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Home » Désinformation : l’impact des messageries instantanées se confirme

Désinformation : l’impact des messageries instantanées se confirme

Rédacteur Digital RoundUp Par Rédacteur Digital RoundUp
14/10/2021
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Lorsqu’il est question de désinformation en ligne, les regards se tournent souvent sur des grandes plateformes comme Facebook, Instagram, et Twitter. Il est vrai qu’elles sont souvent touchées par des tentatives de manipulation en tout genre.

On parle en revanche un peu moins des grands services de messageries instantanées comme WhatsApp, Line, Telegram, ou Signal. La messagerie de Facebook a notamment été mise en cause au Brésil, où elle aurait pu jouer un rôle dans l’élection du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, ou encore dans celle Narendra Modi en Inde.

WhatsApp et Line ont réagi à cette menace

Cette idée est confirmée par une récente étude menée au Canada auprès de 2500 personnes. Il en ressort tout d’abord que huit personnes sur dix utilisent ces messageries en ligne à l’image de Messenger, WhatsApp et Snapchat. Plus de la moitié d’entre elles indiquent justement recevoir des messages en lien avec l’actualité au moins une fois par semaine.

Dans le détail, 46 % des utilisateurs expliquent réceptionnent des messages privés qu’ils soupçonnent d’être faux au moins une fois par mois. De même, ils sont 39 % à recevoir des informations qu’ils pensent vraies, mais qui s’avèrent être fausses. Enfin, 26 % subissent des messages contenant des propos haineux au moins une fois par mois.

Le phénomène est d’autant plus préoccupant que l’impact de ces messages est très fort. Ils émanent souvent de proches en qui les internautes ont confiance, ce qui démultiplie leur effet.

Face à ces menaces concrètes, l’organisation canadienne Cybersecurity Policy Exchange suggère d’investir dans la recherche et l’innovation sur ce sujet. Il conviendrait aussi d’exiger plus de transparence de la part des grandes plateformes. Enfin, un investissement dans l’éducation au numérique est demandée pour renforcer la résilience du public à ces tentatives de manipulation.

Notons que des services comme WhatsApp ont choisi d’agir de leur côté. Ainsi, dans certains pays, la messagerie de Facebook a lancé un outil qui permet à ses utilisateurs de rechercher sur Google un contexte plus précis sur les messages transférés. De même, la possibilité de partager ces derniers en grand nombre a été considérablement réduite.

À Taïwan, Line a quant à elle mis en place un système de vérification des faits. Ainsi, les utilisateurs peuvent signaler un contenu qui leur semble douteux. L’app leur répond dans la foulée en attribuant une note de véracité à l’information. Un symbole X indique que l’information est fausse, un triangle orange invite à la prudence, tandis qu’une coche verte confirme qu’elle est vraie.

Lorsqu’il est question de désinformation en ligne, les regards se tournent souvent sur des grandes plateformes comme Facebook, Instagram, et Twitter. Il est vrai qu’elles sont souvent touchées par des tentatives de manipulation en tout genre.

On parle en revanche un peu moins des grands services de messageries instantanées comme WhatsApp, Line, Telegram, ou Signal. La messagerie de Facebook a notamment été mise en cause au Brésil, où elle aurait pu jouer un rôle dans l’élection du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, ou encore dans celle Narendra Modi en Inde.

WhatsApp et Line ont réagi à cette menace

Cette idée est confirmée par une récente étude menée au Canada auprès de 2500 personnes. Il en ressort tout d’abord que huit personnes sur dix utilisent ces messageries en ligne à l’image de Messenger, WhatsApp et Snapchat. Plus de la moitié d’entre elles indiquent justement recevoir des messages en lien avec l’actualité au moins une fois par semaine.

Dans le détail, 46 % des utilisateurs expliquent réceptionnent des messages privés qu’ils soupçonnent d’être faux au moins une fois par mois. De même, ils sont 39 % à recevoir des informations qu’ils pensent vraies, mais qui s’avèrent être fausses. Enfin, 26 % subissent des messages contenant des propos haineux au moins une fois par mois.

Le phénomène est d’autant plus préoccupant que l’impact de ces messages est très fort. Ils émanent souvent de proches en qui les internautes ont confiance, ce qui démultiplie leur effet.

Face à ces menaces concrètes, l’organisation canadienne Cybersecurity Policy Exchange suggère d’investir dans la recherche et l’innovation sur ce sujet. Il conviendrait aussi d’exiger plus de transparence de la part des grandes plateformes. Enfin, un investissement dans l’éducation au numérique est demandée pour renforcer la résilience du public à ces tentatives de manipulation.

Notons que des services comme WhatsApp ont choisi d’agir de leur côté. Ainsi, dans certains pays, la messagerie de Facebook a lancé un outil qui permet à ses utilisateurs de rechercher sur Google un contexte plus précis sur les messages transférés. De même, la possibilité de partager ces derniers en grand nombre a été considérablement réduite.

À Taïwan, Line a quant à elle mis en place un système de vérification des faits. Ainsi, les utilisateurs peuvent signaler un contenu qui leur semble douteux. L’app leur répond dans la foulée en attribuant une note de véracité à l’information. Un symbole X indique que l’information est fausse, un triangle orange invite à la prudence, tandis qu’une coche verte confirme qu’elle est vraie.

Lorsqu’il est question de désinformation en ligne, les regards se tournent souvent sur des grandes plateformes comme Facebook, Instagram, et Twitter. Il est vrai qu’elles sont souvent touchées par des tentatives de manipulation en tout genre.

On parle en revanche un peu moins des grands services de messageries instantanées comme WhatsApp, Line, Telegram, ou Signal. La messagerie de Facebook a notamment été mise en cause au Brésil, où elle aurait pu jouer un rôle dans l’élection du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, ou encore dans celle Narendra Modi en Inde.

WhatsApp et Line ont réagi à cette menace

Cette idée est confirmée par une récente étude menée au Canada auprès de 2500 personnes. Il en ressort tout d’abord que huit personnes sur dix utilisent ces messageries en ligne à l’image de Messenger, WhatsApp et Snapchat. Plus de la moitié d’entre elles indiquent justement recevoir des messages en lien avec l’actualité au moins une fois par semaine.

Dans le détail, 46 % des utilisateurs expliquent réceptionnent des messages privés qu’ils soupçonnent d’être faux au moins une fois par mois. De même, ils sont 39 % à recevoir des informations qu’ils pensent vraies, mais qui s’avèrent être fausses. Enfin, 26 % subissent des messages contenant des propos haineux au moins une fois par mois.

Le phénomène est d’autant plus préoccupant que l’impact de ces messages est très fort. Ils émanent souvent de proches en qui les internautes ont confiance, ce qui démultiplie leur effet.

Face à ces menaces concrètes, l’organisation canadienne Cybersecurity Policy Exchange suggère d’investir dans la recherche et l’innovation sur ce sujet. Il conviendrait aussi d’exiger plus de transparence de la part des grandes plateformes. Enfin, un investissement dans l’éducation au numérique est demandée pour renforcer la résilience du public à ces tentatives de manipulation.

Notons que des services comme WhatsApp ont choisi d’agir de leur côté. Ainsi, dans certains pays, la messagerie de Facebook a lancé un outil qui permet à ses utilisateurs de rechercher sur Google un contexte plus précis sur les messages transférés. De même, la possibilité de partager ces derniers en grand nombre a été considérablement réduite.

À Taïwan, Line a quant à elle mis en place un système de vérification des faits. Ainsi, les utilisateurs peuvent signaler un contenu qui leur semble douteux. L’app leur répond dans la foulée en attribuant une note de véracité à l’information. Un symbole X indique que l’information est fausse, un triangle orange invite à la prudence, tandis qu’une coche verte confirme qu’elle est vraie.

Lorsqu’il est question de désinformation en ligne, les regards se tournent souvent sur des grandes plateformes comme Facebook, Instagram, et Twitter. Il est vrai qu’elles sont souvent touchées par des tentatives de manipulation en tout genre.

On parle en revanche un peu moins des grands services de messageries instantanées comme WhatsApp, Line, Telegram, ou Signal. La messagerie de Facebook a notamment été mise en cause au Brésil, où elle aurait pu jouer un rôle dans l’élection du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, ou encore dans celle Narendra Modi en Inde.

WhatsApp et Line ont réagi à cette menace

Cette idée est confirmée par une récente étude menée au Canada auprès de 2500 personnes. Il en ressort tout d’abord que huit personnes sur dix utilisent ces messageries en ligne à l’image de Messenger, WhatsApp et Snapchat. Plus de la moitié d’entre elles indiquent justement recevoir des messages en lien avec l’actualité au moins une fois par semaine.

Dans le détail, 46 % des utilisateurs expliquent réceptionnent des messages privés qu’ils soupçonnent d’être faux au moins une fois par mois. De même, ils sont 39 % à recevoir des informations qu’ils pensent vraies, mais qui s’avèrent être fausses. Enfin, 26 % subissent des messages contenant des propos haineux au moins une fois par mois.

Le phénomène est d’autant plus préoccupant que l’impact de ces messages est très fort. Ils émanent souvent de proches en qui les internautes ont confiance, ce qui démultiplie leur effet.

Face à ces menaces concrètes, l’organisation canadienne Cybersecurity Policy Exchange suggère d’investir dans la recherche et l’innovation sur ce sujet. Il conviendrait aussi d’exiger plus de transparence de la part des grandes plateformes. Enfin, un investissement dans l’éducation au numérique est demandée pour renforcer la résilience du public à ces tentatives de manipulation.

Notons que des services comme WhatsApp ont choisi d’agir de leur côté. Ainsi, dans certains pays, la messagerie de Facebook a lancé un outil qui permet à ses utilisateurs de rechercher sur Google un contexte plus précis sur les messages transférés. De même, la possibilité de partager ces derniers en grand nombre a été considérablement réduite.

À Taïwan, Line a quant à elle mis en place un système de vérification des faits. Ainsi, les utilisateurs peuvent signaler un contenu qui leur semble douteux. L’app leur répond dans la foulée en attribuant une note de véracité à l’information. Un symbole X indique que l’information est fausse, un triangle orange invite à la prudence, tandis qu’une coche verte confirme qu’elle est vraie.

Lorsqu’il est question de désinformation en ligne, les regards se tournent souvent sur des grandes plateformes comme Facebook, Instagram, et Twitter. Il est vrai qu’elles sont souvent touchées par des tentatives de manipulation en tout genre.

On parle en revanche un peu moins des grands services de messageries instantanées comme WhatsApp, Line, Telegram, ou Signal. La messagerie de Facebook a notamment été mise en cause au Brésil, où elle aurait pu jouer un rôle dans l’élection du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, ou encore dans celle Narendra Modi en Inde.

WhatsApp et Line ont réagi à cette menace

Cette idée est confirmée par une récente étude menée au Canada auprès de 2500 personnes. Il en ressort tout d’abord que huit personnes sur dix utilisent ces messageries en ligne à l’image de Messenger, WhatsApp et Snapchat. Plus de la moitié d’entre elles indiquent justement recevoir des messages en lien avec l’actualité au moins une fois par semaine.

Dans le détail, 46 % des utilisateurs expliquent réceptionnent des messages privés qu’ils soupçonnent d’être faux au moins une fois par mois. De même, ils sont 39 % à recevoir des informations qu’ils pensent vraies, mais qui s’avèrent être fausses. Enfin, 26 % subissent des messages contenant des propos haineux au moins une fois par mois.

Le phénomène est d’autant plus préoccupant que l’impact de ces messages est très fort. Ils émanent souvent de proches en qui les internautes ont confiance, ce qui démultiplie leur effet.

Face à ces menaces concrètes, l’organisation canadienne Cybersecurity Policy Exchange suggère d’investir dans la recherche et l’innovation sur ce sujet. Il conviendrait aussi d’exiger plus de transparence de la part des grandes plateformes. Enfin, un investissement dans l’éducation au numérique est demandée pour renforcer la résilience du public à ces tentatives de manipulation.

Notons que des services comme WhatsApp ont choisi d’agir de leur côté. Ainsi, dans certains pays, la messagerie de Facebook a lancé un outil qui permet à ses utilisateurs de rechercher sur Google un contexte plus précis sur les messages transférés. De même, la possibilité de partager ces derniers en grand nombre a été considérablement réduite.

À Taïwan, Line a quant à elle mis en place un système de vérification des faits. Ainsi, les utilisateurs peuvent signaler un contenu qui leur semble douteux. L’app leur répond dans la foulée en attribuant une note de véracité à l’information. Un symbole X indique que l’information est fausse, un triangle orange invite à la prudence, tandis qu’une coche verte confirme qu’elle est vraie.

Lorsqu’il est question de désinformation en ligne, les regards se tournent souvent sur des grandes plateformes comme Facebook, Instagram, et Twitter. Il est vrai qu’elles sont souvent touchées par des tentatives de manipulation en tout genre.

On parle en revanche un peu moins des grands services de messageries instantanées comme WhatsApp, Line, Telegram, ou Signal. La messagerie de Facebook a notamment été mise en cause au Brésil, où elle aurait pu jouer un rôle dans l’élection du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, ou encore dans celle Narendra Modi en Inde.

WhatsApp et Line ont réagi à cette menace

Cette idée est confirmée par une récente étude menée au Canada auprès de 2500 personnes. Il en ressort tout d’abord que huit personnes sur dix utilisent ces messageries en ligne à l’image de Messenger, WhatsApp et Snapchat. Plus de la moitié d’entre elles indiquent justement recevoir des messages en lien avec l’actualité au moins une fois par semaine.

Dans le détail, 46 % des utilisateurs expliquent réceptionnent des messages privés qu’ils soupçonnent d’être faux au moins une fois par mois. De même, ils sont 39 % à recevoir des informations qu’ils pensent vraies, mais qui s’avèrent être fausses. Enfin, 26 % subissent des messages contenant des propos haineux au moins une fois par mois.

Le phénomène est d’autant plus préoccupant que l’impact de ces messages est très fort. Ils émanent souvent de proches en qui les internautes ont confiance, ce qui démultiplie leur effet.

Face à ces menaces concrètes, l’organisation canadienne Cybersecurity Policy Exchange suggère d’investir dans la recherche et l’innovation sur ce sujet. Il conviendrait aussi d’exiger plus de transparence de la part des grandes plateformes. Enfin, un investissement dans l’éducation au numérique est demandée pour renforcer la résilience du public à ces tentatives de manipulation.

Notons que des services comme WhatsApp ont choisi d’agir de leur côté. Ainsi, dans certains pays, la messagerie de Facebook a lancé un outil qui permet à ses utilisateurs de rechercher sur Google un contexte plus précis sur les messages transférés. De même, la possibilité de partager ces derniers en grand nombre a été considérablement réduite.

À Taïwan, Line a quant à elle mis en place un système de vérification des faits. Ainsi, les utilisateurs peuvent signaler un contenu qui leur semble douteux. L’app leur répond dans la foulée en attribuant une note de véracité à l’information. Un symbole X indique que l’information est fausse, un triangle orange invite à la prudence, tandis qu’une coche verte confirme qu’elle est vraie.

Lorsqu’il est question de désinformation en ligne, les regards se tournent souvent sur des grandes plateformes comme Facebook, Instagram, et Twitter. Il est vrai qu’elles sont souvent touchées par des tentatives de manipulation en tout genre.

On parle en revanche un peu moins des grands services de messageries instantanées comme WhatsApp, Line, Telegram, ou Signal. La messagerie de Facebook a notamment été mise en cause au Brésil, où elle aurait pu jouer un rôle dans l’élection du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, ou encore dans celle Narendra Modi en Inde.

WhatsApp et Line ont réagi à cette menace

Cette idée est confirmée par une récente étude menée au Canada auprès de 2500 personnes. Il en ressort tout d’abord que huit personnes sur dix utilisent ces messageries en ligne à l’image de Messenger, WhatsApp et Snapchat. Plus de la moitié d’entre elles indiquent justement recevoir des messages en lien avec l’actualité au moins une fois par semaine.

Dans le détail, 46 % des utilisateurs expliquent réceptionnent des messages privés qu’ils soupçonnent d’être faux au moins une fois par mois. De même, ils sont 39 % à recevoir des informations qu’ils pensent vraies, mais qui s’avèrent être fausses. Enfin, 26 % subissent des messages contenant des propos haineux au moins une fois par mois.

Le phénomène est d’autant plus préoccupant que l’impact de ces messages est très fort. Ils émanent souvent de proches en qui les internautes ont confiance, ce qui démultiplie leur effet.

Face à ces menaces concrètes, l’organisation canadienne Cybersecurity Policy Exchange suggère d’investir dans la recherche et l’innovation sur ce sujet. Il conviendrait aussi d’exiger plus de transparence de la part des grandes plateformes. Enfin, un investissement dans l’éducation au numérique est demandée pour renforcer la résilience du public à ces tentatives de manipulation.

Notons que des services comme WhatsApp ont choisi d’agir de leur côté. Ainsi, dans certains pays, la messagerie de Facebook a lancé un outil qui permet à ses utilisateurs de rechercher sur Google un contexte plus précis sur les messages transférés. De même, la possibilité de partager ces derniers en grand nombre a été considérablement réduite.

À Taïwan, Line a quant à elle mis en place un système de vérification des faits. Ainsi, les utilisateurs peuvent signaler un contenu qui leur semble douteux. L’app leur répond dans la foulée en attribuant une note de véracité à l’information. Un symbole X indique que l’information est fausse, un triangle orange invite à la prudence, tandis qu’une coche verte confirme qu’elle est vraie.

Lorsqu’il est question de désinformation en ligne, les regards se tournent souvent sur des grandes plateformes comme Facebook, Instagram, et Twitter. Il est vrai qu’elles sont souvent touchées par des tentatives de manipulation en tout genre.

On parle en revanche un peu moins des grands services de messageries instantanées comme WhatsApp, Line, Telegram, ou Signal. La messagerie de Facebook a notamment été mise en cause au Brésil, où elle aurait pu jouer un rôle dans l’élection du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, ou encore dans celle Narendra Modi en Inde.

WhatsApp et Line ont réagi à cette menace

Cette idée est confirmée par une récente étude menée au Canada auprès de 2500 personnes. Il en ressort tout d’abord que huit personnes sur dix utilisent ces messageries en ligne à l’image de Messenger, WhatsApp et Snapchat. Plus de la moitié d’entre elles indiquent justement recevoir des messages en lien avec l’actualité au moins une fois par semaine.

Dans le détail, 46 % des utilisateurs expliquent réceptionnent des messages privés qu’ils soupçonnent d’être faux au moins une fois par mois. De même, ils sont 39 % à recevoir des informations qu’ils pensent vraies, mais qui s’avèrent être fausses. Enfin, 26 % subissent des messages contenant des propos haineux au moins une fois par mois.

Le phénomène est d’autant plus préoccupant que l’impact de ces messages est très fort. Ils émanent souvent de proches en qui les internautes ont confiance, ce qui démultiplie leur effet.

Face à ces menaces concrètes, l’organisation canadienne Cybersecurity Policy Exchange suggère d’investir dans la recherche et l’innovation sur ce sujet. Il conviendrait aussi d’exiger plus de transparence de la part des grandes plateformes. Enfin, un investissement dans l’éducation au numérique est demandée pour renforcer la résilience du public à ces tentatives de manipulation.

Notons que des services comme WhatsApp ont choisi d’agir de leur côté. Ainsi, dans certains pays, la messagerie de Facebook a lancé un outil qui permet à ses utilisateurs de rechercher sur Google un contexte plus précis sur les messages transférés. De même, la possibilité de partager ces derniers en grand nombre a été considérablement réduite.

À Taïwan, Line a quant à elle mis en place un système de vérification des faits. Ainsi, les utilisateurs peuvent signaler un contenu qui leur semble douteux. L’app leur répond dans la foulée en attribuant une note de véracité à l’information. Un symbole X indique que l’information est fausse, un triangle orange invite à la prudence, tandis qu’une coche verte confirme qu’elle est vraie.

Lorsqu’il est question de désinformation en ligne, les regards se tournent souvent sur des grandes plateformes comme Facebook, Instagram, et Twitter. Il est vrai qu’elles sont souvent touchées par des tentatives de manipulation en tout genre.

On parle en revanche un peu moins des grands services de messageries instantanées comme WhatsApp, Line, Telegram, ou Signal. La messagerie de Facebook a notamment été mise en cause au Brésil, où elle aurait pu jouer un rôle dans l’élection du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, ou encore dans celle Narendra Modi en Inde.

WhatsApp et Line ont réagi à cette menace

Cette idée est confirmée par une récente étude menée au Canada auprès de 2500 personnes. Il en ressort tout d’abord que huit personnes sur dix utilisent ces messageries en ligne à l’image de Messenger, WhatsApp et Snapchat. Plus de la moitié d’entre elles indiquent justement recevoir des messages en lien avec l’actualité au moins une fois par semaine.

Dans le détail, 46 % des utilisateurs expliquent réceptionnent des messages privés qu’ils soupçonnent d’être faux au moins une fois par mois. De même, ils sont 39 % à recevoir des informations qu’ils pensent vraies, mais qui s’avèrent être fausses. Enfin, 26 % subissent des messages contenant des propos haineux au moins une fois par mois.

Le phénomène est d’autant plus préoccupant que l’impact de ces messages est très fort. Ils émanent souvent de proches en qui les internautes ont confiance, ce qui démultiplie leur effet.

Face à ces menaces concrètes, l’organisation canadienne Cybersecurity Policy Exchange suggère d’investir dans la recherche et l’innovation sur ce sujet. Il conviendrait aussi d’exiger plus de transparence de la part des grandes plateformes. Enfin, un investissement dans l’éducation au numérique est demandée pour renforcer la résilience du public à ces tentatives de manipulation.

Notons que des services comme WhatsApp ont choisi d’agir de leur côté. Ainsi, dans certains pays, la messagerie de Facebook a lancé un outil qui permet à ses utilisateurs de rechercher sur Google un contexte plus précis sur les messages transférés. De même, la possibilité de partager ces derniers en grand nombre a été considérablement réduite.

À Taïwan, Line a quant à elle mis en place un système de vérification des faits. Ainsi, les utilisateurs peuvent signaler un contenu qui leur semble douteux. L’app leur répond dans la foulée en attribuant une note de véracité à l’information. Un symbole X indique que l’information est fausse, un triangle orange invite à la prudence, tandis qu’une coche verte confirme qu’elle est vraie.

Lorsqu’il est question de désinformation en ligne, les regards se tournent souvent sur des grandes plateformes comme Facebook, Instagram, et Twitter. Il est vrai qu’elles sont souvent touchées par des tentatives de manipulation en tout genre.

On parle en revanche un peu moins des grands services de messageries instantanées comme WhatsApp, Line, Telegram, ou Signal. La messagerie de Facebook a notamment été mise en cause au Brésil, où elle aurait pu jouer un rôle dans l’élection du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, ou encore dans celle Narendra Modi en Inde.

WhatsApp et Line ont réagi à cette menace

Cette idée est confirmée par une récente étude menée au Canada auprès de 2500 personnes. Il en ressort tout d’abord que huit personnes sur dix utilisent ces messageries en ligne à l’image de Messenger, WhatsApp et Snapchat. Plus de la moitié d’entre elles indiquent justement recevoir des messages en lien avec l’actualité au moins une fois par semaine.

Dans le détail, 46 % des utilisateurs expliquent réceptionnent des messages privés qu’ils soupçonnent d’être faux au moins une fois par mois. De même, ils sont 39 % à recevoir des informations qu’ils pensent vraies, mais qui s’avèrent être fausses. Enfin, 26 % subissent des messages contenant des propos haineux au moins une fois par mois.

Le phénomène est d’autant plus préoccupant que l’impact de ces messages est très fort. Ils émanent souvent de proches en qui les internautes ont confiance, ce qui démultiplie leur effet.

Face à ces menaces concrètes, l’organisation canadienne Cybersecurity Policy Exchange suggère d’investir dans la recherche et l’innovation sur ce sujet. Il conviendrait aussi d’exiger plus de transparence de la part des grandes plateformes. Enfin, un investissement dans l’éducation au numérique est demandée pour renforcer la résilience du public à ces tentatives de manipulation.

Notons que des services comme WhatsApp ont choisi d’agir de leur côté. Ainsi, dans certains pays, la messagerie de Facebook a lancé un outil qui permet à ses utilisateurs de rechercher sur Google un contexte plus précis sur les messages transférés. De même, la possibilité de partager ces derniers en grand nombre a été considérablement réduite.

À Taïwan, Line a quant à elle mis en place un système de vérification des faits. Ainsi, les utilisateurs peuvent signaler un contenu qui leur semble douteux. L’app leur répond dans la foulée en attribuant une note de véracité à l’information. Un symbole X indique que l’information est fausse, un triangle orange invite à la prudence, tandis qu’une coche verte confirme qu’elle est vraie.

Lorsqu’il est question de désinformation en ligne, les regards se tournent souvent sur des grandes plateformes comme Facebook, Instagram, et Twitter. Il est vrai qu’elles sont souvent touchées par des tentatives de manipulation en tout genre.

On parle en revanche un peu moins des grands services de messageries instantanées comme WhatsApp, Line, Telegram, ou Signal. La messagerie de Facebook a notamment été mise en cause au Brésil, où elle aurait pu jouer un rôle dans l’élection du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, ou encore dans celle Narendra Modi en Inde.

WhatsApp et Line ont réagi à cette menace

Cette idée est confirmée par une récente étude menée au Canada auprès de 2500 personnes. Il en ressort tout d’abord que huit personnes sur dix utilisent ces messageries en ligne à l’image de Messenger, WhatsApp et Snapchat. Plus de la moitié d’entre elles indiquent justement recevoir des messages en lien avec l’actualité au moins une fois par semaine.

Dans le détail, 46 % des utilisateurs expliquent réceptionnent des messages privés qu’ils soupçonnent d’être faux au moins une fois par mois. De même, ils sont 39 % à recevoir des informations qu’ils pensent vraies, mais qui s’avèrent être fausses. Enfin, 26 % subissent des messages contenant des propos haineux au moins une fois par mois.

Le phénomène est d’autant plus préoccupant que l’impact de ces messages est très fort. Ils émanent souvent de proches en qui les internautes ont confiance, ce qui démultiplie leur effet.

Face à ces menaces concrètes, l’organisation canadienne Cybersecurity Policy Exchange suggère d’investir dans la recherche et l’innovation sur ce sujet. Il conviendrait aussi d’exiger plus de transparence de la part des grandes plateformes. Enfin, un investissement dans l’éducation au numérique est demandée pour renforcer la résilience du public à ces tentatives de manipulation.

Notons que des services comme WhatsApp ont choisi d’agir de leur côté. Ainsi, dans certains pays, la messagerie de Facebook a lancé un outil qui permet à ses utilisateurs de rechercher sur Google un contexte plus précis sur les messages transférés. De même, la possibilité de partager ces derniers en grand nombre a été considérablement réduite.

À Taïwan, Line a quant à elle mis en place un système de vérification des faits. Ainsi, les utilisateurs peuvent signaler un contenu qui leur semble douteux. L’app leur répond dans la foulée en attribuant une note de véracité à l’information. Un symbole X indique que l’information est fausse, un triangle orange invite à la prudence, tandis qu’une coche verte confirme qu’elle est vraie.

Lorsqu’il est question de désinformation en ligne, les regards se tournent souvent sur des grandes plateformes comme Facebook, Instagram, et Twitter. Il est vrai qu’elles sont souvent touchées par des tentatives de manipulation en tout genre.

On parle en revanche un peu moins des grands services de messageries instantanées comme WhatsApp, Line, Telegram, ou Signal. La messagerie de Facebook a notamment été mise en cause au Brésil, où elle aurait pu jouer un rôle dans l’élection du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, ou encore dans celle Narendra Modi en Inde.

WhatsApp et Line ont réagi à cette menace

Cette idée est confirmée par une récente étude menée au Canada auprès de 2500 personnes. Il en ressort tout d’abord que huit personnes sur dix utilisent ces messageries en ligne à l’image de Messenger, WhatsApp et Snapchat. Plus de la moitié d’entre elles indiquent justement recevoir des messages en lien avec l’actualité au moins une fois par semaine.

Dans le détail, 46 % des utilisateurs expliquent réceptionnent des messages privés qu’ils soupçonnent d’être faux au moins une fois par mois. De même, ils sont 39 % à recevoir des informations qu’ils pensent vraies, mais qui s’avèrent être fausses. Enfin, 26 % subissent des messages contenant des propos haineux au moins une fois par mois.

Le phénomène est d’autant plus préoccupant que l’impact de ces messages est très fort. Ils émanent souvent de proches en qui les internautes ont confiance, ce qui démultiplie leur effet.

Face à ces menaces concrètes, l’organisation canadienne Cybersecurity Policy Exchange suggère d’investir dans la recherche et l’innovation sur ce sujet. Il conviendrait aussi d’exiger plus de transparence de la part des grandes plateformes. Enfin, un investissement dans l’éducation au numérique est demandée pour renforcer la résilience du public à ces tentatives de manipulation.

Notons que des services comme WhatsApp ont choisi d’agir de leur côté. Ainsi, dans certains pays, la messagerie de Facebook a lancé un outil qui permet à ses utilisateurs de rechercher sur Google un contexte plus précis sur les messages transférés. De même, la possibilité de partager ces derniers en grand nombre a été considérablement réduite.

À Taïwan, Line a quant à elle mis en place un système de vérification des faits. Ainsi, les utilisateurs peuvent signaler un contenu qui leur semble douteux. L’app leur répond dans la foulée en attribuant une note de véracité à l’information. Un symbole X indique que l’information est fausse, un triangle orange invite à la prudence, tandis qu’une coche verte confirme qu’elle est vraie.

Lorsqu’il est question de désinformation en ligne, les regards se tournent souvent sur des grandes plateformes comme Facebook, Instagram, et Twitter. Il est vrai qu’elles sont souvent touchées par des tentatives de manipulation en tout genre.

On parle en revanche un peu moins des grands services de messageries instantanées comme WhatsApp, Line, Telegram, ou Signal. La messagerie de Facebook a notamment été mise en cause au Brésil, où elle aurait pu jouer un rôle dans l’élection du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, ou encore dans celle Narendra Modi en Inde.

WhatsApp et Line ont réagi à cette menace

Cette idée est confirmée par une récente étude menée au Canada auprès de 2500 personnes. Il en ressort tout d’abord que huit personnes sur dix utilisent ces messageries en ligne à l’image de Messenger, WhatsApp et Snapchat. Plus de la moitié d’entre elles indiquent justement recevoir des messages en lien avec l’actualité au moins une fois par semaine.

Dans le détail, 46 % des utilisateurs expliquent réceptionnent des messages privés qu’ils soupçonnent d’être faux au moins une fois par mois. De même, ils sont 39 % à recevoir des informations qu’ils pensent vraies, mais qui s’avèrent être fausses. Enfin, 26 % subissent des messages contenant des propos haineux au moins une fois par mois.

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Face à ces menaces concrètes, l’organisation canadienne Cybersecurity Policy Exchange suggère d’investir dans la recherche et l’innovation sur ce sujet. Il conviendrait aussi d’exiger plus de transparence de la part des grandes plateformes. Enfin, un investissement dans l’éducation au numérique est demandée pour renforcer la résilience du public à ces tentatives de manipulation.

Notons que des services comme WhatsApp ont choisi d’agir de leur côté. Ainsi, dans certains pays, la messagerie de Facebook a lancé un outil qui permet à ses utilisateurs de rechercher sur Google un contexte plus précis sur les messages transférés. De même, la possibilité de partager ces derniers en grand nombre a été considérablement réduite.

À Taïwan, Line a quant à elle mis en place un système de vérification des faits. Ainsi, les utilisateurs peuvent signaler un contenu qui leur semble douteux. L’app leur répond dans la foulée en attribuant une note de véracité à l’information. Un symbole X indique que l’information est fausse, un triangle orange invite à la prudence, tandis qu’une coche verte confirme qu’elle est vraie.

Lorsqu’il est question de désinformation en ligne, les regards se tournent souvent sur des grandes plateformes comme Facebook, Instagram, et Twitter. Il est vrai qu’elles sont souvent touchées par des tentatives de manipulation en tout genre.

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Dans le détail, 46 % des utilisateurs expliquent réceptionnent des messages privés qu’ils soupçonnent d’être faux au moins une fois par mois. De même, ils sont 39 % à recevoir des informations qu’ils pensent vraies, mais qui s’avèrent être fausses. Enfin, 26 % subissent des messages contenant des propos haineux au moins une fois par mois.

Le phénomène est d’autant plus préoccupant que l’impact de ces messages est très fort. Ils émanent souvent de proches en qui les internautes ont confiance, ce qui démultiplie leur effet.

Face à ces menaces concrètes, l’organisation canadienne Cybersecurity Policy Exchange suggère d’investir dans la recherche et l’innovation sur ce sujet. Il conviendrait aussi d’exiger plus de transparence de la part des grandes plateformes. Enfin, un investissement dans l’éducation au numérique est demandée pour renforcer la résilience du public à ces tentatives de manipulation.

Notons que des services comme WhatsApp ont choisi d’agir de leur côté. Ainsi, dans certains pays, la messagerie de Facebook a lancé un outil qui permet à ses utilisateurs de rechercher sur Google un contexte plus précis sur les messages transférés. De même, la possibilité de partager ces derniers en grand nombre a été considérablement réduite.

À Taïwan, Line a quant à elle mis en place un système de vérification des faits. Ainsi, les utilisateurs peuvent signaler un contenu qui leur semble douteux. L’app leur répond dans la foulée en attribuant une note de véracité à l’information. Un symbole X indique que l’information est fausse, un triangle orange invite à la prudence, tandis qu’une coche verte confirme qu’elle est vraie.

Lorsqu’il est question de désinformation en ligne, les regards se tournent souvent sur des grandes plateformes comme Facebook, Instagram, et Twitter. Il est vrai qu’elles sont souvent touchées par des tentatives de manipulation en tout genre.

On parle en revanche un peu moins des grands services de messageries instantanées comme WhatsApp, Line, Telegram, ou Signal. La messagerie de Facebook a notamment été mise en cause au Brésil, où elle aurait pu jouer un rôle dans l’élection du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, ou encore dans celle Narendra Modi en Inde.

WhatsApp et Line ont réagi à cette menace

Cette idée est confirmée par une récente étude menée au Canada auprès de 2500 personnes. Il en ressort tout d’abord que huit personnes sur dix utilisent ces messageries en ligne à l’image de Messenger, WhatsApp et Snapchat. Plus de la moitié d’entre elles indiquent justement recevoir des messages en lien avec l’actualité au moins une fois par semaine.

Dans le détail, 46 % des utilisateurs expliquent réceptionnent des messages privés qu’ils soupçonnent d’être faux au moins une fois par mois. De même, ils sont 39 % à recevoir des informations qu’ils pensent vraies, mais qui s’avèrent être fausses. Enfin, 26 % subissent des messages contenant des propos haineux au moins une fois par mois.

Le phénomène est d’autant plus préoccupant que l’impact de ces messages est très fort. Ils émanent souvent de proches en qui les internautes ont confiance, ce qui démultiplie leur effet.

Face à ces menaces concrètes, l’organisation canadienne Cybersecurity Policy Exchange suggère d’investir dans la recherche et l’innovation sur ce sujet. Il conviendrait aussi d’exiger plus de transparence de la part des grandes plateformes. Enfin, un investissement dans l’éducation au numérique est demandée pour renforcer la résilience du public à ces tentatives de manipulation.

Notons que des services comme WhatsApp ont choisi d’agir de leur côté. Ainsi, dans certains pays, la messagerie de Facebook a lancé un outil qui permet à ses utilisateurs de rechercher sur Google un contexte plus précis sur les messages transférés. De même, la possibilité de partager ces derniers en grand nombre a été considérablement réduite.

À Taïwan, Line a quant à elle mis en place un système de vérification des faits. Ainsi, les utilisateurs peuvent signaler un contenu qui leur semble douteux. L’app leur répond dans la foulée en attribuant une note de véracité à l’information. Un symbole X indique que l’information est fausse, un triangle orange invite à la prudence, tandis qu’une coche verte confirme qu’elle est vraie.

Lorsqu’il est question de désinformation en ligne, les regards se tournent souvent sur des grandes plateformes comme Facebook, Instagram, et Twitter. Il est vrai qu’elles sont souvent touchées par des tentatives de manipulation en tout genre.

On parle en revanche un peu moins des grands services de messageries instantanées comme WhatsApp, Line, Telegram, ou Signal. La messagerie de Facebook a notamment été mise en cause au Brésil, où elle aurait pu jouer un rôle dans l’élection du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, ou encore dans celle Narendra Modi en Inde.

WhatsApp et Line ont réagi à cette menace

Cette idée est confirmée par une récente étude menée au Canada auprès de 2500 personnes. Il en ressort tout d’abord que huit personnes sur dix utilisent ces messageries en ligne à l’image de Messenger, WhatsApp et Snapchat. Plus de la moitié d’entre elles indiquent justement recevoir des messages en lien avec l’actualité au moins une fois par semaine.

Dans le détail, 46 % des utilisateurs expliquent réceptionnent des messages privés qu’ils soupçonnent d’être faux au moins une fois par mois. De même, ils sont 39 % à recevoir des informations qu’ils pensent vraies, mais qui s’avèrent être fausses. Enfin, 26 % subissent des messages contenant des propos haineux au moins une fois par mois.

Le phénomène est d’autant plus préoccupant que l’impact de ces messages est très fort. Ils émanent souvent de proches en qui les internautes ont confiance, ce qui démultiplie leur effet.

Face à ces menaces concrètes, l’organisation canadienne Cybersecurity Policy Exchange suggère d’investir dans la recherche et l’innovation sur ce sujet. Il conviendrait aussi d’exiger plus de transparence de la part des grandes plateformes. Enfin, un investissement dans l’éducation au numérique est demandée pour renforcer la résilience du public à ces tentatives de manipulation.

Notons que des services comme WhatsApp ont choisi d’agir de leur côté. Ainsi, dans certains pays, la messagerie de Facebook a lancé un outil qui permet à ses utilisateurs de rechercher sur Google un contexte plus précis sur les messages transférés. De même, la possibilité de partager ces derniers en grand nombre a été considérablement réduite.

À Taïwan, Line a quant à elle mis en place un système de vérification des faits. Ainsi, les utilisateurs peuvent signaler un contenu qui leur semble douteux. L’app leur répond dans la foulée en attribuant une note de véracité à l’information. Un symbole X indique que l’information est fausse, un triangle orange invite à la prudence, tandis qu’une coche verte confirme qu’elle est vraie.

Lorsqu’il est question de désinformation en ligne, les regards se tournent souvent sur des grandes plateformes comme Facebook, Instagram, et Twitter. Il est vrai qu’elles sont souvent touchées par des tentatives de manipulation en tout genre.

On parle en revanche un peu moins des grands services de messageries instantanées comme WhatsApp, Line, Telegram, ou Signal. La messagerie de Facebook a notamment été mise en cause au Brésil, où elle aurait pu jouer un rôle dans l’élection du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, ou encore dans celle Narendra Modi en Inde.

WhatsApp et Line ont réagi à cette menace

Cette idée est confirmée par une récente étude menée au Canada auprès de 2500 personnes. Il en ressort tout d’abord que huit personnes sur dix utilisent ces messageries en ligne à l’image de Messenger, WhatsApp et Snapchat. Plus de la moitié d’entre elles indiquent justement recevoir des messages en lien avec l’actualité au moins une fois par semaine.

Dans le détail, 46 % des utilisateurs expliquent réceptionnent des messages privés qu’ils soupçonnent d’être faux au moins une fois par mois. De même, ils sont 39 % à recevoir des informations qu’ils pensent vraies, mais qui s’avèrent être fausses. Enfin, 26 % subissent des messages contenant des propos haineux au moins une fois par mois.

Le phénomène est d’autant plus préoccupant que l’impact de ces messages est très fort. Ils émanent souvent de proches en qui les internautes ont confiance, ce qui démultiplie leur effet.

Face à ces menaces concrètes, l’organisation canadienne Cybersecurity Policy Exchange suggère d’investir dans la recherche et l’innovation sur ce sujet. Il conviendrait aussi d’exiger plus de transparence de la part des grandes plateformes. Enfin, un investissement dans l’éducation au numérique est demandée pour renforcer la résilience du public à ces tentatives de manipulation.

Notons que des services comme WhatsApp ont choisi d’agir de leur côté. Ainsi, dans certains pays, la messagerie de Facebook a lancé un outil qui permet à ses utilisateurs de rechercher sur Google un contexte plus précis sur les messages transférés. De même, la possibilité de partager ces derniers en grand nombre a été considérablement réduite.

À Taïwan, Line a quant à elle mis en place un système de vérification des faits. Ainsi, les utilisateurs peuvent signaler un contenu qui leur semble douteux. L’app leur répond dans la foulée en attribuant une note de véracité à l’information. Un symbole X indique que l’information est fausse, un triangle orange invite à la prudence, tandis qu’une coche verte confirme qu’elle est vraie.

Lorsqu’il est question de désinformation en ligne, les regards se tournent souvent sur des grandes plateformes comme Facebook, Instagram, et Twitter. Il est vrai qu’elles sont souvent touchées par des tentatives de manipulation en tout genre.

On parle en revanche un peu moins des grands services de messageries instantanées comme WhatsApp, Line, Telegram, ou Signal. La messagerie de Facebook a notamment été mise en cause au Brésil, où elle aurait pu jouer un rôle dans l’élection du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, ou encore dans celle Narendra Modi en Inde.

WhatsApp et Line ont réagi à cette menace

Cette idée est confirmée par une récente étude menée au Canada auprès de 2500 personnes. Il en ressort tout d’abord que huit personnes sur dix utilisent ces messageries en ligne à l’image de Messenger, WhatsApp et Snapchat. Plus de la moitié d’entre elles indiquent justement recevoir des messages en lien avec l’actualité au moins une fois par semaine.

Dans le détail, 46 % des utilisateurs expliquent réceptionnent des messages privés qu’ils soupçonnent d’être faux au moins une fois par mois. De même, ils sont 39 % à recevoir des informations qu’ils pensent vraies, mais qui s’avèrent être fausses. Enfin, 26 % subissent des messages contenant des propos haineux au moins une fois par mois.

Le phénomène est d’autant plus préoccupant que l’impact de ces messages est très fort. Ils émanent souvent de proches en qui les internautes ont confiance, ce qui démultiplie leur effet.

Face à ces menaces concrètes, l’organisation canadienne Cybersecurity Policy Exchange suggère d’investir dans la recherche et l’innovation sur ce sujet. Il conviendrait aussi d’exiger plus de transparence de la part des grandes plateformes. Enfin, un investissement dans l’éducation au numérique est demandée pour renforcer la résilience du public à ces tentatives de manipulation.

Notons que des services comme WhatsApp ont choisi d’agir de leur côté. Ainsi, dans certains pays, la messagerie de Facebook a lancé un outil qui permet à ses utilisateurs de rechercher sur Google un contexte plus précis sur les messages transférés. De même, la possibilité de partager ces derniers en grand nombre a été considérablement réduite.

À Taïwan, Line a quant à elle mis en place un système de vérification des faits. Ainsi, les utilisateurs peuvent signaler un contenu qui leur semble douteux. L’app leur répond dans la foulée en attribuant une note de véracité à l’information. Un symbole X indique que l’information est fausse, un triangle orange invite à la prudence, tandis qu’une coche verte confirme qu’elle est vraie.

Lorsqu’il est question de désinformation en ligne, les regards se tournent souvent sur des grandes plateformes comme Facebook, Instagram, et Twitter. Il est vrai qu’elles sont souvent touchées par des tentatives de manipulation en tout genre.

On parle en revanche un peu moins des grands services de messageries instantanées comme WhatsApp, Line, Telegram, ou Signal. La messagerie de Facebook a notamment été mise en cause au Brésil, où elle aurait pu jouer un rôle dans l’élection du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, ou encore dans celle Narendra Modi en Inde.

WhatsApp et Line ont réagi à cette menace

Cette idée est confirmée par une récente étude menée au Canada auprès de 2500 personnes. Il en ressort tout d’abord que huit personnes sur dix utilisent ces messageries en ligne à l’image de Messenger, WhatsApp et Snapchat. Plus de la moitié d’entre elles indiquent justement recevoir des messages en lien avec l’actualité au moins une fois par semaine.

Dans le détail, 46 % des utilisateurs expliquent réceptionnent des messages privés qu’ils soupçonnent d’être faux au moins une fois par mois. De même, ils sont 39 % à recevoir des informations qu’ils pensent vraies, mais qui s’avèrent être fausses. Enfin, 26 % subissent des messages contenant des propos haineux au moins une fois par mois.

Le phénomène est d’autant plus préoccupant que l’impact de ces messages est très fort. Ils émanent souvent de proches en qui les internautes ont confiance, ce qui démultiplie leur effet.

Face à ces menaces concrètes, l’organisation canadienne Cybersecurity Policy Exchange suggère d’investir dans la recherche et l’innovation sur ce sujet. Il conviendrait aussi d’exiger plus de transparence de la part des grandes plateformes. Enfin, un investissement dans l’éducation au numérique est demandée pour renforcer la résilience du public à ces tentatives de manipulation.

Notons que des services comme WhatsApp ont choisi d’agir de leur côté. Ainsi, dans certains pays, la messagerie de Facebook a lancé un outil qui permet à ses utilisateurs de rechercher sur Google un contexte plus précis sur les messages transférés. De même, la possibilité de partager ces derniers en grand nombre a été considérablement réduite.

À Taïwan, Line a quant à elle mis en place un système de vérification des faits. Ainsi, les utilisateurs peuvent signaler un contenu qui leur semble douteux. L’app leur répond dans la foulée en attribuant une note de véracité à l’information. Un symbole X indique que l’information est fausse, un triangle orange invite à la prudence, tandis qu’une coche verte confirme qu’elle est vraie.

Lorsqu’il est question de désinformation en ligne, les regards se tournent souvent sur des grandes plateformes comme Facebook, Instagram, et Twitter. Il est vrai qu’elles sont souvent touchées par des tentatives de manipulation en tout genre.

On parle en revanche un peu moins des grands services de messageries instantanées comme WhatsApp, Line, Telegram, ou Signal. La messagerie de Facebook a notamment été mise en cause au Brésil, où elle aurait pu jouer un rôle dans l’élection du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, ou encore dans celle Narendra Modi en Inde.

WhatsApp et Line ont réagi à cette menace

Cette idée est confirmée par une récente étude menée au Canada auprès de 2500 personnes. Il en ressort tout d’abord que huit personnes sur dix utilisent ces messageries en ligne à l’image de Messenger, WhatsApp et Snapchat. Plus de la moitié d’entre elles indiquent justement recevoir des messages en lien avec l’actualité au moins une fois par semaine.

Dans le détail, 46 % des utilisateurs expliquent réceptionnent des messages privés qu’ils soupçonnent d’être faux au moins une fois par mois. De même, ils sont 39 % à recevoir des informations qu’ils pensent vraies, mais qui s’avèrent être fausses. Enfin, 26 % subissent des messages contenant des propos haineux au moins une fois par mois.

Le phénomène est d’autant plus préoccupant que l’impact de ces messages est très fort. Ils émanent souvent de proches en qui les internautes ont confiance, ce qui démultiplie leur effet.

Face à ces menaces concrètes, l’organisation canadienne Cybersecurity Policy Exchange suggère d’investir dans la recherche et l’innovation sur ce sujet. Il conviendrait aussi d’exiger plus de transparence de la part des grandes plateformes. Enfin, un investissement dans l’éducation au numérique est demandée pour renforcer la résilience du public à ces tentatives de manipulation.

Notons que des services comme WhatsApp ont choisi d’agir de leur côté. Ainsi, dans certains pays, la messagerie de Facebook a lancé un outil qui permet à ses utilisateurs de rechercher sur Google un contexte plus précis sur les messages transférés. De même, la possibilité de partager ces derniers en grand nombre a été considérablement réduite.

À Taïwan, Line a quant à elle mis en place un système de vérification des faits. Ainsi, les utilisateurs peuvent signaler un contenu qui leur semble douteux. L’app leur répond dans la foulée en attribuant une note de véracité à l’information. Un symbole X indique que l’information est fausse, un triangle orange invite à la prudence, tandis qu’une coche verte confirme qu’elle est vraie.

Lorsqu’il est question de désinformation en ligne, les regards se tournent souvent sur des grandes plateformes comme Facebook, Instagram, et Twitter. Il est vrai qu’elles sont souvent touchées par des tentatives de manipulation en tout genre.

On parle en revanche un peu moins des grands services de messageries instantanées comme WhatsApp, Line, Telegram, ou Signal. La messagerie de Facebook a notamment été mise en cause au Brésil, où elle aurait pu jouer un rôle dans l’élection du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, ou encore dans celle Narendra Modi en Inde.

WhatsApp et Line ont réagi à cette menace

Cette idée est confirmée par une récente étude menée au Canada auprès de 2500 personnes. Il en ressort tout d’abord que huit personnes sur dix utilisent ces messageries en ligne à l’image de Messenger, WhatsApp et Snapchat. Plus de la moitié d’entre elles indiquent justement recevoir des messages en lien avec l’actualité au moins une fois par semaine.

Dans le détail, 46 % des utilisateurs expliquent réceptionnent des messages privés qu’ils soupçonnent d’être faux au moins une fois par mois. De même, ils sont 39 % à recevoir des informations qu’ils pensent vraies, mais qui s’avèrent être fausses. Enfin, 26 % subissent des messages contenant des propos haineux au moins une fois par mois.

Le phénomène est d’autant plus préoccupant que l’impact de ces messages est très fort. Ils émanent souvent de proches en qui les internautes ont confiance, ce qui démultiplie leur effet.

Face à ces menaces concrètes, l’organisation canadienne Cybersecurity Policy Exchange suggère d’investir dans la recherche et l’innovation sur ce sujet. Il conviendrait aussi d’exiger plus de transparence de la part des grandes plateformes. Enfin, un investissement dans l’éducation au numérique est demandée pour renforcer la résilience du public à ces tentatives de manipulation.

Notons que des services comme WhatsApp ont choisi d’agir de leur côté. Ainsi, dans certains pays, la messagerie de Facebook a lancé un outil qui permet à ses utilisateurs de rechercher sur Google un contexte plus précis sur les messages transférés. De même, la possibilité de partager ces derniers en grand nombre a été considérablement réduite.

À Taïwan, Line a quant à elle mis en place un système de vérification des faits. Ainsi, les utilisateurs peuvent signaler un contenu qui leur semble douteux. L’app leur répond dans la foulée en attribuant une note de véracité à l’information. Un symbole X indique que l’information est fausse, un triangle orange invite à la prudence, tandis qu’une coche verte confirme qu’elle est vraie.

Lorsqu’il est question de désinformation en ligne, les regards se tournent souvent sur des grandes plateformes comme Facebook, Instagram, et Twitter. Il est vrai qu’elles sont souvent touchées par des tentatives de manipulation en tout genre.

On parle en revanche un peu moins des grands services de messageries instantanées comme WhatsApp, Line, Telegram, ou Signal. La messagerie de Facebook a notamment été mise en cause au Brésil, où elle aurait pu jouer un rôle dans l’élection du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, ou encore dans celle Narendra Modi en Inde.

WhatsApp et Line ont réagi à cette menace

Cette idée est confirmée par une récente étude menée au Canada auprès de 2500 personnes. Il en ressort tout d’abord que huit personnes sur dix utilisent ces messageries en ligne à l’image de Messenger, WhatsApp et Snapchat. Plus de la moitié d’entre elles indiquent justement recevoir des messages en lien avec l’actualité au moins une fois par semaine.

Dans le détail, 46 % des utilisateurs expliquent réceptionnent des messages privés qu’ils soupçonnent d’être faux au moins une fois par mois. De même, ils sont 39 % à recevoir des informations qu’ils pensent vraies, mais qui s’avèrent être fausses. Enfin, 26 % subissent des messages contenant des propos haineux au moins une fois par mois.

Le phénomène est d’autant plus préoccupant que l’impact de ces messages est très fort. Ils émanent souvent de proches en qui les internautes ont confiance, ce qui démultiplie leur effet.

Face à ces menaces concrètes, l’organisation canadienne Cybersecurity Policy Exchange suggère d’investir dans la recherche et l’innovation sur ce sujet. Il conviendrait aussi d’exiger plus de transparence de la part des grandes plateformes. Enfin, un investissement dans l’éducation au numérique est demandée pour renforcer la résilience du public à ces tentatives de manipulation.

Notons que des services comme WhatsApp ont choisi d’agir de leur côté. Ainsi, dans certains pays, la messagerie de Facebook a lancé un outil qui permet à ses utilisateurs de rechercher sur Google un contexte plus précis sur les messages transférés. De même, la possibilité de partager ces derniers en grand nombre a été considérablement réduite.

À Taïwan, Line a quant à elle mis en place un système de vérification des faits. Ainsi, les utilisateurs peuvent signaler un contenu qui leur semble douteux. L’app leur répond dans la foulée en attribuant une note de véracité à l’information. Un symbole X indique que l’information est fausse, un triangle orange invite à la prudence, tandis qu’une coche verte confirme qu’elle est vraie.

Lorsqu’il est question de désinformation en ligne, les regards se tournent souvent sur des grandes plateformes comme Facebook, Instagram, et Twitter. Il est vrai qu’elles sont souvent touchées par des tentatives de manipulation en tout genre.

On parle en revanche un peu moins des grands services de messageries instantanées comme WhatsApp, Line, Telegram, ou Signal. La messagerie de Facebook a notamment été mise en cause au Brésil, où elle aurait pu jouer un rôle dans l’élection du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, ou encore dans celle Narendra Modi en Inde.

WhatsApp et Line ont réagi à cette menace

Cette idée est confirmée par une récente étude menée au Canada auprès de 2500 personnes. Il en ressort tout d’abord que huit personnes sur dix utilisent ces messageries en ligne à l’image de Messenger, WhatsApp et Snapchat. Plus de la moitié d’entre elles indiquent justement recevoir des messages en lien avec l’actualité au moins une fois par semaine.

Dans le détail, 46 % des utilisateurs expliquent réceptionnent des messages privés qu’ils soupçonnent d’être faux au moins une fois par mois. De même, ils sont 39 % à recevoir des informations qu’ils pensent vraies, mais qui s’avèrent être fausses. Enfin, 26 % subissent des messages contenant des propos haineux au moins une fois par mois.

Le phénomène est d’autant plus préoccupant que l’impact de ces messages est très fort. Ils émanent souvent de proches en qui les internautes ont confiance, ce qui démultiplie leur effet.

Face à ces menaces concrètes, l’organisation canadienne Cybersecurity Policy Exchange suggère d’investir dans la recherche et l’innovation sur ce sujet. Il conviendrait aussi d’exiger plus de transparence de la part des grandes plateformes. Enfin, un investissement dans l’éducation au numérique est demandée pour renforcer la résilience du public à ces tentatives de manipulation.

Notons que des services comme WhatsApp ont choisi d’agir de leur côté. Ainsi, dans certains pays, la messagerie de Facebook a lancé un outil qui permet à ses utilisateurs de rechercher sur Google un contexte plus précis sur les messages transférés. De même, la possibilité de partager ces derniers en grand nombre a été considérablement réduite.

À Taïwan, Line a quant à elle mis en place un système de vérification des faits. Ainsi, les utilisateurs peuvent signaler un contenu qui leur semble douteux. L’app leur répond dans la foulée en attribuant une note de véracité à l’information. Un symbole X indique que l’information est fausse, un triangle orange invite à la prudence, tandis qu’une coche verte confirme qu’elle est vraie.

Lorsqu’il est question de désinformation en ligne, les regards se tournent souvent sur des grandes plateformes comme Facebook, Instagram, et Twitter. Il est vrai qu’elles sont souvent touchées par des tentatives de manipulation en tout genre.

On parle en revanche un peu moins des grands services de messageries instantanées comme WhatsApp, Line, Telegram, ou Signal. La messagerie de Facebook a notamment été mise en cause au Brésil, où elle aurait pu jouer un rôle dans l’élection du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, ou encore dans celle Narendra Modi en Inde.

WhatsApp et Line ont réagi à cette menace

Cette idée est confirmée par une récente étude menée au Canada auprès de 2500 personnes. Il en ressort tout d’abord que huit personnes sur dix utilisent ces messageries en ligne à l’image de Messenger, WhatsApp et Snapchat. Plus de la moitié d’entre elles indiquent justement recevoir des messages en lien avec l’actualité au moins une fois par semaine.

Dans le détail, 46 % des utilisateurs expliquent réceptionnent des messages privés qu’ils soupçonnent d’être faux au moins une fois par mois. De même, ils sont 39 % à recevoir des informations qu’ils pensent vraies, mais qui s’avèrent être fausses. Enfin, 26 % subissent des messages contenant des propos haineux au moins une fois par mois.

Le phénomène est d’autant plus préoccupant que l’impact de ces messages est très fort. Ils émanent souvent de proches en qui les internautes ont confiance, ce qui démultiplie leur effet.

Face à ces menaces concrètes, l’organisation canadienne Cybersecurity Policy Exchange suggère d’investir dans la recherche et l’innovation sur ce sujet. Il conviendrait aussi d’exiger plus de transparence de la part des grandes plateformes. Enfin, un investissement dans l’éducation au numérique est demandée pour renforcer la résilience du public à ces tentatives de manipulation.

Notons que des services comme WhatsApp ont choisi d’agir de leur côté. Ainsi, dans certains pays, la messagerie de Facebook a lancé un outil qui permet à ses utilisateurs de rechercher sur Google un contexte plus précis sur les messages transférés. De même, la possibilité de partager ces derniers en grand nombre a été considérablement réduite.

À Taïwan, Line a quant à elle mis en place un système de vérification des faits. Ainsi, les utilisateurs peuvent signaler un contenu qui leur semble douteux. L’app leur répond dans la foulée en attribuant une note de véracité à l’information. Un symbole X indique que l’information est fausse, un triangle orange invite à la prudence, tandis qu’une coche verte confirme qu’elle est vraie.

Lorsqu’il est question de désinformation en ligne, les regards se tournent souvent sur des grandes plateformes comme Facebook, Instagram, et Twitter. Il est vrai qu’elles sont souvent touchées par des tentatives de manipulation en tout genre.

On parle en revanche un peu moins des grands services de messageries instantanées comme WhatsApp, Line, Telegram, ou Signal. La messagerie de Facebook a notamment été mise en cause au Brésil, où elle aurait pu jouer un rôle dans l’élection du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, ou encore dans celle Narendra Modi en Inde.

WhatsApp et Line ont réagi à cette menace

Cette idée est confirmée par une récente étude menée au Canada auprès de 2500 personnes. Il en ressort tout d’abord que huit personnes sur dix utilisent ces messageries en ligne à l’image de Messenger, WhatsApp et Snapchat. Plus de la moitié d’entre elles indiquent justement recevoir des messages en lien avec l’actualité au moins une fois par semaine.

Dans le détail, 46 % des utilisateurs expliquent réceptionnent des messages privés qu’ils soupçonnent d’être faux au moins une fois par mois. De même, ils sont 39 % à recevoir des informations qu’ils pensent vraies, mais qui s’avèrent être fausses. Enfin, 26 % subissent des messages contenant des propos haineux au moins une fois par mois.

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À Taïwan, Line a quant à elle mis en place un système de vérification des faits. Ainsi, les utilisateurs peuvent signaler un contenu qui leur semble douteux. L’app leur répond dans la foulée en attribuant une note de véracité à l’information. Un symbole X indique que l’information est fausse, un triangle orange invite à la prudence, tandis qu’une coche verte confirme qu’elle est vraie.

Lorsqu’il est question de désinformation en ligne, les regards se tournent souvent sur des grandes plateformes comme Facebook, Instagram, et Twitter. Il est vrai qu’elles sont souvent touchées par des tentatives de manipulation en tout genre.

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Dans le détail, 46 % des utilisateurs expliquent réceptionnent des messages privés qu’ils soupçonnent d’être faux au moins une fois par mois. De même, ils sont 39 % à recevoir des informations qu’ils pensent vraies, mais qui s’avèrent être fausses. Enfin, 26 % subissent des messages contenant des propos haineux au moins une fois par mois.

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À Taïwan, Line a quant à elle mis en place un système de vérification des faits. Ainsi, les utilisateurs peuvent signaler un contenu qui leur semble douteux. L’app leur répond dans la foulée en attribuant une note de véracité à l’information. Un symbole X indique que l’information est fausse, un triangle orange invite à la prudence, tandis qu’une coche verte confirme qu’elle est vraie.

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Cette idée est confirmée par une récente étude menée au Canada auprès de 2500 personnes. Il en ressort tout d’abord que huit personnes sur dix utilisent ces messageries en ligne à l’image de Messenger, WhatsApp et Snapchat. Plus de la moitié d’entre elles indiquent justement recevoir des messages en lien avec l’actualité au moins une fois par semaine.

Dans le détail, 46 % des utilisateurs expliquent réceptionnent des messages privés qu’ils soupçonnent d’être faux au moins une fois par mois. De même, ils sont 39 % à recevoir des informations qu’ils pensent vraies, mais qui s’avèrent être fausses. Enfin, 26 % subissent des messages contenant des propos haineux au moins une fois par mois.

Le phénomène est d’autant plus préoccupant que l’impact de ces messages est très fort. Ils émanent souvent de proches en qui les internautes ont confiance, ce qui démultiplie leur effet.

Face à ces menaces concrètes, l’organisation canadienne Cybersecurity Policy Exchange suggère d’investir dans la recherche et l’innovation sur ce sujet. Il conviendrait aussi d’exiger plus de transparence de la part des grandes plateformes. Enfin, un investissement dans l’éducation au numérique est demandée pour renforcer la résilience du public à ces tentatives de manipulation.

Notons que des services comme WhatsApp ont choisi d’agir de leur côté. Ainsi, dans certains pays, la messagerie de Facebook a lancé un outil qui permet à ses utilisateurs de rechercher sur Google un contexte plus précis sur les messages transférés. De même, la possibilité de partager ces derniers en grand nombre a été considérablement réduite.

À Taïwan, Line a quant à elle mis en place un système de vérification des faits. Ainsi, les utilisateurs peuvent signaler un contenu qui leur semble douteux. L’app leur répond dans la foulée en attribuant une note de véracité à l’information. Un symbole X indique que l’information est fausse, un triangle orange invite à la prudence, tandis qu’une coche verte confirme qu’elle est vraie.

Lorsqu’il est question de désinformation en ligne, les regards se tournent souvent sur des grandes plateformes comme Facebook, Instagram, et Twitter. Il est vrai qu’elles sont souvent touchées par des tentatives de manipulation en tout genre.

On parle en revanche un peu moins des grands services de messageries instantanées comme WhatsApp, Line, Telegram, ou Signal. La messagerie de Facebook a notamment été mise en cause au Brésil, où elle aurait pu jouer un rôle dans l’élection du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, ou encore dans celle Narendra Modi en Inde.

WhatsApp et Line ont réagi à cette menace

Cette idée est confirmée par une récente étude menée au Canada auprès de 2500 personnes. Il en ressort tout d’abord que huit personnes sur dix utilisent ces messageries en ligne à l’image de Messenger, WhatsApp et Snapchat. Plus de la moitié d’entre elles indiquent justement recevoir des messages en lien avec l’actualité au moins une fois par semaine.

Dans le détail, 46 % des utilisateurs expliquent réceptionnent des messages privés qu’ils soupçonnent d’être faux au moins une fois par mois. De même, ils sont 39 % à recevoir des informations qu’ils pensent vraies, mais qui s’avèrent être fausses. Enfin, 26 % subissent des messages contenant des propos haineux au moins une fois par mois.

Le phénomène est d’autant plus préoccupant que l’impact de ces messages est très fort. Ils émanent souvent de proches en qui les internautes ont confiance, ce qui démultiplie leur effet.

Face à ces menaces concrètes, l’organisation canadienne Cybersecurity Policy Exchange suggère d’investir dans la recherche et l’innovation sur ce sujet. Il conviendrait aussi d’exiger plus de transparence de la part des grandes plateformes. Enfin, un investissement dans l’éducation au numérique est demandée pour renforcer la résilience du public à ces tentatives de manipulation.

Notons que des services comme WhatsApp ont choisi d’agir de leur côté. Ainsi, dans certains pays, la messagerie de Facebook a lancé un outil qui permet à ses utilisateurs de rechercher sur Google un contexte plus précis sur les messages transférés. De même, la possibilité de partager ces derniers en grand nombre a été considérablement réduite.

À Taïwan, Line a quant à elle mis en place un système de vérification des faits. Ainsi, les utilisateurs peuvent signaler un contenu qui leur semble douteux. L’app leur répond dans la foulée en attribuant une note de véracité à l’information. Un symbole X indique que l’information est fausse, un triangle orange invite à la prudence, tandis qu’une coche verte confirme qu’elle est vraie.

Lorsqu’il est question de désinformation en ligne, les regards se tournent souvent sur des grandes plateformes comme Facebook, Instagram, et Twitter. Il est vrai qu’elles sont souvent touchées par des tentatives de manipulation en tout genre.

On parle en revanche un peu moins des grands services de messageries instantanées comme WhatsApp, Line, Telegram, ou Signal. La messagerie de Facebook a notamment été mise en cause au Brésil, où elle aurait pu jouer un rôle dans l’élection du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, ou encore dans celle Narendra Modi en Inde.

WhatsApp et Line ont réagi à cette menace

Cette idée est confirmée par une récente étude menée au Canada auprès de 2500 personnes. Il en ressort tout d’abord que huit personnes sur dix utilisent ces messageries en ligne à l’image de Messenger, WhatsApp et Snapchat. Plus de la moitié d’entre elles indiquent justement recevoir des messages en lien avec l’actualité au moins une fois par semaine.

Dans le détail, 46 % des utilisateurs expliquent réceptionnent des messages privés qu’ils soupçonnent d’être faux au moins une fois par mois. De même, ils sont 39 % à recevoir des informations qu’ils pensent vraies, mais qui s’avèrent être fausses. Enfin, 26 % subissent des messages contenant des propos haineux au moins une fois par mois.

Le phénomène est d’autant plus préoccupant que l’impact de ces messages est très fort. Ils émanent souvent de proches en qui les internautes ont confiance, ce qui démultiplie leur effet.

Face à ces menaces concrètes, l’organisation canadienne Cybersecurity Policy Exchange suggère d’investir dans la recherche et l’innovation sur ce sujet. Il conviendrait aussi d’exiger plus de transparence de la part des grandes plateformes. Enfin, un investissement dans l’éducation au numérique est demandée pour renforcer la résilience du public à ces tentatives de manipulation.

Notons que des services comme WhatsApp ont choisi d’agir de leur côté. Ainsi, dans certains pays, la messagerie de Facebook a lancé un outil qui permet à ses utilisateurs de rechercher sur Google un contexte plus précis sur les messages transférés. De même, la possibilité de partager ces derniers en grand nombre a été considérablement réduite.

À Taïwan, Line a quant à elle mis en place un système de vérification des faits. Ainsi, les utilisateurs peuvent signaler un contenu qui leur semble douteux. L’app leur répond dans la foulée en attribuant une note de véracité à l’information. Un symbole X indique que l’information est fausse, un triangle orange invite à la prudence, tandis qu’une coche verte confirme qu’elle est vraie.

Lorsqu’il est question de désinformation en ligne, les regards se tournent souvent sur des grandes plateformes comme Facebook, Instagram, et Twitter. Il est vrai qu’elles sont souvent touchées par des tentatives de manipulation en tout genre.

On parle en revanche un peu moins des grands services de messageries instantanées comme WhatsApp, Line, Telegram, ou Signal. La messagerie de Facebook a notamment été mise en cause au Brésil, où elle aurait pu jouer un rôle dans l’élection du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, ou encore dans celle Narendra Modi en Inde.

WhatsApp et Line ont réagi à cette menace

Cette idée est confirmée par une récente étude menée au Canada auprès de 2500 personnes. Il en ressort tout d’abord que huit personnes sur dix utilisent ces messageries en ligne à l’image de Messenger, WhatsApp et Snapchat. Plus de la moitié d’entre elles indiquent justement recevoir des messages en lien avec l’actualité au moins une fois par semaine.

Dans le détail, 46 % des utilisateurs expliquent réceptionnent des messages privés qu’ils soupçonnent d’être faux au moins une fois par mois. De même, ils sont 39 % à recevoir des informations qu’ils pensent vraies, mais qui s’avèrent être fausses. Enfin, 26 % subissent des messages contenant des propos haineux au moins une fois par mois.

Le phénomène est d’autant plus préoccupant que l’impact de ces messages est très fort. Ils émanent souvent de proches en qui les internautes ont confiance, ce qui démultiplie leur effet.

Face à ces menaces concrètes, l’organisation canadienne Cybersecurity Policy Exchange suggère d’investir dans la recherche et l’innovation sur ce sujet. Il conviendrait aussi d’exiger plus de transparence de la part des grandes plateformes. Enfin, un investissement dans l’éducation au numérique est demandée pour renforcer la résilience du public à ces tentatives de manipulation.

Notons que des services comme WhatsApp ont choisi d’agir de leur côté. Ainsi, dans certains pays, la messagerie de Facebook a lancé un outil qui permet à ses utilisateurs de rechercher sur Google un contexte plus précis sur les messages transférés. De même, la possibilité de partager ces derniers en grand nombre a été considérablement réduite.

À Taïwan, Line a quant à elle mis en place un système de vérification des faits. Ainsi, les utilisateurs peuvent signaler un contenu qui leur semble douteux. L’app leur répond dans la foulée en attribuant une note de véracité à l’information. Un symbole X indique que l’information est fausse, un triangle orange invite à la prudence, tandis qu’une coche verte confirme qu’elle est vraie.

Lorsqu’il est question de désinformation en ligne, les regards se tournent souvent sur des grandes plateformes comme Facebook, Instagram, et Twitter. Il est vrai qu’elles sont souvent touchées par des tentatives de manipulation en tout genre.

On parle en revanche un peu moins des grands services de messageries instantanées comme WhatsApp, Line, Telegram, ou Signal. La messagerie de Facebook a notamment été mise en cause au Brésil, où elle aurait pu jouer un rôle dans l’élection du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, ou encore dans celle Narendra Modi en Inde.

WhatsApp et Line ont réagi à cette menace

Cette idée est confirmée par une récente étude menée au Canada auprès de 2500 personnes. Il en ressort tout d’abord que huit personnes sur dix utilisent ces messageries en ligne à l’image de Messenger, WhatsApp et Snapchat. Plus de la moitié d’entre elles indiquent justement recevoir des messages en lien avec l’actualité au moins une fois par semaine.

Dans le détail, 46 % des utilisateurs expliquent réceptionnent des messages privés qu’ils soupçonnent d’être faux au moins une fois par mois. De même, ils sont 39 % à recevoir des informations qu’ils pensent vraies, mais qui s’avèrent être fausses. Enfin, 26 % subissent des messages contenant des propos haineux au moins une fois par mois.

Le phénomène est d’autant plus préoccupant que l’impact de ces messages est très fort. Ils émanent souvent de proches en qui les internautes ont confiance, ce qui démultiplie leur effet.

Face à ces menaces concrètes, l’organisation canadienne Cybersecurity Policy Exchange suggère d’investir dans la recherche et l’innovation sur ce sujet. Il conviendrait aussi d’exiger plus de transparence de la part des grandes plateformes. Enfin, un investissement dans l’éducation au numérique est demandée pour renforcer la résilience du public à ces tentatives de manipulation.

Notons que des services comme WhatsApp ont choisi d’agir de leur côté. Ainsi, dans certains pays, la messagerie de Facebook a lancé un outil qui permet à ses utilisateurs de rechercher sur Google un contexte plus précis sur les messages transférés. De même, la possibilité de partager ces derniers en grand nombre a été considérablement réduite.

À Taïwan, Line a quant à elle mis en place un système de vérification des faits. Ainsi, les utilisateurs peuvent signaler un contenu qui leur semble douteux. L’app leur répond dans la foulée en attribuant une note de véracité à l’information. Un symbole X indique que l’information est fausse, un triangle orange invite à la prudence, tandis qu’une coche verte confirme qu’elle est vraie.

Lorsqu’il est question de désinformation en ligne, les regards se tournent souvent sur des grandes plateformes comme Facebook, Instagram, et Twitter. Il est vrai qu’elles sont souvent touchées par des tentatives de manipulation en tout genre.

On parle en revanche un peu moins des grands services de messageries instantanées comme WhatsApp, Line, Telegram, ou Signal. La messagerie de Facebook a notamment été mise en cause au Brésil, où elle aurait pu jouer un rôle dans l’élection du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, ou encore dans celle Narendra Modi en Inde.

WhatsApp et Line ont réagi à cette menace

Cette idée est confirmée par une récente étude menée au Canada auprès de 2500 personnes. Il en ressort tout d’abord que huit personnes sur dix utilisent ces messageries en ligne à l’image de Messenger, WhatsApp et Snapchat. Plus de la moitié d’entre elles indiquent justement recevoir des messages en lien avec l’actualité au moins une fois par semaine.

Dans le détail, 46 % des utilisateurs expliquent réceptionnent des messages privés qu’ils soupçonnent d’être faux au moins une fois par mois. De même, ils sont 39 % à recevoir des informations qu’ils pensent vraies, mais qui s’avèrent être fausses. Enfin, 26 % subissent des messages contenant des propos haineux au moins une fois par mois.

Le phénomène est d’autant plus préoccupant que l’impact de ces messages est très fort. Ils émanent souvent de proches en qui les internautes ont confiance, ce qui démultiplie leur effet.

Face à ces menaces concrètes, l’organisation canadienne Cybersecurity Policy Exchange suggère d’investir dans la recherche et l’innovation sur ce sujet. Il conviendrait aussi d’exiger plus de transparence de la part des grandes plateformes. Enfin, un investissement dans l’éducation au numérique est demandée pour renforcer la résilience du public à ces tentatives de manipulation.

Notons que des services comme WhatsApp ont choisi d’agir de leur côté. Ainsi, dans certains pays, la messagerie de Facebook a lancé un outil qui permet à ses utilisateurs de rechercher sur Google un contexte plus précis sur les messages transférés. De même, la possibilité de partager ces derniers en grand nombre a été considérablement réduite.

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Rédacteur Digital RoundUp

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