Amazon et les libraires indépendants sont-ils logés à la même enseigne ? La réponse est non pour les sénateurs qui ont adopté le 8 juin dernier une loi visant à encadrer les conditions de vente à distance. Repéré par nos confrères de France Musique, ce texte prévoit notamment la création d’un prix plancher facturé aux clients pour les frais d’envoi. En clair, cela empêcherait Amazon de supprimer les frais de port, un luxe que ne peuvent pas s’offrir ses concurrents.
Un cadeau pour Amazon ?
La proposition permet également aux collectivités locales d’apporter des subventions aux librairies dans la limite de 30 % de leur chiffre d’affaires. Un vrai bol d’air pour ces entreprises qui ont souffert pendant la crise sanitaire.
Ce texte emporte clairement le soutien du gouvernement à l’image de Roselyne Bachelot, la ministre de la Culture. Citée par le site Actualitte, elle explique sans nommer le géant de la Tech : « Un seul acteur pratique la gratuité quasi systématique ». Dès lors, la loi « va simplement contraindre cet acteur à faire payer l’expédition comme ses concurrents », estime-t-elle.
À noter que tous les membres de la chambre haute n’étaient pas du même avis. Ainsi, Martine Berthet, la sénatrice Les Républicains estime que la mesure pourrait entraîner « une hausse drastique du prix des livres » pour les consommateurs sans pour autant que les libraires ne gagnent de clients supplémentaires ».
Elle juge aussi que cette législation devrait au final profiter à Amazon qui en gonflant sa marge. « Amazon vend 40 millions de livres par an », analyse la parlementaire. En se basant sur un simple calcul, l’élue table donc sur 100 millions d’euros de chiffre d’affaires supplémentaire pour la firme de Jeff Bezos.
Cette analyse est confirmée par Roselyne Bachelot « Nous préservons sa rentabilité malgré lui, on ne peut pas le nier ». Toutefois, la ministre estime qu’au final cela devrait limiter la stratégie commerciale d’Amazon qui s’appuie sur les livres pour récupérer d’autres commandes.
Le texte poursuit pour l’heure son trajet parlementaire et il est actuellement entre les mains de l’Assemblée nationale.

Amazon et les libraires indépendants sont-ils logés à la même enseigne ? La réponse est non pour les sénateurs qui ont adopté le 8 juin dernier une loi visant à encadrer les conditions de vente à distance. Repéré par nos confrères de France Musique, ce texte prévoit notamment la création d’un prix plancher facturé aux clients pour les frais d’envoi. En clair, cela empêcherait Amazon de supprimer les frais de port, un luxe que ne peuvent pas s’offrir ses concurrents.
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La proposition permet également aux collectivités locales d’apporter des subventions aux librairies dans la limite de 30 % de leur chiffre d’affaires. Un vrai bol d’air pour ces entreprises qui ont souffert pendant la crise sanitaire.
Ce texte emporte clairement le soutien du gouvernement à l’image de Roselyne Bachelot, la ministre de la Culture. Citée par le site Actualitte, elle explique sans nommer le géant de la Tech : « Un seul acteur pratique la gratuité quasi systématique ». Dès lors, la loi « va simplement contraindre cet acteur à faire payer l’expédition comme ses concurrents », estime-t-elle.
À noter que tous les membres de la chambre haute n’étaient pas du même avis. Ainsi, Martine Berthet, la sénatrice Les Républicains estime que la mesure pourrait entraîner « une hausse drastique du prix des livres » pour les consommateurs sans pour autant que les libraires ne gagnent de clients supplémentaires ».
Elle juge aussi que cette législation devrait au final profiter à Amazon qui en gonflant sa marge. « Amazon vend 40 millions de livres par an », analyse la parlementaire. En se basant sur un simple calcul, l’élue table donc sur 100 millions d’euros de chiffre d’affaires supplémentaire pour la firme de Jeff Bezos.
Cette analyse est confirmée par Roselyne Bachelot « Nous préservons sa rentabilité malgré lui, on ne peut pas le nier ». Toutefois, la ministre estime qu’au final cela devrait limiter la stratégie commerciale d’Amazon qui s’appuie sur les livres pour récupérer d’autres commandes.
Le texte poursuit pour l’heure son trajet parlementaire et il est actuellement entre les mains de l’Assemblée nationale.

Amazon et les libraires indépendants sont-ils logés à la même enseigne ? La réponse est non pour les sénateurs qui ont adopté le 8 juin dernier une loi visant à encadrer les conditions de vente à distance. Repéré par nos confrères de France Musique, ce texte prévoit notamment la création d’un prix plancher facturé aux clients pour les frais d’envoi. En clair, cela empêcherait Amazon de supprimer les frais de port, un luxe que ne peuvent pas s’offrir ses concurrents.
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La proposition permet également aux collectivités locales d’apporter des subventions aux librairies dans la limite de 30 % de leur chiffre d’affaires. Un vrai bol d’air pour ces entreprises qui ont souffert pendant la crise sanitaire.
Ce texte emporte clairement le soutien du gouvernement à l’image de Roselyne Bachelot, la ministre de la Culture. Citée par le site Actualitte, elle explique sans nommer le géant de la Tech : « Un seul acteur pratique la gratuité quasi systématique ». Dès lors, la loi « va simplement contraindre cet acteur à faire payer l’expédition comme ses concurrents », estime-t-elle.
À noter que tous les membres de la chambre haute n’étaient pas du même avis. Ainsi, Martine Berthet, la sénatrice Les Républicains estime que la mesure pourrait entraîner « une hausse drastique du prix des livres » pour les consommateurs sans pour autant que les libraires ne gagnent de clients supplémentaires ».
Elle juge aussi que cette législation devrait au final profiter à Amazon qui en gonflant sa marge. « Amazon vend 40 millions de livres par an », analyse la parlementaire. En se basant sur un simple calcul, l’élue table donc sur 100 millions d’euros de chiffre d’affaires supplémentaire pour la firme de Jeff Bezos.
Cette analyse est confirmée par Roselyne Bachelot « Nous préservons sa rentabilité malgré lui, on ne peut pas le nier ». Toutefois, la ministre estime qu’au final cela devrait limiter la stratégie commerciale d’Amazon qui s’appuie sur les livres pour récupérer d’autres commandes.
Le texte poursuit pour l’heure son trajet parlementaire et il est actuellement entre les mains de l’Assemblée nationale.

Amazon et les libraires indépendants sont-ils logés à la même enseigne ? La réponse est non pour les sénateurs qui ont adopté le 8 juin dernier une loi visant à encadrer les conditions de vente à distance. Repéré par nos confrères de France Musique, ce texte prévoit notamment la création d’un prix plancher facturé aux clients pour les frais d’envoi. En clair, cela empêcherait Amazon de supprimer les frais de port, un luxe que ne peuvent pas s’offrir ses concurrents.
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La proposition permet également aux collectivités locales d’apporter des subventions aux librairies dans la limite de 30 % de leur chiffre d’affaires. Un vrai bol d’air pour ces entreprises qui ont souffert pendant la crise sanitaire.
Ce texte emporte clairement le soutien du gouvernement à l’image de Roselyne Bachelot, la ministre de la Culture. Citée par le site Actualitte, elle explique sans nommer le géant de la Tech : « Un seul acteur pratique la gratuité quasi systématique ». Dès lors, la loi « va simplement contraindre cet acteur à faire payer l’expédition comme ses concurrents », estime-t-elle.
À noter que tous les membres de la chambre haute n’étaient pas du même avis. Ainsi, Martine Berthet, la sénatrice Les Républicains estime que la mesure pourrait entraîner « une hausse drastique du prix des livres » pour les consommateurs sans pour autant que les libraires ne gagnent de clients supplémentaires ».
Elle juge aussi que cette législation devrait au final profiter à Amazon qui en gonflant sa marge. « Amazon vend 40 millions de livres par an », analyse la parlementaire. En se basant sur un simple calcul, l’élue table donc sur 100 millions d’euros de chiffre d’affaires supplémentaire pour la firme de Jeff Bezos.
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Elle juge aussi que cette législation devrait au final profiter à Amazon qui en gonflant sa marge. « Amazon vend 40 millions de livres par an », analyse la parlementaire. En se basant sur un simple calcul, l’élue table donc sur 100 millions d’euros de chiffre d’affaires supplémentaire pour la firme de Jeff Bezos.
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Elle juge aussi que cette législation devrait au final profiter à Amazon qui en gonflant sa marge. « Amazon vend 40 millions de livres par an », analyse la parlementaire. En se basant sur un simple calcul, l’élue table donc sur 100 millions d’euros de chiffre d’affaires supplémentaire pour la firme de Jeff Bezos.
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Amazon et les libraires indépendants sont-ils logés à la même enseigne ? La réponse est non pour les sénateurs qui ont adopté le 8 juin dernier une loi visant à encadrer les conditions de vente à distance. Repéré par nos confrères de France Musique, ce texte prévoit notamment la création d’un prix plancher facturé aux clients pour les frais d’envoi. En clair, cela empêcherait Amazon de supprimer les frais de port, un luxe que ne peuvent pas s’offrir ses concurrents.
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Ce texte emporte clairement le soutien du gouvernement à l’image de Roselyne Bachelot, la ministre de la Culture. Citée par le site Actualitte, elle explique sans nommer le géant de la Tech : « Un seul acteur pratique la gratuité quasi systématique ». Dès lors, la loi « va simplement contraindre cet acteur à faire payer l’expédition comme ses concurrents », estime-t-elle.
À noter que tous les membres de la chambre haute n’étaient pas du même avis. Ainsi, Martine Berthet, la sénatrice Les Républicains estime que la mesure pourrait entraîner « une hausse drastique du prix des livres » pour les consommateurs sans pour autant que les libraires ne gagnent de clients supplémentaires ».
Elle juge aussi que cette législation devrait au final profiter à Amazon qui en gonflant sa marge. « Amazon vend 40 millions de livres par an », analyse la parlementaire. En se basant sur un simple calcul, l’élue table donc sur 100 millions d’euros de chiffre d’affaires supplémentaire pour la firme de Jeff Bezos.
Cette analyse est confirmée par Roselyne Bachelot « Nous préservons sa rentabilité malgré lui, on ne peut pas le nier ». Toutefois, la ministre estime qu’au final cela devrait limiter la stratégie commerciale d’Amazon qui s’appuie sur les livres pour récupérer d’autres commandes.
Le texte poursuit pour l’heure son trajet parlementaire et il est actuellement entre les mains de l’Assemblée nationale.

Amazon et les libraires indépendants sont-ils logés à la même enseigne ? La réponse est non pour les sénateurs qui ont adopté le 8 juin dernier une loi visant à encadrer les conditions de vente à distance. Repéré par nos confrères de France Musique, ce texte prévoit notamment la création d’un prix plancher facturé aux clients pour les frais d’envoi. En clair, cela empêcherait Amazon de supprimer les frais de port, un luxe que ne peuvent pas s’offrir ses concurrents.
Un cadeau pour Amazon ?
La proposition permet également aux collectivités locales d’apporter des subventions aux librairies dans la limite de 30 % de leur chiffre d’affaires. Un vrai bol d’air pour ces entreprises qui ont souffert pendant la crise sanitaire.
Ce texte emporte clairement le soutien du gouvernement à l’image de Roselyne Bachelot, la ministre de la Culture. Citée par le site Actualitte, elle explique sans nommer le géant de la Tech : « Un seul acteur pratique la gratuité quasi systématique ». Dès lors, la loi « va simplement contraindre cet acteur à faire payer l’expédition comme ses concurrents », estime-t-elle.
À noter que tous les membres de la chambre haute n’étaient pas du même avis. Ainsi, Martine Berthet, la sénatrice Les Républicains estime que la mesure pourrait entraîner « une hausse drastique du prix des livres » pour les consommateurs sans pour autant que les libraires ne gagnent de clients supplémentaires ».
Elle juge aussi que cette législation devrait au final profiter à Amazon qui en gonflant sa marge. « Amazon vend 40 millions de livres par an », analyse la parlementaire. En se basant sur un simple calcul, l’élue table donc sur 100 millions d’euros de chiffre d’affaires supplémentaire pour la firme de Jeff Bezos.
Cette analyse est confirmée par Roselyne Bachelot « Nous préservons sa rentabilité malgré lui, on ne peut pas le nier ». Toutefois, la ministre estime qu’au final cela devrait limiter la stratégie commerciale d’Amazon qui s’appuie sur les livres pour récupérer d’autres commandes.
Le texte poursuit pour l’heure son trajet parlementaire et il est actuellement entre les mains de l’Assemblée nationale.

Amazon et les libraires indépendants sont-ils logés à la même enseigne ? La réponse est non pour les sénateurs qui ont adopté le 8 juin dernier une loi visant à encadrer les conditions de vente à distance. Repéré par nos confrères de France Musique, ce texte prévoit notamment la création d’un prix plancher facturé aux clients pour les frais d’envoi. En clair, cela empêcherait Amazon de supprimer les frais de port, un luxe que ne peuvent pas s’offrir ses concurrents.
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La proposition permet également aux collectivités locales d’apporter des subventions aux librairies dans la limite de 30 % de leur chiffre d’affaires. Un vrai bol d’air pour ces entreprises qui ont souffert pendant la crise sanitaire.
Ce texte emporte clairement le soutien du gouvernement à l’image de Roselyne Bachelot, la ministre de la Culture. Citée par le site Actualitte, elle explique sans nommer le géant de la Tech : « Un seul acteur pratique la gratuité quasi systématique ». Dès lors, la loi « va simplement contraindre cet acteur à faire payer l’expédition comme ses concurrents », estime-t-elle.
À noter que tous les membres de la chambre haute n’étaient pas du même avis. Ainsi, Martine Berthet, la sénatrice Les Républicains estime que la mesure pourrait entraîner « une hausse drastique du prix des livres » pour les consommateurs sans pour autant que les libraires ne gagnent de clients supplémentaires ».
Elle juge aussi que cette législation devrait au final profiter à Amazon qui en gonflant sa marge. « Amazon vend 40 millions de livres par an », analyse la parlementaire. En se basant sur un simple calcul, l’élue table donc sur 100 millions d’euros de chiffre d’affaires supplémentaire pour la firme de Jeff Bezos.
Cette analyse est confirmée par Roselyne Bachelot « Nous préservons sa rentabilité malgré lui, on ne peut pas le nier ». Toutefois, la ministre estime qu’au final cela devrait limiter la stratégie commerciale d’Amazon qui s’appuie sur les livres pour récupérer d’autres commandes.
Le texte poursuit pour l’heure son trajet parlementaire et il est actuellement entre les mains de l’Assemblée nationale.

Amazon et les libraires indépendants sont-ils logés à la même enseigne ? La réponse est non pour les sénateurs qui ont adopté le 8 juin dernier une loi visant à encadrer les conditions de vente à distance. Repéré par nos confrères de France Musique, ce texte prévoit notamment la création d’un prix plancher facturé aux clients pour les frais d’envoi. En clair, cela empêcherait Amazon de supprimer les frais de port, un luxe que ne peuvent pas s’offrir ses concurrents.
Un cadeau pour Amazon ?
La proposition permet également aux collectivités locales d’apporter des subventions aux librairies dans la limite de 30 % de leur chiffre d’affaires. Un vrai bol d’air pour ces entreprises qui ont souffert pendant la crise sanitaire.
Ce texte emporte clairement le soutien du gouvernement à l’image de Roselyne Bachelot, la ministre de la Culture. Citée par le site Actualitte, elle explique sans nommer le géant de la Tech : « Un seul acteur pratique la gratuité quasi systématique ». Dès lors, la loi « va simplement contraindre cet acteur à faire payer l’expédition comme ses concurrents », estime-t-elle.
À noter que tous les membres de la chambre haute n’étaient pas du même avis. Ainsi, Martine Berthet, la sénatrice Les Républicains estime que la mesure pourrait entraîner « une hausse drastique du prix des livres » pour les consommateurs sans pour autant que les libraires ne gagnent de clients supplémentaires ».
Elle juge aussi que cette législation devrait au final profiter à Amazon qui en gonflant sa marge. « Amazon vend 40 millions de livres par an », analyse la parlementaire. En se basant sur un simple calcul, l’élue table donc sur 100 millions d’euros de chiffre d’affaires supplémentaire pour la firme de Jeff Bezos.
Cette analyse est confirmée par Roselyne Bachelot « Nous préservons sa rentabilité malgré lui, on ne peut pas le nier ». Toutefois, la ministre estime qu’au final cela devrait limiter la stratégie commerciale d’Amazon qui s’appuie sur les livres pour récupérer d’autres commandes.
Le texte poursuit pour l’heure son trajet parlementaire et il est actuellement entre les mains de l’Assemblée nationale.

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À noter que tous les membres de la chambre haute n’étaient pas du même avis. Ainsi, Martine Berthet, la sénatrice Les Républicains estime que la mesure pourrait entraîner « une hausse drastique du prix des livres » pour les consommateurs sans pour autant que les libraires ne gagnent de clients supplémentaires ».
Elle juge aussi que cette législation devrait au final profiter à Amazon qui en gonflant sa marge. « Amazon vend 40 millions de livres par an », analyse la parlementaire. En se basant sur un simple calcul, l’élue table donc sur 100 millions d’euros de chiffre d’affaires supplémentaire pour la firme de Jeff Bezos.
Cette analyse est confirmée par Roselyne Bachelot « Nous préservons sa rentabilité malgré lui, on ne peut pas le nier ». Toutefois, la ministre estime qu’au final cela devrait limiter la stratégie commerciale d’Amazon qui s’appuie sur les livres pour récupérer d’autres commandes.
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Cette analyse est confirmée par Roselyne Bachelot « Nous préservons sa rentabilité malgré lui, on ne peut pas le nier ». Toutefois, la ministre estime qu’au final cela devrait limiter la stratégie commerciale d’Amazon qui s’appuie sur les livres pour récupérer d’autres commandes.
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La proposition permet également aux collectivités locales d’apporter des subventions aux librairies dans la limite de 30 % de leur chiffre d’affaires. Un vrai bol d’air pour ces entreprises qui ont souffert pendant la crise sanitaire.
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À noter que tous les membres de la chambre haute n’étaient pas du même avis. Ainsi, Martine Berthet, la sénatrice Les Républicains estime que la mesure pourrait entraîner « une hausse drastique du prix des livres » pour les consommateurs sans pour autant que les libraires ne gagnent de clients supplémentaires ».
Elle juge aussi que cette législation devrait au final profiter à Amazon qui en gonflant sa marge. « Amazon vend 40 millions de livres par an », analyse la parlementaire. En se basant sur un simple calcul, l’élue table donc sur 100 millions d’euros de chiffre d’affaires supplémentaire pour la firme de Jeff Bezos.
Cette analyse est confirmée par Roselyne Bachelot « Nous préservons sa rentabilité malgré lui, on ne peut pas le nier ». Toutefois, la ministre estime qu’au final cela devrait limiter la stratégie commerciale d’Amazon qui s’appuie sur les livres pour récupérer d’autres commandes.
Le texte poursuit pour l’heure son trajet parlementaire et il est actuellement entre les mains de l’Assemblée nationale.

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Elle juge aussi que cette législation devrait au final profiter à Amazon qui en gonflant sa marge. « Amazon vend 40 millions de livres par an », analyse la parlementaire. En se basant sur un simple calcul, l’élue table donc sur 100 millions d’euros de chiffre d’affaires supplémentaire pour la firme de Jeff Bezos.
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Le texte poursuit pour l’heure son trajet parlementaire et il est actuellement entre les mains de l’Assemblée nationale.

Amazon et les libraires indépendants sont-ils logés à la même enseigne ? La réponse est non pour les sénateurs qui ont adopté le 8 juin dernier une loi visant à encadrer les conditions de vente à distance. Repéré par nos confrères de France Musique, ce texte prévoit notamment la création d’un prix plancher facturé aux clients pour les frais d’envoi. En clair, cela empêcherait Amazon de supprimer les frais de port, un luxe que ne peuvent pas s’offrir ses concurrents.
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Cette analyse est confirmée par Roselyne Bachelot « Nous préservons sa rentabilité malgré lui, on ne peut pas le nier ». Toutefois, la ministre estime qu’au final cela devrait limiter la stratégie commerciale d’Amazon qui s’appuie sur les livres pour récupérer d’autres commandes.
Le texte poursuit pour l’heure son trajet parlementaire et il est actuellement entre les mains de l’Assemblée nationale.

Amazon et les libraires indépendants sont-ils logés à la même enseigne ? La réponse est non pour les sénateurs qui ont adopté le 8 juin dernier une loi visant à encadrer les conditions de vente à distance. Repéré par nos confrères de France Musique, ce texte prévoit notamment la création d’un prix plancher facturé aux clients pour les frais d’envoi. En clair, cela empêcherait Amazon de supprimer les frais de port, un luxe que ne peuvent pas s’offrir ses concurrents.
Un cadeau pour Amazon ?
La proposition permet également aux collectivités locales d’apporter des subventions aux librairies dans la limite de 30 % de leur chiffre d’affaires. Un vrai bol d’air pour ces entreprises qui ont souffert pendant la crise sanitaire.
Ce texte emporte clairement le soutien du gouvernement à l’image de Roselyne Bachelot, la ministre de la Culture. Citée par le site Actualitte, elle explique sans nommer le géant de la Tech : « Un seul acteur pratique la gratuité quasi systématique ». Dès lors, la loi « va simplement contraindre cet acteur à faire payer l’expédition comme ses concurrents », estime-t-elle.
À noter que tous les membres de la chambre haute n’étaient pas du même avis. Ainsi, Martine Berthet, la sénatrice Les Républicains estime que la mesure pourrait entraîner « une hausse drastique du prix des livres » pour les consommateurs sans pour autant que les libraires ne gagnent de clients supplémentaires ».
Elle juge aussi que cette législation devrait au final profiter à Amazon qui en gonflant sa marge. « Amazon vend 40 millions de livres par an », analyse la parlementaire. En se basant sur un simple calcul, l’élue table donc sur 100 millions d’euros de chiffre d’affaires supplémentaire pour la firme de Jeff Bezos.
Cette analyse est confirmée par Roselyne Bachelot « Nous préservons sa rentabilité malgré lui, on ne peut pas le nier ». Toutefois, la ministre estime qu’au final cela devrait limiter la stratégie commerciale d’Amazon qui s’appuie sur les livres pour récupérer d’autres commandes.
Le texte poursuit pour l’heure son trajet parlementaire et il est actuellement entre les mains de l’Assemblée nationale.

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La proposition permet également aux collectivités locales d’apporter des subventions aux librairies dans la limite de 30 % de leur chiffre d’affaires. Un vrai bol d’air pour ces entreprises qui ont souffert pendant la crise sanitaire.
Ce texte emporte clairement le soutien du gouvernement à l’image de Roselyne Bachelot, la ministre de la Culture. Citée par le site Actualitte, elle explique sans nommer le géant de la Tech : « Un seul acteur pratique la gratuité quasi systématique ». Dès lors, la loi « va simplement contraindre cet acteur à faire payer l’expédition comme ses concurrents », estime-t-elle.
À noter que tous les membres de la chambre haute n’étaient pas du même avis. Ainsi, Martine Berthet, la sénatrice Les Républicains estime que la mesure pourrait entraîner « une hausse drastique du prix des livres » pour les consommateurs sans pour autant que les libraires ne gagnent de clients supplémentaires ».
Elle juge aussi que cette législation devrait au final profiter à Amazon qui en gonflant sa marge. « Amazon vend 40 millions de livres par an », analyse la parlementaire. En se basant sur un simple calcul, l’élue table donc sur 100 millions d’euros de chiffre d’affaires supplémentaire pour la firme de Jeff Bezos.
Cette analyse est confirmée par Roselyne Bachelot « Nous préservons sa rentabilité malgré lui, on ne peut pas le nier ». Toutefois, la ministre estime qu’au final cela devrait limiter la stratégie commerciale d’Amazon qui s’appuie sur les livres pour récupérer d’autres commandes.
Le texte poursuit pour l’heure son trajet parlementaire et il est actuellement entre les mains de l’Assemblée nationale.

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La proposition permet également aux collectivités locales d’apporter des subventions aux librairies dans la limite de 30 % de leur chiffre d’affaires. Un vrai bol d’air pour ces entreprises qui ont souffert pendant la crise sanitaire.
Ce texte emporte clairement le soutien du gouvernement à l’image de Roselyne Bachelot, la ministre de la Culture. Citée par le site Actualitte, elle explique sans nommer le géant de la Tech : « Un seul acteur pratique la gratuité quasi systématique ». Dès lors, la loi « va simplement contraindre cet acteur à faire payer l’expédition comme ses concurrents », estime-t-elle.
À noter que tous les membres de la chambre haute n’étaient pas du même avis. Ainsi, Martine Berthet, la sénatrice Les Républicains estime que la mesure pourrait entraîner « une hausse drastique du prix des livres » pour les consommateurs sans pour autant que les libraires ne gagnent de clients supplémentaires ».
Elle juge aussi que cette législation devrait au final profiter à Amazon qui en gonflant sa marge. « Amazon vend 40 millions de livres par an », analyse la parlementaire. En se basant sur un simple calcul, l’élue table donc sur 100 millions d’euros de chiffre d’affaires supplémentaire pour la firme de Jeff Bezos.
Cette analyse est confirmée par Roselyne Bachelot « Nous préservons sa rentabilité malgré lui, on ne peut pas le nier ». Toutefois, la ministre estime qu’au final cela devrait limiter la stratégie commerciale d’Amazon qui s’appuie sur les livres pour récupérer d’autres commandes.
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À noter que tous les membres de la chambre haute n’étaient pas du même avis. Ainsi, Martine Berthet, la sénatrice Les Républicains estime que la mesure pourrait entraîner « une hausse drastique du prix des livres » pour les consommateurs sans pour autant que les libraires ne gagnent de clients supplémentaires ».
Elle juge aussi que cette législation devrait au final profiter à Amazon qui en gonflant sa marge. « Amazon vend 40 millions de livres par an », analyse la parlementaire. En se basant sur un simple calcul, l’élue table donc sur 100 millions d’euros de chiffre d’affaires supplémentaire pour la firme de Jeff Bezos.
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Elle juge aussi que cette législation devrait au final profiter à Amazon qui en gonflant sa marge. « Amazon vend 40 millions de livres par an », analyse la parlementaire. En se basant sur un simple calcul, l’élue table donc sur 100 millions d’euros de chiffre d’affaires supplémentaire pour la firme de Jeff Bezos.
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Elle juge aussi que cette législation devrait au final profiter à Amazon qui en gonflant sa marge. « Amazon vend 40 millions de livres par an », analyse la parlementaire. En se basant sur un simple calcul, l’élue table donc sur 100 millions d’euros de chiffre d’affaires supplémentaire pour la firme de Jeff Bezos.
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La proposition permet également aux collectivités locales d’apporter des subventions aux librairies dans la limite de 30 % de leur chiffre d’affaires. Un vrai bol d’air pour ces entreprises qui ont souffert pendant la crise sanitaire.
Ce texte emporte clairement le soutien du gouvernement à l’image de Roselyne Bachelot, la ministre de la Culture. Citée par le site Actualitte, elle explique sans nommer le géant de la Tech : « Un seul acteur pratique la gratuité quasi systématique ». Dès lors, la loi « va simplement contraindre cet acteur à faire payer l’expédition comme ses concurrents », estime-t-elle.
À noter que tous les membres de la chambre haute n’étaient pas du même avis. Ainsi, Martine Berthet, la sénatrice Les Républicains estime que la mesure pourrait entraîner « une hausse drastique du prix des livres » pour les consommateurs sans pour autant que les libraires ne gagnent de clients supplémentaires ».
Elle juge aussi que cette législation devrait au final profiter à Amazon qui en gonflant sa marge. « Amazon vend 40 millions de livres par an », analyse la parlementaire. En se basant sur un simple calcul, l’élue table donc sur 100 millions d’euros de chiffre d’affaires supplémentaire pour la firme de Jeff Bezos.
Cette analyse est confirmée par Roselyne Bachelot « Nous préservons sa rentabilité malgré lui, on ne peut pas le nier ». Toutefois, la ministre estime qu’au final cela devrait limiter la stratégie commerciale d’Amazon qui s’appuie sur les livres pour récupérer d’autres commandes.
Le texte poursuit pour l’heure son trajet parlementaire et il est actuellement entre les mains de l’Assemblée nationale.

Amazon et les libraires indépendants sont-ils logés à la même enseigne ? La réponse est non pour les sénateurs qui ont adopté le 8 juin dernier une loi visant à encadrer les conditions de vente à distance. Repéré par nos confrères de France Musique, ce texte prévoit notamment la création d’un prix plancher facturé aux clients pour les frais d’envoi. En clair, cela empêcherait Amazon de supprimer les frais de port, un luxe que ne peuvent pas s’offrir ses concurrents.
Un cadeau pour Amazon ?
La proposition permet également aux collectivités locales d’apporter des subventions aux librairies dans la limite de 30 % de leur chiffre d’affaires. Un vrai bol d’air pour ces entreprises qui ont souffert pendant la crise sanitaire.
Ce texte emporte clairement le soutien du gouvernement à l’image de Roselyne Bachelot, la ministre de la Culture. Citée par le site Actualitte, elle explique sans nommer le géant de la Tech : « Un seul acteur pratique la gratuité quasi systématique ». Dès lors, la loi « va simplement contraindre cet acteur à faire payer l’expédition comme ses concurrents », estime-t-elle.
À noter que tous les membres de la chambre haute n’étaient pas du même avis. Ainsi, Martine Berthet, la sénatrice Les Républicains estime que la mesure pourrait entraîner « une hausse drastique du prix des livres » pour les consommateurs sans pour autant que les libraires ne gagnent de clients supplémentaires ».
Elle juge aussi que cette législation devrait au final profiter à Amazon qui en gonflant sa marge. « Amazon vend 40 millions de livres par an », analyse la parlementaire. En se basant sur un simple calcul, l’élue table donc sur 100 millions d’euros de chiffre d’affaires supplémentaire pour la firme de Jeff Bezos.
Cette analyse est confirmée par Roselyne Bachelot « Nous préservons sa rentabilité malgré lui, on ne peut pas le nier ». Toutefois, la ministre estime qu’au final cela devrait limiter la stratégie commerciale d’Amazon qui s’appuie sur les livres pour récupérer d’autres commandes.
Le texte poursuit pour l’heure son trajet parlementaire et il est actuellement entre les mains de l’Assemblée nationale.

Amazon et les libraires indépendants sont-ils logés à la même enseigne ? La réponse est non pour les sénateurs qui ont adopté le 8 juin dernier une loi visant à encadrer les conditions de vente à distance. Repéré par nos confrères de France Musique, ce texte prévoit notamment la création d’un prix plancher facturé aux clients pour les frais d’envoi. En clair, cela empêcherait Amazon de supprimer les frais de port, un luxe que ne peuvent pas s’offrir ses concurrents.
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La proposition permet également aux collectivités locales d’apporter des subventions aux librairies dans la limite de 30 % de leur chiffre d’affaires. Un vrai bol d’air pour ces entreprises qui ont souffert pendant la crise sanitaire.
Ce texte emporte clairement le soutien du gouvernement à l’image de Roselyne Bachelot, la ministre de la Culture. Citée par le site Actualitte, elle explique sans nommer le géant de la Tech : « Un seul acteur pratique la gratuité quasi systématique ». Dès lors, la loi « va simplement contraindre cet acteur à faire payer l’expédition comme ses concurrents », estime-t-elle.
À noter que tous les membres de la chambre haute n’étaient pas du même avis. Ainsi, Martine Berthet, la sénatrice Les Républicains estime que la mesure pourrait entraîner « une hausse drastique du prix des livres » pour les consommateurs sans pour autant que les libraires ne gagnent de clients supplémentaires ».
Elle juge aussi que cette législation devrait au final profiter à Amazon qui en gonflant sa marge. « Amazon vend 40 millions de livres par an », analyse la parlementaire. En se basant sur un simple calcul, l’élue table donc sur 100 millions d’euros de chiffre d’affaires supplémentaire pour la firme de Jeff Bezos.
Cette analyse est confirmée par Roselyne Bachelot « Nous préservons sa rentabilité malgré lui, on ne peut pas le nier ». Toutefois, la ministre estime qu’au final cela devrait limiter la stratégie commerciale d’Amazon qui s’appuie sur les livres pour récupérer d’autres commandes.
Le texte poursuit pour l’heure son trajet parlementaire et il est actuellement entre les mains de l’Assemblée nationale.

Amazon et les libraires indépendants sont-ils logés à la même enseigne ? La réponse est non pour les sénateurs qui ont adopté le 8 juin dernier une loi visant à encadrer les conditions de vente à distance. Repéré par nos confrères de France Musique, ce texte prévoit notamment la création d’un prix plancher facturé aux clients pour les frais d’envoi. En clair, cela empêcherait Amazon de supprimer les frais de port, un luxe que ne peuvent pas s’offrir ses concurrents.
Un cadeau pour Amazon ?
La proposition permet également aux collectivités locales d’apporter des subventions aux librairies dans la limite de 30 % de leur chiffre d’affaires. Un vrai bol d’air pour ces entreprises qui ont souffert pendant la crise sanitaire.
Ce texte emporte clairement le soutien du gouvernement à l’image de Roselyne Bachelot, la ministre de la Culture. Citée par le site Actualitte, elle explique sans nommer le géant de la Tech : « Un seul acteur pratique la gratuité quasi systématique ». Dès lors, la loi « va simplement contraindre cet acteur à faire payer l’expédition comme ses concurrents », estime-t-elle.
À noter que tous les membres de la chambre haute n’étaient pas du même avis. Ainsi, Martine Berthet, la sénatrice Les Républicains estime que la mesure pourrait entraîner « une hausse drastique du prix des livres » pour les consommateurs sans pour autant que les libraires ne gagnent de clients supplémentaires ».
Elle juge aussi que cette législation devrait au final profiter à Amazon qui en gonflant sa marge. « Amazon vend 40 millions de livres par an », analyse la parlementaire. En se basant sur un simple calcul, l’élue table donc sur 100 millions d’euros de chiffre d’affaires supplémentaire pour la firme de Jeff Bezos.
Cette analyse est confirmée par Roselyne Bachelot « Nous préservons sa rentabilité malgré lui, on ne peut pas le nier ». Toutefois, la ministre estime qu’au final cela devrait limiter la stratégie commerciale d’Amazon qui s’appuie sur les livres pour récupérer d’autres commandes.
Le texte poursuit pour l’heure son trajet parlementaire et il est actuellement entre les mains de l’Assemblée nationale.

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À noter que tous les membres de la chambre haute n’étaient pas du même avis. Ainsi, Martine Berthet, la sénatrice Les Républicains estime que la mesure pourrait entraîner « une hausse drastique du prix des livres » pour les consommateurs sans pour autant que les libraires ne gagnent de clients supplémentaires ».
Elle juge aussi que cette législation devrait au final profiter à Amazon qui en gonflant sa marge. « Amazon vend 40 millions de livres par an », analyse la parlementaire. En se basant sur un simple calcul, l’élue table donc sur 100 millions d’euros de chiffre d’affaires supplémentaire pour la firme de Jeff Bezos.
Cette analyse est confirmée par Roselyne Bachelot « Nous préservons sa rentabilité malgré lui, on ne peut pas le nier ». Toutefois, la ministre estime qu’au final cela devrait limiter la stratégie commerciale d’Amazon qui s’appuie sur les livres pour récupérer d’autres commandes.
Le texte poursuit pour l’heure son trajet parlementaire et il est actuellement entre les mains de l’Assemblée nationale.

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Elle juge aussi que cette législation devrait au final profiter à Amazon qui en gonflant sa marge. « Amazon vend 40 millions de livres par an », analyse la parlementaire. En se basant sur un simple calcul, l’élue table donc sur 100 millions d’euros de chiffre d’affaires supplémentaire pour la firme de Jeff Bezos.
Cette analyse est confirmée par Roselyne Bachelot « Nous préservons sa rentabilité malgré lui, on ne peut pas le nier ». Toutefois, la ministre estime qu’au final cela devrait limiter la stratégie commerciale d’Amazon qui s’appuie sur les livres pour récupérer d’autres commandes.
Le texte poursuit pour l’heure son trajet parlementaire et il est actuellement entre les mains de l’Assemblée nationale.

Amazon et les libraires indépendants sont-ils logés à la même enseigne ? La réponse est non pour les sénateurs qui ont adopté le 8 juin dernier une loi visant à encadrer les conditions de vente à distance. Repéré par nos confrères de France Musique, ce texte prévoit notamment la création d’un prix plancher facturé aux clients pour les frais d’envoi. En clair, cela empêcherait Amazon de supprimer les frais de port, un luxe que ne peuvent pas s’offrir ses concurrents.
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La proposition permet également aux collectivités locales d’apporter des subventions aux librairies dans la limite de 30 % de leur chiffre d’affaires. Un vrai bol d’air pour ces entreprises qui ont souffert pendant la crise sanitaire.
Ce texte emporte clairement le soutien du gouvernement à l’image de Roselyne Bachelot, la ministre de la Culture. Citée par le site Actualitte, elle explique sans nommer le géant de la Tech : « Un seul acteur pratique la gratuité quasi systématique ». Dès lors, la loi « va simplement contraindre cet acteur à faire payer l’expédition comme ses concurrents », estime-t-elle.
À noter que tous les membres de la chambre haute n’étaient pas du même avis. Ainsi, Martine Berthet, la sénatrice Les Républicains estime que la mesure pourrait entraîner « une hausse drastique du prix des livres » pour les consommateurs sans pour autant que les libraires ne gagnent de clients supplémentaires ».
Elle juge aussi que cette législation devrait au final profiter à Amazon qui en gonflant sa marge. « Amazon vend 40 millions de livres par an », analyse la parlementaire. En se basant sur un simple calcul, l’élue table donc sur 100 millions d’euros de chiffre d’affaires supplémentaire pour la firme de Jeff Bezos.
Cette analyse est confirmée par Roselyne Bachelot « Nous préservons sa rentabilité malgré lui, on ne peut pas le nier ». Toutefois, la ministre estime qu’au final cela devrait limiter la stratégie commerciale d’Amazon qui s’appuie sur les livres pour récupérer d’autres commandes.
Le texte poursuit pour l’heure son trajet parlementaire et il est actuellement entre les mains de l’Assemblée nationale.

Amazon et les libraires indépendants sont-ils logés à la même enseigne ? La réponse est non pour les sénateurs qui ont adopté le 8 juin dernier une loi visant à encadrer les conditions de vente à distance. Repéré par nos confrères de France Musique, ce texte prévoit notamment la création d’un prix plancher facturé aux clients pour les frais d’envoi. En clair, cela empêcherait Amazon de supprimer les frais de port, un luxe que ne peuvent pas s’offrir ses concurrents.
Un cadeau pour Amazon ?
La proposition permet également aux collectivités locales d’apporter des subventions aux librairies dans la limite de 30 % de leur chiffre d’affaires. Un vrai bol d’air pour ces entreprises qui ont souffert pendant la crise sanitaire.
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À noter que tous les membres de la chambre haute n’étaient pas du même avis. Ainsi, Martine Berthet, la sénatrice Les Républicains estime que la mesure pourrait entraîner « une hausse drastique du prix des livres » pour les consommateurs sans pour autant que les libraires ne gagnent de clients supplémentaires ».
Elle juge aussi que cette législation devrait au final profiter à Amazon qui en gonflant sa marge. « Amazon vend 40 millions de livres par an », analyse la parlementaire. En se basant sur un simple calcul, l’élue table donc sur 100 millions d’euros de chiffre d’affaires supplémentaire pour la firme de Jeff Bezos.
Cette analyse est confirmée par Roselyne Bachelot « Nous préservons sa rentabilité malgré lui, on ne peut pas le nier ». Toutefois, la ministre estime qu’au final cela devrait limiter la stratégie commerciale d’Amazon qui s’appuie sur les livres pour récupérer d’autres commandes.
Le texte poursuit pour l’heure son trajet parlementaire et il est actuellement entre les mains de l’Assemblée nationale.

Amazon et les libraires indépendants sont-ils logés à la même enseigne ? La réponse est non pour les sénateurs qui ont adopté le 8 juin dernier une loi visant à encadrer les conditions de vente à distance. Repéré par nos confrères de France Musique, ce texte prévoit notamment la création d’un prix plancher facturé aux clients pour les frais d’envoi. En clair, cela empêcherait Amazon de supprimer les frais de port, un luxe que ne peuvent pas s’offrir ses concurrents.
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La proposition permet également aux collectivités locales d’apporter des subventions aux librairies dans la limite de 30 % de leur chiffre d’affaires. Un vrai bol d’air pour ces entreprises qui ont souffert pendant la crise sanitaire.
Ce texte emporte clairement le soutien du gouvernement à l’image de Roselyne Bachelot, la ministre de la Culture. Citée par le site Actualitte, elle explique sans nommer le géant de la Tech : « Un seul acteur pratique la gratuité quasi systématique ». Dès lors, la loi « va simplement contraindre cet acteur à faire payer l’expédition comme ses concurrents », estime-t-elle.
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Elle juge aussi que cette législation devrait au final profiter à Amazon qui en gonflant sa marge. « Amazon vend 40 millions de livres par an », analyse la parlementaire. En se basant sur un simple calcul, l’élue table donc sur 100 millions d’euros de chiffre d’affaires supplémentaire pour la firme de Jeff Bezos.
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À noter que tous les membres de la chambre haute n’étaient pas du même avis. Ainsi, Martine Berthet, la sénatrice Les Républicains estime que la mesure pourrait entraîner « une hausse drastique du prix des livres » pour les consommateurs sans pour autant que les libraires ne gagnent de clients supplémentaires ».
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