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Home » Facebook s’attaque aux apps préinstallées sur iOS et Android

Facebook s’attaque aux apps préinstallées sur iOS et Android

Rédacteur Digital RoundUp Par Rédacteur Digital RoundUp
14/10/2021
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Les hostilités se poursuivent entre Facebook et Apple. Et cette fois-ci, c’est aux applications préinstallées sur l’iPhone, mais aussi à celles d’Android, que le réseau social s’attaque.

Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

Youtube

4.5 / 5

117,7 M avis

Les hostilités se poursuivent entre Facebook et Apple. Et cette fois-ci, c’est aux applications préinstallées sur l’iPhone, mais aussi à celles d’Android, que le réseau social s’attaque.

Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Les hostilités se poursuivent entre Facebook et Apple. Et cette fois-ci, c’est aux applications préinstallées sur l’iPhone, mais aussi à celles d’Android, que le réseau social s’attaque.

Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Les hostilités se poursuivent entre Facebook et Apple. Et cette fois-ci, c’est aux applications préinstallées sur l’iPhone, mais aussi à celles d’Android, que le réseau social s’attaque.

Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Les hostilités se poursuivent entre Facebook et Apple. Et cette fois-ci, c’est aux applications préinstallées sur l’iPhone, mais aussi à celles d’Android, que le réseau social s’attaque.

Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Les hostilités se poursuivent entre Facebook et Apple. Et cette fois-ci, c’est aux applications préinstallées sur l’iPhone, mais aussi à celles d’Android, que le réseau social s’attaque.

Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Les hostilités se poursuivent entre Facebook et Apple. Et cette fois-ci, c’est aux applications préinstallées sur l’iPhone, mais aussi à celles d’Android, que le réseau social s’attaque.

Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

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Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Les hostilités se poursuivent entre Facebook et Apple. Et cette fois-ci, c’est aux applications préinstallées sur l’iPhone, mais aussi à celles d’Android, que le réseau social s’attaque.

Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Les hostilités se poursuivent entre Facebook et Apple. Et cette fois-ci, c’est aux applications préinstallées sur l’iPhone, mais aussi à celles d’Android, que le réseau social s’attaque.

Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Les hostilités se poursuivent entre Facebook et Apple. Et cette fois-ci, c’est aux applications préinstallées sur l’iPhone, mais aussi à celles d’Android, que le réseau social s’attaque.

Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

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Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

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Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Les hostilités se poursuivent entre Facebook et Apple. Et cette fois-ci, c’est aux applications préinstallées sur l’iPhone, mais aussi à celles d’Android, que le réseau social s’attaque.

Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

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Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

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Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Les hostilités se poursuivent entre Facebook et Apple. Et cette fois-ci, c’est aux applications préinstallées sur l’iPhone, mais aussi à celles d’Android, que le réseau social s’attaque.

Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Les hostilités se poursuivent entre Facebook et Apple. Et cette fois-ci, c’est aux applications préinstallées sur l’iPhone, mais aussi à celles d’Android, que le réseau social s’attaque.

Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

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Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Les hostilités se poursuivent entre Facebook et Apple. Et cette fois-ci, c’est aux applications préinstallées sur l’iPhone, mais aussi à celles d’Android, que le réseau social s’attaque.

Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

Youtube

4.5 / 5

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Les hostilités se poursuivent entre Facebook et Apple. Et cette fois-ci, c’est aux applications préinstallées sur l’iPhone, mais aussi à celles d’Android, que le réseau social s’attaque.

Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Les hostilités se poursuivent entre Facebook et Apple. Et cette fois-ci, c’est aux applications préinstallées sur l’iPhone, mais aussi à celles d’Android, que le réseau social s’attaque.

Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Les hostilités se poursuivent entre Facebook et Apple. Et cette fois-ci, c’est aux applications préinstallées sur l’iPhone, mais aussi à celles d’Android, que le réseau social s’attaque.

Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Les hostilités se poursuivent entre Facebook et Apple. Et cette fois-ci, c’est aux applications préinstallées sur l’iPhone, mais aussi à celles d’Android, que le réseau social s’attaque.

Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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Plus précisément, Facebook a commandé une étude de Comscore sur la popularité des applications sur iOS et Android. Généralement, ce type d’étude ne tient compte que des applications téléchargées par les utilisateurs. Mais celle commandée par Facebook tient aussi compte des apps préinstallées. Et le but est clair : mettre en avant la domination de Google et d’Apple.

Lorsqu’on tient compte des applications préinstallées, on a un Top 20 très différent de celui auquel on est habitué

Le site The Verge, qui a pu accéder aux résultats de cette étude, indique que Comscore a combiné des données provenant des apps et des sites web. Et pour les applications préinstallées, il se serait basé sur un sondage réalisé auprès de 4 000 personnes afin de demander quelles sont les apps qu’elles ont utilisé au mois de novembre.

Cette étude montre que dans le Top 20 des applications sur iOS (aux États-Unis), 75 % des apps étaient des applications d’Apple comme son application météo, sa messagerie (qui est en concurrence directe avec Facebook Messenger) ou encore son application pour les notes. Sur Android, 60 % des applications du Top 20 étaient des applications de Google. On notera également que sur iOS, Facebook a deux apps sur le Top 20 tandis que sur Android, il en a trois.

Cité par The Verge, un représentant de Facebook a indiqué que l’entreprise a commandé cette étude de Comescore afin de mettre en avant « l’impact des applications préinstallées sur l’écosystème concurrentiel des applications. »

Apple a déjà réagi, indiquant que cette étude de décembre commandée par Facebook est a été conçue pour donner la fausse impression qu’il y a peu de concurrence sur l’App Store. « En vérité, les applications tierces rivalisent avec les applications d’Apple dans toutes les catégories et connaissent un succès à grande échelle », a indiqué la firme de Cupertino.

Apple pointe aussi du doigt le fait que cette étude, qu’il estime « gravement défectueuse à plusieurs égards », montre des données contraires à ce qui est ressorti d’une autre étude de Comscore au mois d’avril. Néanmoins, il est à noter que contrairement à l’étude commandée par Facebook, celle évoquée par Apple et datant d’avril ne tient pas compte des apps préinstallées sur iOS et sur Android.

En tout cas, le timing de la parution des résultats de cette étude sur le site The Verge n’est pas anodin. Alors qu’en Europe, Apple est dans le viseur des autorités, aux États-Unis, un projet de loi est à l’étude afin de limiter le pouvoir des grands acteurs de la tech. Cela a d’ailleurs conduit le patron d’Apple, Tim Cook, à appeler des membres du Congrès.

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