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Quand les stalkerwares menacent aussi les harceleurs

Rédacteur Digital RoundUp Par Rédacteur Digital RoundUp
14/10/2021
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C’est un phénomène très inquiétant qui prend de l’ampleur. Le recours aux stalkerwares est en explosion depuis plusieurs années. Pour rappel, il s’agit de logiciels de surveillance installés sur un appareil d’une victime et qui permettent d’espionner sa localisation, ses conversations, ses images, ou encore son historique de navigation. Cette pratique concerne souvent des membres de familles proche, des amis, ou s’exerce dans le cadre professionnel.

La société de cybersécurité ESET a mené une étude sur ces applications. Dans le détail, les experts ont analysé manuellement 86 services disponibles sur Android. Ils ont pu identifier 158 graves problèmes de sécurité et de confidentialité qui pourraient notamment permettre à une attaquant de prendre le contrôle de l’appareil d’une victime à distance.

Union sacrée contre les stalkerwares

Plus surprenant, le harceleur qui recourt à ce type de dispositif peut aussi être inquiété et des acteurs malveillant pourraient aussi prendre le contrôle de leur compte. À ce sujet, les analystes précisent :

Cette étude devrait servir d’avertissement aux futurs clients potentiels de ces logiciels de harcèlement pour qu’ils reconsidèrent l’utilisation de ces applications contre leurs conjoints et leurs proches, car non seulement c’est contraire à l’éthique, mais cela peut également entraîner la révélation d’informations privées et intimes de leurs conjoints et les exposer à des cyberattaques et à la fraude. Comme il peut y avoir une relation étroite entre le harceleur et la victime, les informations privées du harceleur peuvent également être exposées. Au cours de nos recherches, nous avons constaté que certains stalkerwares conservent des informations sur les harceleurs qui utilisent l’application et rassemblent les données de leurs victimes sur un serveur, même après qu’ils aient demandé la suppression de ces informations.

Pour rappel, en 2019, dix organisations ont décidé de s’unir face à cette menace grandissante. Il en va ainsi des entreprises de cybersécurité telles qu’Avira, Norton, Kaspersky ou encore Malwarebytes, mais aussi des associations d’aide aux victimes de violences domestiques. Tous s’engagent à fédérer leur travail contre ce type de logiciel espion. Un site stopstalkerware.org a aussi été créé afin de donner des informations aux victimes de piratage.

Antivirus Bitdefender Plus
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Par : Bitdefender

C’est un phénomène très inquiétant qui prend de l’ampleur. Le recours aux stalkerwares est en explosion depuis plusieurs années. Pour rappel, il s’agit de logiciels de surveillance installés sur un appareil d’une victime et qui permettent d’espionner sa localisation, ses conversations, ses images, ou encore son historique de navigation. Cette pratique concerne souvent des membres de familles proche, des amis, ou s’exerce dans le cadre professionnel.

La société de cybersécurité ESET a mené une étude sur ces applications. Dans le détail, les experts ont analysé manuellement 86 services disponibles sur Android. Ils ont pu identifier 158 graves problèmes de sécurité et de confidentialité qui pourraient notamment permettre à une attaquant de prendre le contrôle de l’appareil d’une victime à distance.

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Plus surprenant, le harceleur qui recourt à ce type de dispositif peut aussi être inquiété et des acteurs malveillant pourraient aussi prendre le contrôle de leur compte. À ce sujet, les analystes précisent :

Cette étude devrait servir d’avertissement aux futurs clients potentiels de ces logiciels de harcèlement pour qu’ils reconsidèrent l’utilisation de ces applications contre leurs conjoints et leurs proches, car non seulement c’est contraire à l’éthique, mais cela peut également entraîner la révélation d’informations privées et intimes de leurs conjoints et les exposer à des cyberattaques et à la fraude. Comme il peut y avoir une relation étroite entre le harceleur et la victime, les informations privées du harceleur peuvent également être exposées. Au cours de nos recherches, nous avons constaté que certains stalkerwares conservent des informations sur les harceleurs qui utilisent l’application et rassemblent les données de leurs victimes sur un serveur, même après qu’ils aient demandé la suppression de ces informations.

Pour rappel, en 2019, dix organisations ont décidé de s’unir face à cette menace grandissante. Il en va ainsi des entreprises de cybersécurité telles qu’Avira, Norton, Kaspersky ou encore Malwarebytes, mais aussi des associations d’aide aux victimes de violences domestiques. Tous s’engagent à fédérer leur travail contre ce type de logiciel espion. Un site stopstalkerware.org a aussi été créé afin de donner des informations aux victimes de piratage.

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C’est un phénomène très inquiétant qui prend de l’ampleur. Le recours aux stalkerwares est en explosion depuis plusieurs années. Pour rappel, il s’agit de logiciels de surveillance installés sur un appareil d’une victime et qui permettent d’espionner sa localisation, ses conversations, ses images, ou encore son historique de navigation. Cette pratique concerne souvent des membres de familles proche, des amis, ou s’exerce dans le cadre professionnel.

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Cette étude devrait servir d’avertissement aux futurs clients potentiels de ces logiciels de harcèlement pour qu’ils reconsidèrent l’utilisation de ces applications contre leurs conjoints et leurs proches, car non seulement c’est contraire à l’éthique, mais cela peut également entraîner la révélation d’informations privées et intimes de leurs conjoints et les exposer à des cyberattaques et à la fraude. Comme il peut y avoir une relation étroite entre le harceleur et la victime, les informations privées du harceleur peuvent également être exposées. Au cours de nos recherches, nous avons constaté que certains stalkerwares conservent des informations sur les harceleurs qui utilisent l’application et rassemblent les données de leurs victimes sur un serveur, même après qu’ils aient demandé la suppression de ces informations.

Pour rappel, en 2019, dix organisations ont décidé de s’unir face à cette menace grandissante. Il en va ainsi des entreprises de cybersécurité telles qu’Avira, Norton, Kaspersky ou encore Malwarebytes, mais aussi des associations d’aide aux victimes de violences domestiques. Tous s’engagent à fédérer leur travail contre ce type de logiciel espion. Un site stopstalkerware.org a aussi été créé afin de donner des informations aux victimes de piratage.

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C’est un phénomène très inquiétant qui prend de l’ampleur. Le recours aux stalkerwares est en explosion depuis plusieurs années. Pour rappel, il s’agit de logiciels de surveillance installés sur un appareil d’une victime et qui permettent d’espionner sa localisation, ses conversations, ses images, ou encore son historique de navigation. Cette pratique concerne souvent des membres de familles proche, des amis, ou s’exerce dans le cadre professionnel.

La société de cybersécurité ESET a mené une étude sur ces applications. Dans le détail, les experts ont analysé manuellement 86 services disponibles sur Android. Ils ont pu identifier 158 graves problèmes de sécurité et de confidentialité qui pourraient notamment permettre à une attaquant de prendre le contrôle de l’appareil d’une victime à distance.

Union sacrée contre les stalkerwares

Plus surprenant, le harceleur qui recourt à ce type de dispositif peut aussi être inquiété et des acteurs malveillant pourraient aussi prendre le contrôle de leur compte. À ce sujet, les analystes précisent :

Cette étude devrait servir d’avertissement aux futurs clients potentiels de ces logiciels de harcèlement pour qu’ils reconsidèrent l’utilisation de ces applications contre leurs conjoints et leurs proches, car non seulement c’est contraire à l’éthique, mais cela peut également entraîner la révélation d’informations privées et intimes de leurs conjoints et les exposer à des cyberattaques et à la fraude. Comme il peut y avoir une relation étroite entre le harceleur et la victime, les informations privées du harceleur peuvent également être exposées. Au cours de nos recherches, nous avons constaté que certains stalkerwares conservent des informations sur les harceleurs qui utilisent l’application et rassemblent les données de leurs victimes sur un serveur, même après qu’ils aient demandé la suppression de ces informations.

Pour rappel, en 2019, dix organisations ont décidé de s’unir face à cette menace grandissante. Il en va ainsi des entreprises de cybersécurité telles qu’Avira, Norton, Kaspersky ou encore Malwarebytes, mais aussi des associations d’aide aux victimes de violences domestiques. Tous s’engagent à fédérer leur travail contre ce type de logiciel espion. Un site stopstalkerware.org a aussi été créé afin de donner des informations aux victimes de piratage.

Antivirus Bitdefender Plus
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C’est un phénomène très inquiétant qui prend de l’ampleur. Le recours aux stalkerwares est en explosion depuis plusieurs années. Pour rappel, il s’agit de logiciels de surveillance installés sur un appareil d’une victime et qui permettent d’espionner sa localisation, ses conversations, ses images, ou encore son historique de navigation. Cette pratique concerne souvent des membres de familles proche, des amis, ou s’exerce dans le cadre professionnel.

La société de cybersécurité ESET a mené une étude sur ces applications. Dans le détail, les experts ont analysé manuellement 86 services disponibles sur Android. Ils ont pu identifier 158 graves problèmes de sécurité et de confidentialité qui pourraient notamment permettre à une attaquant de prendre le contrôle de l’appareil d’une victime à distance.

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Plus surprenant, le harceleur qui recourt à ce type de dispositif peut aussi être inquiété et des acteurs malveillant pourraient aussi prendre le contrôle de leur compte. À ce sujet, les analystes précisent :

Cette étude devrait servir d’avertissement aux futurs clients potentiels de ces logiciels de harcèlement pour qu’ils reconsidèrent l’utilisation de ces applications contre leurs conjoints et leurs proches, car non seulement c’est contraire à l’éthique, mais cela peut également entraîner la révélation d’informations privées et intimes de leurs conjoints et les exposer à des cyberattaques et à la fraude. Comme il peut y avoir une relation étroite entre le harceleur et la victime, les informations privées du harceleur peuvent également être exposées. Au cours de nos recherches, nous avons constaté que certains stalkerwares conservent des informations sur les harceleurs qui utilisent l’application et rassemblent les données de leurs victimes sur un serveur, même après qu’ils aient demandé la suppression de ces informations.

Pour rappel, en 2019, dix organisations ont décidé de s’unir face à cette menace grandissante. Il en va ainsi des entreprises de cybersécurité telles qu’Avira, Norton, Kaspersky ou encore Malwarebytes, mais aussi des associations d’aide aux victimes de violences domestiques. Tous s’engagent à fédérer leur travail contre ce type de logiciel espion. Un site stopstalkerware.org a aussi été créé afin de donner des informations aux victimes de piratage.

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Union sacrée contre les stalkerwares

Plus surprenant, le harceleur qui recourt à ce type de dispositif peut aussi être inquiété et des acteurs malveillant pourraient aussi prendre le contrôle de leur compte. À ce sujet, les analystes précisent :

Cette étude devrait servir d’avertissement aux futurs clients potentiels de ces logiciels de harcèlement pour qu’ils reconsidèrent l’utilisation de ces applications contre leurs conjoints et leurs proches, car non seulement c’est contraire à l’éthique, mais cela peut également entraîner la révélation d’informations privées et intimes de leurs conjoints et les exposer à des cyberattaques et à la fraude. Comme il peut y avoir une relation étroite entre le harceleur et la victime, les informations privées du harceleur peuvent également être exposées. Au cours de nos recherches, nous avons constaté que certains stalkerwares conservent des informations sur les harceleurs qui utilisent l’application et rassemblent les données de leurs victimes sur un serveur, même après qu’ils aient demandé la suppression de ces informations.

Pour rappel, en 2019, dix organisations ont décidé de s’unir face à cette menace grandissante. Il en va ainsi des entreprises de cybersécurité telles qu’Avira, Norton, Kaspersky ou encore Malwarebytes, mais aussi des associations d’aide aux victimes de violences domestiques. Tous s’engagent à fédérer leur travail contre ce type de logiciel espion. Un site stopstalkerware.org a aussi été créé afin de donner des informations aux victimes de piratage.

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Par : Bitdefender

C’est un phénomène très inquiétant qui prend de l’ampleur. Le recours aux stalkerwares est en explosion depuis plusieurs années. Pour rappel, il s’agit de logiciels de surveillance installés sur un appareil d’une victime et qui permettent d’espionner sa localisation, ses conversations, ses images, ou encore son historique de navigation. Cette pratique concerne souvent des membres de familles proche, des amis, ou s’exerce dans le cadre professionnel.

La société de cybersécurité ESET a mené une étude sur ces applications. Dans le détail, les experts ont analysé manuellement 86 services disponibles sur Android. Ils ont pu identifier 158 graves problèmes de sécurité et de confidentialité qui pourraient notamment permettre à une attaquant de prendre le contrôle de l’appareil d’une victime à distance.

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Cette étude devrait servir d’avertissement aux futurs clients potentiels de ces logiciels de harcèlement pour qu’ils reconsidèrent l’utilisation de ces applications contre leurs conjoints et leurs proches, car non seulement c’est contraire à l’éthique, mais cela peut également entraîner la révélation d’informations privées et intimes de leurs conjoints et les exposer à des cyberattaques et à la fraude. Comme il peut y avoir une relation étroite entre le harceleur et la victime, les informations privées du harceleur peuvent également être exposées. Au cours de nos recherches, nous avons constaté que certains stalkerwares conservent des informations sur les harceleurs qui utilisent l’application et rassemblent les données de leurs victimes sur un serveur, même après qu’ils aient demandé la suppression de ces informations.

Pour rappel, en 2019, dix organisations ont décidé de s’unir face à cette menace grandissante. Il en va ainsi des entreprises de cybersécurité telles qu’Avira, Norton, Kaspersky ou encore Malwarebytes, mais aussi des associations d’aide aux victimes de violences domestiques. Tous s’engagent à fédérer leur travail contre ce type de logiciel espion. Un site stopstalkerware.org a aussi été créé afin de donner des informations aux victimes de piratage.

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Plus surprenant, le harceleur qui recourt à ce type de dispositif peut aussi être inquiété et des acteurs malveillant pourraient aussi prendre le contrôle de leur compte. À ce sujet, les analystes précisent :

Cette étude devrait servir d’avertissement aux futurs clients potentiels de ces logiciels de harcèlement pour qu’ils reconsidèrent l’utilisation de ces applications contre leurs conjoints et leurs proches, car non seulement c’est contraire à l’éthique, mais cela peut également entraîner la révélation d’informations privées et intimes de leurs conjoints et les exposer à des cyberattaques et à la fraude. Comme il peut y avoir une relation étroite entre le harceleur et la victime, les informations privées du harceleur peuvent également être exposées. Au cours de nos recherches, nous avons constaté que certains stalkerwares conservent des informations sur les harceleurs qui utilisent l’application et rassemblent les données de leurs victimes sur un serveur, même après qu’ils aient demandé la suppression de ces informations.

Pour rappel, en 2019, dix organisations ont décidé de s’unir face à cette menace grandissante. Il en va ainsi des entreprises de cybersécurité telles qu’Avira, Norton, Kaspersky ou encore Malwarebytes, mais aussi des associations d’aide aux victimes de violences domestiques. Tous s’engagent à fédérer leur travail contre ce type de logiciel espion. Un site stopstalkerware.org a aussi été créé afin de donner des informations aux victimes de piratage.

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Par : Bitdefender

C’est un phénomène très inquiétant qui prend de l’ampleur. Le recours aux stalkerwares est en explosion depuis plusieurs années. Pour rappel, il s’agit de logiciels de surveillance installés sur un appareil d’une victime et qui permettent d’espionner sa localisation, ses conversations, ses images, ou encore son historique de navigation. Cette pratique concerne souvent des membres de familles proche, des amis, ou s’exerce dans le cadre professionnel.

La société de cybersécurité ESET a mené une étude sur ces applications. Dans le détail, les experts ont analysé manuellement 86 services disponibles sur Android. Ils ont pu identifier 158 graves problèmes de sécurité et de confidentialité qui pourraient notamment permettre à une attaquant de prendre le contrôle de l’appareil d’une victime à distance.

Union sacrée contre les stalkerwares

Plus surprenant, le harceleur qui recourt à ce type de dispositif peut aussi être inquiété et des acteurs malveillant pourraient aussi prendre le contrôle de leur compte. À ce sujet, les analystes précisent :

Cette étude devrait servir d’avertissement aux futurs clients potentiels de ces logiciels de harcèlement pour qu’ils reconsidèrent l’utilisation de ces applications contre leurs conjoints et leurs proches, car non seulement c’est contraire à l’éthique, mais cela peut également entraîner la révélation d’informations privées et intimes de leurs conjoints et les exposer à des cyberattaques et à la fraude. Comme il peut y avoir une relation étroite entre le harceleur et la victime, les informations privées du harceleur peuvent également être exposées. Au cours de nos recherches, nous avons constaté que certains stalkerwares conservent des informations sur les harceleurs qui utilisent l’application et rassemblent les données de leurs victimes sur un serveur, même après qu’ils aient demandé la suppression de ces informations.

Pour rappel, en 2019, dix organisations ont décidé de s’unir face à cette menace grandissante. Il en va ainsi des entreprises de cybersécurité telles qu’Avira, Norton, Kaspersky ou encore Malwarebytes, mais aussi des associations d’aide aux victimes de violences domestiques. Tous s’engagent à fédérer leur travail contre ce type de logiciel espion. Un site stopstalkerware.org a aussi été créé afin de donner des informations aux victimes de piratage.

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Plus surprenant, le harceleur qui recourt à ce type de dispositif peut aussi être inquiété et des acteurs malveillant pourraient aussi prendre le contrôle de leur compte. À ce sujet, les analystes précisent :

Cette étude devrait servir d’avertissement aux futurs clients potentiels de ces logiciels de harcèlement pour qu’ils reconsidèrent l’utilisation de ces applications contre leurs conjoints et leurs proches, car non seulement c’est contraire à l’éthique, mais cela peut également entraîner la révélation d’informations privées et intimes de leurs conjoints et les exposer à des cyberattaques et à la fraude. Comme il peut y avoir une relation étroite entre le harceleur et la victime, les informations privées du harceleur peuvent également être exposées. Au cours de nos recherches, nous avons constaté que certains stalkerwares conservent des informations sur les harceleurs qui utilisent l’application et rassemblent les données de leurs victimes sur un serveur, même après qu’ils aient demandé la suppression de ces informations.

Pour rappel, en 2019, dix organisations ont décidé de s’unir face à cette menace grandissante. Il en va ainsi des entreprises de cybersécurité telles qu’Avira, Norton, Kaspersky ou encore Malwarebytes, mais aussi des associations d’aide aux victimes de violences domestiques. Tous s’engagent à fédérer leur travail contre ce type de logiciel espion. Un site stopstalkerware.org a aussi été créé afin de donner des informations aux victimes de piratage.

Antivirus Bitdefender Plus
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Par : Bitdefender

C’est un phénomène très inquiétant qui prend de l’ampleur. Le recours aux stalkerwares est en explosion depuis plusieurs années. Pour rappel, il s’agit de logiciels de surveillance installés sur un appareil d’une victime et qui permettent d’espionner sa localisation, ses conversations, ses images, ou encore son historique de navigation. Cette pratique concerne souvent des membres de familles proche, des amis, ou s’exerce dans le cadre professionnel.

La société de cybersécurité ESET a mené une étude sur ces applications. Dans le détail, les experts ont analysé manuellement 86 services disponibles sur Android. Ils ont pu identifier 158 graves problèmes de sécurité et de confidentialité qui pourraient notamment permettre à une attaquant de prendre le contrôle de l’appareil d’une victime à distance.

Union sacrée contre les stalkerwares

Plus surprenant, le harceleur qui recourt à ce type de dispositif peut aussi être inquiété et des acteurs malveillant pourraient aussi prendre le contrôle de leur compte. À ce sujet, les analystes précisent :

Cette étude devrait servir d’avertissement aux futurs clients potentiels de ces logiciels de harcèlement pour qu’ils reconsidèrent l’utilisation de ces applications contre leurs conjoints et leurs proches, car non seulement c’est contraire à l’éthique, mais cela peut également entraîner la révélation d’informations privées et intimes de leurs conjoints et les exposer à des cyberattaques et à la fraude. Comme il peut y avoir une relation étroite entre le harceleur et la victime, les informations privées du harceleur peuvent également être exposées. Au cours de nos recherches, nous avons constaté que certains stalkerwares conservent des informations sur les harceleurs qui utilisent l’application et rassemblent les données de leurs victimes sur un serveur, même après qu’ils aient demandé la suppression de ces informations.

Pour rappel, en 2019, dix organisations ont décidé de s’unir face à cette menace grandissante. Il en va ainsi des entreprises de cybersécurité telles qu’Avira, Norton, Kaspersky ou encore Malwarebytes, mais aussi des associations d’aide aux victimes de violences domestiques. Tous s’engagent à fédérer leur travail contre ce type de logiciel espion. Un site stopstalkerware.org a aussi été créé afin de donner des informations aux victimes de piratage.

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C’est un phénomène très inquiétant qui prend de l’ampleur. Le recours aux stalkerwares est en explosion depuis plusieurs années. Pour rappel, il s’agit de logiciels de surveillance installés sur un appareil d’une victime et qui permettent d’espionner sa localisation, ses conversations, ses images, ou encore son historique de navigation. Cette pratique concerne souvent des membres de familles proche, des amis, ou s’exerce dans le cadre professionnel.

La société de cybersécurité ESET a mené une étude sur ces applications. Dans le détail, les experts ont analysé manuellement 86 services disponibles sur Android. Ils ont pu identifier 158 graves problèmes de sécurité et de confidentialité qui pourraient notamment permettre à une attaquant de prendre le contrôle de l’appareil d’une victime à distance.

Union sacrée contre les stalkerwares

Plus surprenant, le harceleur qui recourt à ce type de dispositif peut aussi être inquiété et des acteurs malveillant pourraient aussi prendre le contrôle de leur compte. À ce sujet, les analystes précisent :

Cette étude devrait servir d’avertissement aux futurs clients potentiels de ces logiciels de harcèlement pour qu’ils reconsidèrent l’utilisation de ces applications contre leurs conjoints et leurs proches, car non seulement c’est contraire à l’éthique, mais cela peut également entraîner la révélation d’informations privées et intimes de leurs conjoints et les exposer à des cyberattaques et à la fraude. Comme il peut y avoir une relation étroite entre le harceleur et la victime, les informations privées du harceleur peuvent également être exposées. Au cours de nos recherches, nous avons constaté que certains stalkerwares conservent des informations sur les harceleurs qui utilisent l’application et rassemblent les données de leurs victimes sur un serveur, même après qu’ils aient demandé la suppression de ces informations.

Pour rappel, en 2019, dix organisations ont décidé de s’unir face à cette menace grandissante. Il en va ainsi des entreprises de cybersécurité telles qu’Avira, Norton, Kaspersky ou encore Malwarebytes, mais aussi des associations d’aide aux victimes de violences domestiques. Tous s’engagent à fédérer leur travail contre ce type de logiciel espion. Un site stopstalkerware.org a aussi été créé afin de donner des informations aux victimes de piratage.

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C’est un phénomène très inquiétant qui prend de l’ampleur. Le recours aux stalkerwares est en explosion depuis plusieurs années. Pour rappel, il s’agit de logiciels de surveillance installés sur un appareil d’une victime et qui permettent d’espionner sa localisation, ses conversations, ses images, ou encore son historique de navigation. Cette pratique concerne souvent des membres de familles proche, des amis, ou s’exerce dans le cadre professionnel.

La société de cybersécurité ESET a mené une étude sur ces applications. Dans le détail, les experts ont analysé manuellement 86 services disponibles sur Android. Ils ont pu identifier 158 graves problèmes de sécurité et de confidentialité qui pourraient notamment permettre à une attaquant de prendre le contrôle de l’appareil d’une victime à distance.

Union sacrée contre les stalkerwares

Plus surprenant, le harceleur qui recourt à ce type de dispositif peut aussi être inquiété et des acteurs malveillant pourraient aussi prendre le contrôle de leur compte. À ce sujet, les analystes précisent :

Cette étude devrait servir d’avertissement aux futurs clients potentiels de ces logiciels de harcèlement pour qu’ils reconsidèrent l’utilisation de ces applications contre leurs conjoints et leurs proches, car non seulement c’est contraire à l’éthique, mais cela peut également entraîner la révélation d’informations privées et intimes de leurs conjoints et les exposer à des cyberattaques et à la fraude. Comme il peut y avoir une relation étroite entre le harceleur et la victime, les informations privées du harceleur peuvent également être exposées. Au cours de nos recherches, nous avons constaté que certains stalkerwares conservent des informations sur les harceleurs qui utilisent l’application et rassemblent les données de leurs victimes sur un serveur, même après qu’ils aient demandé la suppression de ces informations.

Pour rappel, en 2019, dix organisations ont décidé de s’unir face à cette menace grandissante. Il en va ainsi des entreprises de cybersécurité telles qu’Avira, Norton, Kaspersky ou encore Malwarebytes, mais aussi des associations d’aide aux victimes de violences domestiques. Tous s’engagent à fédérer leur travail contre ce type de logiciel espion. Un site stopstalkerware.org a aussi été créé afin de donner des informations aux victimes de piratage.

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