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Comme l’explique Henri Dewaerheijd, le patron de Mastercard pour la Belgique et le Luxembourg, « la monnaie fiduciaire a un coût, puisqu’il faut l’imprimer, la transporter, la renouveler. L’archipel des Bahamas, peu peuplé (NdlR : quelque 400 000 habitants) a donc opté pour une CBDC. Pour des raisons économiques, mais aussi pour des raisons stratégiques : réduire le cash, c’est aussi réduire la corruption, le blanchiment, l’économie parallèle… »