En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
La firme espère aujourd’hui aller de l’avant et conclure cette affaire :
Notre objectif demeure clair : nous souhaitons tourner la page avec un accord définitif. Nous allons adapter nos offres en prenant en considération les retours de l’Autorité de la Concurrence. Par ailleurs, nous sommes d’ores et déjà en discussion avec des éditeurs et agences au-delà de la presse IPG, en prenant en considération les éditeurs inscrits sur les listes de la CPPAP. Nous réitérons notre proposition de faire intervenir une tierce partie indépendante afin de partager les données ayant trait à la valeur de l’actualité et nous permettre de baser nos discussions sur des éléments factuels.
Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
La firme espère aujourd’hui aller de l’avant et conclure cette affaire :
Notre objectif demeure clair : nous souhaitons tourner la page avec un accord définitif. Nous allons adapter nos offres en prenant en considération les retours de l’Autorité de la Concurrence. Par ailleurs, nous sommes d’ores et déjà en discussion avec des éditeurs et agences au-delà de la presse IPG, en prenant en considération les éditeurs inscrits sur les listes de la CPPAP. Nous réitérons notre proposition de faire intervenir une tierce partie indépendante afin de partager les données ayant trait à la valeur de l’actualité et nous permettre de baser nos discussions sur des éléments factuels.
Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
La firme espère aujourd’hui aller de l’avant et conclure cette affaire :
Notre objectif demeure clair : nous souhaitons tourner la page avec un accord définitif. Nous allons adapter nos offres en prenant en considération les retours de l’Autorité de la Concurrence. Par ailleurs, nous sommes d’ores et déjà en discussion avec des éditeurs et agences au-delà de la presse IPG, en prenant en considération les éditeurs inscrits sur les listes de la CPPAP. Nous réitérons notre proposition de faire intervenir une tierce partie indépendante afin de partager les données ayant trait à la valeur de l’actualité et nous permettre de baser nos discussions sur des éléments factuels.
Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
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En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
La firme espère aujourd’hui aller de l’avant et conclure cette affaire :
Notre objectif demeure clair : nous souhaitons tourner la page avec un accord définitif. Nous allons adapter nos offres en prenant en considération les retours de l’Autorité de la Concurrence. Par ailleurs, nous sommes d’ores et déjà en discussion avec des éditeurs et agences au-delà de la presse IPG, en prenant en considération les éditeurs inscrits sur les listes de la CPPAP. Nous réitérons notre proposition de faire intervenir une tierce partie indépendante afin de partager les données ayant trait à la valeur de l’actualité et nous permettre de baser nos discussions sur des éléments factuels.
Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
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Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
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Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
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Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
La firme espère aujourd’hui aller de l’avant et conclure cette affaire :
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Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
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La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
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Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
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En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
La firme espère aujourd’hui aller de l’avant et conclure cette affaire :
Notre objectif demeure clair : nous souhaitons tourner la page avec un accord définitif. Nous allons adapter nos offres en prenant en considération les retours de l’Autorité de la Concurrence. Par ailleurs, nous sommes d’ores et déjà en discussion avec des éditeurs et agences au-delà de la presse IPG, en prenant en considération les éditeurs inscrits sur les listes de la CPPAP. Nous réitérons notre proposition de faire intervenir une tierce partie indépendante afin de partager les données ayant trait à la valeur de l’actualité et nous permettre de baser nos discussions sur des éléments factuels.
Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
La firme espère aujourd’hui aller de l’avant et conclure cette affaire :
Notre objectif demeure clair : nous souhaitons tourner la page avec un accord définitif. Nous allons adapter nos offres en prenant en considération les retours de l’Autorité de la Concurrence. Par ailleurs, nous sommes d’ores et déjà en discussion avec des éditeurs et agences au-delà de la presse IPG, en prenant en considération les éditeurs inscrits sur les listes de la CPPAP. Nous réitérons notre proposition de faire intervenir une tierce partie indépendante afin de partager les données ayant trait à la valeur de l’actualité et nous permettre de baser nos discussions sur des éléments factuels.
Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
La firme espère aujourd’hui aller de l’avant et conclure cette affaire :
Notre objectif demeure clair : nous souhaitons tourner la page avec un accord définitif. Nous allons adapter nos offres en prenant en considération les retours de l’Autorité de la Concurrence. Par ailleurs, nous sommes d’ores et déjà en discussion avec des éditeurs et agences au-delà de la presse IPG, en prenant en considération les éditeurs inscrits sur les listes de la CPPAP. Nous réitérons notre proposition de faire intervenir une tierce partie indépendante afin de partager les données ayant trait à la valeur de l’actualité et nous permettre de baser nos discussions sur des éléments factuels.
Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
La firme espère aujourd’hui aller de l’avant et conclure cette affaire :
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Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

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« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
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En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
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Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
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En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
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Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
La firme espère aujourd’hui aller de l’avant et conclure cette affaire :
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Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
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Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
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La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
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La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
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En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
La firme espère aujourd’hui aller de l’avant et conclure cette affaire :
Notre objectif demeure clair : nous souhaitons tourner la page avec un accord définitif. Nous allons adapter nos offres en prenant en considération les retours de l’Autorité de la Concurrence. Par ailleurs, nous sommes d’ores et déjà en discussion avec des éditeurs et agences au-delà de la presse IPG, en prenant en considération les éditeurs inscrits sur les listes de la CPPAP. Nous réitérons notre proposition de faire intervenir une tierce partie indépendante afin de partager les données ayant trait à la valeur de l’actualité et nous permettre de baser nos discussions sur des éléments factuels.
Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
La firme espère aujourd’hui aller de l’avant et conclure cette affaire :
Notre objectif demeure clair : nous souhaitons tourner la page avec un accord définitif. Nous allons adapter nos offres en prenant en considération les retours de l’Autorité de la Concurrence. Par ailleurs, nous sommes d’ores et déjà en discussion avec des éditeurs et agences au-delà de la presse IPG, en prenant en considération les éditeurs inscrits sur les listes de la CPPAP. Nous réitérons notre proposition de faire intervenir une tierce partie indépendante afin de partager les données ayant trait à la valeur de l’actualité et nous permettre de baser nos discussions sur des éléments factuels.
Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
La firme espère aujourd’hui aller de l’avant et conclure cette affaire :
Notre objectif demeure clair : nous souhaitons tourner la page avec un accord définitif. Nous allons adapter nos offres en prenant en considération les retours de l’Autorité de la Concurrence. Par ailleurs, nous sommes d’ores et déjà en discussion avec des éditeurs et agences au-delà de la presse IPG, en prenant en considération les éditeurs inscrits sur les listes de la CPPAP. Nous réitérons notre proposition de faire intervenir une tierce partie indépendante afin de partager les données ayant trait à la valeur de l’actualité et nous permettre de baser nos discussions sur des éléments factuels.
Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
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En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
La firme espère aujourd’hui aller de l’avant et conclure cette affaire :
Notre objectif demeure clair : nous souhaitons tourner la page avec un accord définitif. Nous allons adapter nos offres en prenant en considération les retours de l’Autorité de la Concurrence. Par ailleurs, nous sommes d’ores et déjà en discussion avec des éditeurs et agences au-delà de la presse IPG, en prenant en considération les éditeurs inscrits sur les listes de la CPPAP. Nous réitérons notre proposition de faire intervenir une tierce partie indépendante afin de partager les données ayant trait à la valeur de l’actualité et nous permettre de baser nos discussions sur des éléments factuels.
Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
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Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
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Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
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Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
La firme espère aujourd’hui aller de l’avant et conclure cette affaire :
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Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
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La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
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Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
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En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
La firme espère aujourd’hui aller de l’avant et conclure cette affaire :
Notre objectif demeure clair : nous souhaitons tourner la page avec un accord définitif. Nous allons adapter nos offres en prenant en considération les retours de l’Autorité de la Concurrence. Par ailleurs, nous sommes d’ores et déjà en discussion avec des éditeurs et agences au-delà de la presse IPG, en prenant en considération les éditeurs inscrits sur les listes de la CPPAP. Nous réitérons notre proposition de faire intervenir une tierce partie indépendante afin de partager les données ayant trait à la valeur de l’actualité et nous permettre de baser nos discussions sur des éléments factuels.
Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
La firme espère aujourd’hui aller de l’avant et conclure cette affaire :
Notre objectif demeure clair : nous souhaitons tourner la page avec un accord définitif. Nous allons adapter nos offres en prenant en considération les retours de l’Autorité de la Concurrence. Par ailleurs, nous sommes d’ores et déjà en discussion avec des éditeurs et agences au-delà de la presse IPG, en prenant en considération les éditeurs inscrits sur les listes de la CPPAP. Nous réitérons notre proposition de faire intervenir une tierce partie indépendante afin de partager les données ayant trait à la valeur de l’actualité et nous permettre de baser nos discussions sur des éléments factuels.
Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
La firme espère aujourd’hui aller de l’avant et conclure cette affaire :
Notre objectif demeure clair : nous souhaitons tourner la page avec un accord définitif. Nous allons adapter nos offres en prenant en considération les retours de l’Autorité de la Concurrence. Par ailleurs, nous sommes d’ores et déjà en discussion avec des éditeurs et agences au-delà de la presse IPG, en prenant en considération les éditeurs inscrits sur les listes de la CPPAP. Nous réitérons notre proposition de faire intervenir une tierce partie indépendante afin de partager les données ayant trait à la valeur de l’actualité et nous permettre de baser nos discussions sur des éléments factuels.
Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
La firme espère aujourd’hui aller de l’avant et conclure cette affaire :
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Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

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« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
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En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
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Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
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En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
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Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
La firme espère aujourd’hui aller de l’avant et conclure cette affaire :
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Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
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Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
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La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
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La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
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En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
La firme espère aujourd’hui aller de l’avant et conclure cette affaire :
Notre objectif demeure clair : nous souhaitons tourner la page avec un accord définitif. Nous allons adapter nos offres en prenant en considération les retours de l’Autorité de la Concurrence. Par ailleurs, nous sommes d’ores et déjà en discussion avec des éditeurs et agences au-delà de la presse IPG, en prenant en considération les éditeurs inscrits sur les listes de la CPPAP. Nous réitérons notre proposition de faire intervenir une tierce partie indépendante afin de partager les données ayant trait à la valeur de l’actualité et nous permettre de baser nos discussions sur des éléments factuels.
Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
La firme espère aujourd’hui aller de l’avant et conclure cette affaire :
Notre objectif demeure clair : nous souhaitons tourner la page avec un accord définitif. Nous allons adapter nos offres en prenant en considération les retours de l’Autorité de la Concurrence. Par ailleurs, nous sommes d’ores et déjà en discussion avec des éditeurs et agences au-delà de la presse IPG, en prenant en considération les éditeurs inscrits sur les listes de la CPPAP. Nous réitérons notre proposition de faire intervenir une tierce partie indépendante afin de partager les données ayant trait à la valeur de l’actualité et nous permettre de baser nos discussions sur des éléments factuels.
Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
La firme espère aujourd’hui aller de l’avant et conclure cette affaire :
Notre objectif demeure clair : nous souhaitons tourner la page avec un accord définitif. Nous allons adapter nos offres en prenant en considération les retours de l’Autorité de la Concurrence. Par ailleurs, nous sommes d’ores et déjà en discussion avec des éditeurs et agences au-delà de la presse IPG, en prenant en considération les éditeurs inscrits sur les listes de la CPPAP. Nous réitérons notre proposition de faire intervenir une tierce partie indépendante afin de partager les données ayant trait à la valeur de l’actualité et nous permettre de baser nos discussions sur des éléments factuels.
Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
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En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
La firme espère aujourd’hui aller de l’avant et conclure cette affaire :
Notre objectif demeure clair : nous souhaitons tourner la page avec un accord définitif. Nous allons adapter nos offres en prenant en considération les retours de l’Autorité de la Concurrence. Par ailleurs, nous sommes d’ores et déjà en discussion avec des éditeurs et agences au-delà de la presse IPG, en prenant en considération les éditeurs inscrits sur les listes de la CPPAP. Nous réitérons notre proposition de faire intervenir une tierce partie indépendante afin de partager les données ayant trait à la valeur de l’actualité et nous permettre de baser nos discussions sur des éléments factuels.
Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
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Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
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Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
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Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
La firme espère aujourd’hui aller de l’avant et conclure cette affaire :
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Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
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La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
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Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
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En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
La firme espère aujourd’hui aller de l’avant et conclure cette affaire :
Notre objectif demeure clair : nous souhaitons tourner la page avec un accord définitif. Nous allons adapter nos offres en prenant en considération les retours de l’Autorité de la Concurrence. Par ailleurs, nous sommes d’ores et déjà en discussion avec des éditeurs et agences au-delà de la presse IPG, en prenant en considération les éditeurs inscrits sur les listes de la CPPAP. Nous réitérons notre proposition de faire intervenir une tierce partie indépendante afin de partager les données ayant trait à la valeur de l’actualité et nous permettre de baser nos discussions sur des éléments factuels.
Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.

En début d’année, Google et l’Alliance de la presse d’information générale française (APIG) ont signé un accord qui faisait date. Le géant du web s’engageait ainsi à rémunérer de grands titres tels que Le Monde, Le Figaro, Libération, l’Express, l’Obs, mais aussi Courrier International. Concrètement, la firme de Mountain View promettait de verser 76 millions de dollars à 121 publications.
« Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place »
Mais il y a quelques semaines, nous avions appris que cet accord cadre avait été suspendu par Google qui attendait une décision importante de l’Autorité de la concurrence. L’instance administrative devait en effet se prononcer sur l’application des mesures imposées à la compagnie et notamment sur le fait qu’elle ait correctement négocié avec les éditeurs de presse en ce qui concerne les droits voisins, une rémunération que Google et les grandes plateformes doivent allouer aux groupes de presse en échange de l’utilisation de leurs contenus.
La décision est tombée hier et ce n’est pas une bonne nouvelle pour Google qui a été sanctionné. Selon Le Parisien, le gendarme français de la concurrence estime ainsi que le géant de la Tech n’a pas négocié « de bonne foi » avec les éditeurs et le condamne à une amende de 500 millions d’euros. L’addition pourrait même être très salée puisqu’il est demandé à l’entreprise de « présenter une offre de rémunération pour les utilisations actuelles de leurs contenus protégés » aux médias, sous peine « de se voir infliger des astreintes pouvant atteindre 900 000 euros par jour de retard ».
Ce verdict est vivement contesté par Google. Dans un communiqué, la compagnie explique ainsi : « Nous sommes très déçus par cette décision car nous avons agi de bonne foi pendant toute la période des négociations. Cette amende ne reflète pas les efforts mis en place, ni la réalité de l’utilisation des contenus d’actualité sur notre plateforme ».
La firme espère aujourd’hui aller de l’avant et conclure cette affaire :
Notre objectif demeure clair : nous souhaitons tourner la page avec un accord définitif. Nous allons adapter nos offres en prenant en considération les retours de l’Autorité de la Concurrence. Par ailleurs, nous sommes d’ores et déjà en discussion avec des éditeurs et agences au-delà de la presse IPG, en prenant en considération les éditeurs inscrits sur les listes de la CPPAP. Nous réitérons notre proposition de faire intervenir une tierce partie indépendante afin de partager les données ayant trait à la valeur de l’actualité et nous permettre de baser nos discussions sur des éléments factuels.
Pour rappel, Google a récemment été condamné par l’Autorité de la concurrence à une amende de 220 millions d’euros concernant un abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne.
