septembre 2020, YouTube lançait en grande pompe Shorts son nouveau concurrent de TikTok. Comme pour le réseau social chinois, l’idée est donc de promouvoir des formats courts. La plateforme précisait alors au sujet de cet outil qui est intégré à son application : « Shorts est une nouvelle expérience vidéo courte pour les créateurs et les artistes qui souhaitent tourner des vidéos courtes et accrocheuses en utilisant uniquement leurs téléphones portables ».
Un fonds de 100 millions de dollars pour fidéliser les créateurs
Comme chez son concurrent, YouTube donne aux vidéastes la possibilité d’ajouter une musique de fond ou encore de passer à la vidéo suivante via un glissement vertical. Pour l’heure, Shorts n’était disponible qu’en Inde, aux États-Unis, au Royaume Uni et dans certains pays d’Amérique latine.
Les choses changent cette semaine avec un lancement prévu de la version bêta dans cent nouveaux pays dont la France. Dans un communiqué, YouTube fait part de sa satisfaction quant aux débuts de Shorts qui dépasse les 6,5 milliards de vues quotidiennes dans le monde. Il dispose déjà de vidéastes populaires et notamment en France :
L’audience des sketches de Stephfou F autour de l’univers scolaire des ados a décollé très rapidement tandis que la chaîne mode et beauté de Gabrielle enregistre des scores impressionnants.
Shorts veut aussi mettre les petits plats dans les grands pour son lancement à l’international. L’option Remix est ainsi proposée afin « de reprendre des extraits audio de vidéos YouTube ou d’ajouter du texte, des filtres et des sous-titres automatiques. » La plateforme vante également son catalogue musical très fourni qui inclut « plus de 250 labels et éditeurs du monde entier, comme Universal Music Group, Sony Music Entertainment et Sony Music Publishing, Warner Music Group ou Warner Chappell Music. »
On sait que les géants du Web rivalisent de concurrence pour attirer des créateurs populaires et ainsi fidéliser un large public. YouTube n’est pas en reste et a récemment annoncé un fonds de 100 millions de dollars pour payer certains vidéastes. Le site contactera directement les profils dont les contenus ont dépassé certains niveaux afin de les récompenser pour leurs contributions.

En septembre 2020, YouTube lançait en grande pompe Shorts son nouveau concurrent de TikTok. Comme pour le réseau social chinois, l’idée est donc de promouvoir des formats courts. La plateforme précisait alors au sujet de cet outil qui est intégré à son application : « Shorts est une nouvelle expérience vidéo courte pour les créateurs et les artistes qui souhaitent tourner des vidéos courtes et accrocheuses en utilisant uniquement leurs téléphones portables ».
Un fonds de 100 millions de dollars pour fidéliser les créateurs
Comme chez son concurrent, YouTube donne aux vidéastes la possibilité d’ajouter une musique de fond ou encore de passer à la vidéo suivante via un glissement vertical. Pour l’heure, Shorts n’était disponible qu’en Inde, aux États-Unis, au Royaume Uni et dans certains pays d’Amérique latine.
Les choses changent cette semaine avec un lancement prévu de la version bêta dans cent nouveaux pays dont la France. Dans un communiqué, YouTube fait part de sa satisfaction quant aux débuts de Shorts qui dépasse les 6,5 milliards de vues quotidiennes dans le monde. Il dispose déjà de vidéastes populaires et notamment en France :
L’audience des sketches de Stephfou F autour de l’univers scolaire des ados a décollé très rapidement tandis que la chaîne mode et beauté de Gabrielle enregistre des scores impressionnants.
Shorts veut aussi mettre les petits plats dans les grands pour son lancement à l’international. L’option Remix est ainsi proposée afin « de reprendre des extraits audio de vidéos YouTube ou d’ajouter du texte, des filtres et des sous-titres automatiques. » La plateforme vante également son catalogue musical très fourni qui inclut « plus de 250 labels et éditeurs du monde entier, comme Universal Music Group, Sony Music Entertainment et Sony Music Publishing, Warner Music Group ou Warner Chappell Music. »
On sait que les géants du Web rivalisent de concurrence pour attirer des créateurs populaires et ainsi fidéliser un large public. YouTube n’est pas en reste et a récemment annoncé un fonds de 100 millions de dollars pour payer certains vidéastes. Le site contactera directement les profils dont les contenus ont dépassé certains niveaux afin de les récompenser pour leurs contributions.

En septembre 2020, YouTube lançait en grande pompe Shorts son nouveau concurrent de TikTok. Comme pour le réseau social chinois, l’idée est donc de promouvoir des formats courts. La plateforme précisait alors au sujet de cet outil qui est intégré à son application : « Shorts est une nouvelle expérience vidéo courte pour les créateurs et les artistes qui souhaitent tourner des vidéos courtes et accrocheuses en utilisant uniquement leurs téléphones portables ».
Un fonds de 100 millions de dollars pour fidéliser les créateurs
Comme chez son concurrent, YouTube donne aux vidéastes la possibilité d’ajouter une musique de fond ou encore de passer à la vidéo suivante via un glissement vertical. Pour l’heure, Shorts n’était disponible qu’en Inde, aux États-Unis, au Royaume Uni et dans certains pays d’Amérique latine.
Les choses changent cette semaine avec un lancement prévu de la version bêta dans cent nouveaux pays dont la France. Dans un communiqué, YouTube fait part de sa satisfaction quant aux débuts de Shorts qui dépasse les 6,5 milliards de vues quotidiennes dans le monde. Il dispose déjà de vidéastes populaires et notamment en France :
L’audience des sketches de Stephfou F autour de l’univers scolaire des ados a décollé très rapidement tandis que la chaîne mode et beauté de Gabrielle enregistre des scores impressionnants.
Shorts veut aussi mettre les petits plats dans les grands pour son lancement à l’international. L’option Remix est ainsi proposée afin « de reprendre des extraits audio de vidéos YouTube ou d’ajouter du texte, des filtres et des sous-titres automatiques. » La plateforme vante également son catalogue musical très fourni qui inclut « plus de 250 labels et éditeurs du monde entier, comme Universal Music Group, Sony Music Entertainment et Sony Music Publishing, Warner Music Group ou Warner Chappell Music. »
On sait que les géants du Web rivalisent de concurrence pour attirer des créateurs populaires et ainsi fidéliser un large public. YouTube n’est pas en reste et a récemment annoncé un fonds de 100 millions de dollars pour payer certains vidéastes. Le site contactera directement les profils dont les contenus ont dépassé certains niveaux afin de les récompenser pour leurs contributions.

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Un fonds de 100 millions de dollars pour fidéliser les créateurs
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Shorts veut aussi mettre les petits plats dans les grands pour son lancement à l’international. L’option Remix est ainsi proposée afin « de reprendre des extraits audio de vidéos YouTube ou d’ajouter du texte, des filtres et des sous-titres automatiques. » La plateforme vante également son catalogue musical très fourni qui inclut « plus de 250 labels et éditeurs du monde entier, comme Universal Music Group, Sony Music Entertainment et Sony Music Publishing, Warner Music Group ou Warner Chappell Music. »
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Un fonds de 100 millions de dollars pour fidéliser les créateurs
Comme chez son concurrent, YouTube donne aux vidéastes la possibilité d’ajouter une musique de fond ou encore de passer à la vidéo suivante via un glissement vertical. Pour l’heure, Shorts n’était disponible qu’en Inde, aux États-Unis, au Royaume Uni et dans certains pays d’Amérique latine.
Les choses changent cette semaine avec un lancement prévu de la version bêta dans cent nouveaux pays dont la France. Dans un communiqué, YouTube fait part de sa satisfaction quant aux débuts de Shorts qui dépasse les 6,5 milliards de vues quotidiennes dans le monde. Il dispose déjà de vidéastes populaires et notamment en France :
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Shorts veut aussi mettre les petits plats dans les grands pour son lancement à l’international. L’option Remix est ainsi proposée afin « de reprendre des extraits audio de vidéos YouTube ou d’ajouter du texte, des filtres et des sous-titres automatiques. » La plateforme vante également son catalogue musical très fourni qui inclut « plus de 250 labels et éditeurs du monde entier, comme Universal Music Group, Sony Music Entertainment et Sony Music Publishing, Warner Music Group ou Warner Chappell Music. »
On sait que les géants du Web rivalisent de concurrence pour attirer des créateurs populaires et ainsi fidéliser un large public. YouTube n’est pas en reste et a récemment annoncé un fonds de 100 millions de dollars pour payer certains vidéastes. Le site contactera directement les profils dont les contenus ont dépassé certains niveaux afin de les récompenser pour leurs contributions.

En septembre 2020, YouTube lançait en grande pompe Shorts son nouveau concurrent de TikTok. Comme pour le réseau social chinois, l’idée est donc de promouvoir des formats courts. La plateforme précisait alors au sujet de cet outil qui est intégré à son application : « Shorts est une nouvelle expérience vidéo courte pour les créateurs et les artistes qui souhaitent tourner des vidéos courtes et accrocheuses en utilisant uniquement leurs téléphones portables ».
Un fonds de 100 millions de dollars pour fidéliser les créateurs
Comme chez son concurrent, YouTube donne aux vidéastes la possibilité d’ajouter une musique de fond ou encore de passer à la vidéo suivante via un glissement vertical. Pour l’heure, Shorts n’était disponible qu’en Inde, aux États-Unis, au Royaume Uni et dans certains pays d’Amérique latine.
Les choses changent cette semaine avec un lancement prévu de la version bêta dans cent nouveaux pays dont la France. Dans un communiqué, YouTube fait part de sa satisfaction quant aux débuts de Shorts qui dépasse les 6,5 milliards de vues quotidiennes dans le monde. Il dispose déjà de vidéastes populaires et notamment en France :
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Shorts veut aussi mettre les petits plats dans les grands pour son lancement à l’international. L’option Remix est ainsi proposée afin « de reprendre des extraits audio de vidéos YouTube ou d’ajouter du texte, des filtres et des sous-titres automatiques. » La plateforme vante également son catalogue musical très fourni qui inclut « plus de 250 labels et éditeurs du monde entier, comme Universal Music Group, Sony Music Entertainment et Sony Music Publishing, Warner Music Group ou Warner Chappell Music. »
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Comme chez son concurrent, YouTube donne aux vidéastes la possibilité d’ajouter une musique de fond ou encore de passer à la vidéo suivante via un glissement vertical. Pour l’heure, Shorts n’était disponible qu’en Inde, aux États-Unis, au Royaume Uni et dans certains pays d’Amérique latine.
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Shorts veut aussi mettre les petits plats dans les grands pour son lancement à l’international. L’option Remix est ainsi proposée afin « de reprendre des extraits audio de vidéos YouTube ou d’ajouter du texte, des filtres et des sous-titres automatiques. » La plateforme vante également son catalogue musical très fourni qui inclut « plus de 250 labels et éditeurs du monde entier, comme Universal Music Group, Sony Music Entertainment et Sony Music Publishing, Warner Music Group ou Warner Chappell Music. »
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Un fonds de 100 millions de dollars pour fidéliser les créateurs
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En septembre 2020, YouTube lançait en grande pompe Shorts son nouveau concurrent de TikTok. Comme pour le réseau social chinois, l’idée est donc de promouvoir des formats courts. La plateforme précisait alors au sujet de cet outil qui est intégré à son application : « Shorts est une nouvelle expérience vidéo courte pour les créateurs et les artistes qui souhaitent tourner des vidéos courtes et accrocheuses en utilisant uniquement leurs téléphones portables ».
Un fonds de 100 millions de dollars pour fidéliser les créateurs
Comme chez son concurrent, YouTube donne aux vidéastes la possibilité d’ajouter une musique de fond ou encore de passer à la vidéo suivante via un glissement vertical. Pour l’heure, Shorts n’était disponible qu’en Inde, aux États-Unis, au Royaume Uni et dans certains pays d’Amérique latine.
Les choses changent cette semaine avec un lancement prévu de la version bêta dans cent nouveaux pays dont la France. Dans un communiqué, YouTube fait part de sa satisfaction quant aux débuts de Shorts qui dépasse les 6,5 milliards de vues quotidiennes dans le monde. Il dispose déjà de vidéastes populaires et notamment en France :
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