
Améliorer la communication homme-robot dans un éventail de contexte très large. Telle est l’ambition des chercheurs de l’université de Columbia. Ces derniers ont mis au point une machine qui est en capacité d’imiter les expressions faciales des humains dans le but de gagner leur confiance.
Comme on peut le voir sur la vidéo, le résultat n’est pourtant pas toujours des plus rassurants. Nos confrères de The Next Web décrivent le fonctionnement de ce droïde dénommé Eva. Il s’appuie sur une IA de Deep learning pour analyser les expressions faciales du visage humain capturées par une caméra. Une combinaison de câbles et de moteurs permettent ensuite de tirer la peau souple du robot et ainsi de reproduire les mimiques des personnes se trouvant à proximité.
L’utilisation des robots sociaux a été renforcée par la pandémie
Dans le détail, Eva est donc en capacité de reproduire six émotions allant de la colère au dégoût, en passant par la peur, la tristesse, et la surprise. Elle peut même reproduire une combinaison d’expression à l’exemple d’une surprise heureuse.
Pour la suite, les scientifiques nourrissent de belles ambitions pour cette technologie qui est la seule disponible en open source. Assez peu coûteuse à fabriquer, elle pourrait intéresser des organisations très diverses allant des maisons de retraite aux usines, précisent nos confrères.
Cette innovation intervient dans un contexte particulièrement porteur pour les robots sociaux, ces machines capables d’interagir avec les humains. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone, la crise sanitaire a en effet décuplé leur utilisation.
En s’appuyant sur près de 1000 sources, parmi lesquelles, des articles de presse, ou des sites spécialisés dans les nouvelles technologies, ils ont dénombré 66 types différents de robots sociaux passés en phase de test et en tout 195 déploiements dans 35 pays différents.
Ce mouvement est particulièrement fort dans les transports, l’éducation, les aéroports, ou encore les restaurants. Dans ce cadre, la tâche principale qui leur est assignée est souvent liée à la réception des clients.

Améliorer la communication homme-robot dans un éventail de contexte très large. Telle est l’ambition des chercheurs de l’université de Columbia. Ces derniers ont mis au point une machine qui est en capacité d’imiter les expressions faciales des humains dans le but de gagner leur confiance.
Comme on peut le voir sur la vidéo, le résultat n’est pourtant pas toujours des plus rassurants. Nos confrères de The Next Web décrivent le fonctionnement de ce droïde dénommé Eva. Il s’appuie sur une IA de Deep learning pour analyser les expressions faciales du visage humain capturées par une caméra. Une combinaison de câbles et de moteurs permettent ensuite de tirer la peau souple du robot et ainsi de reproduire les mimiques des personnes se trouvant à proximité.
L’utilisation des robots sociaux a été renforcée par la pandémie
Dans le détail, Eva est donc en capacité de reproduire six émotions allant de la colère au dégoût, en passant par la peur, la tristesse, et la surprise. Elle peut même reproduire une combinaison d’expression à l’exemple d’une surprise heureuse.
Pour la suite, les scientifiques nourrissent de belles ambitions pour cette technologie qui est la seule disponible en open source. Assez peu coûteuse à fabriquer, elle pourrait intéresser des organisations très diverses allant des maisons de retraite aux usines, précisent nos confrères.
Cette innovation intervient dans un contexte particulièrement porteur pour les robots sociaux, ces machines capables d’interagir avec les humains. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone, la crise sanitaire a en effet décuplé leur utilisation.
En s’appuyant sur près de 1000 sources, parmi lesquelles, des articles de presse, ou des sites spécialisés dans les nouvelles technologies, ils ont dénombré 66 types différents de robots sociaux passés en phase de test et en tout 195 déploiements dans 35 pays différents.
Ce mouvement est particulièrement fort dans les transports, l’éducation, les aéroports, ou encore les restaurants. Dans ce cadre, la tâche principale qui leur est assignée est souvent liée à la réception des clients.

Améliorer la communication homme-robot dans un éventail de contexte très large. Telle est l’ambition des chercheurs de l’université de Columbia. Ces derniers ont mis au point une machine qui est en capacité d’imiter les expressions faciales des humains dans le but de gagner leur confiance.
Comme on peut le voir sur la vidéo, le résultat n’est pourtant pas toujours des plus rassurants. Nos confrères de The Next Web décrivent le fonctionnement de ce droïde dénommé Eva. Il s’appuie sur une IA de Deep learning pour analyser les expressions faciales du visage humain capturées par une caméra. Une combinaison de câbles et de moteurs permettent ensuite de tirer la peau souple du robot et ainsi de reproduire les mimiques des personnes se trouvant à proximité.
L’utilisation des robots sociaux a été renforcée par la pandémie
Dans le détail, Eva est donc en capacité de reproduire six émotions allant de la colère au dégoût, en passant par la peur, la tristesse, et la surprise. Elle peut même reproduire une combinaison d’expression à l’exemple d’une surprise heureuse.
Pour la suite, les scientifiques nourrissent de belles ambitions pour cette technologie qui est la seule disponible en open source. Assez peu coûteuse à fabriquer, elle pourrait intéresser des organisations très diverses allant des maisons de retraite aux usines, précisent nos confrères.
Cette innovation intervient dans un contexte particulièrement porteur pour les robots sociaux, ces machines capables d’interagir avec les humains. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone, la crise sanitaire a en effet décuplé leur utilisation.
En s’appuyant sur près de 1000 sources, parmi lesquelles, des articles de presse, ou des sites spécialisés dans les nouvelles technologies, ils ont dénombré 66 types différents de robots sociaux passés en phase de test et en tout 195 déploiements dans 35 pays différents.
Ce mouvement est particulièrement fort dans les transports, l’éducation, les aéroports, ou encore les restaurants. Dans ce cadre, la tâche principale qui leur est assignée est souvent liée à la réception des clients.

Améliorer la communication homme-robot dans un éventail de contexte très large. Telle est l’ambition des chercheurs de l’université de Columbia. Ces derniers ont mis au point une machine qui est en capacité d’imiter les expressions faciales des humains dans le but de gagner leur confiance.
Comme on peut le voir sur la vidéo, le résultat n’est pourtant pas toujours des plus rassurants. Nos confrères de The Next Web décrivent le fonctionnement de ce droïde dénommé Eva. Il s’appuie sur une IA de Deep learning pour analyser les expressions faciales du visage humain capturées par une caméra. Une combinaison de câbles et de moteurs permettent ensuite de tirer la peau souple du robot et ainsi de reproduire les mimiques des personnes se trouvant à proximité.
L’utilisation des robots sociaux a été renforcée par la pandémie
Dans le détail, Eva est donc en capacité de reproduire six émotions allant de la colère au dégoût, en passant par la peur, la tristesse, et la surprise. Elle peut même reproduire une combinaison d’expression à l’exemple d’une surprise heureuse.
Pour la suite, les scientifiques nourrissent de belles ambitions pour cette technologie qui est la seule disponible en open source. Assez peu coûteuse à fabriquer, elle pourrait intéresser des organisations très diverses allant des maisons de retraite aux usines, précisent nos confrères.
Cette innovation intervient dans un contexte particulièrement porteur pour les robots sociaux, ces machines capables d’interagir avec les humains. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone, la crise sanitaire a en effet décuplé leur utilisation.
En s’appuyant sur près de 1000 sources, parmi lesquelles, des articles de presse, ou des sites spécialisés dans les nouvelles technologies, ils ont dénombré 66 types différents de robots sociaux passés en phase de test et en tout 195 déploiements dans 35 pays différents.
Ce mouvement est particulièrement fort dans les transports, l’éducation, les aéroports, ou encore les restaurants. Dans ce cadre, la tâche principale qui leur est assignée est souvent liée à la réception des clients.

Améliorer la communication homme-robot dans un éventail de contexte très large. Telle est l’ambition des chercheurs de l’université de Columbia. Ces derniers ont mis au point une machine qui est en capacité d’imiter les expressions faciales des humains dans le but de gagner leur confiance.
Comme on peut le voir sur la vidéo, le résultat n’est pourtant pas toujours des plus rassurants. Nos confrères de The Next Web décrivent le fonctionnement de ce droïde dénommé Eva. Il s’appuie sur une IA de Deep learning pour analyser les expressions faciales du visage humain capturées par une caméra. Une combinaison de câbles et de moteurs permettent ensuite de tirer la peau souple du robot et ainsi de reproduire les mimiques des personnes se trouvant à proximité.
L’utilisation des robots sociaux a été renforcée par la pandémie
Dans le détail, Eva est donc en capacité de reproduire six émotions allant de la colère au dégoût, en passant par la peur, la tristesse, et la surprise. Elle peut même reproduire une combinaison d’expression à l’exemple d’une surprise heureuse.
Pour la suite, les scientifiques nourrissent de belles ambitions pour cette technologie qui est la seule disponible en open source. Assez peu coûteuse à fabriquer, elle pourrait intéresser des organisations très diverses allant des maisons de retraite aux usines, précisent nos confrères.
Cette innovation intervient dans un contexte particulièrement porteur pour les robots sociaux, ces machines capables d’interagir avec les humains. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone, la crise sanitaire a en effet décuplé leur utilisation.
En s’appuyant sur près de 1000 sources, parmi lesquelles, des articles de presse, ou des sites spécialisés dans les nouvelles technologies, ils ont dénombré 66 types différents de robots sociaux passés en phase de test et en tout 195 déploiements dans 35 pays différents.
Ce mouvement est particulièrement fort dans les transports, l’éducation, les aéroports, ou encore les restaurants. Dans ce cadre, la tâche principale qui leur est assignée est souvent liée à la réception des clients.

Améliorer la communication homme-robot dans un éventail de contexte très large. Telle est l’ambition des chercheurs de l’université de Columbia. Ces derniers ont mis au point une machine qui est en capacité d’imiter les expressions faciales des humains dans le but de gagner leur confiance.
Comme on peut le voir sur la vidéo, le résultat n’est pourtant pas toujours des plus rassurants. Nos confrères de The Next Web décrivent le fonctionnement de ce droïde dénommé Eva. Il s’appuie sur une IA de Deep learning pour analyser les expressions faciales du visage humain capturées par une caméra. Une combinaison de câbles et de moteurs permettent ensuite de tirer la peau souple du robot et ainsi de reproduire les mimiques des personnes se trouvant à proximité.
L’utilisation des robots sociaux a été renforcée par la pandémie
Dans le détail, Eva est donc en capacité de reproduire six émotions allant de la colère au dégoût, en passant par la peur, la tristesse, et la surprise. Elle peut même reproduire une combinaison d’expression à l’exemple d’une surprise heureuse.
Pour la suite, les scientifiques nourrissent de belles ambitions pour cette technologie qui est la seule disponible en open source. Assez peu coûteuse à fabriquer, elle pourrait intéresser des organisations très diverses allant des maisons de retraite aux usines, précisent nos confrères.
Cette innovation intervient dans un contexte particulièrement porteur pour les robots sociaux, ces machines capables d’interagir avec les humains. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone, la crise sanitaire a en effet décuplé leur utilisation.
En s’appuyant sur près de 1000 sources, parmi lesquelles, des articles de presse, ou des sites spécialisés dans les nouvelles technologies, ils ont dénombré 66 types différents de robots sociaux passés en phase de test et en tout 195 déploiements dans 35 pays différents.
Ce mouvement est particulièrement fort dans les transports, l’éducation, les aéroports, ou encore les restaurants. Dans ce cadre, la tâche principale qui leur est assignée est souvent liée à la réception des clients.

Améliorer la communication homme-robot dans un éventail de contexte très large. Telle est l’ambition des chercheurs de l’université de Columbia. Ces derniers ont mis au point une machine qui est en capacité d’imiter les expressions faciales des humains dans le but de gagner leur confiance.
Comme on peut le voir sur la vidéo, le résultat n’est pourtant pas toujours des plus rassurants. Nos confrères de The Next Web décrivent le fonctionnement de ce droïde dénommé Eva. Il s’appuie sur une IA de Deep learning pour analyser les expressions faciales du visage humain capturées par une caméra. Une combinaison de câbles et de moteurs permettent ensuite de tirer la peau souple du robot et ainsi de reproduire les mimiques des personnes se trouvant à proximité.
L’utilisation des robots sociaux a été renforcée par la pandémie
Dans le détail, Eva est donc en capacité de reproduire six émotions allant de la colère au dégoût, en passant par la peur, la tristesse, et la surprise. Elle peut même reproduire une combinaison d’expression à l’exemple d’une surprise heureuse.
Pour la suite, les scientifiques nourrissent de belles ambitions pour cette technologie qui est la seule disponible en open source. Assez peu coûteuse à fabriquer, elle pourrait intéresser des organisations très diverses allant des maisons de retraite aux usines, précisent nos confrères.
Cette innovation intervient dans un contexte particulièrement porteur pour les robots sociaux, ces machines capables d’interagir avec les humains. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone, la crise sanitaire a en effet décuplé leur utilisation.
En s’appuyant sur près de 1000 sources, parmi lesquelles, des articles de presse, ou des sites spécialisés dans les nouvelles technologies, ils ont dénombré 66 types différents de robots sociaux passés en phase de test et en tout 195 déploiements dans 35 pays différents.
Ce mouvement est particulièrement fort dans les transports, l’éducation, les aéroports, ou encore les restaurants. Dans ce cadre, la tâche principale qui leur est assignée est souvent liée à la réception des clients.

Améliorer la communication homme-robot dans un éventail de contexte très large. Telle est l’ambition des chercheurs de l’université de Columbia. Ces derniers ont mis au point une machine qui est en capacité d’imiter les expressions faciales des humains dans le but de gagner leur confiance.
Comme on peut le voir sur la vidéo, le résultat n’est pourtant pas toujours des plus rassurants. Nos confrères de The Next Web décrivent le fonctionnement de ce droïde dénommé Eva. Il s’appuie sur une IA de Deep learning pour analyser les expressions faciales du visage humain capturées par une caméra. Une combinaison de câbles et de moteurs permettent ensuite de tirer la peau souple du robot et ainsi de reproduire les mimiques des personnes se trouvant à proximité.
L’utilisation des robots sociaux a été renforcée par la pandémie
Dans le détail, Eva est donc en capacité de reproduire six émotions allant de la colère au dégoût, en passant par la peur, la tristesse, et la surprise. Elle peut même reproduire une combinaison d’expression à l’exemple d’une surprise heureuse.
Pour la suite, les scientifiques nourrissent de belles ambitions pour cette technologie qui est la seule disponible en open source. Assez peu coûteuse à fabriquer, elle pourrait intéresser des organisations très diverses allant des maisons de retraite aux usines, précisent nos confrères.
Cette innovation intervient dans un contexte particulièrement porteur pour les robots sociaux, ces machines capables d’interagir avec les humains. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone, la crise sanitaire a en effet décuplé leur utilisation.
En s’appuyant sur près de 1000 sources, parmi lesquelles, des articles de presse, ou des sites spécialisés dans les nouvelles technologies, ils ont dénombré 66 types différents de robots sociaux passés en phase de test et en tout 195 déploiements dans 35 pays différents.
Ce mouvement est particulièrement fort dans les transports, l’éducation, les aéroports, ou encore les restaurants. Dans ce cadre, la tâche principale qui leur est assignée est souvent liée à la réception des clients.

Améliorer la communication homme-robot dans un éventail de contexte très large. Telle est l’ambition des chercheurs de l’université de Columbia. Ces derniers ont mis au point une machine qui est en capacité d’imiter les expressions faciales des humains dans le but de gagner leur confiance.
Comme on peut le voir sur la vidéo, le résultat n’est pourtant pas toujours des plus rassurants. Nos confrères de The Next Web décrivent le fonctionnement de ce droïde dénommé Eva. Il s’appuie sur une IA de Deep learning pour analyser les expressions faciales du visage humain capturées par une caméra. Une combinaison de câbles et de moteurs permettent ensuite de tirer la peau souple du robot et ainsi de reproduire les mimiques des personnes se trouvant à proximité.
L’utilisation des robots sociaux a été renforcée par la pandémie
Dans le détail, Eva est donc en capacité de reproduire six émotions allant de la colère au dégoût, en passant par la peur, la tristesse, et la surprise. Elle peut même reproduire une combinaison d’expression à l’exemple d’une surprise heureuse.
Pour la suite, les scientifiques nourrissent de belles ambitions pour cette technologie qui est la seule disponible en open source. Assez peu coûteuse à fabriquer, elle pourrait intéresser des organisations très diverses allant des maisons de retraite aux usines, précisent nos confrères.
Cette innovation intervient dans un contexte particulièrement porteur pour les robots sociaux, ces machines capables d’interagir avec les humains. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone, la crise sanitaire a en effet décuplé leur utilisation.
En s’appuyant sur près de 1000 sources, parmi lesquelles, des articles de presse, ou des sites spécialisés dans les nouvelles technologies, ils ont dénombré 66 types différents de robots sociaux passés en phase de test et en tout 195 déploiements dans 35 pays différents.
Ce mouvement est particulièrement fort dans les transports, l’éducation, les aéroports, ou encore les restaurants. Dans ce cadre, la tâche principale qui leur est assignée est souvent liée à la réception des clients.

Améliorer la communication homme-robot dans un éventail de contexte très large. Telle est l’ambition des chercheurs de l’université de Columbia. Ces derniers ont mis au point une machine qui est en capacité d’imiter les expressions faciales des humains dans le but de gagner leur confiance.
Comme on peut le voir sur la vidéo, le résultat n’est pourtant pas toujours des plus rassurants. Nos confrères de The Next Web décrivent le fonctionnement de ce droïde dénommé Eva. Il s’appuie sur une IA de Deep learning pour analyser les expressions faciales du visage humain capturées par une caméra. Une combinaison de câbles et de moteurs permettent ensuite de tirer la peau souple du robot et ainsi de reproduire les mimiques des personnes se trouvant à proximité.
L’utilisation des robots sociaux a été renforcée par la pandémie
Dans le détail, Eva est donc en capacité de reproduire six émotions allant de la colère au dégoût, en passant par la peur, la tristesse, et la surprise. Elle peut même reproduire une combinaison d’expression à l’exemple d’une surprise heureuse.
Pour la suite, les scientifiques nourrissent de belles ambitions pour cette technologie qui est la seule disponible en open source. Assez peu coûteuse à fabriquer, elle pourrait intéresser des organisations très diverses allant des maisons de retraite aux usines, précisent nos confrères.
Cette innovation intervient dans un contexte particulièrement porteur pour les robots sociaux, ces machines capables d’interagir avec les humains. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone, la crise sanitaire a en effet décuplé leur utilisation.
En s’appuyant sur près de 1000 sources, parmi lesquelles, des articles de presse, ou des sites spécialisés dans les nouvelles technologies, ils ont dénombré 66 types différents de robots sociaux passés en phase de test et en tout 195 déploiements dans 35 pays différents.
Ce mouvement est particulièrement fort dans les transports, l’éducation, les aéroports, ou encore les restaurants. Dans ce cadre, la tâche principale qui leur est assignée est souvent liée à la réception des clients.

Améliorer la communication homme-robot dans un éventail de contexte très large. Telle est l’ambition des chercheurs de l’université de Columbia. Ces derniers ont mis au point une machine qui est en capacité d’imiter les expressions faciales des humains dans le but de gagner leur confiance.
Comme on peut le voir sur la vidéo, le résultat n’est pourtant pas toujours des plus rassurants. Nos confrères de The Next Web décrivent le fonctionnement de ce droïde dénommé Eva. Il s’appuie sur une IA de Deep learning pour analyser les expressions faciales du visage humain capturées par une caméra. Une combinaison de câbles et de moteurs permettent ensuite de tirer la peau souple du robot et ainsi de reproduire les mimiques des personnes se trouvant à proximité.
L’utilisation des robots sociaux a été renforcée par la pandémie
Dans le détail, Eva est donc en capacité de reproduire six émotions allant de la colère au dégoût, en passant par la peur, la tristesse, et la surprise. Elle peut même reproduire une combinaison d’expression à l’exemple d’une surprise heureuse.
Pour la suite, les scientifiques nourrissent de belles ambitions pour cette technologie qui est la seule disponible en open source. Assez peu coûteuse à fabriquer, elle pourrait intéresser des organisations très diverses allant des maisons de retraite aux usines, précisent nos confrères.
Cette innovation intervient dans un contexte particulièrement porteur pour les robots sociaux, ces machines capables d’interagir avec les humains. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone, la crise sanitaire a en effet décuplé leur utilisation.
En s’appuyant sur près de 1000 sources, parmi lesquelles, des articles de presse, ou des sites spécialisés dans les nouvelles technologies, ils ont dénombré 66 types différents de robots sociaux passés en phase de test et en tout 195 déploiements dans 35 pays différents.
Ce mouvement est particulièrement fort dans les transports, l’éducation, les aéroports, ou encore les restaurants. Dans ce cadre, la tâche principale qui leur est assignée est souvent liée à la réception des clients.

Améliorer la communication homme-robot dans un éventail de contexte très large. Telle est l’ambition des chercheurs de l’université de Columbia. Ces derniers ont mis au point une machine qui est en capacité d’imiter les expressions faciales des humains dans le but de gagner leur confiance.
Comme on peut le voir sur la vidéo, le résultat n’est pourtant pas toujours des plus rassurants. Nos confrères de The Next Web décrivent le fonctionnement de ce droïde dénommé Eva. Il s’appuie sur une IA de Deep learning pour analyser les expressions faciales du visage humain capturées par une caméra. Une combinaison de câbles et de moteurs permettent ensuite de tirer la peau souple du robot et ainsi de reproduire les mimiques des personnes se trouvant à proximité.
L’utilisation des robots sociaux a été renforcée par la pandémie
Dans le détail, Eva est donc en capacité de reproduire six émotions allant de la colère au dégoût, en passant par la peur, la tristesse, et la surprise. Elle peut même reproduire une combinaison d’expression à l’exemple d’une surprise heureuse.
Pour la suite, les scientifiques nourrissent de belles ambitions pour cette technologie qui est la seule disponible en open source. Assez peu coûteuse à fabriquer, elle pourrait intéresser des organisations très diverses allant des maisons de retraite aux usines, précisent nos confrères.
Cette innovation intervient dans un contexte particulièrement porteur pour les robots sociaux, ces machines capables d’interagir avec les humains. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone, la crise sanitaire a en effet décuplé leur utilisation.
En s’appuyant sur près de 1000 sources, parmi lesquelles, des articles de presse, ou des sites spécialisés dans les nouvelles technologies, ils ont dénombré 66 types différents de robots sociaux passés en phase de test et en tout 195 déploiements dans 35 pays différents.
Ce mouvement est particulièrement fort dans les transports, l’éducation, les aéroports, ou encore les restaurants. Dans ce cadre, la tâche principale qui leur est assignée est souvent liée à la réception des clients.

Améliorer la communication homme-robot dans un éventail de contexte très large. Telle est l’ambition des chercheurs de l’université de Columbia. Ces derniers ont mis au point une machine qui est en capacité d’imiter les expressions faciales des humains dans le but de gagner leur confiance.
Comme on peut le voir sur la vidéo, le résultat n’est pourtant pas toujours des plus rassurants. Nos confrères de The Next Web décrivent le fonctionnement de ce droïde dénommé Eva. Il s’appuie sur une IA de Deep learning pour analyser les expressions faciales du visage humain capturées par une caméra. Une combinaison de câbles et de moteurs permettent ensuite de tirer la peau souple du robot et ainsi de reproduire les mimiques des personnes se trouvant à proximité.
L’utilisation des robots sociaux a été renforcée par la pandémie
Dans le détail, Eva est donc en capacité de reproduire six émotions allant de la colère au dégoût, en passant par la peur, la tristesse, et la surprise. Elle peut même reproduire une combinaison d’expression à l’exemple d’une surprise heureuse.
Pour la suite, les scientifiques nourrissent de belles ambitions pour cette technologie qui est la seule disponible en open source. Assez peu coûteuse à fabriquer, elle pourrait intéresser des organisations très diverses allant des maisons de retraite aux usines, précisent nos confrères.
Cette innovation intervient dans un contexte particulièrement porteur pour les robots sociaux, ces machines capables d’interagir avec les humains. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone, la crise sanitaire a en effet décuplé leur utilisation.
En s’appuyant sur près de 1000 sources, parmi lesquelles, des articles de presse, ou des sites spécialisés dans les nouvelles technologies, ils ont dénombré 66 types différents de robots sociaux passés en phase de test et en tout 195 déploiements dans 35 pays différents.
Ce mouvement est particulièrement fort dans les transports, l’éducation, les aéroports, ou encore les restaurants. Dans ce cadre, la tâche principale qui leur est assignée est souvent liée à la réception des clients.

Améliorer la communication homme-robot dans un éventail de contexte très large. Telle est l’ambition des chercheurs de l’université de Columbia. Ces derniers ont mis au point une machine qui est en capacité d’imiter les expressions faciales des humains dans le but de gagner leur confiance.
Comme on peut le voir sur la vidéo, le résultat n’est pourtant pas toujours des plus rassurants. Nos confrères de The Next Web décrivent le fonctionnement de ce droïde dénommé Eva. Il s’appuie sur une IA de Deep learning pour analyser les expressions faciales du visage humain capturées par une caméra. Une combinaison de câbles et de moteurs permettent ensuite de tirer la peau souple du robot et ainsi de reproduire les mimiques des personnes se trouvant à proximité.
L’utilisation des robots sociaux a été renforcée par la pandémie
Dans le détail, Eva est donc en capacité de reproduire six émotions allant de la colère au dégoût, en passant par la peur, la tristesse, et la surprise. Elle peut même reproduire une combinaison d’expression à l’exemple d’une surprise heureuse.
Pour la suite, les scientifiques nourrissent de belles ambitions pour cette technologie qui est la seule disponible en open source. Assez peu coûteuse à fabriquer, elle pourrait intéresser des organisations très diverses allant des maisons de retraite aux usines, précisent nos confrères.
Cette innovation intervient dans un contexte particulièrement porteur pour les robots sociaux, ces machines capables d’interagir avec les humains. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone, la crise sanitaire a en effet décuplé leur utilisation.
En s’appuyant sur près de 1000 sources, parmi lesquelles, des articles de presse, ou des sites spécialisés dans les nouvelles technologies, ils ont dénombré 66 types différents de robots sociaux passés en phase de test et en tout 195 déploiements dans 35 pays différents.
Ce mouvement est particulièrement fort dans les transports, l’éducation, les aéroports, ou encore les restaurants. Dans ce cadre, la tâche principale qui leur est assignée est souvent liée à la réception des clients.

Améliorer la communication homme-robot dans un éventail de contexte très large. Telle est l’ambition des chercheurs de l’université de Columbia. Ces derniers ont mis au point une machine qui est en capacité d’imiter les expressions faciales des humains dans le but de gagner leur confiance.
Comme on peut le voir sur la vidéo, le résultat n’est pourtant pas toujours des plus rassurants. Nos confrères de The Next Web décrivent le fonctionnement de ce droïde dénommé Eva. Il s’appuie sur une IA de Deep learning pour analyser les expressions faciales du visage humain capturées par une caméra. Une combinaison de câbles et de moteurs permettent ensuite de tirer la peau souple du robot et ainsi de reproduire les mimiques des personnes se trouvant à proximité.
L’utilisation des robots sociaux a été renforcée par la pandémie
Dans le détail, Eva est donc en capacité de reproduire six émotions allant de la colère au dégoût, en passant par la peur, la tristesse, et la surprise. Elle peut même reproduire une combinaison d’expression à l’exemple d’une surprise heureuse.
Pour la suite, les scientifiques nourrissent de belles ambitions pour cette technologie qui est la seule disponible en open source. Assez peu coûteuse à fabriquer, elle pourrait intéresser des organisations très diverses allant des maisons de retraite aux usines, précisent nos confrères.
Cette innovation intervient dans un contexte particulièrement porteur pour les robots sociaux, ces machines capables d’interagir avec les humains. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone, la crise sanitaire a en effet décuplé leur utilisation.
En s’appuyant sur près de 1000 sources, parmi lesquelles, des articles de presse, ou des sites spécialisés dans les nouvelles technologies, ils ont dénombré 66 types différents de robots sociaux passés en phase de test et en tout 195 déploiements dans 35 pays différents.
Ce mouvement est particulièrement fort dans les transports, l’éducation, les aéroports, ou encore les restaurants. Dans ce cadre, la tâche principale qui leur est assignée est souvent liée à la réception des clients.

Améliorer la communication homme-robot dans un éventail de contexte très large. Telle est l’ambition des chercheurs de l’université de Columbia. Ces derniers ont mis au point une machine qui est en capacité d’imiter les expressions faciales des humains dans le but de gagner leur confiance.
Comme on peut le voir sur la vidéo, le résultat n’est pourtant pas toujours des plus rassurants. Nos confrères de The Next Web décrivent le fonctionnement de ce droïde dénommé Eva. Il s’appuie sur une IA de Deep learning pour analyser les expressions faciales du visage humain capturées par une caméra. Une combinaison de câbles et de moteurs permettent ensuite de tirer la peau souple du robot et ainsi de reproduire les mimiques des personnes se trouvant à proximité.
L’utilisation des robots sociaux a été renforcée par la pandémie
Dans le détail, Eva est donc en capacité de reproduire six émotions allant de la colère au dégoût, en passant par la peur, la tristesse, et la surprise. Elle peut même reproduire une combinaison d’expression à l’exemple d’une surprise heureuse.
Pour la suite, les scientifiques nourrissent de belles ambitions pour cette technologie qui est la seule disponible en open source. Assez peu coûteuse à fabriquer, elle pourrait intéresser des organisations très diverses allant des maisons de retraite aux usines, précisent nos confrères.
Cette innovation intervient dans un contexte particulièrement porteur pour les robots sociaux, ces machines capables d’interagir avec les humains. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone, la crise sanitaire a en effet décuplé leur utilisation.
En s’appuyant sur près de 1000 sources, parmi lesquelles, des articles de presse, ou des sites spécialisés dans les nouvelles technologies, ils ont dénombré 66 types différents de robots sociaux passés en phase de test et en tout 195 déploiements dans 35 pays différents.
Ce mouvement est particulièrement fort dans les transports, l’éducation, les aéroports, ou encore les restaurants. Dans ce cadre, la tâche principale qui leur est assignée est souvent liée à la réception des clients.

Améliorer la communication homme-robot dans un éventail de contexte très large. Telle est l’ambition des chercheurs de l’université de Columbia. Ces derniers ont mis au point une machine qui est en capacité d’imiter les expressions faciales des humains dans le but de gagner leur confiance.
Comme on peut le voir sur la vidéo, le résultat n’est pourtant pas toujours des plus rassurants. Nos confrères de The Next Web décrivent le fonctionnement de ce droïde dénommé Eva. Il s’appuie sur une IA de Deep learning pour analyser les expressions faciales du visage humain capturées par une caméra. Une combinaison de câbles et de moteurs permettent ensuite de tirer la peau souple du robot et ainsi de reproduire les mimiques des personnes se trouvant à proximité.
L’utilisation des robots sociaux a été renforcée par la pandémie
Dans le détail, Eva est donc en capacité de reproduire six émotions allant de la colère au dégoût, en passant par la peur, la tristesse, et la surprise. Elle peut même reproduire une combinaison d’expression à l’exemple d’une surprise heureuse.
Pour la suite, les scientifiques nourrissent de belles ambitions pour cette technologie qui est la seule disponible en open source. Assez peu coûteuse à fabriquer, elle pourrait intéresser des organisations très diverses allant des maisons de retraite aux usines, précisent nos confrères.
Cette innovation intervient dans un contexte particulièrement porteur pour les robots sociaux, ces machines capables d’interagir avec les humains. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone, la crise sanitaire a en effet décuplé leur utilisation.
En s’appuyant sur près de 1000 sources, parmi lesquelles, des articles de presse, ou des sites spécialisés dans les nouvelles technologies, ils ont dénombré 66 types différents de robots sociaux passés en phase de test et en tout 195 déploiements dans 35 pays différents.
Ce mouvement est particulièrement fort dans les transports, l’éducation, les aéroports, ou encore les restaurants. Dans ce cadre, la tâche principale qui leur est assignée est souvent liée à la réception des clients.

Améliorer la communication homme-robot dans un éventail de contexte très large. Telle est l’ambition des chercheurs de l’université de Columbia. Ces derniers ont mis au point une machine qui est en capacité d’imiter les expressions faciales des humains dans le but de gagner leur confiance.
Comme on peut le voir sur la vidéo, le résultat n’est pourtant pas toujours des plus rassurants. Nos confrères de The Next Web décrivent le fonctionnement de ce droïde dénommé Eva. Il s’appuie sur une IA de Deep learning pour analyser les expressions faciales du visage humain capturées par une caméra. Une combinaison de câbles et de moteurs permettent ensuite de tirer la peau souple du robot et ainsi de reproduire les mimiques des personnes se trouvant à proximité.
L’utilisation des robots sociaux a été renforcée par la pandémie
Dans le détail, Eva est donc en capacité de reproduire six émotions allant de la colère au dégoût, en passant par la peur, la tristesse, et la surprise. Elle peut même reproduire une combinaison d’expression à l’exemple d’une surprise heureuse.
Pour la suite, les scientifiques nourrissent de belles ambitions pour cette technologie qui est la seule disponible en open source. Assez peu coûteuse à fabriquer, elle pourrait intéresser des organisations très diverses allant des maisons de retraite aux usines, précisent nos confrères.
Cette innovation intervient dans un contexte particulièrement porteur pour les robots sociaux, ces machines capables d’interagir avec les humains. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone, la crise sanitaire a en effet décuplé leur utilisation.
En s’appuyant sur près de 1000 sources, parmi lesquelles, des articles de presse, ou des sites spécialisés dans les nouvelles technologies, ils ont dénombré 66 types différents de robots sociaux passés en phase de test et en tout 195 déploiements dans 35 pays différents.
Ce mouvement est particulièrement fort dans les transports, l’éducation, les aéroports, ou encore les restaurants. Dans ce cadre, la tâche principale qui leur est assignée est souvent liée à la réception des clients.

Améliorer la communication homme-robot dans un éventail de contexte très large. Telle est l’ambition des chercheurs de l’université de Columbia. Ces derniers ont mis au point une machine qui est en capacité d’imiter les expressions faciales des humains dans le but de gagner leur confiance.
Comme on peut le voir sur la vidéo, le résultat n’est pourtant pas toujours des plus rassurants. Nos confrères de The Next Web décrivent le fonctionnement de ce droïde dénommé Eva. Il s’appuie sur une IA de Deep learning pour analyser les expressions faciales du visage humain capturées par une caméra. Une combinaison de câbles et de moteurs permettent ensuite de tirer la peau souple du robot et ainsi de reproduire les mimiques des personnes se trouvant à proximité.
L’utilisation des robots sociaux a été renforcée par la pandémie
Dans le détail, Eva est donc en capacité de reproduire six émotions allant de la colère au dégoût, en passant par la peur, la tristesse, et la surprise. Elle peut même reproduire une combinaison d’expression à l’exemple d’une surprise heureuse.
Pour la suite, les scientifiques nourrissent de belles ambitions pour cette technologie qui est la seule disponible en open source. Assez peu coûteuse à fabriquer, elle pourrait intéresser des organisations très diverses allant des maisons de retraite aux usines, précisent nos confrères.
Cette innovation intervient dans un contexte particulièrement porteur pour les robots sociaux, ces machines capables d’interagir avec les humains. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone, la crise sanitaire a en effet décuplé leur utilisation.
En s’appuyant sur près de 1000 sources, parmi lesquelles, des articles de presse, ou des sites spécialisés dans les nouvelles technologies, ils ont dénombré 66 types différents de robots sociaux passés en phase de test et en tout 195 déploiements dans 35 pays différents.
Ce mouvement est particulièrement fort dans les transports, l’éducation, les aéroports, ou encore les restaurants. Dans ce cadre, la tâche principale qui leur est assignée est souvent liée à la réception des clients.

Améliorer la communication homme-robot dans un éventail de contexte très large. Telle est l’ambition des chercheurs de l’université de Columbia. Ces derniers ont mis au point une machine qui est en capacité d’imiter les expressions faciales des humains dans le but de gagner leur confiance.
Comme on peut le voir sur la vidéo, le résultat n’est pourtant pas toujours des plus rassurants. Nos confrères de The Next Web décrivent le fonctionnement de ce droïde dénommé Eva. Il s’appuie sur une IA de Deep learning pour analyser les expressions faciales du visage humain capturées par une caméra. Une combinaison de câbles et de moteurs permettent ensuite de tirer la peau souple du robot et ainsi de reproduire les mimiques des personnes se trouvant à proximité.
L’utilisation des robots sociaux a été renforcée par la pandémie
Dans le détail, Eva est donc en capacité de reproduire six émotions allant de la colère au dégoût, en passant par la peur, la tristesse, et la surprise. Elle peut même reproduire une combinaison d’expression à l’exemple d’une surprise heureuse.
Pour la suite, les scientifiques nourrissent de belles ambitions pour cette technologie qui est la seule disponible en open source. Assez peu coûteuse à fabriquer, elle pourrait intéresser des organisations très diverses allant des maisons de retraite aux usines, précisent nos confrères.
Cette innovation intervient dans un contexte particulièrement porteur pour les robots sociaux, ces machines capables d’interagir avec les humains. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone, la crise sanitaire a en effet décuplé leur utilisation.
En s’appuyant sur près de 1000 sources, parmi lesquelles, des articles de presse, ou des sites spécialisés dans les nouvelles technologies, ils ont dénombré 66 types différents de robots sociaux passés en phase de test et en tout 195 déploiements dans 35 pays différents.
Ce mouvement est particulièrement fort dans les transports, l’éducation, les aéroports, ou encore les restaurants. Dans ce cadre, la tâche principale qui leur est assignée est souvent liée à la réception des clients.

Améliorer la communication homme-robot dans un éventail de contexte très large. Telle est l’ambition des chercheurs de l’université de Columbia. Ces derniers ont mis au point une machine qui est en capacité d’imiter les expressions faciales des humains dans le but de gagner leur confiance.
Comme on peut le voir sur la vidéo, le résultat n’est pourtant pas toujours des plus rassurants. Nos confrères de The Next Web décrivent le fonctionnement de ce droïde dénommé Eva. Il s’appuie sur une IA de Deep learning pour analyser les expressions faciales du visage humain capturées par une caméra. Une combinaison de câbles et de moteurs permettent ensuite de tirer la peau souple du robot et ainsi de reproduire les mimiques des personnes se trouvant à proximité.
L’utilisation des robots sociaux a été renforcée par la pandémie
Dans le détail, Eva est donc en capacité de reproduire six émotions allant de la colère au dégoût, en passant par la peur, la tristesse, et la surprise. Elle peut même reproduire une combinaison d’expression à l’exemple d’une surprise heureuse.
Pour la suite, les scientifiques nourrissent de belles ambitions pour cette technologie qui est la seule disponible en open source. Assez peu coûteuse à fabriquer, elle pourrait intéresser des organisations très diverses allant des maisons de retraite aux usines, précisent nos confrères.
Cette innovation intervient dans un contexte particulièrement porteur pour les robots sociaux, ces machines capables d’interagir avec les humains. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone, la crise sanitaire a en effet décuplé leur utilisation.
En s’appuyant sur près de 1000 sources, parmi lesquelles, des articles de presse, ou des sites spécialisés dans les nouvelles technologies, ils ont dénombré 66 types différents de robots sociaux passés en phase de test et en tout 195 déploiements dans 35 pays différents.
Ce mouvement est particulièrement fort dans les transports, l’éducation, les aéroports, ou encore les restaurants. Dans ce cadre, la tâche principale qui leur est assignée est souvent liée à la réception des clients.

Améliorer la communication homme-robot dans un éventail de contexte très large. Telle est l’ambition des chercheurs de l’université de Columbia. Ces derniers ont mis au point une machine qui est en capacité d’imiter les expressions faciales des humains dans le but de gagner leur confiance.
Comme on peut le voir sur la vidéo, le résultat n’est pourtant pas toujours des plus rassurants. Nos confrères de The Next Web décrivent le fonctionnement de ce droïde dénommé Eva. Il s’appuie sur une IA de Deep learning pour analyser les expressions faciales du visage humain capturées par une caméra. Une combinaison de câbles et de moteurs permettent ensuite de tirer la peau souple du robot et ainsi de reproduire les mimiques des personnes se trouvant à proximité.
L’utilisation des robots sociaux a été renforcée par la pandémie
Dans le détail, Eva est donc en capacité de reproduire six émotions allant de la colère au dégoût, en passant par la peur, la tristesse, et la surprise. Elle peut même reproduire une combinaison d’expression à l’exemple d’une surprise heureuse.
Pour la suite, les scientifiques nourrissent de belles ambitions pour cette technologie qui est la seule disponible en open source. Assez peu coûteuse à fabriquer, elle pourrait intéresser des organisations très diverses allant des maisons de retraite aux usines, précisent nos confrères.
Cette innovation intervient dans un contexte particulièrement porteur pour les robots sociaux, ces machines capables d’interagir avec les humains. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone, la crise sanitaire a en effet décuplé leur utilisation.
En s’appuyant sur près de 1000 sources, parmi lesquelles, des articles de presse, ou des sites spécialisés dans les nouvelles technologies, ils ont dénombré 66 types différents de robots sociaux passés en phase de test et en tout 195 déploiements dans 35 pays différents.
Ce mouvement est particulièrement fort dans les transports, l’éducation, les aéroports, ou encore les restaurants. Dans ce cadre, la tâche principale qui leur est assignée est souvent liée à la réception des clients.

Améliorer la communication homme-robot dans un éventail de contexte très large. Telle est l’ambition des chercheurs de l’université de Columbia. Ces derniers ont mis au point une machine qui est en capacité d’imiter les expressions faciales des humains dans le but de gagner leur confiance.
Comme on peut le voir sur la vidéo, le résultat n’est pourtant pas toujours des plus rassurants. Nos confrères de The Next Web décrivent le fonctionnement de ce droïde dénommé Eva. Il s’appuie sur une IA de Deep learning pour analyser les expressions faciales du visage humain capturées par une caméra. Une combinaison de câbles et de moteurs permettent ensuite de tirer la peau souple du robot et ainsi de reproduire les mimiques des personnes se trouvant à proximité.
L’utilisation des robots sociaux a été renforcée par la pandémie
Dans le détail, Eva est donc en capacité de reproduire six émotions allant de la colère au dégoût, en passant par la peur, la tristesse, et la surprise. Elle peut même reproduire une combinaison d’expression à l’exemple d’une surprise heureuse.
Pour la suite, les scientifiques nourrissent de belles ambitions pour cette technologie qui est la seule disponible en open source. Assez peu coûteuse à fabriquer, elle pourrait intéresser des organisations très diverses allant des maisons de retraite aux usines, précisent nos confrères.
Cette innovation intervient dans un contexte particulièrement porteur pour les robots sociaux, ces machines capables d’interagir avec les humains. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone, la crise sanitaire a en effet décuplé leur utilisation.
En s’appuyant sur près de 1000 sources, parmi lesquelles, des articles de presse, ou des sites spécialisés dans les nouvelles technologies, ils ont dénombré 66 types différents de robots sociaux passés en phase de test et en tout 195 déploiements dans 35 pays différents.
Ce mouvement est particulièrement fort dans les transports, l’éducation, les aéroports, ou encore les restaurants. Dans ce cadre, la tâche principale qui leur est assignée est souvent liée à la réception des clients.

Améliorer la communication homme-robot dans un éventail de contexte très large. Telle est l’ambition des chercheurs de l’université de Columbia. Ces derniers ont mis au point une machine qui est en capacité d’imiter les expressions faciales des humains dans le but de gagner leur confiance.
Comme on peut le voir sur la vidéo, le résultat n’est pourtant pas toujours des plus rassurants. Nos confrères de The Next Web décrivent le fonctionnement de ce droïde dénommé Eva. Il s’appuie sur une IA de Deep learning pour analyser les expressions faciales du visage humain capturées par une caméra. Une combinaison de câbles et de moteurs permettent ensuite de tirer la peau souple du robot et ainsi de reproduire les mimiques des personnes se trouvant à proximité.
L’utilisation des robots sociaux a été renforcée par la pandémie
Dans le détail, Eva est donc en capacité de reproduire six émotions allant de la colère au dégoût, en passant par la peur, la tristesse, et la surprise. Elle peut même reproduire une combinaison d’expression à l’exemple d’une surprise heureuse.
Pour la suite, les scientifiques nourrissent de belles ambitions pour cette technologie qui est la seule disponible en open source. Assez peu coûteuse à fabriquer, elle pourrait intéresser des organisations très diverses allant des maisons de retraite aux usines, précisent nos confrères.
Cette innovation intervient dans un contexte particulièrement porteur pour les robots sociaux, ces machines capables d’interagir avec les humains. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone, la crise sanitaire a en effet décuplé leur utilisation.
En s’appuyant sur près de 1000 sources, parmi lesquelles, des articles de presse, ou des sites spécialisés dans les nouvelles technologies, ils ont dénombré 66 types différents de robots sociaux passés en phase de test et en tout 195 déploiements dans 35 pays différents.
Ce mouvement est particulièrement fort dans les transports, l’éducation, les aéroports, ou encore les restaurants. Dans ce cadre, la tâche principale qui leur est assignée est souvent liée à la réception des clients.

Améliorer la communication homme-robot dans un éventail de contexte très large. Telle est l’ambition des chercheurs de l’université de Columbia. Ces derniers ont mis au point une machine qui est en capacité d’imiter les expressions faciales des humains dans le but de gagner leur confiance.
Comme on peut le voir sur la vidéo, le résultat n’est pourtant pas toujours des plus rassurants. Nos confrères de The Next Web décrivent le fonctionnement de ce droïde dénommé Eva. Il s’appuie sur une IA de Deep learning pour analyser les expressions faciales du visage humain capturées par une caméra. Une combinaison de câbles et de moteurs permettent ensuite de tirer la peau souple du robot et ainsi de reproduire les mimiques des personnes se trouvant à proximité.
L’utilisation des robots sociaux a été renforcée par la pandémie
Dans le détail, Eva est donc en capacité de reproduire six émotions allant de la colère au dégoût, en passant par la peur, la tristesse, et la surprise. Elle peut même reproduire une combinaison d’expression à l’exemple d’une surprise heureuse.
Pour la suite, les scientifiques nourrissent de belles ambitions pour cette technologie qui est la seule disponible en open source. Assez peu coûteuse à fabriquer, elle pourrait intéresser des organisations très diverses allant des maisons de retraite aux usines, précisent nos confrères.
Cette innovation intervient dans un contexte particulièrement porteur pour les robots sociaux, ces machines capables d’interagir avec les humains. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone, la crise sanitaire a en effet décuplé leur utilisation.
En s’appuyant sur près de 1000 sources, parmi lesquelles, des articles de presse, ou des sites spécialisés dans les nouvelles technologies, ils ont dénombré 66 types différents de robots sociaux passés en phase de test et en tout 195 déploiements dans 35 pays différents.
Ce mouvement est particulièrement fort dans les transports, l’éducation, les aéroports, ou encore les restaurants. Dans ce cadre, la tâche principale qui leur est assignée est souvent liée à la réception des clients.

Améliorer la communication homme-robot dans un éventail de contexte très large. Telle est l’ambition des chercheurs de l’université de Columbia. Ces derniers ont mis au point une machine qui est en capacité d’imiter les expressions faciales des humains dans le but de gagner leur confiance.
Comme on peut le voir sur la vidéo, le résultat n’est pourtant pas toujours des plus rassurants. Nos confrères de The Next Web décrivent le fonctionnement de ce droïde dénommé Eva. Il s’appuie sur une IA de Deep learning pour analyser les expressions faciales du visage humain capturées par une caméra. Une combinaison de câbles et de moteurs permettent ensuite de tirer la peau souple du robot et ainsi de reproduire les mimiques des personnes se trouvant à proximité.
L’utilisation des robots sociaux a été renforcée par la pandémie
Dans le détail, Eva est donc en capacité de reproduire six émotions allant de la colère au dégoût, en passant par la peur, la tristesse, et la surprise. Elle peut même reproduire une combinaison d’expression à l’exemple d’une surprise heureuse.
Pour la suite, les scientifiques nourrissent de belles ambitions pour cette technologie qui est la seule disponible en open source. Assez peu coûteuse à fabriquer, elle pourrait intéresser des organisations très diverses allant des maisons de retraite aux usines, précisent nos confrères.
Cette innovation intervient dans un contexte particulièrement porteur pour les robots sociaux, ces machines capables d’interagir avec les humains. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone, la crise sanitaire a en effet décuplé leur utilisation.
En s’appuyant sur près de 1000 sources, parmi lesquelles, des articles de presse, ou des sites spécialisés dans les nouvelles technologies, ils ont dénombré 66 types différents de robots sociaux passés en phase de test et en tout 195 déploiements dans 35 pays différents.
Ce mouvement est particulièrement fort dans les transports, l’éducation, les aéroports, ou encore les restaurants. Dans ce cadre, la tâche principale qui leur est assignée est souvent liée à la réception des clients.

Améliorer la communication homme-robot dans un éventail de contexte très large. Telle est l’ambition des chercheurs de l’université de Columbia. Ces derniers ont mis au point une machine qui est en capacité d’imiter les expressions faciales des humains dans le but de gagner leur confiance.
Comme on peut le voir sur la vidéo, le résultat n’est pourtant pas toujours des plus rassurants. Nos confrères de The Next Web décrivent le fonctionnement de ce droïde dénommé Eva. Il s’appuie sur une IA de Deep learning pour analyser les expressions faciales du visage humain capturées par une caméra. Une combinaison de câbles et de moteurs permettent ensuite de tirer la peau souple du robot et ainsi de reproduire les mimiques des personnes se trouvant à proximité.
L’utilisation des robots sociaux a été renforcée par la pandémie
Dans le détail, Eva est donc en capacité de reproduire six émotions allant de la colère au dégoût, en passant par la peur, la tristesse, et la surprise. Elle peut même reproduire une combinaison d’expression à l’exemple d’une surprise heureuse.
Pour la suite, les scientifiques nourrissent de belles ambitions pour cette technologie qui est la seule disponible en open source. Assez peu coûteuse à fabriquer, elle pourrait intéresser des organisations très diverses allant des maisons de retraite aux usines, précisent nos confrères.
Cette innovation intervient dans un contexte particulièrement porteur pour les robots sociaux, ces machines capables d’interagir avec les humains. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone, la crise sanitaire a en effet décuplé leur utilisation.
En s’appuyant sur près de 1000 sources, parmi lesquelles, des articles de presse, ou des sites spécialisés dans les nouvelles technologies, ils ont dénombré 66 types différents de robots sociaux passés en phase de test et en tout 195 déploiements dans 35 pays différents.
Ce mouvement est particulièrement fort dans les transports, l’éducation, les aéroports, ou encore les restaurants. Dans ce cadre, la tâche principale qui leur est assignée est souvent liée à la réception des clients.

Améliorer la communication homme-robot dans un éventail de contexte très large. Telle est l’ambition des chercheurs de l’université de Columbia. Ces derniers ont mis au point une machine qui est en capacité d’imiter les expressions faciales des humains dans le but de gagner leur confiance.
Comme on peut le voir sur la vidéo, le résultat n’est pourtant pas toujours des plus rassurants. Nos confrères de The Next Web décrivent le fonctionnement de ce droïde dénommé Eva. Il s’appuie sur une IA de Deep learning pour analyser les expressions faciales du visage humain capturées par une caméra. Une combinaison de câbles et de moteurs permettent ensuite de tirer la peau souple du robot et ainsi de reproduire les mimiques des personnes se trouvant à proximité.
L’utilisation des robots sociaux a été renforcée par la pandémie
Dans le détail, Eva est donc en capacité de reproduire six émotions allant de la colère au dégoût, en passant par la peur, la tristesse, et la surprise. Elle peut même reproduire une combinaison d’expression à l’exemple d’une surprise heureuse.
Pour la suite, les scientifiques nourrissent de belles ambitions pour cette technologie qui est la seule disponible en open source. Assez peu coûteuse à fabriquer, elle pourrait intéresser des organisations très diverses allant des maisons de retraite aux usines, précisent nos confrères.
Cette innovation intervient dans un contexte particulièrement porteur pour les robots sociaux, ces machines capables d’interagir avec les humains. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone, la crise sanitaire a en effet décuplé leur utilisation.
En s’appuyant sur près de 1000 sources, parmi lesquelles, des articles de presse, ou des sites spécialisés dans les nouvelles technologies, ils ont dénombré 66 types différents de robots sociaux passés en phase de test et en tout 195 déploiements dans 35 pays différents.
Ce mouvement est particulièrement fort dans les transports, l’éducation, les aéroports, ou encore les restaurants. Dans ce cadre, la tâche principale qui leur est assignée est souvent liée à la réception des clients.

Améliorer la communication homme-robot dans un éventail de contexte très large. Telle est l’ambition des chercheurs de l’université de Columbia. Ces derniers ont mis au point une machine qui est en capacité d’imiter les expressions faciales des humains dans le but de gagner leur confiance.
Comme on peut le voir sur la vidéo, le résultat n’est pourtant pas toujours des plus rassurants. Nos confrères de The Next Web décrivent le fonctionnement de ce droïde dénommé Eva. Il s’appuie sur une IA de Deep learning pour analyser les expressions faciales du visage humain capturées par une caméra. Une combinaison de câbles et de moteurs permettent ensuite de tirer la peau souple du robot et ainsi de reproduire les mimiques des personnes se trouvant à proximité.
L’utilisation des robots sociaux a été renforcée par la pandémie
Dans le détail, Eva est donc en capacité de reproduire six émotions allant de la colère au dégoût, en passant par la peur, la tristesse, et la surprise. Elle peut même reproduire une combinaison d’expression à l’exemple d’une surprise heureuse.
Pour la suite, les scientifiques nourrissent de belles ambitions pour cette technologie qui est la seule disponible en open source. Assez peu coûteuse à fabriquer, elle pourrait intéresser des organisations très diverses allant des maisons de retraite aux usines, précisent nos confrères.
Cette innovation intervient dans un contexte particulièrement porteur pour les robots sociaux, ces machines capables d’interagir avec les humains. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone, la crise sanitaire a en effet décuplé leur utilisation.
En s’appuyant sur près de 1000 sources, parmi lesquelles, des articles de presse, ou des sites spécialisés dans les nouvelles technologies, ils ont dénombré 66 types différents de robots sociaux passés en phase de test et en tout 195 déploiements dans 35 pays différents.
Ce mouvement est particulièrement fort dans les transports, l’éducation, les aéroports, ou encore les restaurants. Dans ce cadre, la tâche principale qui leur est assignée est souvent liée à la réception des clients.

Améliorer la communication homme-robot dans un éventail de contexte très large. Telle est l’ambition des chercheurs de l’université de Columbia. Ces derniers ont mis au point une machine qui est en capacité d’imiter les expressions faciales des humains dans le but de gagner leur confiance.
Comme on peut le voir sur la vidéo, le résultat n’est pourtant pas toujours des plus rassurants. Nos confrères de The Next Web décrivent le fonctionnement de ce droïde dénommé Eva. Il s’appuie sur une IA de Deep learning pour analyser les expressions faciales du visage humain capturées par une caméra. Une combinaison de câbles et de moteurs permettent ensuite de tirer la peau souple du robot et ainsi de reproduire les mimiques des personnes se trouvant à proximité.
L’utilisation des robots sociaux a été renforcée par la pandémie
Dans le détail, Eva est donc en capacité de reproduire six émotions allant de la colère au dégoût, en passant par la peur, la tristesse, et la surprise. Elle peut même reproduire une combinaison d’expression à l’exemple d’une surprise heureuse.
Pour la suite, les scientifiques nourrissent de belles ambitions pour cette technologie qui est la seule disponible en open source. Assez peu coûteuse à fabriquer, elle pourrait intéresser des organisations très diverses allant des maisons de retraite aux usines, précisent nos confrères.
Cette innovation intervient dans un contexte particulièrement porteur pour les robots sociaux, ces machines capables d’interagir avec les humains. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone, la crise sanitaire a en effet décuplé leur utilisation.
En s’appuyant sur près de 1000 sources, parmi lesquelles, des articles de presse, ou des sites spécialisés dans les nouvelles technologies, ils ont dénombré 66 types différents de robots sociaux passés en phase de test et en tout 195 déploiements dans 35 pays différents.
Ce mouvement est particulièrement fort dans les transports, l’éducation, les aéroports, ou encore les restaurants. Dans ce cadre, la tâche principale qui leur est assignée est souvent liée à la réception des clients.

Améliorer la communication homme-robot dans un éventail de contexte très large. Telle est l’ambition des chercheurs de l’université de Columbia. Ces derniers ont mis au point une machine qui est en capacité d’imiter les expressions faciales des humains dans le but de gagner leur confiance.
Comme on peut le voir sur la vidéo, le résultat n’est pourtant pas toujours des plus rassurants. Nos confrères de The Next Web décrivent le fonctionnement de ce droïde dénommé Eva. Il s’appuie sur une IA de Deep learning pour analyser les expressions faciales du visage humain capturées par une caméra. Une combinaison de câbles et de moteurs permettent ensuite de tirer la peau souple du robot et ainsi de reproduire les mimiques des personnes se trouvant à proximité.
L’utilisation des robots sociaux a été renforcée par la pandémie
Dans le détail, Eva est donc en capacité de reproduire six émotions allant de la colère au dégoût, en passant par la peur, la tristesse, et la surprise. Elle peut même reproduire une combinaison d’expression à l’exemple d’une surprise heureuse.
Pour la suite, les scientifiques nourrissent de belles ambitions pour cette technologie qui est la seule disponible en open source. Assez peu coûteuse à fabriquer, elle pourrait intéresser des organisations très diverses allant des maisons de retraite aux usines, précisent nos confrères.
Cette innovation intervient dans un contexte particulièrement porteur pour les robots sociaux, ces machines capables d’interagir avec les humains. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone, la crise sanitaire a en effet décuplé leur utilisation.
En s’appuyant sur près de 1000 sources, parmi lesquelles, des articles de presse, ou des sites spécialisés dans les nouvelles technologies, ils ont dénombré 66 types différents de robots sociaux passés en phase de test et en tout 195 déploiements dans 35 pays différents.
Ce mouvement est particulièrement fort dans les transports, l’éducation, les aéroports, ou encore les restaurants. Dans ce cadre, la tâche principale qui leur est assignée est souvent liée à la réception des clients.

Améliorer la communication homme-robot dans un éventail de contexte très large. Telle est l’ambition des chercheurs de l’université de Columbia. Ces derniers ont mis au point une machine qui est en capacité d’imiter les expressions faciales des humains dans le but de gagner leur confiance.
Comme on peut le voir sur la vidéo, le résultat n’est pourtant pas toujours des plus rassurants. Nos confrères de The Next Web décrivent le fonctionnement de ce droïde dénommé Eva. Il s’appuie sur une IA de Deep learning pour analyser les expressions faciales du visage humain capturées par une caméra. Une combinaison de câbles et de moteurs permettent ensuite de tirer la peau souple du robot et ainsi de reproduire les mimiques des personnes se trouvant à proximité.
L’utilisation des robots sociaux a été renforcée par la pandémie
Dans le détail, Eva est donc en capacité de reproduire six émotions allant de la colère au dégoût, en passant par la peur, la tristesse, et la surprise. Elle peut même reproduire une combinaison d’expression à l’exemple d’une surprise heureuse.
Pour la suite, les scientifiques nourrissent de belles ambitions pour cette technologie qui est la seule disponible en open source. Assez peu coûteuse à fabriquer, elle pourrait intéresser des organisations très diverses allant des maisons de retraite aux usines, précisent nos confrères.
Cette innovation intervient dans un contexte particulièrement porteur pour les robots sociaux, ces machines capables d’interagir avec les humains. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone, la crise sanitaire a en effet décuplé leur utilisation.
En s’appuyant sur près de 1000 sources, parmi lesquelles, des articles de presse, ou des sites spécialisés dans les nouvelles technologies, ils ont dénombré 66 types différents de robots sociaux passés en phase de test et en tout 195 déploiements dans 35 pays différents.
Ce mouvement est particulièrement fort dans les transports, l’éducation, les aéroports, ou encore les restaurants. Dans ce cadre, la tâche principale qui leur est assignée est souvent liée à la réception des clients.