Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender
Hôpitaux, entreprises, ministères, enseignement à distance, et collectivités locales… ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient en France et dans le reste du monde. Si jadis la menace pouvait encore sembler lointaine, elle est de plus en plus palpable pour tout un chacun.
Cela a par exemple amené la France à proposer un dispositif de lutte contre les cyberattaques pour ses hôpitaux dans le cadre du plan France relance. L’objectif est de leur permettre de mieux faire face à ces nouveaux risques qui peuvent aller jusqu’à mettre la vie des patients en danger.
Une plateforme virtuelle et physique de collaboration
La riposte s’accélère aussi au niveau européen. Comme le rapporte de BFM, la Commission entend ainsi créer une structure à même de réagir au plus vite en cas de danger. Citée par nos confrères, l’institution précise ainsi :
À mesure qu’augmentent le nombre, l’ampleur et les conséquences des cyberattaques, qui pèsent lourdement sur notre sécurité, il devient de plus en plus nécessaire d’adopter des réactions de pointe et coordonnées dans le domaine de la cybersécurité. Tous les acteurs concernés dans l’UE doivent être prêts à réagir collectivement et à échanger des informations utiles en se fondant sur le ‘besoin de partager’ plutôt que sur le seul besoin d’en connaître.
Pour éviter que les parties prenantes n’agissent de manière trop séparée, l’idée serait donc de mettre en place une unité conjointe qui réunirait « les ressources et l’expertise dont disposent l’UE et ses États membres afin de prévenir et de dissuader les incidents et crises de cybersécurité massifs et d’y réagir, le tout avec efficacité ».
Dans les faits, cette coopération se matérialiserait sous la forme d’une plateforme virtuelle et physique, indique BFM. Finalement, cette structure rappelle à bien des égards le système que viennent de mettre en place les États-Unis. Dans les enquêtes concernant la cybersécurité, les procureurs généraux des différents États sont désormais tenus d’informer un organisme qui assure un suivi fédéral des menaces.

Par : Bitdefender