C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
Des entreprises sont contraintes de fermer leurs portes après une attaque
Séduisante sur le papier, cette idée est pourtant à éviter car le paiement n’est pas du tout la garantie que vos données ne seront pas exposées ultérieurement. Un autre problème est à prendre en compte et nous est révélé par une étude de la société Cyberseason. Il en ressort justement que 80 % des entreprises qui ont accepté de payer ont fini par être de nouveau ciblées. Dans le détail, la moitié de ces attaques étaient d’ailleurs le fait du même groupe cybercriminel.
Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

Par : Bitdefender
C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
Des entreprises sont contraintes de fermer leurs portes après une attaque
Séduisante sur le papier, cette idée est pourtant à éviter car le paiement n’est pas du tout la garantie que vos données ne seront pas exposées ultérieurement. Un autre problème est à prendre en compte et nous est révélé par une étude de la société Cyberseason. Il en ressort justement que 80 % des entreprises qui ont accepté de payer ont fini par être de nouveau ciblées. Dans le détail, la moitié de ces attaques étaient d’ailleurs le fait du même groupe cybercriminel.
Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

Par : Bitdefender
C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
Des entreprises sont contraintes de fermer leurs portes après une attaque
Séduisante sur le papier, cette idée est pourtant à éviter car le paiement n’est pas du tout la garantie que vos données ne seront pas exposées ultérieurement. Un autre problème est à prendre en compte et nous est révélé par une étude de la société Cyberseason. Il en ressort justement que 80 % des entreprises qui ont accepté de payer ont fini par être de nouveau ciblées. Dans le détail, la moitié de ces attaques étaient d’ailleurs le fait du même groupe cybercriminel.
Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

Par : Bitdefender
C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
Des entreprises sont contraintes de fermer leurs portes après une attaque
Séduisante sur le papier, cette idée est pourtant à éviter car le paiement n’est pas du tout la garantie que vos données ne seront pas exposées ultérieurement. Un autre problème est à prendre en compte et nous est révélé par une étude de la société Cyberseason. Il en ressort justement que 80 % des entreprises qui ont accepté de payer ont fini par être de nouveau ciblées. Dans le détail, la moitié de ces attaques étaient d’ailleurs le fait du même groupe cybercriminel.
Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

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Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
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Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

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Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
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Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

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C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
Des entreprises sont contraintes de fermer leurs portes après une attaque
Séduisante sur le papier, cette idée est pourtant à éviter car le paiement n’est pas du tout la garantie que vos données ne seront pas exposées ultérieurement. Un autre problème est à prendre en compte et nous est révélé par une étude de la société Cyberseason. Il en ressort justement que 80 % des entreprises qui ont accepté de payer ont fini par être de nouveau ciblées. Dans le détail, la moitié de ces attaques étaient d’ailleurs le fait du même groupe cybercriminel.
Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

Par : Bitdefender
C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
Des entreprises sont contraintes de fermer leurs portes après une attaque
Séduisante sur le papier, cette idée est pourtant à éviter car le paiement n’est pas du tout la garantie que vos données ne seront pas exposées ultérieurement. Un autre problème est à prendre en compte et nous est révélé par une étude de la société Cyberseason. Il en ressort justement que 80 % des entreprises qui ont accepté de payer ont fini par être de nouveau ciblées. Dans le détail, la moitié de ces attaques étaient d’ailleurs le fait du même groupe cybercriminel.
Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

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C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
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Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

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Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

Par : Bitdefender
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Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
Des entreprises sont contraintes de fermer leurs portes après une attaque
Séduisante sur le papier, cette idée est pourtant à éviter car le paiement n’est pas du tout la garantie que vos données ne seront pas exposées ultérieurement. Un autre problème est à prendre en compte et nous est révélé par une étude de la société Cyberseason. Il en ressort justement que 80 % des entreprises qui ont accepté de payer ont fini par être de nouveau ciblées. Dans le détail, la moitié de ces attaques étaient d’ailleurs le fait du même groupe cybercriminel.
Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

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C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
Des entreprises sont contraintes de fermer leurs portes après une attaque
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Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

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Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

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Séduisante sur le papier, cette idée est pourtant à éviter car le paiement n’est pas du tout la garantie que vos données ne seront pas exposées ultérieurement. Un autre problème est à prendre en compte et nous est révélé par une étude de la société Cyberseason. Il en ressort justement que 80 % des entreprises qui ont accepté de payer ont fini par être de nouveau ciblées. Dans le détail, la moitié de ces attaques étaient d’ailleurs le fait du même groupe cybercriminel.
Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

Par : Bitdefender
C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
Des entreprises sont contraintes de fermer leurs portes après une attaque
Séduisante sur le papier, cette idée est pourtant à éviter car le paiement n’est pas du tout la garantie que vos données ne seront pas exposées ultérieurement. Un autre problème est à prendre en compte et nous est révélé par une étude de la société Cyberseason. Il en ressort justement que 80 % des entreprises qui ont accepté de payer ont fini par être de nouveau ciblées. Dans le détail, la moitié de ces attaques étaient d’ailleurs le fait du même groupe cybercriminel.
Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

Par : Bitdefender
C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
Des entreprises sont contraintes de fermer leurs portes après une attaque
Séduisante sur le papier, cette idée est pourtant à éviter car le paiement n’est pas du tout la garantie que vos données ne seront pas exposées ultérieurement. Un autre problème est à prendre en compte et nous est révélé par une étude de la société Cyberseason. Il en ressort justement que 80 % des entreprises qui ont accepté de payer ont fini par être de nouveau ciblées. Dans le détail, la moitié de ces attaques étaient d’ailleurs le fait du même groupe cybercriminel.
Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

Par : Bitdefender
C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
Des entreprises sont contraintes de fermer leurs portes après une attaque
Séduisante sur le papier, cette idée est pourtant à éviter car le paiement n’est pas du tout la garantie que vos données ne seront pas exposées ultérieurement. Un autre problème est à prendre en compte et nous est révélé par une étude de la société Cyberseason. Il en ressort justement que 80 % des entreprises qui ont accepté de payer ont fini par être de nouveau ciblées. Dans le détail, la moitié de ces attaques étaient d’ailleurs le fait du même groupe cybercriminel.
Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

Par : Bitdefender
C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
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Séduisante sur le papier, cette idée est pourtant à éviter car le paiement n’est pas du tout la garantie que vos données ne seront pas exposées ultérieurement. Un autre problème est à prendre en compte et nous est révélé par une étude de la société Cyberseason. Il en ressort justement que 80 % des entreprises qui ont accepté de payer ont fini par être de nouveau ciblées. Dans le détail, la moitié de ces attaques étaient d’ailleurs le fait du même groupe cybercriminel.
Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

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Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
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Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

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C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
Des entreprises sont contraintes de fermer leurs portes après une attaque
Séduisante sur le papier, cette idée est pourtant à éviter car le paiement n’est pas du tout la garantie que vos données ne seront pas exposées ultérieurement. Un autre problème est à prendre en compte et nous est révélé par une étude de la société Cyberseason. Il en ressort justement que 80 % des entreprises qui ont accepté de payer ont fini par être de nouveau ciblées. Dans le détail, la moitié de ces attaques étaient d’ailleurs le fait du même groupe cybercriminel.
Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

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C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
Des entreprises sont contraintes de fermer leurs portes après une attaque
Séduisante sur le papier, cette idée est pourtant à éviter car le paiement n’est pas du tout la garantie que vos données ne seront pas exposées ultérieurement. Un autre problème est à prendre en compte et nous est révélé par une étude de la société Cyberseason. Il en ressort justement que 80 % des entreprises qui ont accepté de payer ont fini par être de nouveau ciblées. Dans le détail, la moitié de ces attaques étaient d’ailleurs le fait du même groupe cybercriminel.
Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

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C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
Des entreprises sont contraintes de fermer leurs portes après une attaque
Séduisante sur le papier, cette idée est pourtant à éviter car le paiement n’est pas du tout la garantie que vos données ne seront pas exposées ultérieurement. Un autre problème est à prendre en compte et nous est révélé par une étude de la société Cyberseason. Il en ressort justement que 80 % des entreprises qui ont accepté de payer ont fini par être de nouveau ciblées. Dans le détail, la moitié de ces attaques étaient d’ailleurs le fait du même groupe cybercriminel.
Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

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Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

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Des entreprises sont contraintes de fermer leurs portes après une attaque
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Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

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Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
Des entreprises sont contraintes de fermer leurs portes après une attaque
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Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

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Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

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Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
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Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

Par : Bitdefender
C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
Des entreprises sont contraintes de fermer leurs portes après une attaque
Séduisante sur le papier, cette idée est pourtant à éviter car le paiement n’est pas du tout la garantie que vos données ne seront pas exposées ultérieurement. Un autre problème est à prendre en compte et nous est révélé par une étude de la société Cyberseason. Il en ressort justement que 80 % des entreprises qui ont accepté de payer ont fini par être de nouveau ciblées. Dans le détail, la moitié de ces attaques étaient d’ailleurs le fait du même groupe cybercriminel.
Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

Par : Bitdefender
C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
Des entreprises sont contraintes de fermer leurs portes après une attaque
Séduisante sur le papier, cette idée est pourtant à éviter car le paiement n’est pas du tout la garantie que vos données ne seront pas exposées ultérieurement. Un autre problème est à prendre en compte et nous est révélé par une étude de la société Cyberseason. Il en ressort justement que 80 % des entreprises qui ont accepté de payer ont fini par être de nouveau ciblées. Dans le détail, la moitié de ces attaques étaient d’ailleurs le fait du même groupe cybercriminel.
Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

Par : Bitdefender
C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
Des entreprises sont contraintes de fermer leurs portes après une attaque
Séduisante sur le papier, cette idée est pourtant à éviter car le paiement n’est pas du tout la garantie que vos données ne seront pas exposées ultérieurement. Un autre problème est à prendre en compte et nous est révélé par une étude de la société Cyberseason. Il en ressort justement que 80 % des entreprises qui ont accepté de payer ont fini par être de nouveau ciblées. Dans le détail, la moitié de ces attaques étaient d’ailleurs le fait du même groupe cybercriminel.
Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

Par : Bitdefender
C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
Des entreprises sont contraintes de fermer leurs portes après une attaque
Séduisante sur le papier, cette idée est pourtant à éviter car le paiement n’est pas du tout la garantie que vos données ne seront pas exposées ultérieurement. Un autre problème est à prendre en compte et nous est révélé par une étude de la société Cyberseason. Il en ressort justement que 80 % des entreprises qui ont accepté de payer ont fini par être de nouveau ciblées. Dans le détail, la moitié de ces attaques étaient d’ailleurs le fait du même groupe cybercriminel.
Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

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C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
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Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

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C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
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Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

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C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
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Séduisante sur le papier, cette idée est pourtant à éviter car le paiement n’est pas du tout la garantie que vos données ne seront pas exposées ultérieurement. Un autre problème est à prendre en compte et nous est révélé par une étude de la société Cyberseason. Il en ressort justement que 80 % des entreprises qui ont accepté de payer ont fini par être de nouveau ciblées. Dans le détail, la moitié de ces attaques étaient d’ailleurs le fait du même groupe cybercriminel.
Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

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C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
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Séduisante sur le papier, cette idée est pourtant à éviter car le paiement n’est pas du tout la garantie que vos données ne seront pas exposées ultérieurement. Un autre problème est à prendre en compte et nous est révélé par une étude de la société Cyberseason. Il en ressort justement que 80 % des entreprises qui ont accepté de payer ont fini par être de nouveau ciblées. Dans le détail, la moitié de ces attaques étaient d’ailleurs le fait du même groupe cybercriminel.
Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

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C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
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Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

Par : Bitdefender
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Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

Par : Bitdefender
C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
Des entreprises sont contraintes de fermer leurs portes après une attaque
Séduisante sur le papier, cette idée est pourtant à éviter car le paiement n’est pas du tout la garantie que vos données ne seront pas exposées ultérieurement. Un autre problème est à prendre en compte et nous est révélé par une étude de la société Cyberseason. Il en ressort justement que 80 % des entreprises qui ont accepté de payer ont fini par être de nouveau ciblées. Dans le détail, la moitié de ces attaques étaient d’ailleurs le fait du même groupe cybercriminel.
Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

Par : Bitdefender
C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
Des entreprises sont contraintes de fermer leurs portes après une attaque
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Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

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Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
Des entreprises sont contraintes de fermer leurs portes après une attaque
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Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

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Séduisante sur le papier, cette idée est pourtant à éviter car le paiement n’est pas du tout la garantie que vos données ne seront pas exposées ultérieurement. Un autre problème est à prendre en compte et nous est révélé par une étude de la société Cyberseason. Il en ressort justement que 80 % des entreprises qui ont accepté de payer ont fini par être de nouveau ciblées. Dans le détail, la moitié de ces attaques étaient d’ailleurs le fait du même groupe cybercriminel.
Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

Par : Bitdefender
C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
Des entreprises sont contraintes de fermer leurs portes après une attaque
Séduisante sur le papier, cette idée est pourtant à éviter car le paiement n’est pas du tout la garantie que vos données ne seront pas exposées ultérieurement. Un autre problème est à prendre en compte et nous est révélé par une étude de la société Cyberseason. Il en ressort justement que 80 % des entreprises qui ont accepté de payer ont fini par être de nouveau ciblées. Dans le détail, la moitié de ces attaques étaient d’ailleurs le fait du même groupe cybercriminel.
Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

Par : Bitdefender
C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
Des entreprises sont contraintes de fermer leurs portes après une attaque
Séduisante sur le papier, cette idée est pourtant à éviter car le paiement n’est pas du tout la garantie que vos données ne seront pas exposées ultérieurement. Un autre problème est à prendre en compte et nous est révélé par une étude de la société Cyberseason. Il en ressort justement que 80 % des entreprises qui ont accepté de payer ont fini par être de nouveau ciblées. Dans le détail, la moitié de ces attaques étaient d’ailleurs le fait du même groupe cybercriminel.
Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

Par : Bitdefender
C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
Des entreprises sont contraintes de fermer leurs portes après une attaque
Séduisante sur le papier, cette idée est pourtant à éviter car le paiement n’est pas du tout la garantie que vos données ne seront pas exposées ultérieurement. Un autre problème est à prendre en compte et nous est révélé par une étude de la société Cyberseason. Il en ressort justement que 80 % des entreprises qui ont accepté de payer ont fini par être de nouveau ciblées. Dans le détail, la moitié de ces attaques étaient d’ailleurs le fait du même groupe cybercriminel.
Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

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C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
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Séduisante sur le papier, cette idée est pourtant à éviter car le paiement n’est pas du tout la garantie que vos données ne seront pas exposées ultérieurement. Un autre problème est à prendre en compte et nous est révélé par une étude de la société Cyberseason. Il en ressort justement que 80 % des entreprises qui ont accepté de payer ont fini par être de nouveau ciblées. Dans le détail, la moitié de ces attaques étaient d’ailleurs le fait du même groupe cybercriminel.
Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

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C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
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Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

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C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
Des entreprises sont contraintes de fermer leurs portes après une attaque
Séduisante sur le papier, cette idée est pourtant à éviter car le paiement n’est pas du tout la garantie que vos données ne seront pas exposées ultérieurement. Un autre problème est à prendre en compte et nous est révélé par une étude de la société Cyberseason. Il en ressort justement que 80 % des entreprises qui ont accepté de payer ont fini par être de nouveau ciblées. Dans le détail, la moitié de ces attaques étaient d’ailleurs le fait du même groupe cybercriminel.
Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

Par : Bitdefender
C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
Des entreprises sont contraintes de fermer leurs portes après une attaque
Séduisante sur le papier, cette idée est pourtant à éviter car le paiement n’est pas du tout la garantie que vos données ne seront pas exposées ultérieurement. Un autre problème est à prendre en compte et nous est révélé par une étude de la société Cyberseason. Il en ressort justement que 80 % des entreprises qui ont accepté de payer ont fini par être de nouveau ciblées. Dans le détail, la moitié de ces attaques étaient d’ailleurs le fait du même groupe cybercriminel.
Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

Par : Bitdefender
C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
Des entreprises sont contraintes de fermer leurs portes après une attaque
Séduisante sur le papier, cette idée est pourtant à éviter car le paiement n’est pas du tout la garantie que vos données ne seront pas exposées ultérieurement. Un autre problème est à prendre en compte et nous est révélé par une étude de la société Cyberseason. Il en ressort justement que 80 % des entreprises qui ont accepté de payer ont fini par être de nouveau ciblées. Dans le détail, la moitié de ces attaques étaient d’ailleurs le fait du même groupe cybercriminel.
Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

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Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
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Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

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C’est un phénomène des plus inquiétants qui prend de l’ampleur. Les attaques par ransomwares relevaient encore du registre de l’abstrait pour de nombreuses entreprises il y a quelques années. Certaines ont malheureusement pu mesurer les conséquences désastreuses des rançongiciels depuis.
Ainsi, rien que pour l’année 2019, le chercheur DarkTracer a pu identifier 2103 compagnies victimes de fuites de données de la part de 34 gangs différents. Alors que les ransomwares empêchent le fonctionnement normal de leurs services et les exposent à des révélations de secrets industriels, certaines firmes se laissent tenter et payent la rançon.
Des entreprises sont contraintes de fermer leurs portes après une attaque
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Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

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Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

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Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
Face à ce fléau, la mobilisation s’organise. Ainsi, les Etats-Unis ont décidé d’en faire une priorité nationale. De son côté, la France s’est doté d’un plan visant à mieux protéger ses hôpitaux qui sont de plus en plus visés. Ce sujet a même été évoqué dernièrement par Joe Biden et Vladimir Poutine lors de leur rencontre à Genève. Les deux hommes ont convenu de collaborer ensemble pour tenter d’avancer.

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Pour autant, il n’y a pas forcément de solution miracle et les rançongiciels restent très problématiques pour les organisations visées. Les experts ont d’ailleurs pu constater que 66 % des sociétés victimes ont vu une réduction de leur revenu total après l’attaque et 53 % des marques ont constaté une diminution de leur réputation dans leurs secteurs respectifs. Enfin, un quart d’entre elles ont même dû fermer leurs portes, même si le lien de causalité n’est pas forcément toujours établi.
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Par : Bitdefender